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Moules, frites et petites pépées 1

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Lue : 25042 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 09/02/2009

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Quelle affluence dans ce restaurant de fruits de mer ! Alors que je pensais manger en toute tranquillité, Je fus tout heureux d’accepter une des seules places disponibles en bout d’une rangée de petites tables au fin fond de la pièce.

Assis le long du mur sur une banquette de moleskine je pouvais observer la longue enfilée de salles bondées de consommateurs hilares et bruyants. A ma gauche, trois ou quatre petites tables carrées comme la sienne, serrées l’une contre l’autre étaient occupées chacune par deux personnes se faisant face ; seule la petite table à sa droite dans l’encoignure était encore libre. Après avoir commandé j’eus le loisir d’observer la variété de la clientèle et comme on m’apportait mon entrée un couple guidé par une hôtesse se présenta apparemment heureux d’avoir cette dernière et incommode table de coin.

L’hôtesse dut tirer la table pour permettre à l’un des deux convives de s’installer à mes côtés. Après une brève concertation j’eus la jeune femme pour voisine. Comme à mon habitude j’observais ce couple en cherchant à percer leur type de relation. Lui, la quarantaine sonnée avait un léger embonpoint, un habitué semble t’il des bonnes tables, de taille ordinaire il était vêtu d’un costume marron de bonne coupe, il paraissait débonnaire mais serrait de près sa grande compagne. Il l’aida à quitter son manteau et le rangea soigneusement.

Une fois enlevée cette austère pelisse la jeune femme sexy se révéla extraordinairement excitante, comme savent le faire celles qui veulent plaire, mini jupe écossaise ne cachant presque rien de ses cuisses gainées de bas sombres et luisants, poitrine agressive mise en valeur par un corsage de soie noire, son visage était ordinaire à part ses grands yeux bleus qui vous transperçaient, elle était bien coiffée, ses cheveux courts encadrant son visage. Elle s’excusa gentiment quand précédée par son parfum épicé elle s’assit à côté de moi, la table fut repoussée sur elle cachant ses cuisses un moment entrevues et son compagnon lui fit face jambes entremêlées.

On peut dire qu’aucune place n’était perdue, à juste raison semble t’il puisque malgré la grande promiscuité et l’exiguïté des places le restaurant était archi plein. Ce n’était pas pour me déplaire, curieux de tout et à l’affût des occasions de tout ordre.

Il ne me fallut que peu de temps pour percer leur relation. Ce n’était pas un couple formé, lui était marié, elle cherchait à plaire. Manifestement ils n’avaient pas encore baisé ensemble ; lui comptait sans doute sur le bon repas qu’il lui offrait pour porter l’estocade dans un motel des environs ; elle minaudait mais par moment ses yeux la trahissaient, après qu’il lui eu parlé à l’oreille je l’entendais lui dire « Arrête de roucouler » ce qui n’eut pas l’air de le décourager. Il n’avait pas tord, sans doute connaissait il bien la motivation de sa compagne de bouffe, car après le premier verre de vin blanc bu en passant commande de plats nombreux et raffinés, comme pour se faire pardonner et lui redonner espoir, elle se pencha vers lui et sans se soucier de l’entourage, en l’occurrence, moi, lui roula une galoche à couper le souffle, bouche grande ouverte, langue gourmande s’agitant voluptueusement dans la bouche de son voisin. La table n’étant pas large et étant grande la donzelle se soulevait à peine. A l’arrière sa mini jupe écossaise se retroussait découvrant largement l’arrière de ses cuisses gainées de sombre.

Cela dura assez de temps pour que je puisse les observer, un bruit de succion ponctuait les mouvements de langues que je pouvais voir mêlées entre leurs lèvres ouvertes. La fille s’activait drôlement, elle mettait le paquet, le gars avait l’air rudement bien les yeux dans la vague il devait penser à l’instant où il la baiserai et à voir la croupe de ma voisine onduler je l’imaginais prise en levrette sans avoir le temps d’enlever sa culotte que j’apercevais au ras de la jupe retroussée.

Je ne sais pas alors ce qui m’a pris, nos genoux se frôlaient, son parfum m’enivrait, avant que je puisse me contrôler ma main caressait cette croupe offerte. Vite retirée , juste le temps d’empaumer les deux fesses serrées sous le soyeux satin du slip. Déjà je regrettais mon geste, avec un petit cri la donzelle s’était rassise sur la moleskine et se détournant elle me dévisageât en fronçant des sourcils, le mec aussi me regardait, mais son regard pour l’instant semblait me dire Excuse moi mec mais je chasse. Ce que je craignais c’est ce qu’allait dire ou faire la fille, dans la seconde se pouvait être la bagarre générale. Elle fit qu’elle se tourna vers son mec et je l’entendis dire Tu m’as mordu petit salaud.

Et se fut tout pour l’instant, ils commencèrent à manger des moules à l’ail. C’est alors que sa cuisse se colla à la mienne et après un ou deux coups de genoux elle redécolla pour un baiser aillé. Cette fois ma main s’attarda sur les fesses offertes, passant de l’une à l’autre les doigts dans la raie du cul, au toucher c’était ferme et chaud. La drôlesse baisait toujours son mec et masquait son regard, elle reprit doucement sa place me laissant le temps de me retirer, sa cuisse repris sa place contre la mienne. Quelle gonzesse ! C’était impossible d’imaginer qu’une aussi belle poupée invitée à bouffer par son chef et qui allait sans doute ensuite la baiser se laisse ainsi palper le cul par un voisin de table.

Elle m’observait maintenant, en douce, mais je la devinais. Je sais que je suis bien de ma personne et j’ai fait jouir moult belles filles, les femmes chaudes le devinent par un simple regard. Elle rebécotta son mec hilare après les moules et cette fois ma main, paume tournée vers le fond du slip, passa sous l’arc de ses cuisses qu’elle avait ouvertes je peux même dire qu’elle m’avait ouvertes, je pus ainsi lui caresser son minou, sa moule offerte, elle était charnue, chaude et poilue raisonnablement, aucun poil ne dépassant du slip, simple bande cachant ses lèvres, je les malaxais sous le tissus soyeux les faisant glisser l’une contre l’autre, j’aurai aimé la branler mais je n’en eu pas le temps.

C’est après le fromage que ma main passa sous le slip et aussitôt je fourrais un doigt puis deux dans sa vulve, elle était toute mouillée et je la branlais fermement en titillant son clitoris tout bandé, la haut le baiser devenait fougueux et j’entendais une sorte de feulement, la gars devait se demander ce qui lui arrivait, jamais encore un de ses baisers n’avait mit une femelle dans un tel état. Raisonnablement elle dut se rasseoir, elle croisait et décroisait ses cuisses et j’imaginais le petit plaisir qu’elle prenait en se serrant ainsi la chatte.

Le gars était aux anges et il activa le garçon il devait avoir une énorme envie de la baiser. Je crus que ma voisine allait se pâmer quand elle me vit tremper discrètement mes doigts dans l’huilier d’assaisonnement elle devait se douter que quelques secondes après ils chatouilleraient son anus en cherchant à l’amadouer puis à forcer avec succès sa chatte et son cul branlés délicatement de concert. Toute à ses baisers au dessus de la table elle ouvrait sa chatte et son cul quand mes doigts la fourraient et elle se serrait sur eux quand doucement je les sortais en m’agitant.

Moi même je ne me dominais plus tout occupé à lui donner du plaisir, c’est alors que me sentis pris par les couilles, une main s’insérant dans ma braguette imprudemment ouverte, ce ne pouvait pas être ma voisine, si pourtant mais pas celle que l’on aurait crue. C’est alors que je fis attention à ma voisine de gauche, comment avais je pus ignorer jusqu’ici une aussi belle poupée, je la surpris me sortant délicatement le membre sous la nappe en me regardant fixement, elle aussi avait joint ses doigts et son branlage sur ma queue durcie était des plus doux. Sous la table elle me décalotta le gland et ses doigts frôlèrent mon prépuce, jamais je n’avais été aussi gros, aussi raide. En plein coaltar j’oubliais de retirer ma main quand la poupée de droite reposa son cul sur la banquette et elle faillit être coincée ce qui aurait été catastrophique.

La suite fut homérique, je réglais mon addition en même temps que le couple voisin ; en enfilant son manteau le regard de ma voisine me transperçait, me détaillant, me soupesant, un léger sourire au coin des lèvres. Je sortis derrière eux et je les suivis à quelques distances, le mec roulait un patin à sa compagne en la serrant de près, ils se parlèrent à l’oreille et rirent aux éclats, puis au lieu de se diriger vers le parking, à pied ils obliquèrent et entrèrent dans un petit hôtel situé à deux pas.

J’étais décontenancé et déçu et j’allais partir enrichi d’un souvenir quand on me tira par la manche ils vont baiser maintenant ces salauds. Derrière moi la voisine de gauche qui elle aussi nous avait filé. Je ne l’avais pas trop détaillée lors du repas, occupé que j’étais à caresser la croupe de mon autre voisine mais j’en eu le souffle coupé, grande, brune, élégante, une poitrine généreuse, des hanches et des jambes faites au moule, son regard me brûlait. Sa main s’avança vers moi et elle me dit rajustez vous un brin cela ne fait pas sérieux et je m’aperçus qu’un petit pan de ma chemise sortait de ma braguette ; je comprenais mieux maintenant le sourire moqueur de la poule de droite.

Comme je me réajustais c’est à cet instant que le couple sortit du bureau et monta les marches qui montaient aux chambres, le gars serrait de près son amante, il devait bander comme un cerf, il reluquait la croupe qui ondulait devant lui à hauteur de son nez ; comme ils entraient dans une des nombreuses chambres de l’étage mon ancienne voisine dont je connaissais l’anatomie, du moins la partie la plus charnue, nous reluquât et quand la porte se ferma sur eux je vis son sourire.

« On dirait qu’elle se fout de toi----- la salope, se faire peloter le cul devant son Jules ---- et toi t’es gonflé----- j’ai vu qu’elle te faisait de l’effet---- tu la sauterais bien--- avoue----tu vas l’attendre peut être----à mon avis il va la baiser mais c’est toi qui sera dans ses bras »

« Tu crois ?--- quel cul la fille-- elle mouillait »

« Dit donc, l’huile, c’était pour son cul ? »

« Tu as vu ça toi ? »

« il aurait fallu être aveugle pour ne pas le voir, j’étais aussi près de toi que toi d’elle---- et moi aussi je mouillais de te voir faire--- pourtant j’ai plutôt l’habitude de faire l’amour avec les filles--- est ce son cul que je reluquais en douce ?--- ou bien toi ?---- et ta grosse queue ? »

« Dit donc ma grosse queue comme tu dis, il a fallu que tu la sortes, tu ne serais pas un peu salope toi aussi-- pour une lesbienne chapeau ! »

« Je ne suis pas lesbienne, j’aime jouir, un homme, une femme, les deux en même temps, ce qui importe c’est jouir et mieux faire jouir, dominer son partenaire, par le sexe, par le cul, homme ou femme---- c’est bon »

« Tu ne serais pas en train de mouiller par hasard, je vois que tu serres les cuisses »

« Si on montait nous aussi tu pourrais voir l’effet que tu fais à Sonia ! »

« Sonia c’est toi ? Oui j’aimerais bien ! »

C’est alors qu’elle me prit dans ses bras et me roula une pelle dont j’ai encore le souvenir. Décidemment ce jour là les femmes bécotaient bien, très bien même. Comme chambre, d’un commun accord nous avons choisi celle voisine de nos deux godelureaux et c’est un peu émus que nous avons fermé sur nous la porte de la chambre.

« Laisse toi faire chéri, je vais te faire jouir --- allonge toi en travers du lit --- non ne te déshabilles pas – oui c’est bien, j’arrive »

Sonia s’allongea à mes côté toute habillée elle aussi et nos bouches s’unirent pour un interminable baiser puis se relevant, à genoux elle m’enfourcha et commença à me dévêtir, à m’éplucher plutôt car elle commença par la cravate qu’elle enleva poursuivant par le col de ma chemise. Je sentais mes vêtements s’ouvrir et glisser vers le bas, bientôt je sentis ma poitrine se dénuder et sa bouche suivant ses doigts caresser mon cou, ses dents mordiller mes épaules sa langue titiller mes seins butinés par ses lèvres.

Sonia par de petites sollicitations me dirigeait, sous ses caresses je me soulevais, me tournais juste ce qu’il faut pour sentir glisser mes vêtements, les manches de ma chemise ; torse nu maintenant elle m’enveloppait de ses mains, de ses cheveux, elle m’embrassait de partout la poitrine, les bras, sa langue dans mes aisselles et puis lentement en mordillant les chairs sa bouche descendit vers la ceinture tandis qu’entre ses doigts roulaient les pointes bistres et durcies de mes seins.

Je sentis se désengager la boucle de ma ceinture, céder l’agrafe de mon pantalon, glisser la fermeture éclair, s’ouvrir toute grande ma braguette. Une petite pression me souleva et je sentis descendre ma culotte le slip restant en place. Je n’étais caressé que du seul regard de Sonia scrutant ce qui se découvrait avec une insistance sur mon slip tendu par ma verge en érection, pourtant aucune attention particulière ne l’avait encore sollicitée mais bandée le gland à six heures elle soulevait le fin tissus soyeux. Je savais pour l’avoir observé dans la glace de ma salle d’eau que lorsque mon membre était dans cette disposition on n’ignorait rien de sa vigueur, le Nylon distendu laissait deviner ce qu’il masquait à grand peine ;

Sonia devait imaginer l’énorme cylindre de ma bitte et son gland décalotté . Je sentais qu’elle commençait à s’émouvoir, ses gestes devenaient plus heurtés, son regard un peu fou, son souffle court, ses narines pincées. Elle resta un bon moment à califourchon sur moi en animant son bassin d’une houle lancinante, jupe retroussée, nos deux membres séparés que par les étoffes de nos slips. C’était bon, c’était doux et chaud, Sonia par moment en fermant les yeux avançait d’avant en arrière et je sentais le gros cylindre de ma queue entre les grosses lèvres de sa chatte.

Et puis elle se recula et je sentis ses mains sous mes fesses agripper mon slip le faisant glisser sur mes hanches et le long de mes cuisses. Comme un diable sortant de sa boite ma verge se dressa très roide sur mon ventre, la tête de mon amante passa dans l’arc de mes cuisses relevées en vé, le slip coincé à mes genoux et sans que je ne perde rien du spectacle je vis sa bouche rose s’arrondir autour de mon gland. Une douce chaleur humide envahit mon bourgeon violacé, Sonia à genou sur la moquette, sa bouche centrée sur ma virilité saisie à sa base par ses doigts fuselés ; et puis elle commença à m’absorber par des aller et retour de plus en plus amples avec le doux collier de ses lèvres carminées. Quel spectacle quand elle se retirait en me serrant le dard délimitant la partie conquise mouillée de salive translucide, petit à petit sa bouche s’enfonçait davantage en aspirant joues creusées, j’avais envie de jouir, mais elle savait ralentir ses introspections cessant de me pomper, ses doigts serrant fortement ma queue à sa base.

C’est alors que, sans cesser de me sucer, les doigts de sa main libre lubrifiés de salive me caressèrent l’anus, douce pression d’abord, titillements ensuite avant l’entrée par effraction du plus long d’entres eux, c’était si bien fait que mon plaisir redoubla, j’avais perdu les pédales gémissant doucement en regardant sa bouche me manger. A un moment elle déglutit entièrement mon objet dressé, sa langue rose affolant mon prépuce et soudain se recentrant sur lui en une descente vertigineuse sous mon regard effaré et malgré l’énormité de mon engin elle m’absorba entièrement jusqu’aux couilles sa langue tournoyant autour de ma queue.

Jamais je n’aurais cru cela possible, à plusieurs reprises elle se retira pour mieux replonger me gobant à chaque fois.

Et puis soudain c’est elle qui perdit l’esprit, me délaissant, arrachant mon slip toujours prisonnier à mes genoux, Sonia se remonta à cheval sur moi, je sentis ma verge prise en main, agitée dans l’entrecuisse, son slip manifestement écarté, dans un cri elle s’enfonça en moi. Elle avait perdu toute pudeur, comme une folle elle se branlait la chatte, les yeux dans le vague, le souffle court bouche ouverte, elle me tordait la queue dans son ventre agité en tout sens ; ma verge toujours emmanchée profondément elle se pencha sur moi et me prit sauvagement la bouche, j’en profitais pour mettre ses seins érectés à l’air et les peloter durement, nous étions vautrés l’un sur l’autre, Sonia faisant mine de ramper sur moi, ses mouvements de reptations et cette agitation en tout sens tordant mon membre dans sa chatte le faisant aller et venir entre ses lèvres, ses seins étaient durs ses tétons sensibles aux pincements de mes doigts, elle jouissait à fond maintenant, elle criait presque et je pensais que ses plaintes devaient traverser les minces cloisons du motel ce qui n’étais pas pour me déplaire.

Ce fut le paroxysme, de la folie presque lorsque écartant par derrière le tissus de son slip, sans préparation je lui mis un doigt dans l’anus. Empalée par tous ses trous je l’entendis hurler
« Toi ! Viens ! Rejoins-moi ! Ah c’est bon---je jouis comme une pute—ah oui je te sens—ton jet de foutre au fond de moi – c’est bon de jouir ensemble--- oublie la pute d’à côté qui se fait sauter pour une assiette de moules et un verre de vin blanc—ah chéri tu jouis tu es bien toi aussi-- ah chéri chériiiii ! »

En effet je n’avais pu retenir ma semence plus longtemps et j’avais déchargé au plus profond de sa chatte quand elle m’avait serré la queue dans son trou musculeux, une énorme vague de plaisir m’avait inondé quand le sperme montant de mes entrailles avait jaillit en giclées puissantes au col de son utérus, le plaisir dura plus longtemps qu’à l’accoutumé tant son ardeur était grande et elle continuait à être bien, bien après moi. J’accompagnais son plaisir en m’agitant en elle, en la pelotant et en l’enculant de mes doigts jusqu’au moment où elle s’écroula à mes côtés, épuisée mais un sourire triomphal aux lèvres.

Allongés sur le dos, côte à côte, regardant le plafond, nous reprenions notre souffle, moi nu comme un ver à part mes chaussettes, Sonia habillée comme si rien ne s’était passé
« Georges ? Enfin je crois—tu étais bien ? » En parlant elle me caressait le membre dressé qui n’avait rien perdu de sa vigueur.

« Tu me connais donc ? Sonia » Elle me répondit que quand quelqu’un lui plaisait, homme ou femme, même un couple, elle les suivait, se renseignait et par un biais quelconque entrait dans leur vie. Je me rendis alors compte qu’elle me connaissait bien.

C’est alors que des éclats de voix traversèrent la frêle cloison de la chambre voisine, nous fîmes silence, c’est la donzelle qui avait l’air en boule .
« Thomas j’en ai marre d’être un paillasson, il faut que je te caresse, que je te suce pour te faire bander et dés que tu me sautes tu prends ton plaisir et tu me laisses la chatte vide, ta queue toute mole avant que j’ai pris mon pied, j’ai un mal fou à te faire redurcir et tu recommences, je n’ai pas joui une seule fois--- non laisse moi--- va te faire foutre---je te dis d’arrêter--- tu as compris--- arrrrrête » et l’on entendit le bruit d’une gifle retentissante

« Putain, putain » hurlait Thomas « pourquoi crois tu Julie que je te sorts dans les restos, que je t’offre des fleurs des fringues comme une princesse depuis bientôt trois semaines--- c’est pour te baiser salope, pour baiser ton cul que tu me refuses--- tiens ta gifle tu peux la garder— » et l’on entendit un bruit de bagarre, et puis quelques minutes après le bruit d’une porte qui claque. Puis un long silence.

Georges s’habilla en vitesse, Sonia l’aidait fébrile

« Va vite la voir avant qu’elle parte, elle est à point---- pour nous, ramène là si tu peux--- elle en pince pour toi, c’est pour cela que l’autre ballot n’a pu la faire jouir--- Georges je t’en pris, tu as pu voir le morceau de roi--- nous allons la faire jouir, crois moi on va s’amuser si tu la décides ! »

« Je vais voir, mais ne m’en veux pas si elle n’a pas tes goûts de partouzeuse, moi d’abord, mais je vais tout faire pour la ramener, garde la chambre et va t’en si dans une heure nous n’arrivons pas, à moins que tu n’entendes des coups sur la cloison, alors rejoins nous—remarque je serais peut être de retour dans quelques minutes, le temps de prendre une baffe moi aussi »

Je sortis de la chambre et j’allais frapper discrètement à la porte voisine, je dus refrapper une deuxième fois avant d’entendre au travers de la porte

« C’est toi ? vas de faire foutre ! Ne m’emmerde plus »

« Non Julie, ce n’est pas Thomas, c’est moi Georges, ouvre je veux te parler »

« Georges ? Je ne connais pas, qui êtes vous ? »

« Mais si on s’est vu chez Noël tout à l’heure »

Après un moment la porte s’entrouvrit, Julie la trousse de maquillage à la main me regardait apparemment très surprise.

« Ah c’est vous----mais comment savez vous mon prénom ?on ne se connaît pas pourtant »

« Oui si l’on peut dire, à part durant le déjeuner on ne s’était jamais vu--- mais j’étais dans la chambre à côté de la vôtre et nous avons tout entendu--- à un moment même j’avais envie de venir vous défendre--- ce Thomas n’avais pas l’air bon, et comme vous m’avez plu dés le premier regard j’allais— »

« Attendez attendez que je vous ai plu je m’en suis rendu compte petit voyou ; que vous aillez voulu m’aider, je vous remercie, vous êtes gentil, mais vous venez de dire nous vous avons entendu, pourquoi nous ? »

« C’est simple j’étais avec Sonia dans la chambre d’à côté, nous avons entendu quand vous étiez en rogne contre cet égoïste de Thomas qui ne pensait qu’à jouir sans se soucier de votre plaisir »

« Sonia c’est la poule qui était à votre gauche au resto ? Celle qui a sorti votre pan de chemise de votre pantalon ? Avec autre chose sans doute !--- celle que j’ai entendu jouir comme une folle quand ma chatte était vide ? C’est cela ? Oui ? Et c’est vous qui la faisiez hurler de telle sorte que tout l’hôtel pouvait l’entendre ? Alors c’est moi qui vous ai excité et c’est cette Sonia qui en a profité--- »

« Vous avez dû remarquer que je vous suivais après le repas et comme nous venions d’être un peu complices l’instant d’avant je m’étais dit que peut être vous auriez voulu poursuivre un peu plus sérieusement nos rapports, mais j’ai vu que Thomas voulait lui aussi conclure et je l’ai envié---- vous êtes si belle—si excitante--- mais est ce que je peux entrer quelques instants ? »

« Oui entrez, là, je referme la porte, il ne fait pas chaud, vous dites nous étions complices alors que sans ma permission, j’insiste, vous me caressiez au nez et à la barbe de mon amant— »

« Je n’ai pu me retenir, cela a été plus fort que moi, j’ai eu peur d’être remis à ma place, vous m’avez regardé et j’ai compris que vous ne diriez rien, et quand votre cuisse est venue se coller à la mienne j’ai eu toutes les audaces—je ne regrette rien du bonheur furtif que je sais vous avoir donné quand j’ai branlé votre chatte, et puis vous avez un beau cul et vous êtes si belle que--- »

« Merci pour ma soi disant beauté, pour ce qui est du beau cul j’ai senti qu’il vous plaisait, oui je l’avoue vous— enfin tu m’as fais mouiller, j’adore ces situations scabreuses, j’en suis friande, je les recherche même. Je me souviens qu’un jour dans le métro bondé un mec c’est plaqué sur moi et a commencé à me caresser, comme toi, de station en station il s’est enhardi, il est vrai que je le laissai faire je ne sais pourquoi, cela m’excitait de voir jusqu’où il aurait l’audace d’aller, lui aussi m’a caressé les fesses, lui aussi a glissé sa main dans mon slip, c’était un monsieur d’un certain âge, bien sur lui, son visage face au mien était impassible il-- »

Tandis qu’elle évoquait cette situation scabreuse qu’elle semblait avoir aimée je m’étais approché d’elle jouant le rôle du petit père dans le métro, plaqué sur elle moi aussi. Comme lui, je lui caressais les fesses sur sa jupe et au fil de son récit je n’eus aucune peine passant par-dessous d’empaumer ces lobes magnifiques sur le slip dont je connaissais la douceur, puis passant sous le frêle rempart je les pétrissais passant d’une rotondité à l’autre. Surprise, son visage s’était empourpré à mes premières caresses, sans réactions hostiles cependant, mais son nez légèrement pincé et son souffle court m’indiquaient son émoi ; quand ma main passa sous l’arc de ses cuisses par derrière en frôlant la raie de son cul, je la sentis frissonner, alors moi aussi, comme le vieux satyre, mes doigts s’enlisèrent dans sa chatte humide.

« Et alors » lui dis je, ma voix chevrotait un peu tant mon trouble moi aussi était grand.

« Alors petit à petit, sans arrêter de me caresser il est venu en face de moi, il savait que je le laisserais faire sa main est passée sous ma jupe par devant et il m’a prit ma moule sur le slip d’abord…….oui Georges comme ça….., continue…..J’ai une grosse chatte, avec des lèvres bien charnues, doucement il les serrait par de petits pinssotements en remontant vers le clito, il les faisait glisser l’une contre l’autre, je mouillais déjà, et puis toujours par dessus le slip un de ses doigts parcourait ma raie entre les lèvres, il semblait avoir tout son temps, jamais je n’avais été si excitée, sa main était douce, parfois ses doigts simplement me frôlaient, je quêtais une caresse plus ferme en écartant légèrement mes cuisses.

En me parlant, comme dans son récit elle avait ouvert ses cuisses et je fus à mon aise pour lui caresser la chatte par devant, dessus sa culotte. J’adore ce contact soyeux de mes doigts, ils glissent, s’insèrent, pincent, écartent, frôlent ; ils devinent ce qui caché s’offre à eux sous leurs caresses et quand l’entrecuisse ondule, quand la culotte se mouille, quand les grosses lèvres de la chatte glissent onctueusement l’une contre l’autre, quand les gémissements de plaisir ponctuent mes caresses, je me sens le meilleur des amants. Combien de femmes ont jouies ainsi sous mes mains avant même d’être déculottée? Julie avait un minou fruit, comme une grosse mangue bien mûre, fendue, éclatée par le sucre et de sa fissure chuintait un nectar sirupeux. Elle tenait à peine dans ma main qui la triturait, mes doigts s’égarant parfois plus loin entres ses fesses en s’attardant sur l’anus voisin.

Julie jouissait, je le sentais ; elle voulait me le cacher mais je voyais son émoi sur son visage, son ventre s’animait d’une forte houle et quand tout en continuant de la caresser je lui dis de poursuivre son récit, elle resta muette un long moment avant de poursuivre d’une voix mal assurée.

- Au fil des stations les gens entraient et sortaient de la rame, près de la porte c’était l’émeute tant nous étions serrés, nous avions du lâcher la barre centrale et insensiblement au gré des mouvements l’homme me guidait vers la porte opposée à l’entrée nos cuisses serrées les unes aux autres, je sentais sa chaleur au travers de nos vêtements. Bientôt l’homme me coinçait dans un angle, notre situation était plus confortable, seul en face de moi j’étais toute à lui, car durant notre progression vers le fond du compartiment à plusieurs reprises des mains baladeuses m’avaient caressé la croupe, c’est fou ce qu’on peut se faire peloter dans les transports publics ; nos regard se croisèrent et je crus discerner un léger sourire sur son visage soigné. J’avoue que j’aurai du descendre depuis deux ou trois stations mais j’étais restée, vas comprendre. Sa main était maintenant passée sous le slip, il avait distendu mon cache membre en le tirant vers le bas et immédiatement au moins deux de ses doigts s’enlisèrent profondément dans ma chatte, je sentais qu’ils s’agitaient en moi----------- plus doucement Georges, plus doucement, plus profond oui comme ça--- avec son pouce il me frôlait le clitoris et un autre doigt chatouillait mon cul, j’étais toute trempée, ses doigts me branlaient maintenant comme un membre entre mes cuisses. De mon ventre de mes seins, le plaisir commençait à sourdre, mes hanches s’animaient d’une lente houle en restant impassible du tronc pour ne pas attirer l’attention »

Insensiblement moi aussi j’entraînais Julie contre le mur dans l’angle de la chambre

« Bouge, Julie, laisse toi aller, imagine ! Nous sommes dans le métro et je suis ce vieux monsieur dans ton récit, si tu savais comme tu m’excites, je vais te faire jouir comme lui ce jour là, plus encore, continue ton récit, je te suis ma chérie— »

« Je peux mieux m’offrir ici c’est vrai—mmmme, c’est bon—j’avais besoin, continue de me branler la chatte—ah c’est bon, c’est bon. Figure toi qu’a un moment quelqu’un a du tirer le signal d’alarme entre deux stations et la rame s’est immobilisée, des gens gueulaient en s’agitant, nous, nous étions satisfaits de ce temps supplémentaire accordé. C’est alors qu’il a pris ma main dans la sienne, elle était douce et ferme cependant et il m’a guidé sur lui et les seuls mots que nous avons échangés ce jour là ont été : sorts ma queue et mes couilles. J’aurai du être choquée de ce langage grossier qui ne cadrait pas avec le personnage, mais dans l’état de désir où j’étais et un peu la curiosité j’ai commencé moi aussi à le caresser sur son pantalon, sa verge était déjà dure et sous mes doigts je la sentais réagir, se tendre davantage, doucement j’ai fait glisser sa fermeture éclair et ma main est passée par l’ouverture, je sentais mieux sa grosse verge bandée sous son slip, je lui ai pris les couilles par dessous, cela eu l’air de plaire à mon vieux satyre qui grimaçait de plaisir. J’eus du mal, mais petit à petit en tirant son slip vers le bas je fis une mise à l’air de tout son attirail, ses couilles et sa bite dressée,
Attends Georges laisse moi faire—voilà comme ça—Je sors ta queue comme ce jour là, hummm, ta queue Georges me semble plus grosse et surtout plus longue et tes couilles plus petites mais plus fermes—

« C’est bon, caresse moi bien, caresse ma queue---- caresses la avec ta culotte »

« ? ? ? ? »

« J’adore ça c’est mieux que la caresse des doigts »

« Attend Georges je l’enlève--- voilà--- je te branle avec--- cela te plaît ? »

« Ahhh oui, tu comprends vite, continue ton récit en me caressant »

Avant de poursuivre Julie sa culotte en main me caressa les couilles et ma verge, elle s’y prenait bien, je sentais la soie virevolter sur mon membre dressé, bandé à l’extrême, avec délicatesse elle me branlait, sa main à peine serrée sur moi, elle décalottait mon gland avant de le cacher à l’abri de sa peau. Durant ce moment son regard me brûlait quêtant mes réactions. Je sais qu’il ne faut pas cacher son plaisir, c’est la récompense des amants de voir l’autre se pâmer sous leurs caresses, cela les encourage à poursuivre, à s’enhardir pour des gestes plus jouissifs encore. Tous les deux nous étions près de jouir. Je m’entendis lui dire dans un souffle

« Continue ton histoire Julie cela m’excite, est ce qu’il t’a baisée ? »

« J’ai débouclé sa ceinture et ouvert sa braguette, et me plaquait sur lui, ma main entre nos deux ventre, je lui serrais la hampe au ras de son ventre rond pour lui raidir la queue, je le faisais d’autant plus fébrilement que je commençais à jouir, mon vagin et mon cul pistonnés en cadence. Mouillant mes doigts en faisant semblant de bailler et les mettant en corolle je lui pinçais son gland décalotté. Je sentais qu’il perdait pied et abandonnant toute retenue en relevant ma jupette il me glissa sa verge entre les cuisses en avançant le ventre. Et si nous allions baiser ? là, au milieu de la foule ; je crois que c’est ce qu’il essaya de faire, écartant mon slip, je sentais son gland à cru entre mes lèvres, il soufflait comme un boeuf en se tendant vers moi il essayait de la centrer, j’avais besoin moi aussi de cette pénétration au plus profond de moi, de ma chatte ; il s’évertuait à tordre sa queue trop courte pour entrer en moi, seul le gland y parvenait, c’était bon mais pas assez substantiel pour moi, il avait beau me plaquer sur lui, se baisser légèrement pour mieux se présenter, à un moment un jet m’aspergea, il jouissait le salaud comme cet autre salaud de Thomas, j’avais du sperme plein les cuisses souillant mes bas--- pourtant toi tu y arrives, ouiiii ! Je te sens, tu me baises toi, tu me fourres, je sens ta grosse queue qui me pistonne la chatte jusqu’aux couilles--- continue—ouiiiii ahhhh que c’est bon ouiiii merci, mais comment fais tu pour me baiser à fond ahhhhahhhh »

Ce n’était pas la première fois que je baisais debout, la longueur de ma queue sa rigidité, sa manière de se dresser le gland pointé vers le haut me le permet. Avec Julie qui m’attirait vers elle cuisses entrouvertes je n’avais eu qu’à plier légèrement les cuisses et prenant ma verge en main présenter mon gland entre les lèvres de sa chatte. Humide et ouverte elle était prête à me recevoir, je connaissais le chemin et quand mon gland fut bien centré je me relevais doucement pour m’enfoncer en elle. Julie poussa un petit cri de surprise mais quand je commençais à aller et venir dans sa chatte dure et dilatée je compris à ses gémissements qu’elle jouissait. Moi j’étais maître de mon éjaculation que je réservais pour plus tard quand elle aurait joui longtemps et plusieurs fois.

Oui je la baisais à fond, rentrant et sortant mon membre de toute sa longueur dans sa vulve, elle gémissait à chaque coup de boutoir, j’étais à bonne hauteur et je n’avais qu’à plier un peu mes jambes pour sortir mon membre et mieux la fourrer l’instant d’après. Je lui levais une cuisse pour aller encore plus profond en elle.
De nouveau debout, l’un contre l’autre, je la pris sous les fesses et je la soulevais ses cuisses écartées serrées sur moi et là à plusieurs reprises en desserrant mon étreinte je la laissais s’empaler sur moi, mon membre au plus profond de sa chatte, ce fut violent comme l’orgasme qui la submergea, elle criait son plaisir à chaque coup de boutoir de plus en plus ample de plus en plus rapides. Julie était dans un autre monde.

Je la dirigeais vers le lit et l’allongeais en travers, cuisses relevées et moi face à elle limant comme un fou, Ah elle voulait jouir, ah elle voulait de la bitte, je lui en donnais ; toujours maître de la situation, mes couilles martelaient ses fesses en cadences, Julie poussait des petits cris, mais c’est la faire hurler que je voulais, nos regard se croisaient comme deux épées, j’éclatais son corsage et ses seins nus dressés jaillirent, je les pelotais durement, je me penchais et lui pris la bouche nos dents se heurtaient en un baiser fou, le lit par sa souplesse nous aidait à nous emmancher, son corps comme une balle rebondissait sur la couche pour mieux se vautrer sur moi ; c’est alors que cela arriva, elle hurla de jouissance, elle se débattait en tout sens comme si elle voulait m’échapper mais au contraire notre effusion était plus intime, ses cuisses m’enserrèrent la taille et elle décollait sa croupe en me serrant la queue en me suppliant de la rejoindre dans le plaisir extrême qui l’inondait , elle du sentir que j’éjaculais en elle car elle devint comme folle me serrant dans ses bras dans les deniers soubresauts de l’orgasme.

« Merci chéri, me dit elle, quand elle s’allongea apaisée près de moi, si tu savais comme j’ai joui avec toi, mais qu’elle queue tu as, laisse moi la regarder, tu bandes encore, elle est belle, bien lisse, c’était très doux quand tu me baisais»

« J’ai vu chérie et moi donc, tu as senti quand j’ai giclé en toi, quand je t’ai tout donné bien à fond, dans ta chatte serrée autour de mon membre ? »

« Ah oui Georges, à ce moment tu avais les yeux fous, dans ma jouissance j’étais heureuse de te voir t’abandonner, heureuse de voir que grâce à moi tu jouissais toi aussi en même temps que moi, c’était bon Georges ! Veux-tu me faire jouir encore ? S’il te plaît »

« Oui ma chérie, mais il faudrait peut être que l’on fasse venir Sonia ? »

« Sonia ? »

« La pauvre elle est à côté et elle a du t’entendre quand tu étais bien, je te promets que tu vas encore jouir si elle vient avec nous, elle est gentille tu sais, elle aime les hommes, mais elle adore les femmes, elle--- »

« A trois ? Deux femmes pour un homme, mais tu es infatigable Georges, j’avoue que cela me tente, ce sera nouveau pour moi, j’ai toujours rêvé d’être dans un grand lit avec une femme qui me plairait, ça m’excite déjà »

« Alors je frappe à la cloison ? Oui ? Avant que je te rejoigne, nous avions convenu de ce code, si je cognais c’est que tu étais d’accord pour qu’elle se joigne à nous »

Je frappais donc à la cloison, quelque secondes après Sonia nous rejoignait.

« Enfin dit elle en entrant, j’étais désespérée, j’ai du me branler en vous entendant, je suis heureuse de vous rejoindre nous avons encore le temps de nous amuser, la nuit est à nous ! N’est ce pas Julie, il me semble que tu viens de passer un agréable moment avec notre Georges, est ce que je te plais ? Toi tu es canon, tu me bottes, si tu le veux on peut se faire plaisir ? As tu déjà fais l’amour avec une femme ? »

« Non, mais je l’ai dit à Georges, je crois que cela me plairait, c’est mon fantasme d’être caressée par une femme expérimentée, de la caresser à mon tour, jusqu’à présent je n’ai joui que dans les bras d’hommes ou en me caressant, mais au plus profond de moi, sans jamais pouvoir le réaliser j’ai rêvé de faire l’amour avec une amie. J’ai imaginé comment deux femmes peuvent se faire plaisir, se faire jouir, seule dans mon lit je me suis masturbée en imaginant une compagne penchée sur moi et quand je jouissais je me demandais si une femme arriverai à me faire jouir comme quand je suis pénétrée par mes doigts ou mieux par le membre d’un homme »

Sonia c’était approchée face à Julie et la prenant tendrement dans ses bras elle posa ses lèvres sur la bouche qui s’offrait.



Suite sur Moules frites et petites pépées, 2/2 si vous le voulez
Pierre le Grand dit Yégor
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Histoire de Pierre le Grand

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Commentaires du récit : Moules, frites et petites pépées 1

Le 28/12/2010 - 02:11 par Cloelia
Salut Pierre, je tiens à te laisser un petit commentaire sur cette histoire pour te feliciter. En effet je l’ai trouvé très excitante, de part l’histoire mais surtout par l’ambiance plus douce que ce que tu as l’habitude de nous conter. C’est très agréable, en tout cas moi j’aime beaucoup, merci pour tes efforts. A bientôt Bises

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