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Mon amour

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Lue : 2042 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/11/2012

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Dans la moiteur de la nuit, nous sommes au bord de la piscine avec Hélène. Etant inféodée à mon amie par je ne sais quel hasard, je la laisse fouiller mon intimité. Si nous sommes nues c’est à cause d’elle: il fait trop chaud pour rester couvertes, même avec les deux pièces mini que nous portons. Comme toujours je cède à ses envies bizarres pour moi, pauvre fille. C’est plus agréable de sentir ses doigts sur moi que les miens. Si au début elle ne fait que passer rapidement en survolant les clitoris, elle revient vite sur lui. Elle me caresse de plus en plus vite, comme pressée de me faire jouir.

Presque en perte d’équilibre, les jambes ouvertes je me laisse faire. C’est bien meilleur que quand je me caresse seule. Mon ventre est tendu vers son doigt. Enfin elle joint un autre doigt venant ajouter au plaisir. Je suis prête à partir vers ce monde merveilleux de la jouissance. Les premiers spasmes donnés grâce à la main d’Hélène arrivent. Je suis obligée de me tenir à son épaule. Sa peau est comme tendue, douce et tendue. Quand arrive la délivrance, je pose ma bouche sur elle.

Je voudrais bien lui rendre ce qu’elle m’a fait. J’hésite beaucoup surtout que mon bas ventre commence la danse d’avant en arrière. Mes fesses semblent participer à la fête. Je suis peut être mouillée, je ne m’en souviens même pas. Les doigts d’Hélène glissent facilement sur mon sexe, sans doute à peine dedans. Je la laisse faire ce qu’elle veut. Je jouis, c’est le principal. Surtout que sa bouche vient sur la mienne. A la douceur de ses lèvres s’ajoute celle de la langue.

Hélène sait qu’elle m’a faite jouir, elle en veut autant. J’ai un peu honte de mettre laisser aller ainsi. Dans le même mouvement elle me fait coucher sur la margelle, vient de mettre sur moi, m’enjambe en me donnant sa chatte. Je ne vois pas très bien son sexe, je ne fais que humer sa présence. Mes mains la tiennent par les cuisses, encadrant mon visage. Je sais ce qu’elle veut, j’hésite un petit instant avant de tirer ma langue vers son intimité. J’aurais pu voir son cul s’il avait fait jour.

Je ne fais que rendre ce qu’elle me fait. J’imagine son regard fou de plaisir comme le mien. Je suis à peine gênée par sa fourrure. Ma langue s’infiltre dans ses lèvres. J’ai son clitoris entre les lèvres, il est doux, appelant encore ma langue contre lui. Sa liqueur envahi la bouche : j’en redemande encore.

Nous restons ainsi dans la nuit. Nous allons dans sa chambre, à l’abri de nos parents. Qu’ils ne savent surtout pas ce que nous faisons. Mon cœur éclate pour elle : il me semble qu’elle est le centre du monde.

Hélène fait vite comprendre que ce qu’elle préfère chez moi est le plaisir, partagé ou pas. J’en suis réduite à une fonction de plaisir, seulement chargée de ses jouissances.
Le temps a passé depuis, même si je garde en tête mes plaisirs. Je me masturbe souvent en pensant à elle. Il me semble qu’elle est sous moi, que sa langue est encore sur la chatte. Mes doigts remplacent plus ou moins sa langue. Elle me manque beaucoup. Je la veux encore.

J’ai oublié une seule chose : je suis vierge à mon âge. Il faut que je ne sois plus vierge, sinon, comment fera-t-elle pour bien me baiser.

Il a fallu que je ne cherche pas trop loin. C’était un soir, chez moi, dans la même chambre où nous amusions avec Hélène. J’étais couchée, nue, les jambes ouvertes, ma main sur la chatte. En rêvassant je voyais le corps de ma chérie. J’ai à peine vu celui de mon cousin Antoine quand il est venu sur moi. Sa queue était grosse, plus grosse que je le prévoyais. J’étais mouillée quand il est venu. J’ai eu un peu peur quand il a forcé pour entrer. J’ai senti mon vagin s’ouvrir facilement. J’ai eu mal, enfin un peu.

J’ai quand même aidé quand il a commencé à aller et venir. Même si la douleur est vite partie, je n’ai pas senti de plaisir particulier. Je fermais les yeux en pendant à elle, à son corps. J’ai à peine senti le sperme quand il a giclé au fond du ventre.

Le seul avantage est que j’étais enfin ouverte.
J’ai demandé à Hélène de me faire l’amour encore dès le lendemain. Il a mis un bon moment avant de répondre. D’un côté, c’était meilleur d’espérer. Elle m’a appris d’autres façons. J’étais couchée dans son attente, toujours le sexe offert.

Elle est venue, couchée entre mes jambes, sa bouche presque contre moi. Son souffle me tenait chaud en bas, contre ma féminité. Sa langue enfin est venue me lécher. Je la sentais contre le périnée, première fois à cet endroit pas loin du cul. Quelques fois elle glissait pour venir dans le vagin ou vers l’anus. Pourtant un doigt toujours le même était sur le bouton. Cette fois son doigt est venu dans le cul : elle m’a donné ainsi un orgasme. J’attendais qu’elle aussi se donne ainsi. Pourtant quand elle s’est installé ses cuisses ouvertes contre moi, j’étais prête à cette nouvelle façon. Découverte déconcertante que d’avoir contre mon sexe un autre : le sien. Elle m’a fait ainsi découvrir cette drôle façon de jouir.

Plusieurs jours plus tard, elle a voulu me faire connaitre les suites insoupçonnées de mon dépucelage. C’était magnifique d’après elle. J’ai dû commencer par elle. Elle se donnait totalement en présentant son sexe humide à ma main droite fermée. J’ai dû forcer pour entrer tellement elle était étroite. Mon pouce est entré en même temps que l’index. Lentement j’ai pu aussi entrer les autres doigts. Elle gémissant sans cesse en répétant des oui, oui, encore, plus profond. Son visage reflétait les plaisirs que je ne faisais que deviner.

Ensuite sans que je le demande elle m’en a fait autant. J’ai eu mal, très mal au début. En insistant Hélène m’a donné ce qu’elle attendait. Mon corps s’est soulevé avec des frissons puis lentement le plaisir est venu dans mon corps en entier. Depuis ma déchéance est parfaite : elle me met sa main entier dans le cul.
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Histoire de fabrissa

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