Noëla (10ème et dernière partie)

Je fus réveillé par une bonne odeur d’omelette aux fromage et oignons. Noë avait préparé le dîner et était toute contente de venir m’apporter mon assiette et la posa sur la table basse du salon.
-Bon appétit, Sky !
-Oh, merci Princesse !
-On se mate un film ?
-Bonne idée !
On passa une bonne soirée, tranquillement installés dans le canapé, puis nous allâmes nous coucher. nous fîmes l’amour tendrement, comme un vrai couple et nous nous endormîmes paisiblement.
Le dimanche matin, Noë vint me réveiller en me faisant des bisous.
-Viens voir, je t’ai fait une petite surprise !
Je me levais alors, nu, et la suivis dans le salon. Je découvris alors une grande serviette de bain étalée sur la natte du salon, à la place de la table basse. Un coussin était placé à une extrémité et des bougies étaient disposées de parts et d’autres de la natte. La pénombre de la salle obtenue par les volets fermés était ainsi atténuée par les bougies, qui donnaient une ambiance très chaleureuse à l’ensemble.
-Installe-toi Chéri ! me lança-t-elle.
-Je vais d’abord prendre une bonne douche si tu permets pour éveiller mon corps à ce que tu vas lui faire ! et je filais sous la douche.
Quand je revins, je m’installais aussitôt sur le ventre, non sans avoir placé mes couilles et ma queue de façon à ce que je ne sois pas gêné quand elle commencera le massage.
Pendant ce temps, Noë mit une petite musique de salon de massage et commença a mettre de l’huile de massage dans ses mains.
-Je veux que tu t’abandonnes complètement, Sky, d’accord ?
-Oui, oui, t’inquiète ! J’ai pas l’intention de faire semblant !
Et effectivement, je me laissais aller à profiter au mieux du moment de détente que ma belle-fille m’offrait. Je laissais aller également mes pensées vers d’autres cieux et je finis par m’assoupir.
Je sentais néanmoins ses mains parcourir mes jambes, puis frôler ma verge qui était au repos, mais allongée entre mes jambes, puis caresser mes fesses. Puis les mouvements se firent plus sensuels, plus ciblés sur mon intimité. il était évident que Noë voulait s’amuser un peu et qu’elle voulait que ça se termine par une bonne partie de jambes en l’air, et ça ne me déplaisait pas. Je me laissais donc aller encore, tout en étant très réceptif aux caresses qui se faisaient plus insistantes sur mon anus et ma queue.
J’attendais qu’elle me demande de me retourner et profitais de sa masturbation très douce et de son doigt qui titillait mon anus. Elle savait que j’aime ça et elle en profitait elle aussi.
Puis, elle arrêta ses caresses et plaça une serviette sur ma tête.
-Tu peux te retourner tout doucement, s’il te plaît ? Mais tu n’ouvres pas les yeux, sinon, ça va couper l’effet du massage.
Je me retournais donc, tandis qu’elle tenait la serviette pour que mon visage ne soit pas découvert.
Elle reprit ensuite son massage en commençant par la poitrine, puis en descendant sur mon ventre. Elle contourna ma bite qui était bien tendue maintenant et s’attarda sur mes cuisses jusqu’aux genoux. Puis elle remonta et s’occupa enfin de mes couilles qu’elle malaxait très tendrement. Je sentis alors sa bouche entourer mon gland et le lâcher aussitôt. Elle me souleva les jambes et répéta la position que je lui avais fait prendre la veille, mes cuisses sur ses épaules. Elle reprit alors son massage de mon anus d’une main et de l’autre, elle malaxait mes testicules. Sa bouche reprit alors possession de ma queue.
Au moment où elle fit rentrer mon membre entier dans sa bouche, son doigt bien huilé pénétra mon anus d’un coup sec, jusqu’à la garde. Je poussais un petit cri de surprise, mais très vite, les sensations redevenaient vraiment bonnes. Puis je sentis ses mains venir pincer mes tétons.
Quelque chose n’allait pas. Je sentais sa main droite me masser les couilles, sa main gauche occupée avec mon anus et deux autres mains sur mes tétons. Visiblement, il y avait deux personnes qui s’occupaient de moi.
J’étais surpris, mais je trouvais cela une bonne surprise, plutôt agréable de surcroît, et décidais de me laisser aller.
A y prêter attention, je découvrais que la bouche sur ma queue n’était pas la sienne, mais que la personne qui me prodiguait cette fellation savait y faire. Puis je sentis une personne venir se positionner au-dessus de moi et aussitôt, je reconnus l’odeur de la cyprine de ma belle-fille. Je l’attirais alors à moi et glissais ma langue sur sa fente. Elle bougeait en même temps que je la léchais et de ce fait, ma langue parcourait son intimité depuis son clitoris jusqu’à son anus. Elle faisait d’ailleurs en sorte que je m’attarde sur son petit trou, qui frétillait à chacun de mes passages de langue.
Noë retira alors la serviette qui m’empêchait de voir qui était la personne qui s’occupait de ma queue et de mon anus.
Je fus alors surpris de découvrir un jeune homme plutôt mignon, un peu plus âgé que ma belle-fille, mais qui savait s’entretenir. Épilé au niveau des aisselles et du pubis, il avait également une queue super bien taillée, pas trop grosse, mais un peu plus longue que la mienne. Il avait les cheveux mi-longs très bruns et un corps bien sculpté.
Je lui souris et replongeais aussitôt dans la chatte de ma petite salope.
Mon bel étalon retira son doigt de mon fondement et plaça alors sa queue à l’entrée de mon anus. Je poussais alors un soupir que j’espérais bien interprété par mon amant, car je voulais qu’il me pénètre. Aussitôt, je sentis le gland forcer un peu mon orifice. Je ne ressentis pas de douleur, juste une petite gêne quand la tête de sa queue entra dans mon canal fessier. Depuis le temps que j’en avais envie, Noë m’offrait une queue à m’enfiler, tandis qu’elle me donnait sa chatte à bouffer.
J’étais l’homme le plus heureux à ce moment-là !
Le propriétaire de ce beau corps poussa encore jusqu’à ce que sa bite soit tout au fond de mon cul et il commença à donner des coups de rein dans mon fondement. En même temps, Noë s’était allongée sur moi et me suçait la queue tandis que je lui léchais la chatte et le clitoris, en lui titillant l’anus avec un doigt.
La sensation était terriblement excitante et bonne à la fois et je ne tardais pas à ressentir le plaisir monter depuis un endroit situé entre mes couilles et mon anus. Mon ventre s’échauffait de plus en plus et je finis par laisser l’orgasme monter.
-Oh putain c’que c’est bon ! Je vais jouir !
Noë m’annonça alors qu’elle venait aussi et je lui balançais une bonne rasade de sperme tout au fond de sa gorge. je sentis alors clairement quelque chose de chaud surgir dans mon cul et je compris que mon amant était en train d’éjaculer dans mon anus.
Je mis bien cinq minutes avant d’émerger de ce nuage dans lequel la jouissance m’avait plongé.
-Waouh ! Quelle sensation ! Enchanté, je suis Sky ! dis-je ne tendant la main droite vers le bel étalon.
-Salut, je m’appelle Ludo !
-Merci Ludo ! Tu m’as fait prendre un pied d’enfer ! Et merci Chérie pour ce beau cadeau !
-Je t’en prie Sky ! et elle éclata de rire.
J’appris par la suite que Ludo était un collègue de travail avec lequel elle parlait beaucoup. Ils étaient amis et sex-friends de temps en temps, mais rien de sérieux entre eux si ce n’est une véritable amitié. Elle lui avait raconté tout de A à Z sur notre relation et avait fini par l’appeler après notre discussion de la veille, pendant que j’étais dans la salle de bain et que je la croyais endormie. Comme elle savait son ami bisexuel, elle a voulu me faire découvrir ça.
Notre week-end se termina par un déjeuner en tête à tête dans un petit restaurant dont nous connaissions les propriétaires, qui furent un peu surpris de nous voir sans ma femme, mais qui ne posèrent pas de question. Nous étions vêtus légèrement. Ma belle-fille portait une robe blanche ample et des claquettes à talons et à ma demande, elle ne portait aucun sous-vêtement. Pour ma part, je portais un pantalon en lin blanc et une chemisette noire. J’avais également des claquettes en cuir. Noë mis un de ses pieds entre mes jambes au début du repas, mais avec la nappe, personne ne remarqua bien sûr. Après le plat principal, ce fût mon tour de positionner mon pied entre ses cuisses qu’elle tenait ouvertes. Mon pouce de pied joua avec son petit bourgeon pendant tout le dessert et il entra même dans sa chatte au bout d’un moment tellement elle était humide. Elle n’eut pas d’orgasme, mais ce ne fut pas loin.
Après le repas, je raccompagnais ma maîtresse dans son appartement et elle me fit une belle fellation complète avec gorge profonde. Elle m’annonça que c’était pour me remercier de ce week-end ! Je la remerciais à mon tour en lui offrant le meilleur cunnilingus que je savais faire et elle eut un merveilleux orgasme.
Je retournais chez moi, pour y attendre le retour de ma femme. Elle devait revenir de son week-end chez sa mère vers dix-huit heures et il me restait deux petites heures pour me reposer et être en forme au cas où elle ait envie de faire l’amour avec son mari.
Quand Charline rentra, je venais de prendre ma douche et je l’attendais devant une série sans intérêt. Elle était resplendissante dans une tenue décontractée. Elle portait une jupe tailleur mauve clair avec une fente sur le côté qui remontait jusqu’à mi-cuisse, un chemisier blanc en satin et visiblement, elle portait un soutien-gorge noir qui mettait vraiment sa poitrine généreuse en valeur. Je la pris dans mes bras et nous fîmes un câlin. Je lui redis combien je l’aime et nous nous embrassâmes longuement.
-Alors, tu as passé un bon week-end chez ta mère ?
-Oui, mais je ne suis pas toujours restée là-bas, tu sais !
-Ah oui ? Raconte-moi !
-On est sorties avec des copines hier soir ! On est allée en boite et on a fait les folles ! Et toi ?
-Je suis allé chez Noë …
-D’accord ! Tu me raconteras ?
-Bien sûr, si tu le souhaites !
-Alors je veux tous les détails !
Je lui expliquais alors tout ce qu’on avait fait, chaque acte sexuel et même la relation que j’avais eue avec Ludo. Je n’omis rien, car je voulais que ma femme sache exactement ce que j’avais fait, puisqu’elle m’avait donné son accord et qu’on s’était promis franchise.
-Je t’avoue que ça me fait drôle, quand même, tout ça !
-Je te comprends mon amour.
-Qu’est-ce que tu dirais si je faisais la même chose ? Si je couchais avec un autre homme ?
-Ça me ferait mal aussi, mais du coup, je comprendrais aussi, vu le contexte. Et si ça pouvait te redonner envie de moi, j’en serais heureux au final !
-J’ai couché avec une copine hier soir !
-J’en suis heureux pour toi, ma Chérie ! Tu sais que je t’ai toujours laissée libre pour ce genre de relation. Et vous avez fait l’amour ?
-Elle m’a fait du bien et j’ai beaucoup joui, oui, mais je n’ai pas réussi à lui donner du plaisir. Tu sais que j’ai du mal avec ça. Je n’arrive pas à lécher une chatte ! Déjà que ta queue, c’est compliqué, alors là, non, c’est plus fort que moi, je ne peux pas !
-Et tu voudrais essayer avec un autre homme que moi ?
-Je ne sais pas, en fait. Des fois, je me dis que je devrais essayer, mais d’autres fois, je me dégoûte de penser ça !
-Comment ça, tu te dégoûtes ?
-Ben, je suis sûre que je n’arriverais à rien, même avec un autre mec !
-Et si j’étais là ?
-Tous les trois tu veux dire ?
-Oui
-Je ne sais pas … Tu penses au mec qui t’a enculé ?
-Il est jeune, mais ça veut dire aussi qu’il est vigoureux. Il est propre, épilé de près, une queue plus fine que la mienne, mais aussi un peu plus longue.
-Il t’a plu ?
-Ben je ne suis pas homosexuel, mais j’avoue qu’il n’est pas désagréable à regarder !
-Tu en penses quoi, toi ?
-Peut-être qu’on devrait le faire venir un de ces jours et qu’on discute avec lui, pour que tu fasses sa connaissance.
-D’accord, mais si je renonce, tu ne m’en voudras pas, hein ?
-Mais bien sûr que non !
-Tu veux bien arrêter de voir Noë ?
-Bien sûr, mon cœur !
Charline alla prendre une douche, puis elle se dirigea verts la chambre.
-Tu viens ?
-J’arrive !
Je me levais alors et rejoignis mon épouse dans le lit. Nous fîmes un gros câlin, puis elle me demanda de lui lécher le clitoris. Je descendis alors entre ses jambes et après avoir caressé et embrassé ses cuisses et son aine, je commençais à poser mes lèvres sur sa vulve. Aussitôt, elle frémit et écarta encore plus ses jambes. Elle releva ses genoux en les écartant aussi, ce qui ouvrait complètement ses grandes lèvres, pour laisser apparaître ses deux petites lèvres et son clitoris qui commençait à pointer.
Je commençais alors à lui lécher son petit bourgeon comme elle aimait tant, par des coups de langues légèrement appuyés, mais longs et répétés. Elle ne tarda pas à gémir et à me dire qu’elle aimait ce que je lui faisais.
Je savais aussi que quand elle commençait à ressentir l’orgasme monter, son bassin se mettait à danser légèrement. A cet instant, ce qui la faisait partir systématiquement, c’était que je me mette à lui sucer le clito en l’aspirant. Je refermais alors ma bouche sur son petit membre érectile et je l’aspirais tout en le titillant avec ma langue.
Aussitôt, ses mains se refermèrent sur ma tête, son bassin se leva, ses cuisses se serrèrent et elle lança un grand râle de plaisir.
-Oh ouiiiiiiii ! C’est bon, putain ! Encore, encore !
Mais, dans le même temps, elle me repoussa d’un seul coup et s’allongea sur le côté, jambes repliées et elle riait aux éclats.
Moi, je me mis à genoux et je l’observais, satisfait de sa jouissance, heureux de lui faire ce plaisir.
Après quelques instants, elle tourna la tête vers moi, mais sans bouger.
-Viens, prends-moi comme ça !
Je m’approchais de ses fesses, pris sa jambe qui était sous l’autre et l’étendis ; Je me mis à califourchon sur cette jambe tendue et plaçais ma queue juste à l’entrée de sa vulve dégoulinante. Je poussais doucement et vis ma verge entrer dans sa chatte. Je la pénétrais complètement et commençais mes va-et-vient. Sa chatte et ma queue s’accordaient vraiment bien.
Elle prit alors sa fesse dans sa main et l’écarta. Elle me présentait son anus et elle voulait que j’y mette un doigt. Elle était comme ça quand elle était chaude, elle en voulait toujours plus !
Je mouillais alors mon index avec sa cyprine qui coulait de sa chatte et vint le placer sur son anus. Je ne peinais pas pour le faire entrer jusqu’à la première phalange, puis le ressorti. Je le portais alors à ma bouche, et le mouillais avec beaucoup de salive et en même temps, je crachais sur sa rondelle. J’enfilais alors mon doigt jusqu’au fond et je le faisais coulisser le long de la paroi qui sépare son anus de son vagin. De cette manière, je sentais ma bite qui continuait ses aller-retours dans sa chatte et je savais que de son côté, elle me l’avait expliqué, elle ressentait quelque chose d’indéfinissable. Cette double pénétration était divine et elle n’allait pas tarder à jouir et moi non plus.
Et effectivement, nous eurent un orgasme simultané très puissant. Malgré le fait que j’ai baisé ma belle-fille plusieurs fois, j’ai encore éjaculé une bonne quantité de sperme dans la chatte de ma femme. Je m’écroulais alors à ses côtés.
Je ne savais pas encore si j’avais retrouvé ma femme et ses envies sexuelles ou si c’était que aujourd’hui, mais il y avait bon espoir !