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Odile

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Lue : 8191 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 19/01/2011

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Je commence à être inquiet. Voilà maintenant une semaine et rien. Pas un coup de fil... pas un message... pas une lettre rien !
Ses photos, je lui ai transmises par mail comme prévu. Pas un remerciement. Pas même juste une remarque. Mais qu'est ce qu'elle fait ? Si c'est me rendre dingue : c'est réussi. Et je reste là devant ce téléphone. Odile, rappelle-moi ! Tu me l’as promis.
Comme mon supplice n'est pas assez fort, Je regarde encore ces photos. Elles me font penser à elle Je les trouve vraiment très réussies. Ce n'est pas tant mon travail de photographe amateur qui me satisfasse mais plutôt la qualité du modèle sur ses photos elle est vraiment très belle... et ce fichu téléphone qui ne sonne pas!

Je sais, j'appelle Stéphanie, elle pourra m'aider elle, où au pire me donnera des nouvelles. Stéphanie est une amie de fac. Nous nous sommes rencontrés dans l'amphi de droit en première année au milieu de 600 autres étudiants. Nous étions aussi perdus l'un que l'autre alors nous nous sommes parlés et avons fraternisé. Depuis, d'autres camarades nous ont rejoints et nous faisons les 400 coups ensemble. Elle est au courant de ce qui fait ma vie, mes espoirs, mes déceptions et je suis au courant des siens. C'est une vraie amitié qu'aucun de nous n'a jamais tenté de saboter par une relation disons...plus poussée. Par ailleurs, elle sort avec Jérôme qui lui aussi fait parti de ce cercle d'amis proches.
Stéphanie et moi partageons en plus la certitude de l'échec de nos études. Nous avons fait droit sans convictions et nous nous sommes plantés sans regret. Nous avons passés la vingtaine et sommes toujours à la recherche de notre voie. Notre vie étudiante est faite d'espérances à chaque rentrée et de déceptions dès les premiers partiels passés. Stéphanie arrondit ses fins de mois en passant ses week-ends dans un call-center spécialisé dans les assurances. Depuis longtemps, sa mère insiste pour qu'elle vienne travailler avec elle et je pense que Stéphanie n'est plus très loin de dire oui.
Quant à moi, la photo est ma passion. J'ai découvert cela à 6 ans pendant les vacances et depuis je n'est plus lâché. Je n'ai cessé de progresser et de d'acquérir du matériel plus performant. Mes photos de vacances sont peu à peu devenues clichés artistiques. J'ai même monté une expo une fois et été publié dans un magazine spécialisé. Mais je ne reste qu'un amateur. Je me fais pas mal d'argent en fait en photographiant des mariages, baptêmes, communions ou autres cérémonies diverses. Je fais cela en free-lance, sans arrières pensées et cela semble plaire. Il m'est arrivé plusieurs fois de voir mes photos dans la presse ou dans des bulletins professionnels. Sous un autre copyright bien entendu. Je ne m'en offusque pas, je suis encore jeune et convaincu que mon heure viendra.

Bref, pour revenir à Stéphanie, c'est elle qui me demanda de prendre des photos pour la brochure commerciale de sa mère. Celle-ci en avait besoin pour renouveler sa présentation.
Sauf qu’Odile, sa mère, était démonstratrice en lingerie féminine. Elle avait tenue une boutique pendant quelques années puis, lassée par ce train-train, s'était lancé dans la vente par correspondance où dans des réunions organisées par ses clientes. Et oui ! On vend des culottes et des soutifs comme des boîtes plastiques. Cette idée me plaisant assez. En effet, comment ne pas mieux joindre l'utile à l'agréable ? Je me voyais déjà entouré de modèles canons très légèrement vêtus, ne posant rein que pour moi.

Odile me convoqua chez elle à son domicile. Un petit pavillon des années 70 sans charme. Elle me reçu avec un grand sourire. Pas très grande, blonde aux cheveux mi longs peroxydés. Le poids des ans se lisait sur son visage et sur ses mains. Toutefois, se dégageait d'elle un certain magnétisme. Elle était habillée en tailleur très classe mais suffisamment ample pour atténuer ses légères rondeurs, pantalon et talons hauts. Un maquillage ajusté comme il faut. En fait, Odile est une femme superbe qui sait s'entretenir. Elle ne cherche pas à cacher son âge par des artifices. Cela la rend très séduisante. Sur ce point, elle pourrait donner des leçons à sa fille. Je suis convaincu que Stéphanie serait vraiment canon sans son coté débraillée.
La séance se passa dans le garage. Elle y avait aménagé son bureau avec ordinateur, téléphone, fax...et derrière, une salle qu'elle appelait son show room. En fait un espace peint tout en blanc avec un divan, deux chaises et un paravent. La lumière n'y est pas terrible mais bon.J'y installai mon matériel, et procéda aux réglages. Je fus quand même surpris d'être seul. Je savais déjà qu’Odile était divorcée et que Stéphanie ne vivait pas avec elle. Mais où étaient les mannequins canons ?
— Qui dois-je photographier ? Demandais alors.
— Juste moi ! me répondis t-elle fièrement. Je vais me changer derrière ce paravent juste là pour gagner du temps et tu prendras des photos de chacune des parures. C'est une nouvelle collection pour l'année prochaine, je veux que ce soit réussi me dit-elle sur un ton impératif. Dès que tu es prêt on y va. Ça alors ! Je ne m'attendais pas à cela.
Elle s'abrita alors derrière le paravent. Je l'entendis bouger. Sans aucun doute à l'étroit, chacun de ses gestes frôlait la structure et la faisait chanceler.
— Est ce que je peux venir ? Demanda t-elle.
– Oui je suis prêt.
Elle apparue alors dans une tenue diablement sexy. Une guêpière rouge vif, string et collants. J'étais déjà conquis mais je n'en fis rien paraître. Elle se plaça devant moi puis prit la pose comme si de rien n'était. De mon coté, je pris quelques clichés l'air le plus sérieux du monde.
Son deuxième passage ce fit en soutien gorge porte jarretelles noirs. Ça devenait de plus en plus chaud. Puis la même tenue mais en deux couleurs et enfin la nuisette assortie. A chaque changement le paravent devenait de plus en plus instable.
Elle prenait la bonne pose tout de suite, toujours très pro. Elle n'en était sans doute pas à son premier shooting. Je n'eus rien besoin de dire, je lâchai juste un « très joli »,
— Ravi que cela te plaise ! me répondis t-elle en souriant.
C'était la première qu'elle sortait de son coté boulot boulot.

Après une bonne demi-heure elle sollicita une pause. J'acceptais avec joie. Voir cette femme défiler devant moi en petite tenue m'excitait sérieusement et ma concentration s'en ressentait. Peut être l'avait-elle d'ailleurs remarqué. Elle ne se rhabilla pas pour mettre en marche la cafetière sur le bureau d'à coté. Penchée sur la machine, vêtue d'une culotte en dentelle blanche quasi transparente, elle offrit à mes yeux son postérieur bien charnu.
Ça y est ! Ce que je craignais arriva. Popaul se réveilla. Je ne savais plus ou me mettre. Elle s'approcha de moi pour me servir la tasse de café et son regard se posa sur la bosse de mon pantalon. Elle sourit alors.
— On dirait que cette collection te plait vraiment beaucoup.
Je suis devenu rouge, j'étais très gêné.
— Mais le plus beau reste à venir.
Nous reprîmes les photos mais ça devenait de plus en plus dur au propre comme au figuré.

Vint alors la série des soutiens-gorge push up. Elle en passa une bonne dizaine juste devant moi pour que je les prenne en plan rapproché. Elle ne prit même pas soin d'aller dernière le paravent. Elle en retira un puis en passa un autre. Sa poitrine, sans être exceptionnelle, était plutôt bien faite pour une femme de son âge. Ses seins nus tombaient légèrement mais se tenaient bien. Deux mamelons saillants. Mais là ou le paysage devenait magnifique c'est avec ces soutien-gorge gadget. Ça lui remontait la poitrine et la propulsait vers l'avant. Ses seins paraissaient se rapprocher.
— Tu n’es pas trop prude j'espère ! C'est pour aller plus vite. Et puis je fais du monokini sur la plage tous les étés alors...
Je pense qu’à ce moment elle se rendit réellement compte de mon embarras. Bien que je tente, sans succès, que rien n'y paraisse, j'étais au bord de l'explosion. Elle décida d’en jouer.

— Passons à la dernière série. Dit-elle en se levant.
Elle se changea derrière le paravent pendant que je tournai le dos pour essayer de me calmer.
Soudain, agacée par le paravent qui lui contraignait trop les mouvements, elle le retira complètement.
— J'en ai assez de ce truc, ça me gêne de trop !
Elle le replia et le pose sur le mur. Elle se déshabillait maintenant devant moi en ne cachant plus rien de son anatomie. J'attrapais mon appareil et me mit naturellement à la photographier.
Ce n'était pas les mannequins que j'avais imaginé. C'était encore mieux ! Odile ne devait pas être loin de la cinquantaine mais son charme était réel et son pouvoir de séduction encore très efficace.
La chaleur montait dans mon bas ventre. Mais j'ai cessé de lutter et choisi de me détendre un peu. Ainsi, je photographiai Odile entre deux habillages, alors qu'elle était quasiment nue. Loin de s'en froisser, elle s'en amusa.
— Tu vas faire un album complet de moi mon petit chéri ?
Je dois avouer que ces clichés sont parmi les meilleurs que j'ai pris et de loin les plus agréables.

N'y tenant plus, j'ai posé mon appareil (photo bien sur) et me suis approché d'elle au moment ou elle rajusta son bas droit assise sur une chaise. Faisant mine de vouloir l'aider, je passai derrière elle et effleura ses épaules. Toujours sans réaction je posai mes mains sur elle et poursuivi mes caresses descendant lentement jusqu'à lui malaxer les seins. Je m'accroupis alors et l'embrassa dans le cou.
Elle me laissa faire sans rien dire. Puis elle se leva, se retourna et m'embrassa. C'est elle qui introduisit sa langue dans ma bouche son corps planqué contre le mien. Peu à peu nous nous sommes abandonnés. De ses mains douces, elle me caressa le torse. Me libérant de ma timidité, je la caressai à mon tour. Elle retira mes vêtements et se coucha par terre. Je l'ai prise là, directement sur le sol. J'étais au bord de l'éjaculation mais me fit violence pour me retenir. Avec une patience dont je ne me croyais pas capable. Je l'ai embrassé dans le cou, sur les épaules jusqu'à descendre sur ses seins. Je sentais ma queue dure frotter son corps. Mais très lentement, sans m'affoler, je lui léchais les tétons. Il suffit qu'elle lâche un humm... manifestant son plaisir pour que je prenne encore plus d'assurance.
Mes mains ont pris le relais de ma bouche. Tout en lui malaxant les nichons, ma langue explora son ventre. Je passai rapidement sur le porte-jarretelle qu’elle portait encore et qui lui maintenait les bas. Totalement allongée sur le sol, elle écarta les jambes afin que je place en face d'elle. Cette position bien plus confortable me permit de descendre encore plus bas. Ma queue ne la touchait plus maintenant mais elle restait bien dure. A mon âge, le coït est rapide et bestial : on va droit au but et on envoie la sauce. Mais là, je prenais bien mon temps m'infligeant une sorte de torture délicieuse. Je continuais à embrasser son corps centimètre par centimètre. Je compris que cela lui plaisait aux petits couinements qu'elle produisait.

Plus bas encore ! Ma langue arriva au seuil de la caverne des merveilles. Une légère toison en marquait l'entrée. Le lieu humide et bien ouvert, J'abandonnais alors sa poitrine et utilisa mes doigts pour explorer cet orifice. Odile se tordait en spasmes. Les couinements se transformèrent en cris. Ses deux mains maintenaient fermement ma tête. J’introduisis l'index, le majeur puis les retira. Plusieurs fois en alternance avec ma langue. C'était torride et absolument inoubliable.

Mon pénis, toujours en érection frottait sur le sol et je sentais que j'étais à deux doigts d'ouvrir les vannes. Je n'est pas tenu, c'était trop demander. C’est alors que d'un coup, je me suis relevé, attrapé mon dard bien dressé et l'ai enfoncé sans aucune difficulté dans sa chatte humide. Il n'a fallu que quelques secondes seulement avant que je n'explose en elle.

Je l'ai sentie déçue. J'avais bien compris que ma séance de cunnilingus lui avait procuré un plaisir intense. La fin a été trop brutale à son goût. Elle se releva en soupirant. Puis, l’embrassa fougueusement.
— Tu es encore jeune. Il te reste des choses à apprendre.
— Me les enseigneras-tu ? suppliai-je.
— Peut-être ! Rhabilles toi, il faut que je range tout delà pour la réunion de ce soir.
Odile avait reprit ses esprits et était redevenue une cliente.
Elle me paya et me promis de me rappeler bientôt.

Voilà une semaine et toujours rien, Pas un coup de fil... pas un message... pas une lettre rien !
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