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Mon amour Claude

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Lue : 1531 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 12/01/2014

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Avoir un attachement profond pour une personne: c'est ce que j'éprouve pour Claude depuis des mois sans oser le lui dire: elle est grande, bien faite, avec un visage plus qu’agréable, des yeux pervenches. Je crois que ce sentiment est partagé. J'hésite beaucoup à lui dire ce que je ressens. J'en ai juste parlé à mon frère qui me conseille d'avouer mon amour.

Je n'ai plus hésité, je lui ai confié que je l'aimais. Claude a eu l'air étonné. Petit à petit je l'ai convaincu que c'était vrai, que mon désir pour elle était sincère. Sa carapace s'est ouverte quand je l'ai embrassé la première fois. Il me semble encore sentir son odeur, la saveur de sa salive sur ma langue.

Nous n'avons pas fait l'amour rapidement: j'attendais l'occasion. Au retour d'une soirée étudiante je l'ai caressée. Oh, pas grand-chose, ma main glissait sur son visage, sur ses joues. Il a fallu que je la convainque de la réalité de mes sentiments.

Puis lentement elle acceptait plus que des caresses superficielles. J'ai pu toucher ses seins un peu par hasard. J’avais réellement envie d'elle, de lui faire du bien, qu'elle m'en donne. Quand nous nous sommes retrouvés dans ma chambre, que je voulais l’embrasser complètement elle se laissait faire. Ah, la plaisir de ma langue dans sa bouche, ce mes mains sur sa poitrine, ses soupirs, les miens...

Elle comprenait que je ne pouvais me passer d'elle. Nous avons fait chambre commune, en tout bien tout honneur au début. Un soir elle cédait à mes désirs, elle venait dans mon lit.

Nous étions nues, l'une contre l'autre. J’étais sur le côté, ma main caressait doucement sa poitrine, tirait maladroitement ses tétons. Elle me laissait faire, je descendais la main sur le ventre que je sentais frémir. Sans complexes aucun je venais sur sa fente.

J'étais excitée au possible : je caressais son sexe de haut en bas. Je sentais bien qu'elle avait du plaisir elle prenait ma main comme pour la guider pour la mener vers l'orgasme. Je la sentais jouir.

Ce n'est que deux ou trois jours plus tard qu'elle me rendait la pareille.

Nous échangions des mots d'amour dès que nous le pouvions. Chaque jour nous nous aimions un peu plus. Nous étreintes n’étaient pas journalières : nous ne nous jetions pas l'une sur, l'autre à la moindre occasion.

Un jour mon père, se doutant de mes rapports amoureux me demandait de lui présenter Claude. Je voulais bien, mais je craignais le rejet de ma mère, très croyante. Comment faire admettre mon amour hors norme, bien que naturel pour moi ?

C'était un samedi après-midi. J'annonçais que Claude devait venir me rejoindre et passer la nuit avec moi. J'aurais manifesté que le grand Lama venait, que le problème aurait été le même : un peu d’indifférence.

La vision de cette belle fille à mes côtés mettait ma mère dans tous ses états : comment je vivais avec une fille, je n'avais pas honte de me prêter un cette mascarade. Bref nous étions des âmes perdues, des filles indignes (de quoi ?). Seul mon père prenait la chose avec philosophie. Pour lui j'étais heureuse, c'était le principal.

Notre nuit, chez moi devenait au début un calvaire puis, Claude me rassurait. Elle me faisait l'amour mieux que les autres fois. Sa bouche venait partout sur moi, sur mes seins, mon ventre mes cuisses, mon sexe. C'est je crois la première fois qu'elle insistait autant sur ma chatte, le clitoris. Nous étions en 69, nos langues seules fonctionnaient. Au lieu de se contenter de ma fente, sa langue allait sur l'anus.

Elle ne me léchait plus, elle entrait doucement pour mon plus grand plaisir. Je n'osais pas rendre cette caresse inédite. Pourtant j'aurais dû : c'était sacrement agréable de se faire sodomiser par ce morceau de langue. Je me contentais de mettre deux doigts au même endroit.

C'est ce genre de privauté qui nous a définitivement soudés.

Le lendemain, c'est Claude qui disait à ma mère que nous nous aimions que nous aimions jouir ensemble, que nos corps avaient besoin de celui de l'autre. Que cette nuit nous avions fait longuement l'amour.

C'est là que ma mère a compris que nous ne nous séparerions pas de sitôt :adieu les petits enfants. Elle acceptait Claude comme son autre fille. Nous vivons en couple depuis longtemps sans problème, sauf qu'elle aime les nouilles et moi pas.
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Histoire de fabrissa

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