Noëla (1ère partie)

Noëla, elle a bientôt 23 ans. Jolie métisse d’un mètre soixante deux, elle a des mensurations dignes d’une
Princesse ! Et, ce qui ajoute à son charme, une poitrine très généreuse et un cul bien rebondi !
Le seul hic à cette beauté, c’est qu’elle soit la fille de ma femme ! Et j’adore ma compagne avec laquelle
je suis depuis presque quinze ans.
Je m’entends super bien avec ma femme. Autant sur le point de vue du couple, que sur le plan sexuel.
Enfin, presque, car, depuis plusieurs mois maintenant, elle a perdu de sa libido et nous ne faisons plus
l’amour qu’une ou deux fois par semaine. Bon, vous allez me dire que c’est pas si mal et vous avez
raison. Sauf que j’ai tout le temps envie d’elle ! Je trouve son corps tout à fait à mon goût, même si elle ne
se trouve pas canon. Elle mesure 1,55m, a un peu de surpoids et un cul merveilleux ! Oui, j’adore les
femmes ayant un derrière plus gros que la moyenne ! Une femme doit avoir des fesses et des cuisses où il
fait bon se reposer ! Et c’est le cas de ma femme !
Au début, je n’avais pas fait trop attention à sa fille ! Faut dire que je ne suis pas du genre à mater tous les
culs ! Sauf qu’un jour, nous sommes allés à la plage tous les trois ! Elle avait un paréo qui recouvrait son
derrière, mais une fois le moment arrivé d’aller dans l’eau, j’ai pu remarquer ses formes et mon sang n’a
fait qu’un tour ! J’avoue que cela faisait plusieurs nuits que ma femme me refusait de faire l’amour, sous
prétexte d’être fatiguée.
Quand j’ai vu Noëla avancer vers la mer, j’ai tout de suite eu des idées salaces qui me sont venues en tête
et ma queue a commencé à frétiller dans mon caleçon de bain.
Ma femme avançant aux côtés de sa fille, j’ai préféré attendre de me calmer avant de les rejoindre. C’est
donc cinq minutes après elles que je suis allé dans l’eau, sous prétexte d’un coup de fil à donner.
J’ai donc couru vers l’eau et ai fait quelques brasses histoire de me changer les idées, puis je suis venu
vers elles. Les deux beautés étaient en train de discuter travail et j’ai donc voulu alléger l’atmosphère en
leur proposant de nager un peu. Donc, on s’est mis à avancer un peu dans l’eau, côte à côte, parallèlement
à la plage. Ma femme était au plus près de la plage, puis Noëla était à ses côtés et moi, le plus au large. De
temps en temps, nos mains se touchaient et ni elle ni moi ne réagissions. J’ai voulu voir jusqu’où elle
pouvait rester indifférente et je me suis subrepticement rapproché d’elle et j’ai fait exprès, dans un
mouvement de brasse, de faire passer ma main gauche contre sa hanche. Noëla m’a regardé avec un
sourire et a continué d’avancer sans rien dire.
Il faut que je vous parle un peu de ma femme.
Charline a eu une enfance difficile. Elle n’avait pas été voulue par ses parents et ils se sont séparés très
vite. Puis, sa mère s’est remariée avec un autre homme qui lui a fait des enfants. Mais Charline servait de
bonne à tout faire pour cette famille alors à seize ans, quand elle a eu l’opportunité, elle s’est faite
émancipée et s’est mise avec un mec qui l’a mise enceinte avant de se tirer à son tour ! Elle a donc élevé
sa fille toute seule quelque temps, mais comme elle était perdue, elle a confié sa fille au père, qui vivait
toujours dans les parages. Si bien qu’elles ont été séparées pendant quelques années, jusqu’à ce que
j’arrive dans la vie de cette belle maman. On s’est mis ensembles et elle a repris sa fille, ou plutôt le père
a été bien content de s’en débarrasser ! J’ai donc vu grandir Noëla depuis ses dix ans. J’ai tout fait pour
lui donner une bonne éducation et surtout de bonnes valeurs, mais je crois que la vie auprès de son père
lui a laissé quelques traces. Si bien qu’elle s’est mise en tête de se mettre avec un petit con dès l’age de 18
ans et de faire un enfant à 19 ! Ça n’a tenu que deux ans et elle se retrouve maintenant mère célibataire
avec une petite fille sur les bras.
Bon, elle se débrouille bien quand même, car elle a trouvé un bon travail de secrétariat dans un hôpital, et
sa fille est inscrite dans une crèche afin d’être sociabilisée. Tout se passe pour le mieux. Elle habite un
appartement pas trop loin de chez nous, ce qui fait qu’on se voit assez fréquemment.
Nos relations sont très bonnes, sauf parfois, entre la mère et la fille, il y a des étincelles ! J’évite de me
mettre entre les deux et je fais le tampon, car je m’entends aussi bien avec la fille que j’aime la mère.
Nous voici donc sur la plage en train de faire quelques brasses, tout en discutant de choses et d’autres. De
temps en temps, ma main frôle le bras ou le corps de ma belle-fille, sans qu’elle ne dise rien. Mais je ne
m’enhardis pas et je reste juste à bonne distance pour entretenir le contact physique que je trouve très
excitant.
Au bout de quelques minutes, ma femme nous annonce qu’elle retourne sur le sable pour profiter du
soleil. Je regarde Noëla et je lui dis que je reste encore un peu. Elle hésite un court instant puis annonce
qu’elle va rester avec moi dans l’eau, car il fait trop chaud sur la plage.
On se remet à nager, tout en gardant le silence, puis au bout de quelques minutes, elle me dit :
-Sky, je peux te parler d’un truc ? (Skywalker est le surnom qu’elle me donne depuis longtemps
maintenant, parce que j’ai toujours été fan de Star Wars)

-Bien sûr, tu sais bien qu’on peut parler de tout, toi et moi.
-Tu l’as fait exprès de me toucher plusieurs fois tout à l’heure ?
-Excuse-moi, ça t’a choquée ? (je ne voulais dire ni oui, ni non, de peur de la choquer ou de passer à côté
de quelque chose)
-Ben en fait, ça m’a fait tout drôle ...
-Comment ça ?
-Euh, non, rien, excuse-moi. Bonn , je crois que j’ai assez nagé. Et elle repartit en direction de la plage.
Je continuais de nager un peu pour cacher mon désarroi. Je ne savais pas quoi penser de ce qui venait de
se dire entre elle et moi. Elle m’avait clairement dit qu’elle avait ressenti quelque chose, mais elle n’a pas
dit qu’elle avait été gênée. Qu’est-ce que cela pouvait augurer ?
Je préférais ne pas faire de plan sur la comète alors je retournais vers les femmes et nous avons fini notre
journée plage tranquillement avant de rentrer à la maison.
Comme à chaque soirée après la plage, Noëla vint à la maison, surtout qu’elle ne devait pas récupérer sa
fille avant le lendemain.
Après un petit dîner sympa, on s’installa dans le canapé tous les trois et j’eus le plaisir de me retrouver
entre mes deux princesses.
Très vite, ma femme s’endormit, comme à son habitude. Elle était posée contre moi, mais elle était mal
installée. Je la réveillais alors pour qu’elle se couche dans notre lit, ce qu’elle fit aussitôt, comme libérée
de ne pas devoir rester avec nous devant une série qui ne l’intéressait même pas.
Je m’écartais alors un peu de Noëla pour qu’on soit plus à laise.
-Je pus ? me demanda-t-elle en souriant.
-Mais non, c’était pour te laisser un peu de place, si tu veux t’allonger.
-Si je m’allonge, je vais m’endormir.
-Tu peux poser ta tête sur l’accoudoir et tes pieds sur me jambes, ou bien le contraire. Tu seras à l’aise
comme ça.
-C’est vrai ? tu veux bien ?
-Mais oui !
Noëla s’installa alors, la tête sur l’accoudoir et elle étendit ses jambes sur mes cuisses. J’aurais pu
m’écarter encore un peu afin qu’elle pose ses pieds sur mes cuisses, mais je préférais largement que ce
soit ses genoux, car c’était plus agréable pour moi. Mais je n’en dis rien et attendis qu’elle s’installe. Le
fait d’avoir les genoux en hauteur et la jupe qui, de ce fait, glissait un peu sur ses cuisses ne la dérangeait
pas apparemment. Elle réajusta juste un peu sa jupe, comme pour la remettre au niveau de ses genoux,
mais comme elle ne tint pas et recommença à descendre, elle laissa faire.
Comme elle était à ma gauche, je mis mon bras gauche sur le dossier du canapé et ma main droite vint se
poser sur sa cheville droite. Ce contact me fit un petit choc très agréable et je crus déceler un léger
frissonnement chez ma belle-fille.
Nous continuâmes de regarder la série sans rien dire pendant un petit moment, puis, mon bras gauche
commençant à s’engourdir, je décidais de le descendre et je posai ma main gauche sur la cuisse de Noëla,
juste au-dessus du genou, tout en regardant ma belle-fille. Au moment où ma main se posa sur sa cuisse,
elle ferma les yeux en soupirant.
Le contact de sa peau était un vrai bonheur. Elle était douce et ferme en même temps et l’interdit du geste
le rendait encore plus excitant.
Mon regard allait de la série, qui ne m’intéressait plus du tout et le visage de ma princesse, que je scrutais
en espérant y voir un signe, soit d’approbation, soit le contraire. Mais ses yeux étaient toujours clos. Elle
avait l’air apaisée, mais je n’aurais pas su dire si elle dormait ou si elle attendait simplement la suite.
Je fis glisser un peu ma main le long de sa cuisse, de quelques centimètres d’abord, vers le haut. En
faisant ça, je repoussai le tissu de sa jupe. Encore un léger frisson parcouru le corps de ma fille, mais elle
ne bougeait toujours pas. Alors je redescendis vers le genou, pour la tester, pour voir si elle bougerait afin
de me faire revenir. Je remarquai alors un très faible changement sur son visage, mais le froncement de
sourcil semblait regretter mon retour en arrière. Alors, ma main remonta encore un peu plus haut, jusqu’à
mi-cuisse.
Je vis alors ma fille écarter légèrement ses cuisses, sans pour autant ouvrir les yeux, mais ce geste poussa
ma main en avant, plus à l’intérieur de sa cuisse droite. Elle se trouvait maintenant à mi-cuisse, sur la face
intérieure de celle-ci. Je réalisai que ma main était à une dizaine de centimètres de son intimité et elle me
laissait faire.
Que devais-je penser de ce qui se passait ? J’avais très envie de toucher ma belle-fille à cet endroit
tellement intime, mais en même temps, c’était quelque part trahir l’amour que j’éprouvais pour ma

femme.
Je décidai alors de faire machine arrière et reposai pas main sur le genou de Noëla.
Aussitôt, elle ouvrit les yeux et me fixa du regard, l’air surprise.
-Je suis désolé, ma grande. Je ne sais pas ce qui m’a pris.
-Ne le sois pas. C’est un peu moi qui t’ai provoqué. Mais j’ai tellement envie de faire l’amour. Cela fait
trop longtemps qu’un homme ne m’a pas touchée et tu es d’une telle douceur. Vu comment tu es avec
maman dans la vie de tous les jours, j’imagine que tu dois être sacrément gentil tout le temps, même la
nuit. J’aimerais bien connaître ça.
-Tu vas bien finir par rencontrer un mec aussi bien que moi, t’inquiète pas !
-J’ai pas envie de connaître un autre mec. Ce sont tous des chiens qui ne pensent qu’à prendre leur propre
plaisir sans chercher à savoir si moi, je prends mon pied !
-C’est clair que je ne suis pas comme ça !
-Tu vois !
-Oui, mais tu es la fille de ma femme et je t’ai élevée comme ma propre fille ! Je t’aime comme ma fille et
je te considère comme ma fille ! Je ne pourrais pas faire quoi que ce soit avec toi !
-Pourquoi, je ne suis pas assez bien pour toi ?
-Tu es parfaite, bien sûr ! Mais c’est pas ça ! Tu sais ce que je veux dire.
-Mais tu n’es pas mon père ! On n’a pas le même sang ! Et je ne te demande pas de me faire un enfant !!
Je veux juste être aimée physiquement ! Je veux qu’on me fasse jouir intensément !
-Je comprends bien, Chérie, mais je ne peux pas faire ça à ta mère !
-Elle n’en saura rien ! On peut garder ça pour nous et faire ne sorte que personne ne nous voit faire !
-Ah oui ? Et comment tu comptes y arriver ? Tu sais que tout le monde se connaît ici ! J’ai pas envie
qu’une mauvaise langue vienne raconter ça à ta mère, ça la rendrait furieuse et ça en serait fini de notre
couple ! Et j’aime ta mère plus que tout !
-Je ne te demande pas de la quitter et de faire des choses qui risquent de compromettre ton couple, juste
de me faire jouir ! Je serai prudente, c’est promis !
-Dis-moi comment tu comptes faire pour que ça ne se sache pas ?
-Viens chez moi !
-Enfin, Noë, tu déconnes ! Allez, je vais me coucher !
Aussitôt, je me levai pour rejoindre ma chambre. Noëla se relava aussi et vint me prendre dans ses bras.
Elle se serra fort contre moi et je lui rendis son câlin. Ce faisant, elle prit ma main droite qui était dans son
dos et me la posa sur son sein gauche.
-Je veux que tu saches que je te veux. J’ai envie de toi depuis longtemps, mais je ne pouvais rien dire ou
faire. C’est aujourd’hui que j’ai compris que je ne te laissais pas indifférente, quand on était dans l’eau et
que tu faisais exprès de me toucher. Ça m’a rendue dingue !
Je ne fis rien pour me dégager de son étreinte. Au contraire même, je fis remonter ma cuisse contre son
entre-jambe et je sentis une grosse chaleur émaner de son sexe. Noëla avait clairement très envie de moi
et elle mouillait intensément. Aussitôt, mon sexe se manifesta et commença à grossir dans mon caleçon.
Ma belle-fille devait le sentir contre son ventre et elle se frottait doucement contre mon membre qui
grossissait à chacune de ses ondulations.
-Sky, tu me rends folle !
-Noë, on ne peut pas faire ça !
J’avais tellement envie de la déshabiller et de la posséder à cet instant que je ne sais pas comment j’ai
réussi à me dégager et à foncer dans la salle de bain.