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Mon patron ce cochon

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Lue : 44512 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/11/2005

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J’étais en poste depuis 3 semaines dans une boîte de pub et ça me plaisait terriblement.
Seulement, je n’avais toujours pas rencontré mon patron car j’avais été recrutée par un chasseur de têtes. Sa réputation le précédait et j’aurais voulu juger par moi-même.
On le disait la quarantaine, brun aux yeux bleus avec une stature et un corps à vous faire fondre, moulé dans ses petits costumes Armani.
Ma collègue m’avait dit qu’elle n’avait jamais eu la chance de se retrouver seule avec lui dans le grand bureau parce que c’était l’ancien chef qui l’avait coachée.
Moi j’allais avoir cette chance et je piaffais d’impatience de le rencontrer.
La veille, sa secrétaire personnelle m’avait affirmé que mon rendez-vous était fixé après le déjeuner mais il avait eu un « empêchement » de dernière minute et n’avait pu être là.
Je me demandais si son « empêchement » était plus ou moins belle que moi…

Je suis belle et je le sais, je fais tout pour me mettre en valeur aux yeux des hommes.
Avec mon mètre soixante dix et mes 55kg, je peux enfiler toutes les tenues que je veux et elles me vont comme un gant.
Mes cheveux sont blonds et me descendent au creux des reins, mes yeux sont pers et je les souligne de noir pour les rendre plus profonds.
Mon 90 C me permet de remplir mon décolleté et de faire tourner la tête des hommes.

Hier, j’avais donc tout prévu, fraîchement épilée et pomponnée pour la petite séance entre 4 yeux, moulée dans une petite robe sexy et rouge carmin avec les sous-vêtements assortis.

Cela m’avait fait bouillir quand j’avais appris que le rendez-vous était remis au lendemain et aujourd’hui j’optais pour une petite robe bleue turquoise fendue le long des cuisses et remontant bien mes seins. Dessous, un string noir et le soutien gorge assortis étaient sobres mais après tout, s’il était comme on le disait, je ne les garderai pas longtemps.

J’amenais un dossier à une collègue quand un homme me bouscula, renversant son café sur sa chemise blanche. Cramoisie, je levais les yeux vers lui et là, j’en eu la certitude, rencontrais pour la première fois mon patron.
Il jurait et pestait contre lui-même et me jeta un regard.
- Mlle Omani ?
Il m’avait reconnue alors que moi je ne l’avais jamais vu.
- Oui…
- Vous êtes la nouvelle – il me détailla de la tête aux pieds – et vous êtes… magnifique…
Je lui lançais un de mes plus beaux sourires et pris le mouchoir avec lequel il commençait à nettoyer la tâche.
- Nous ferions mieux d’aller dans votre bureau je vais vous arranger ça.
- J’ai un change ne vous inquiétez pas, mais vous avez raison, allons dans mon bureau.

Je le suivais au pas de course et mon excitation allait crescendo en voyant ses petites fesses musclées. Je sentais que ma petite chatte ne restait pas insensible non plus, n’ayant aucune pitié pour inonder mon string.

Il ouvrit la porte à la volée, me fit passer devant – je fis d’ailleurs bien exprès de remuer mon petit cul sachant qu’il n’en perdait sûrement pas une miette – et referma en enclenchant le loquet… Intéressant me dis-je…

Il me pria de m’asseoir, ce que je fis en croisant les jambes et le vit ôter sa veste et sa chemise.
Je peux vous dire que personne n’avait menti, il était à tomber ! Un regard qui vous enveloppait d’envie, des muscles saillants, une paire de fesses à croquer et…
Je fus sortie de ma contemplation par ses paroles.
- Pardon ? – J’avais été si attentive à son corps que je n’avais même pas entendu ce qu’il venait de me dire.
- Ca commence bien si vous ne m’écoutez déjà pas.
- Pardon c’est que voir son patron à demi nu n’est pas commun…

Il s’avança vers moi et me caressa la joue.
- Si j’avais su je n’aurais pas annulé le rendez vous d’hier…
- Mais vous n’en aviez pas la possibilité n’est ce pas… ?
- Il y a toujours moyen Mle Omani ! Cela dit elle était très salope, et j’adore les salopes que voulez vous !
Alors voilà, je n’avais pas tort, je savais bien que j’avais été « remplacée » par une autre.
- Vous savez, moi aussi je peux êtres très salope…
Je décroisais les jambes et passais ma langue sur mes lèvres.
- Ah oui ?
Il posa sa main sur mon sein droit et le pressa fort avant d’en saisir le téton tendu et le pinça.
Je sentais ma chatte s’émouvoir de ces prémices et écartait les cuisses, de ma main droite je caressais la braguette déjà tendue.
Il m’aida en sortant sa queue et je fus agréablement surprise de la découvrir grosse et longue, je sentais que j’allais adorer nos petites entrevues.
Il m’ordonna de sucer et je prenais son gland en bouche pendant qu’il maltraitait mes seins et me faisait gémir.
Sa main ne tarda pas à prendre mes cheveux en queue de cheval pour me faire sucer plus fort et plus loin faisant dégouliner ma salive sur mon menton et ses boules. J’adorais me faire baiser la bouche et avalait avec gourmandise la belle queue bandée.

Il décida de me faire me lever et arracha ma robe sans ménagement avant de me faire pencher sur le bureau.
Il caressa mes fesses et me fessa. J’ondulais de la croupe en gémissant et il recommença.
Mes fesses picotaient mais j’adorais cette sensation, j’adorais être soumise pour la plus grande satisfaction de mon ‘assaillant’.
Une fois qu’il eu fini de faire rougir mon cul, il écarta la ficelle et fit glisser son index dans ma fente trempée.
- Mais c’est qu’elle est bien mouillée ma petite salope !
- Mmmmm c’est vous qui m’excitez patron !! – Pour ce dire j’utilisais ma petite voix de chatte en chaleur que les hommes aimaient tant.
Il enfonça deux doigts d’un coup me tirant un cri qu’il étouffa de sa main.
- Tu ne voudrais pas alerter les autres tout de même !
Il ressortit ses doigts et les remplaça par sa queue, très dure et très longue, ouvrant mes chaires dans un bruit mouillé, vite suivi d’un de ses râles de plaisir.
Je me cambrais bien pour le prendre tout entier, j’avais envie de crier, de lui crier de me baiser plus fort mais il maintenait ma mâchoire fermée.
Comme s’il savait ce que je voulais il accéléra, me donnant de plus grands coups, me faisant mouiller sur son pieu comme jamais je n’avais mouillé.

Il me plaqua contre son bureau et ressorti sa queue.
- Je veux ton cul ma salope, tu me le donnes ?
- Mmmmm oui patron enculez moi je n’attend que ça !!
Il écarta mes fesses et je restais les seins écrasés sur le bureau froid. Je sentis son gland se poser sur mon trou et une grosse douleur accompagner l’entrée de son chibre immense.
Il était en train de m’enculer, rien que l’idée me fit mouiller de plus belle, je sentais mes cuisses trempées d’excitation.
Je ne pu réprimer un long gémissement qui dû l’exciter car il commença à aller et venir plus fort dans mon cul.
- C’est vrai que tu es une vraie salope, une sale petite chienne qui aime se faire bourrer le cul par son patron !
- Oh oui patron encore ! Défoncez moi !
- Oui je vais te faire un beau trou béant sale pute tu vas voir !
Il donnait des coups de plus en plus fort, me propulsant contre le bureau. Je m’agrippais au bord et criais fort sans aucune retenue, sachant pertinemment que tout le monde nous entendait forniquer.
Je sentis ma chatte et mon cul se contracter par à coups enserrant sa queue plus fort.
Réalisant que j’étais en train de jouir il ne pu se retenir et cria sa jouissance, giclant de gros jets de sperme au fond de mon cul.
Il s’écroula sur moi, continuant quelques mouvements de bassin, sa bite baignant dans son jus.
Il se retira, contempla mon trou, fier de lui et me releva, me demandant de nettoyer.
Je me mis à genoux et léchait le foutre qui y restait.
Il se rhabilla ensuite et tendit son doigt vers l’armoire d’où il avait sorti son nouveau costume.
Là m’attendait une petite robe noire que j’enfilais.
Quand je sortis du bureau, les trous ouverts et souillés je filais aux toilettes pour me faire jouir encore une fois, en me remémorant cette superbe baise avec mon patron, en attendant la prochaine…

Posté par Diabless sur l'ancienne version du site (http://histoires.intimes.free.fr)
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