Mon amant, mon beau-père 2

Tous les après-midis, je suis à la maison avec ma mère et mon beau père. Pendant que mes trois enfants sont à l'école et mon mari au travail, on discute ensemble tout en prenant le café.

Depuis un moment, avec mon beau père on n'est plus pareil, Nos regards se croisent plus souvent. Je sens qu'il est plein d'intentions pour moi ; on se confie l'un à l’autre, même sur des choses très personnelles. Je suis vraiment attirée par cet homme, sa bonne humeur, son parfum. Malgré notre différence d'âge, vingt ans de différence, il pourrait être mon père. Mais je lui trouve quelque chose d'attirant, quelque chose que je n'ai jamais ressentie avec un autre homme. Il faut dire qu'à part mon mari, je n'ai pas connu d'autre homme. Avant mon mariage, j'été vierge...

Donc, après avoir bu le café et discuté de tout et de rien, ma mère se lève de table et dit :
-bon je vais préparer mes géraniums, tu viens Jean-Pierre? demanda-t-elle à mon beau père
-oui j'arrive, je vais me changer répondit mon beau père

Puis ma mère descend au sous-sol, Jean-Pierre m'aide à débarrasser la table. On se retrouve près de l'évier où on pose les tasses, nos regards se croisent, on marque un instant d'arrêt....

Je sens qu'il va se passer quelque chose, je n'arrive pas à parler. Je suis toute bouleversée, son regard est profond, il se penche sur moi. Je tremble de partout, on s'embrasse sur la bouche, juste un baiser, puis il recommence de plus belle. Je sens sa langue sur mes lèvres. Je le saisis par le cou et lui offre ma bouche. Nos langues se mêlent un instant.
-je t'aime me dit-il
-moi aussi...

Puis il part se changer. Tout le reste de la journée, j'étais confuse. Je ne savais pas quoi lui dire, j'étais presque gênée...

Le lendemain matin, après avoir emmené les enfants a l'école, j'attaque un peu de ménage. Ma mère me dit
-je vais faire le marché tu veux venir avec moi ?
-ho non, j'ai la flemme, puis il faut que je me change

Elle va dans le salon où Jean-Pierre lit son journal
-tu viens avec moi au marché? lui dit-elle
-non je dois porter la voiture au garage pour la vidange

Ma mère se penche sur lui, l'embrasse et s'en va faire son marché.

J'étais en train de faire mon lit quand la porte de la chambre s'ouvre. C'était mon beau père, il s'approche de moi et on s'embrasse de nouveau avec encore plus d'ardeur. On se laisse tomber sur le lit. Je sens ses mains partout sur moi, nos bouches ne se décollent pas, nos langues battant la mesure. Il passe sa main sous mon tablier de ménage pour me caresser les cuisses. Mon cœur bat à cent à l'heure. J'écarte les jambes pour lui montrer mon approbation, jusqu'au moment où il me caresse ma petite culotte en coton. Juste le fait de sentir sa main ici sur moi pour la première fois de ma vie, m’a faite jouir sans être pénétrée. Il descend ma petite culotte, il se rend vite compte que je suis prête.

Et pour une fois, nos bouches se décollent. Mon beau père déboutonne sans un mot mon tablier. Il embrasse mes petits seins emprisonnés dans mon soutien-gorge, puis mon ventre et il arrive à ma petite toison. Je sens son souffle et battre sa langue sur mon clito, j'ai mes deux mains sur sa tête comme pour lui dire t'arrêtes pas, continues... tout en se régalant de mon minou, il se déshabille. Au bout d'un moment, il se lève et retire son pantalon. Quand il retire son slip, je reste bouche bée....quand je vois son sexe, moi naïve, je pensais que tous les hommes étaient fait pareil. Car c'est mon mari qui ma dépucelé, donc j'ai pas vu d'autres sexes que celui de mon mari....

Quand je vois ce qu'il sort de son slip, je me dis : ça va jamais rentrer; il est trop gros, mais je ne n'ose pas lui dire quoi que ce soit pour ne pas passer pour une gourde. Puis il s'allonge pour continuer ce qu'il avait commencé avec mon clito, sauf qu'il se met en position 69, me présentant son gros sexe devant mon visage. Je le regarde; impressionnée, je ne sens même plus la langue de mon beau père tellement je suis subjuguée. Puis il le prend dans sa main et le brandit vers ma bouche. Je ne sais pas quoi faire, je suis presque gênée et comme je ne fais rien mon beau père lève la tête.
-t'as jamais fait çà, me dit-il
-fait quoi? dis-je en rigolant doucement et surtout bêtement
-ben un 69

Si j'avais pu me cacher dans un trou de souris, je l'aurai fait et je réponds en rougissant
-non je suis censée faire quoi?

Car je n'avais jamais sucé un sexe d'homme; même mon mari ne me la jamais proposé
-ouvres ta bouche, tu vas voir me dit-il

J’ouvre timidement ma bouche et je sens son gland sur mes lèvres. Il pousse son gland pour les écarter, j'ouvre plus ma bouche et il glisse sur ma langue, mon beau père fait quelques allées et retours et me dit :
-tu vois, ce n’est pas compliqué!

Et il se remet à me lécher. Le fait de sentir sa langue sur ma petite chatte avec son sexe dans ma bouche, m’a permis de prendre un tel plaisir, que je me suis surprise à gémir sans retenue. Je me régale de cette bite dans ma bouche, je tourne ma langue dans tous les sens, mais très vite je me lâche dans sa bouche. Je serre mes cuisses autour de sa tête je l enserre avec mes bras. Je ne peux plus résister. Je sors sa bite de ma bouche et je lâche un :
-OUI C'EST TROP BON

J’ai un afflux de cyprine qu'il lape avec ardeur, comme pour me nettoyer...
Mon beau père se retourne avec le sourire comme satisfait de lui, il m'a fait jouir pour la deuxième fois.

Puis à nouveau, on s’embrasse. Il passe une jambe entre les miennes afin de les écarter. Je comprends très vite où il veut en venir. Je m'ouvre à lui, il me chevauche. D'une main, il guide son sexe
C'est là que je me suis rappelé de la grosseur de son pénis; et au fond de moi, je me dis que ça ne va jamais renter. Il est bien trop gros et bête comme je suis, je le lui dis
-elle est trop grosse, elle ne va jamais rentrer

Tout en frottant son gland sur les lèvres de ma chatte il me répond calmement pour me rassurer
-tu as eu trois enfants, ce n’est pas ça qui te fait peur quand même?

Et je sens l'énorme gland écarter mes lèvres et se frayer un chemin dans mon vagin qu'il investit sans difficulté. Et plus il s'enfonce, plus j'écarte les cuisses. Plus, je les écartais, plus il allait loin. Au fond de moi et à chaque fois, je crois qu'il est au bout, mais non, il l'enfonce encore et encore.... et quand il arrive à tout mettre, j'ai qu'une seule pensée, le bonheur de ma mère d'avoir çà sous la main chaque jours. Et je me dis, qu'il va falloir qu'elle partage....

Mon beau père commence de long allées et retours, je relève la tête pour regarder cette queue me pilonner. Il remarque que je joue la voyeuse et me glisse un oreiller sous la tête pour me faciliter la vue. Je prends plaisir à voir ce gourdin s'introduire en moi. Mon pubis se gonfle à chaque assaut de son membre. Il accélère le mouvement et encore une fois je ne sais pas pourquoi car mon éducation me l'interdisait, je dit…à mon plus grand étonnement :
-ouiiii baises moi vieux salaud, vas-y défonces moi !!!

Je sentis par la raideur de sa bite que cela lui plaisait. Son gland venait taper sur mon utérus et il ajoute :
-tiens p’tite salope, prend ça, si ton mari n'est pas capable de te faire ça, moi je vais te la remplir ta petite chatte de pute.

Et comme une cocotte-minute sous pression, il lâche le liquide reproducteur au fond de mon ventre. Je reprends mon pied en l’enlaçant avec mes jambes autour de sa taille et mes bras autour de son cou. Il me remet quelques coups pour se finir. Moi je suis aux anges. Personne ne m'avait jamais fait l'amour comme ça.

On s'embrasse. De nouveau sa bite sort de ma chatte en faisant un grand FLOP. Dans le silence de la chambre, on se dit quelques mots d'amour. Mon beau père se lève et se dirige vers la salle de bain. Moi je décide de tout garder en moi, jusqu'au soir et toute la journée je n'ai pensé qu'à ça...

Le soir quand je me suis couchée près de mon mari, je me suis remémoré cet instant de pur bonheur que m’a apporté mon beau père dans mon lit, dans le lit conjugal, à la place de mon mari ....