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Nuit d'orage, nuit de folie

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 07/11/2022

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Hilda, son mari Ronald et leur fille Manon ont loués un chalet en montagne. Les randonnées sont quotidiennes, les trois passent des jours merveilleux. Il est tard, après avoir papoté devant le feu de bois, ils montent se coucher. Une fois allongés, un terrible orage éclate. Les fenêtres tremblent, le tonnerre gronde. Manon, terrorisée, se réfugie dans la chambre de ses parents et se glisse entre eux. Elle se blottit contre sa maman, son corps tremble affreusement. À chaque coup de tonnerre, elle sursaute, le papa sent le corps de sa fille frémir de peur. Il se plaque contre elle et pose sa main sur sa hanche et lui murmure quelques mots pour la rassurer. Il sent contre son bas ventre, la douce chaleur du corps fébrile de sa fille, qui tremble comme une feuille au vent d'automne.


Il lui caresse le haut de la cuisse toute en la rassurant. Les minutes passent, les coups de tonnerre diminuent. Manon s'apaise, la douce caresse sur sa hanche la fait ronronner. La main s'enhardie et très lentement glisse sous la fine nuisette, elle monte le long de la cuisse avec une douceur extrême. Ronald ondule du bassin, une érection naissante se fait sentir contre les fesses de Manon. Gênée, elle se raidit puis se met sur le dos. Son papa a juste le temps de retirer sa main, elle tourne la tête vers lui. Les souffles chauds se mêlent Le papa lui donne avec tendresse un petit baiser sur le front. Il pose sa main sur la cuisse de Manon, qui soupire, la main moite monte progressivement sur la cuisse, arrive à l'aine, et se pose sur la taille. Il la caresse en faisant de petits cercles de la main.
L'intruse descend avec douceur sur le ventre plat de Manon, qui n'est protégée que par sa petite culotte taille base. Un doigt tourne sur le nombril, Manon ne sait que faire, elle déglutit bruyamment, mais reste immobile. La main progresse vers s'en entrejambe, passe plusieurs fois sur sa fente aux fines lèvres. Lentement sa culotte s'humidifie. Une chaleur envahit son corps, elle se met à frissonner.

La maman sent sa fille frémir, elle se place latéralement, bien contre elle, et machinalement, pose sa main sur sa cuisse qu'elle presse plusieurs fois. L'excitation monte doucement dans le corps de Manon, un doigt de son papa, appuie sur sa fente et s'insère entre ses grandes lèvres, en entrainant avec lui le fin tissu de la culotte. Le doigt voyage avec douceur dans le petit sillon. La culotte s'humidifie de plus en plus. Manon, prise de petits frémissements, écarte légèrement les jambes. La main de la maman qui est posée sur la cuisse de Manon, commence à bouger, elle monte et descend tendrement, soudain, elle entre en contact avec la main de son mari. Hilda sursaute, elle repousse les draps et allume la lumière. Elle pousse un cri de surprise :

-Mon Dieu Romuald, qu'est-ce que tu fais ?

Sans se démonter, le bougre répond ironiquement :


-Je rassure notre fille, tu le vois bien !

Hilda sursaute :

-Quoi en lui caressant l'entrejambe, tu me prends pour une idiote ?

Il réplique :

-Non, mais regarde ma chérie, elle n'a plus peur, au contraire, je crois qu'elle aime ça !

Manon reste muette, sa maman regarde la culotte trempée en opinant de la tête négativement. Elle demande un peu déstabilisée :

-Ma chérie, c'est vrai ce que dit ton papa, que tu aimes ses caresses !


Manon pour toute réponse pousse un gros soupir. Le papa appuie plus fort, son doigt pénètre avec la culotte de deux centimètres dans le temple de sa fille. Manon se cabre en fermant les yeux, un petit gémissement sort de sa bouche. La maman s'agenouille, regarde le corps de sa fille frissonner sous le doigt fureteur du papa. Les petites agitations de son bassin émoustillent la maman sans comprendre pourquoi, tire doucement sur la culotte. Petit à petit, le fin tissu découvre la chatte trempée de Manon, qui se tortille comme un ver pour faciliter la descente de la culotte. Libérée de sa culotte, Manon ouvre les cuisses et regarde ses parents d'une telle manière, qu'ils se regardent un petit moment, avant d'entreprendre une petite sonate à quatre mains. Les mains habiles parcours le corps fiévreux de Manon.

Les longs doigts de sa maman s'emparent de ses mamelons, les agacent fortement pour les faire doubler de volume. Le papa, lui, titille du bout du doigt la perle du bonheur. Les gémissements de Manon prennent de la tonalité. La bouche de sa maman se pose sur ses tétons et les suce à tour de rôle, pendant qu'elle tète, elle pétrit les petits seins fermes, avec une petite dose de brutalité. Le papa regarde avec attention le clitoris qu'il triture, devenir gros comme une belle noisette. Le bougre ne peut s'empêcher de l'aspirer et de le sucer voracement. Manon geint comme une bête, elle agite son bassin, en donnant des coups de reins brusques. Ce que lui font subir ses parents et monstrueux, elle se cambre comme un pont, et jouit en se mordant la main pour étouffer son cri de jouissance. La maman a les yeux qui brillent, elle dit tendrement :


-Oui, ma chérie jouit, jouit, prends ton plaisir, maman va s'occuper de ton petit corps adorable !

Ronald s'écarte et cède la place à sa femme. Elle pose sa bouche sur la vulve dégoulinante, aspire le jus qui s'y échappe, puis enfonce sa langue au fond du puits d'amour, et le fouille à en faire délirer Manon. Le papa roule entre ses doigts les tétons qui sont devenus larges et épais, il les étire, les écrase, il veut entendre sa fille gémir de plaisir. La langue agile agace le clito un instant, avant de se diriger vers l'anus et tourner dessus. Cette nouvelle pratique, inconnue de Manon, la fait vibrer. La langue rapeuse de sa maman, appuie avec insistance sur le petit anneau ridé et fini par le forcer. Le grognement que pousse Manon est indescriptible, son corps se cabre et s'agite fortement. La langue qui lui fouille l'anneau, la rend folle à un point, qu'elle re-jouit en couinant comme une bête en rut. Le papa, pour la faire jouir plus fort, lui écrase les mamelons, l'effet est immédiat, Manon pousse un long râle et expulse sa cyprine avec force.


La maman se retire, elle est surexcitée, elle pose sa bouche sur le volcan en éruption et avale les nombreux jets de magma. Romuald ne tient plus en place, il extirpe de son pyjama sa queue tendue, la branle en regardant sa femme se gaver du jus divin, que sa fille lui offre généreusement. Enfin, Manon retombe sur le lit, elle halète fortement, son front est en sueur. Son corps moite attise la convoitise de son papa, il incite sa femme à lui céder la place. Il prend place entre les cuisses de sa fille, et frotte sa queue contre la fente qui ne cesse de suinter. Il pousse doucement, Manon grimace, la verge de son papa s'engage dans son vagin étroit. Il faut dire que le bougre est bien monté. Il s'accroche aux hanches et pousse encore plus fort. Manon pousse un rugissement rauque, lorsque les couilles de son papa frappent sa chatte. Distendue comme elle ne l'a jamais été, Manon s'accroche à son pourfendeur, en serrant les dents. Sa maman glisse sa main entre les deux ventres et avec deux doigts, branle le clito qui est anormalement gros. Les gémissements de Manon encouragent son papa, qui se met à la démonter comme un soudard.


La queue coulisse dans la gaine dilatée, en prenant de la vitesse. Le va-et-vient est terrible. Les coups de reins sont violents. À chaque enfoncement de la verge dans son ventre, Manon pousse un grognement féroce. Elle agite sa croupe comme une danseuse orientale, en couinant de plaisir. Soudain, elle se cabre en poussant un hurlement, la maman qui connait la musique, lui écrase le clito. La jouissance de Manon est phénoménale, sa respiration et rapide, son court souffle. Les coups de bélier que lui inflige son papa sont d'une violence extraordinaire. Le bougre grogne comme un fauve, se bloque et remplit de sa semence le ventre brulant de sa fille, qui sous la douce chaleur du sperme jouit une nouvelle fois. Avant de se retirer, Ronald donne encore quelques coups de boutoir. Sa femme saisit la verge gluante, la décalotte et la gobe et la suce voracement.

Excitée, par cet ébat immoral, elle s'acharne sur la queue qui ne baisse pas encore la tête. Elle malaxe les couilles en suçant le gland large et épais. La fellation est merveilleuse, Ronald grogne de plaisir, il se bloque et envoie au fond de la gorge de sa femme sa semence visqueuse. Avare, la coquine avale jusqu'à la dernière goutte de sperme, elle presse la queue pour en extraire tout le nectar qu'elle contient. Manon regarde ses parents, elle tend la main vers le membre raide, sa maman lui dit :

-Vas-y ma chérie, suce, fait gicler ton papa et surtout, avale sa semence, tu verras comme elle est succulente, tu vas te regarder !

Manon suce, et tète la verge un long moment, la semence tarde à gicler, les encouragements de sa maman l'incitent à plus d'ardeur. Manon met du cœur à l'ouvrage, elle veut absolument goutter au sperme de son papa que sa maman dit si bon. Enfin, le papa se cabre et, en grognant, envoie dans la bouche de la suceuse, le restant de sperme que ses couilles possèdent encore. Manon est surprise par la puissance de la giclée, elle avale tout le sperme paternel, elle regarde sa maman et lui dit :

-Oh maman, tu as raison, c'est un vrai nectar le jus de papa hum !

Hilda sourit et répond :

-Nous en profiterons encore, lorsque papa aura repris des forces, nous gouterons aussi de sa queue dans nos rectums !


Manon répond en fronçant les sourcils :

-Oh maman, je n'ai jamais étais enculée, cela doit être douloureux !


Sa maman sourit et réplique :

-Au début oui, mais après ce n'est que du bonheur ma chérie !

































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Histoire de lounabelle

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