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Mon plaisir est son plaisir

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/10/2022

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Je la détaillais de la tête aux pieds. J’avais le vertige. Montée sur des escarpins noirs, je ne voyais plus que ses longues jambes qui filaient vers un chemisier transparent laissant deviner ses petits seins aux tétons droits. Son visage exprimait la douceur mais aussi un caractère trempé avec le durcissement de ses lèvres épaisses. Une crinière noire tombait sur ses épaules dénudées. De petits yeux noirs m’appelaient.

- Je suis bien au 69 de l’impasse thomas.
- Bien sûr. J’ai rendez-vous avec Monsieur Prat, un photographe, c’est ici ?
- C’est moi-même. Entrez.
Sa jupe courte modelait la forme de ses mignonnes fesses rebondies et je ne cessais de la mater se déhanchant devant moi. J’avais le barreau, un barreau qui enflait démesurément mon pantalon. A la fois gêné et excité, je ne savais pas trop comment me comporter. Elle venait juste pour créer un book. Elle s’assit devant moi en croisant les jambes et je lui servis à boire.
Elle promenait son regard partout dans la pièce. Mes livres entassés sur une table à côté de mon ordinateur et de mes appareils photos l’intriguaient. Je n’avais pas pris le temps de faire de l’ordre et le premier magasine qu’elle aperçut était un livre de cul. Je n’avais même pas éteint mon ordinateur qui affichait un site de rencontres. Elle sourit mais ne dis rien.

- Je suis ici donc pour un book amateur, mais je ne vous ai pas précisé, j’aimerai des photos en déshabillée ou à poils.
Je me frottais les mains.
- Bien sûr, bien sûr, je fais tous types de photos. Puis-je savoir pourquoi ce book ?
Ouais ! C’est parce que je veux faire des films pornos.
Elle devait avoir tout juste dix-huit ans voire vingt mais pas plus. Je restais vraiment sur le cul.
En mâchant un chewing-um, elle continua à m’apprendre qu’elle aimait trop le cul, qu’elle s’était envoyée en l’air la première fois à l’âge de douze ans avec un gars de dix sept ans et que maintenant elle voulait en profiter un maximum en alliant le plaisir à l’argent. Elle n’avait pas froid aux yeux.
- J’espère que vous êtes cool me fit-elle, autrement cela ne pourra pas aller entre nous et les photos seront à chier !
Elle déboutonna sa chemise qui s’ouvrit sur deux belles poires dont le bout était en érection.
- Déjà, je veux un cliché de mon torse avec les deux nibards, et elle les pressa entre ses mains, vous ne trouvez pas que j’ai de beaux nichons ?
- Si si si !
J’avais envie de les gober et certainement que mon visage était trop expressif.
- Vous aimeriez y goûter ? J’allais vous le demander, comme cela mes tétons durciront encore plus.
Heu ! Ca ne vous dérange pas ? J’ai quand même trente ans.
- Et alors ? Quelle importance ?
Je m’approchais timidement. Qu’est ce que je la désirais. Où étaient donc mes dix-huit ans ? Elle était si belle, si envoutante, si attirante. J’aurai tout donné pour lui faire l’amour.
Ma bouche dévorait ses nichons si appétissants. Ma langue tournait autour et atteignit ses tétons que je pris entre mes lèvres, je les aspirai, je les gobai, et en même temps, je me risquai à lui mettre la main entre les jambes. Elle ne dit rien. Je continuai alors en la massant plus énergiquement. Son corps se tordait, elle gémissait et tremblait de la tête aux pieds. Qu’est ce que cela m’excitait ? Je fis tomber sa jupe, son string noir, et glissa un doigt dans sa chatte humide. Elle me suçait le lobe de l’oreille et me chuchota qu’elle en voulait davantage.
Au fond de moi-même je me disais qu’elle en allait avoir pour son argent !
Je la basculai sur le lit, vint vers sa bouche ouverte et lui enfonça ma langue qui caressa la sienne langoureusement. En même temps, je glissai une main sur son cou, faisant le tour de son visage, puis, je la descendis doucement palpant sa poitrine, ses tétons, doucement encore j’atteins son nombril, puis sa chatte béante et mouillée. Je caressais son clitoris développé, glissant par moment un, puis deux, puis trois doigts dans son attirante foune avec quelques poils qui se couraient après. Elle avait fermé les yeux, poussait des soupirs bruyants et tordait son torse d’avant en arrière. Ma tête était arrivée entre ses cuisses de satin, je la léchais avec douceur, passant sur ses petites et grandes lèvres, suçant son clitoris en l’aspirant un peu. J’entrai alors ma langue à l’intérieur, allant et venant sans cesse. Je rentrai deux doigts et continuai à la lécher goulûment. Je la découvrais en transe, et plus elle me disait de continuer comme ça, plus j’étais excité. J’ajoutai alors un doigt dans son cul qui ne semblait attendre que cela. Je ramonai le tout avec un divin plaisir, accentuant la cadence de mes mouvements.
Quand j’entendis un « oh oui !!! » suivit d’une importante expulsion de liquide traduisant son orgasme. Je l’avalai. Aucun goût, un peu comme si je buvais de l’eau chaude.
- Putain me fit-elle, qu’est ce que tu m’as fait, c’est la première fois que ma jouissance est aussi intense et que je découvre être une femme fontaine.
- Je n’ai rien fait d’’exceptionnel mais recommençons si tu veux.
- Hum ! Oui, j’ai très envie, mais avant pour te remercier, je veux ta bite dans la bouche
C’était une véritable suceuse comme je n’avais jamais connu. Elle s’empara de ma queue, l’enfonça dans sa bouche en entier, elle me palpait les couilles, me les caressait. En même temps, elle se touchait. Après, elle parcourut mon gland avec sa langue, me lécha les bourses rasés. Puis, elle me branla dans sa bouche jusqu’à ce que j’éjacule.
Voilà mon remerciement. Tu peux me faire tout ce que tu veux, je suis ouverte à tout !
Ma grande passion était les cunnilingus, et surtout offrir à ces dames des orgasmes géants. Je lui demandais de se mettre assise sur la table, les jambes écartées. Je posai une chaise juste en face d’elle, mon cul dessus et m’activai à lui glisser mes doigts dans la chatte. Je la léchai avec fouge, doucement, puis plus rapidement. Je gobai son clitoris, l’aspirai. La sentant vraiment humide et chaude, j’entrai dans sa fente deux doigts, les écartant à l’intérieur, ma langue la suçait, j’ajoutai un autre doigt, à l’intérieur je les faisais tourner. Ses forts gémissements me montraient qu’elle en désirait davantage, sensible à mes caresses, elle me mettait le feu. Alors j’ajoutai encore un doigt, puis un autre et enfin je glissai mon poing jusqu’à mon poignet et travaillais son intérieur si mouillé. J’entrai et je sortai ma main lentement jusqu’à un nouvel orgasme qui me trempa le visage.
- Hum, merci beaucoup, si nous passions aux photos à présent ?
- Bien sûr. Je tiens quand même à t’apprendre que nous étions filmés. Regarde la caméra là et dis lui bonjour !
Elle leva ses yeux sur le mur d’en face et s’aperçut d’un petit œil à l’intérieur.
- Là vous m’avez eu ! En fait, j’en suis heureuse. Pourrez-vous me prêter l’enregistrement, je la copierai pour la poster sur Internet.
- Tu es vraiment une coquine toi. Pas de problème mais avant de partir, faudra me remercier une nouvelle fois.


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Histoire de Thierrydu13

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Commentaires du récit : Mon plaisir est son plaisir

Le 31/10/2022 - 16:22 par OlgaT
Une rencontre bien coquine!

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