ACCUEIL > SM > Récit : Mon nouveau maître

Mon nouveau maître

+29

Lue : 4630 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 09/10/2013

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Il m’a dit d’attendre devant la gare de Montpellier. Je suis habillé comme il me la demandé : jupe courte pas de culotte, chaussures basses, en haut un débardeur serré faisant ressortir mes seins nus. Je deviens son esclave pour 4 jours. Un type que je ne connais pas m’aborde. Il vient de sa part. Nous partons vers un mas que je ne connais absolument pas à plusieurs kilomètres de la gare.

Il me fait entrer dans une chambre, me demande de me mettre nue, d’attendre devant le lit, les jambes légèrement écartées. Mes vêtements en tas sur une chaise, je suis dans la position requise. Une jeune femme vient me voir après de longues minutes d’attente. Une femme brune avec moi un peu rousse.
- Je vais de passer un foulard autour des yeux pour que tu ne vois rien. Appelle le maître monsieur, obéis en tout, tu verras, tu auras des jouissances inconnues. Ne te rebiffe surtout pas.

Elle passe ses mains sur tout mon corps, elle me donne des envies particulières que je ne connais pas encore. Je suis là pour jouir, pas pour me poser des questions. Elle est très douce, en passant sur mes seins, sur mes hanches, sur mes cuisses. Quand elle se serre contre moi, je sens ses seins durs contre les miens. Sa bouche se pose sur la mienne. Nos langues se caressent longuement, Elle passe la sienne sur mes lèvres en un long mouvement.

Je ne suis pas surprise quand sa main se pose sur mon abricot : je mouille depuis qu’elle a commencé. Elle me couche sur le lit, vient se coucher sur moi. Je sens son pubis contre le mien. Il me semble sentir quelque chose d’humide : elle doit mouiller aussi.

Elle bouge pour changer de position : nous sommes en 69. Drôle de découverte pour moi. Cette position je l’aime avec une bite dans la bouche, mais là ? Sa chatte est mouillée comme la mienne. Elle pose sa bouche sur la moule. Je sens sa langue fouiller tous les recoins de mon sexe. Je me laisse aller vers son objectif, me faire jouir.

La vue de son sexe tout près de ma bouche fait que tenter par l’expérience, je pose ma langue sur le plus proche de moi : son bouton. Il est à la fois dur et flexible, tendre à lécher. Ma langue le prend en totalité : elle gémit. Elle me fait jouir deux fois avant de me laisser à mon triste sort : qu’est-ce que je vais devenir ? Une pute, cédée pour de l’argent, une participante à une partouze, autre chose ?

Elle pose le foulard sur les yeux : je n’y vois plus rien. Elle prend ma main, me mène vers une pièce voisine. Je dois rester à la place où elle m’a mise, je dois laisser les jambes écartées. Passé quelques secondes une main caresse une jambe du mollet vers la hanche. Elle est douce, presque amoureuse. Elle m’attire vers le corps. Je pense que je vais être baisée enfin. Elle me fait pencher à genoux : je trouve sur ma bouche un beau morceau de bite. Je lèche ce que je trouve, je respire cette odeur particulière de queue qui a baisé il y a peu. Mes lèvres entoure le prépuce, le descendent, l’aspire. Une main me tient la tête. Comme si j’allais partir. Je sens une main féminine sur mes fesses. Sans doute la main de celle avec qui nous venons d’avoir un rapport très sensuel.

Je reçois le paiement de mes efforts : une rasade de sperme chaud. Il est un peu salé, juste comme j’aime. Je le déguste lentement.

J’entends des personnes qui entrent, deux trois, quatre peut-être. Une femme c’est sûr à cause du parfum léger. On me fait lever. Deux hommes m’enserrent, un devant l’autre derrière. Mon Dieu ils ne vont pas me faire une double pénétration : je n’en ai jamais subi. Je sens bien les bites dures contre moi celle de devant contre le ventre, celle de derrière entre mes fesses. Celui de derrière se branle sur mes fesses, celui de devant se baisse un peu, il pose sa queue sur ma fente. Il avance la queue doucement, passe le clitoris, le masse pour venir s’enfoncer dans le con. C’est une drôle de façon de baiser, c’est sacrément efficace. Pour celui qui me la met, je ne sais pas, mais moi je jouis plusieurs fois autour du membre tendu.

Je sens contre mon dos, les seins d’une fille, elle pose ses mains sur moi, sur mon dos, sur les fesses. Elle s’y attarde à la recherche de la raie. Un doigt y entre. Elle ne va pas me…. Je gémis de bonheur quand elle me masturbe le cul.

Celui qui me baisait fini de jouir, la fille, la même ou une autre pose sa bouche sur le sexe. Sa langue est longue pour venir entrer dans le vagin. Elle se pourlèche du reste de sperme. Elle lèche lentement, passant en revue tous les détails de ma fente. Je l’espère plus loin. Elle doit m’entendre quand elle passe sa langue sur le périnée, poursuit plus loin sur l’anus. Elle durcit le bout de la langue, entre facilement dans le cul. Je jouis encore.

Tout cesse je ne sais pourquoi. Ou je le crains.

Mon maitre est là. Il dirige tout, surtout moi :
- Lèche moi le cul sans me toucher la bite, compris putain ?
- Oui, maitre.

Je sens ses fesses sur ma figure, sa raie contre mon nez : il se penche un peu en avant. Je passe ma langue vers son cul. Ses couilles sont sur mon visage. Il est doux, rasé, propre en un mot. Ma langue a toute la place pour œuvrer. Je trouve un drôle de gout relevé. En pointant ma langue, en la durciçant j’entre à peine dans ce cul d’homme. Il réagit comme une fille en gémissant. Je sens sa queue se relever : il bande, il bande encore quand je lui donne le coup de grâce : il jouit à gros jet.
- Mets-toi en levrette, les jambes ouvertes : tu vas lécher le sexe de notre amante qui léchera celui d’une autre qui te léchera à ton tour.

Je vais lécher une fille dont je connais déjà le con et une autre que je ne connais pas du tout va me lécher. C’est compliqué, c’est excessivement jouissif.

Je suis en position, d’avance je prends mon pied. Ce n’est pas une langue de fille, c’est une bite qui vient encore dans mon con. Je me laisse faire, j’accélère le rythme pour jouir encore et encore : je ne m’en lasse pas.

Mon maître demande à ses amis de venir me baiser à deux. Cette fois j’ai droit à deux bites. Une dans le con, sur, l’autre je ne sais pas encore. Je la sens chatouiller mon petit trou. Il est dans mon cul, c’est bon. L’autre enfin me baise, c’est bon, mais les deux à la fois c’est mortel. Je n’arrête pas mes spasmes. Je dois jouir plus de deux minutes. Je m’éclate.

J’ai un maître excellent qui sait d’avance ce qui est bon pour moi. A quoi bon me préoccuper des amants futurs : il me les donne.
29 vote(s)


Histoire de fabrissa

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Mon nouveau maître


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :