Nouvel an 2024 partie 1

Pour Marie et Claude, le mois de décembre a été complètement vierge coté sexe.
Claude a toujours beaucoup de travail en fin d’année, Marie a beaucoup de réunion et de travail également.
Puis , pour les vacances scolaires, les enfants sont venus à la maison, il y a eu Noël avec les invités, …
Bref, aucune ouverture.
Mais le 31, les enfants sont chacun allés de leur côté pour fêter le nouvel an.
Marie et Claude sont donc seuls.

Alors que Claude sort le pain surprise, le champagne et prépare quelques toasts de foie gras, Marie part s’habiller pour le tête à tête.
Quand elle remonte dans le salon, Claude ne peut s’empêcher d’admirer sa femme :
Elle a mis une robe d’été, dos nue, achetée sur un coup de cœur mais jamais encore portée.
Claude admire sa féminité : on peut facilement deviner les gros seins de Marie bouger en toute liberté sous le léger tissus, et les épais mamelons pointer, signe d’une excitation déjà présente
Lorsqu’elle se tourne, il admire la chute de rein jusqu’au bas du dos, ou le tissus reprend ses droits pour cacher le fessier rond et galbé que Claude espère bien honorer ce soir.
En tout cas, l’effet se fait sentir immédiatement.
Mais Marie ne s’arrête pas là.
Elle pose un pied sur le canapé, et relevant sa robe longue, montre son sexe : « j’ai tout rasé, comme tu l’aimes », puis, se tournant, elle relève à nouveau sa robe et, écartant ses fesses de ses 2 mains, lui montre un gros plug violet bien planté dans ses fesses.

Elle s’approche alors de Claude pour lui masser le sexe bien tendu dans son caleçon, avant de lui dire « va falloir rester sage, d’abord le diner » et elle ramène les plats dans le salon.
Claude l’accompagne avec 2 verres et le champagne, il sait qu’elle adore ça. Il a d’ailleurs misé là-dessus : Marie devient toujours pivoine au 2e verre, et a rapidement très chaud. Les 23° de la pièce et le champagne devraient faire rapidement de l’effet se dit Claude.
Mais Marie le surprend : alors qu’il lui donne son verre, elle écarte un pan de sa robe pour libérer un sein, et fait couler un peu de champagne dessus.
Claude regarde les gouttes couler depuis le haut de la poitrine vers la pointe du téton.
La surprise le fige. Marie bombe le torse pour mettre en valeur ses seins charnus, et l’interpelle : dépêche-toi, sinon ça va couler sur ma robe.
Claude s’exécute, trop content. Il gobe aussitôt le sein, en aspirant le plus gros volume possible dans sa bouche, puis commence à aspirer, sucer, mordiller la pointe qui ne tarde pas à grossir et durcir.
pendant que Claude se délecte, Marie libère l’autre sein, et verse à nouveau quelques gouttes de champagne. « pas de jaloux » dit-elle en donnant le second sein à sucer.
Tout en s’occupant du second sein, Claude prend en main le premier et ne tarde pas à pincer doucement entre ses doigts le téton. Maris apprécie, elle se laisse aller dans un soupir de satisfaction.
Cela fait maintenant trois minutes que Claude suce comme un affamé les seins de Marie. Il passe maintenant avec sa bouche de l’un à l’autre, une main tenant fermement chacun des seins.
Il sent Marie se tendre. Elle a passé une main sous sa robe, et se caresse le sexe avec empressement. Elle pousse un long cri : son premier orgasme.

Marie repousse le alors, se réajuste et reprend sa place sur le canapé comme si de rien n’était.
Claude, la verge tendue à l’extrême, prêt à l’assaut quelques instants plus tôt, joue le jeu.
« santé » fait alors Marie, en tendant son verre encore à moitié rempli à Claude.
Et elle se sert un premier toast de foie gras.
Claude en fait de même, intrigué par la prise de contrôle de la situation par Marie. A quoi joue t elle ?

Après un second verre, et un second toast, Marie relève une jambe sur le canapé, et remonte sa jupe jusqu’à la taille.
Le rouge lui est bien monté au visage, et elle a chaud, comme prévu, mais elle continue de maitriser la situation.
Alors qu’elle écarte lentement sa jambe relevé, Claude aperçoit le sexe entièrement épilé de Marie.
Il le regarde avec attention : les grandes lèvres sont déjà gonflées et ouvertes sur de petites lèvres laissant apercevoir le passage précédemment bien ouvert par les doigts de Marie.
Mais ce que Claude remarque le plus, c’est le clitoris, tout rouge, décalotté, tendu. Claude se dit qu’il ressemble à un petit piment rouge.
Alors qu’il commence à tendre sa main vers le fruit déjà bien mur, Marie lui tape sur la main.
« pas touche » lui dit-elle, puis, sans lui laisser le temps de réagir, elle attrape un peu de foie gras et se tartine la région du clitoris avec.
« j’espère que tu as encore faim » dit-elle en écartant un peu plus les jambes.
Claude se précipite à genou devant elle, et commence immédiatement à lécher le foie gras. Il veut avancer la main mais elle lui donne à nouveau une tape sur celle-ci.
Il a compris : uniquement la langue.
Avec application, Claude lèche alors le sexe glabre de Marie.il passe sa langue du mieux qu’il peut entre les grandes et les petites lèvres, descend et remonte le long de celle-ci, pour finir chaque fois sur le clitoris dont il sent la chaleur sur sa langue.
Puis il continue entre les petites lèvres, poussant à chaque fois sa langue dans le sexe de Marie.
Il remonte à chaque fois vers le ‘pas si petit’ bouton pour le sucer et le mordiller légèrement. A chaque fois, Marie émet un soupir, ou plutôt un râle de satisfaction.
Une idée lui vient alors.
Claude se tourne rapidement vers la table, pour boire une gorgée de champagne.
Puis il se reprend sa place devant le sexe de Marie.
Elle sursaute : Claude n’a pas avalé le champagne. Il a collé sa bouche sur le clitoris, et laisse le champagne entrer en contact avec celui-ci.
Il joue alors avec sa langue, faisant pétiller le champagne tout autour du clitoris.
Marie réagit presque immédiatement : c’est intense pour elle, elle commence à se tortiller et à respirer fortement.
Claude avance ses mains et attrape Marie au bas de ses fesses, pour l’empêcher de se dégager. Sa bouche grande ouverte est une ventouse, et sa langue malmène le clitoris, dans les bulles de champagne.
Marie explose.
D’abord un cri, puissant ;
Elle serre les jambes, faisant presque mal à Claude
Elle tente de le repousser mais il ne lâche rien, ses 2 bras serré autours d’elle.
Puis Claude sent qu’elle ne peut plus résister. Résister à elle-même. Il ralentit aussitôt la cadence, faisant lentement mais fortement passer sa langue sur le clitoris, devenu aussi dur qu’un sexe dressé
Rien ne peut plus empêcher l’orgasme de Marie. Elle gémit comme si elle avait mal, Claude sent les muscles du vagin se contracter en cadence.
Un nouveau cri : Marie jouie. Claude ne bouge plus du tout, attentif aux muscles qui se contractent et se décontractent au rythme des cris. Il passe alors la langue entre les petites lèvres pour remonter vers le clitoris.
Mais avant d’y arriver, au moment où il passe devant le méat de Marie, elle pousse un nouveau cri. Claude s’attarde sur l’endroit. Marie se relâche à nouveau. Elle éjacule dans la bouche de Claude.
Jamais cela n’était arrivé. Claude n’en revient pas. Il avale aussi vite que possible pendant que Marie se laisse aller à une jouissance qu’elle n’a jamais connue.
Le calme revient. Marie relâche l’étreinte de ses jambes, Claude se dégage. Il a le sourire triomphant du vainqueur. « Veni, Vedi, Vici » lui dit-il, alors qu’elle est rouge de honte (mais aussi de plaisir).
Elle ne dit rien, et se recale sur le canapé. Un objet tombe alors au sol.
Claude, encore à genou, le ramasse aussitôt.
Il s’agit du plug anal que Marie avait mis en prévision de la soirée, et qu’elle a expulsé dans sa jouissance.
Claude l’exhibe devant les yeux de Marie.
Elle en profite pour reprendre le contrôle de la situation.
Lui prenant des mains, elle se tourne, relève sa robe, et lentement, à hauteur des yeux de Claude, elle le pousse lentement dans son anus serré.
Claude ne perd rien du spectacle : il voit le diamètre de la divine rondelle grandir au fur et à mesure, jusqu’aux 4 cms de diamètre du plug. Il le sait, c’est lui qui l’avait choisi quelques mois auparavent.
Puis l’anus se referme sur le plug, ne laissant que l’extrémité en forme de rose dépasser.
Marie se retourne à nouveau. Au moment où Claude se lève, elle caresse la verge à travers son pantalon. Claude ne bouge plus, concentré pour ne pas exploser de cette simple caresse. Les mains de Marie déboutonne le pantalon, pour le laisser tomber au sol.
Jamais Claude n’a été aussi dur et tendu. Marie saisie la queue, finit de décalotter le gland, et lui caresse d’un doigt le méat. Elle étale le liquide pré-séminal sur le gland, avant de saisir d’une main ferme la verge, le faisant avancer vers le canapé.
Approchant son visage, elle gobe alors le gland de Claude, le titillant avec la langue, avant de le faire aller et venir dans sa bouche.
Claude est tellement excité qu’il ne tient pas plus longtemps. Il émet un grognement alors qu’elle est à nouveau en train de lui titiller le gland avec sa langue. Elle entoure alors la verge pour la faire à nouveau aller et venir. Claude éjacule en poussant un cri rauque. Marie continue le va et vient alors que Claude lâche 5 longues éjaculations dans la bouche de Marie. C’est la première fois en 30 ans qu’elle lui permet de finir dans sa bouche. Et en plus, se dit-il, elle avale tout avec empressement.
Mais, alors que Claude pensait reculer, Marie lui attrape les fesses et continue de le sucer. Claude n’en peut plus : la base du gland est hypersensible, il a presque mal tandis que Marie continue les va et vient et les coups de langue sur le gland.
L’effet est dingue : Claude a l’impression de que son sexe est plus gros que d’habitude, et en plus, il reste tendu et dur alors que d’habitude il passe au repos, surtout après une telle éjaculation.
Marie relâche enfin son étreinte. Dans un geste de provocation, elle passe sa langue sur ses lèvres.
Puis elle se tourne, soulève à nouveau sa robe, et lui dit simplement : « viens, j’ai besoin d’être remplie ».

Claude n’hésite pas. Il présente son membre dressé devant le sexe de Marie. Il n’a pas que le temps de faire entrer son gland que Marie recule et s’emmanche jusqu’à la garde sur le sexe. Il a l’impression de cogner contre le fond, alors que Marie commence d’elle-même les va et vient, avec une rage qu’il ne lui connait pas. Elle cogne à chaque fois ses fesses contre son bas ventre, et émet un feulement à chaque fois.
Claude se reprend ; il saisit les fesses de Marie, et participe au mouvement en la tirant à chaque fois vers lui.
Changeant légèrement la position de ses mains, il en profite pour écarter les fesses. Non seulement il a l’impression d’aller encore plus profondément cogner au fond du vagin, mais surtout il a maintenant une vue des plus excitante : fiché au dessus de son sexe qu’il voit aller et venir se trouve le plug anal, bien planté dans les fesses de Marie. Celui-ci entre et sort sur quelques centimètres à chaque mouvement.
D’un geste, il pose le pouce sur le plug, empêchant son mouvement. Il sent aussitôt le sexe de Marie se resserrer autours de son membre, et ses mouvements du bassins accélèrent encore.
Marie commence à nouveau à gémir.
Il attrape alors le plug avec 2 doigts, et le tire à moitié vers l’extérieur. L’anus de Marie est alors dilaté au maximum.
Marie ne tarde pas : son orgasme est à nouveau très fort, long et sonore. Claude sent les spasmes du vagin resserrer son sexe, et il a beaucoup de mal à conserver le plug dans sa position.
Marie s’arrête de bouger, elle n’en peut plus. Claude continue, il explose quelques instants après. Concentré sur sa jouissance, il relache le plug qui retourne dans le fondement de Marie, alors qu’il éjacule, planté le plus loin possible au fond du sexe de Marie.
Cette fois, ils ont tous les 2 besoin de repos. Marie réajuste sa robe pendant que Claude remet son pantalon.
Ils regardent en même temps l’horloge ; 22 heures.
La nuit n’est pas finie.