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Olivier, prof soumis 5

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Lue : 6416 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 02/11/2011

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Peu après midi, je me rendis donc à la salle de sport où Jennifer m'avait insolemment donné rendez-vous. Je bandais déjà en me rappelant les mots qu'elle m'avait murmurés sur le parking : « Je serai dans les douches des filles du gymnase. Tu auras tout ton temps pour te branler sur moi comme un vieux cochon ».

Je croisai quelques élèves qui sortaient encore des vestiaires, et me rendis lentement, feignant une attente hypothétique, vers les vestiaires féminins que je finis par trouver tout au bout d'un long couloir. Les douches, en toute logique, devaient s'y trouver.

Le complexe sportif était désert lorsque j'atteignis le vestiaire des filles. Je venais d'entendre la porte se refermer sur le dernier groupe d'étudiants qui sortaient en chahutant. J'étais seul à présent, il n'y avait plus âme qui vive, semblait-il, et je me laissai absorber par cette ambiance particulière que procure un vaste lieu public vidé de ses âmes.

L'idée que je n'étais pas exactement le seul habitant de ces lieux, d'ailleurs, décupla cette sensation d'étrangeté, et mon excitation. Jennifer devait avoir eu cours de sport ce qui pouvait expliquer ce rendez-vous, elle devait être restée dans les vestiaires à m'attendre.

Après avoir vérifié plusieurs fois derrière moi, jeté plusieurs regards aux alentours dans le couloir, avoir guetté le moindre bruit qui aurait pu trahir un retardataire, je me persuadai que le lieu était bel et bien dépeuplé.

J'entrai rapidement dans le vestiaire des filles. Un vestiaire comme un autre, pour tout dire. Je cherchai aussitôt, du regard, l'entrée des douches, et le repérai rapidement derrière une ouverture sans porte dans le mur carrelé. Contrairement aux garçons, les filles n'avaient que des douches individuelles. « Comme si elles avaient plus de choses à cacher… » pensai-je en souriant intérieurement.

J'étais sûr que Jennifer se dissimulait dans l'une d'entre elles, déjà nue. J'étais sûr qu'elle m'avait laissé un signe pour en reconnaître la porte. Cela m'excita au plus haut point, et j'aurais été prêt à me déshabiller sur le champ pour la retrouver. Je passai donc en revue les portes les unes après les autres, le membre trop à l'étroit dans mon slip. Mais parvenu à la dernière, je dus constater qu'elles étaient toutes vides. Une seconde inspection me le confirma.

Je revins donc m'asseoir sur les longues lattes en bois qui parcouraient tout le périmètre des vestiaires, convaincu que Jennifer allait arriver d'une minute à l'autre. Sur les bancs, j'en vins tout de même à me demander, malgré l'érection, ce que je faisais là, pourquoi j'avais obéi si docilement à ce rendez-vous. Etait-ce seulement la perspective de la voir enfin nue, vraiment nue, dans une douche ? De pouvoir contempler à ma guise le corps merveilleux d'une de mes élèves les plus farouches ?

Je devais reconnaître que la simple idée qu'elle m'allume sans vergogne, au mépris de notre rapport de prof à élève, m'excitait au plus haut point, quand bien même ce que je pensais être ma droiture morale ne m'aurait jamais permis de l'imaginer avant.

Au bout d'une heure à guetter ma montre, à regarder les chiffres digitaux franchir péniblement chaque seconde, je dus me ranger à l'idée qu'elle m'avait tout bonnement posé un lapin. J'en ressentis une sorte de profond désespoir, incoercible. J'avais pensé à ce moment toute la matinée, j'en avais bandé plusieurs fois durant les cours, devant me dissimuler derrière mon bureau pour qu'aucun élève ne remarque la bosse qui se forma plusieurs fois dans mon pantalon.

Et je repensai aussi à la « petite brune » dont j'avais parlé à Nicole, ma «salope de femme » comme aimait l'appeler Jennifer. Un drôle de truc, l'intuition féminine, pensai-je pour tuer le temps… Ma femme avait parfaitement senti qu'il se passait quelque chose, et elle avait visé en plein dans le mille, au premier coup. Je ne pouvais somme toute que m'étonner — et, avouons-le, me satisfaire pleinement — de la manière dont elle prenait les choses. Ne m'incitait-elle pas, elle-même, à vivre mes fantasmes au grand jour ? Et l'excitation que cela semblait lui prodiguer je ne l'avais jamais senti mouiller autant ne pouvait que m'encourager.

La sonnerie de quatorze heures me sortit de mes pensées. Quatorze heures, déjà… Il fallait que je remonte en cours. Je devais reprendre des livres dans la salle des profs, j'étais en retard. Et je ne bandais plus du tout.

Au moment où je franchis les portes du gymnase, déçu, me sentant presque trahi, je tombai nez à nez avec Jennifer, qui arrivait avec son sac de sport, parmi un groupe d'élèves.
– Vous étiez là ? interrogea-t-elle avec la plus parfaite mauvaise foi, en laissant ses comparses rentrer sans elle.
– Oui… Nous avions… rendez-vous, non ? essayai-je de lui reprocher, la tirant un peu à l'écart.
– Désolé, Olivier, j'ai eu à faire. Et je dois aller me préparer, là. Alors si vous avez rien d'autre à me dire, ce sera pour une prochaine fois, quand j'aurai le temps.

Et je lui attrapai le bras, sans vraiment m'en rendre compte.
– Mais…
– Mais rien du tout. C'est comme ça, c'est tout. Et lâche-moi le bras. Tout de suite.

Je retirai ma main aussitôt, gêné, en voyant d'autres élèves rejoindre la salle de sport en nous lâchant quelques regards inquisiteurs.
– Tu ne te permets plus jamais ça, c'est compris ? reprit Jennifer, plus doucement, en désignant son bras. Et elle se planta bien devant moi. Elle faisait presque ma taille, à mi-talon.
– C'est compris ? insista-t-elle. De toute évidence, elle attendait une réponse.
– Oui, c'est compris… répondis-je docilement, sentant à nouveau l'ascendant qu'elle prenait sur moi.
– Parfait. Et souvenez-vous en !

Puis elle poursuivit d'une voix étonnamment froide.
– Ne sois pas fâché. J'ai un cadeau pour toi. Juste pour te féliciter d'avoir attendu deux heures gentiment. C'est une récompense.

Elle ouvrit son sac, fouilla à l'intérieur, et en sortit bientôt une petite culotte de couleur mauve.
– Tiens, je l'ai portée toute la journée, hier. C'est pour toi.

Elle me la glissa dans les mains et disparut dans le gymnase. Je regardai la culotte. Elle était douce, et en la déroulant un peu entre mes doigts, j'y décelai une fine pellicule, un peu translucide, qui la recouvrait, à l'endroit exact de l'entre-cuisse. Cette vision me traversa d'un frisson. Je passai un pouce tremblant sur cette surface scintillante où le sexe de Jennifer, où ses lèvres, humides, s'étaient frottées, pendant toute une journée.

J'eus une envie folle de la sentir, de la porter à mes narines, une pulsion inconnue, mais je fus forcé de la ranger prestement dans ma poche quand un groupe d'élèves passa juste à côté de moi.

Je retournai en cours, un cours que je fis sans sortir la main de ma poche de pantalon, ne pouvant m'empêcher de pétrir entre mes doigts le tissu du streche de la culotte de Jennifer, tout en déblatérant la poésie prévue au programme de l'année. Je savais qu'à 16 heures, c'était sa classe de Terminale qui achèverait ma journée.

Jennifer passa devant le bureau, les cheveux mouillés, sans me prêter la moindre attention en rejoignant sa place.
– Vous allez commencer par me remettre vos dissertations. J'espère que Nerval vous a inspiré. Guillaume, ramasse les copies, s'il te plaît.

Guillaume, un élève élevé aux hamburgers se leva lourdement et commença à faire le tour des tables tandis que je lançai le nouveau thème du cours qui ne souleva qu'un soupir de lassitude dans l'assistance.

Je dus me contrôler pour ne pas trop regarder Jennifer C. qui, aujourd'hui, ne me lâcha pas du regard. Elle ne me toisait pas, non, elle me regardait simplement, fixement, assez froidement même, comme si j'avais été le cobaye sujet d'une de ses expériences. Je n'osais plus, en tout cas, plonger la main dans la poche de pantalon où j'avais glissé sa culotte. Elle quitta le cours comme elle y était rentrée, sans m'accorder le moindre regard, mais ses beaux cheveux blonds ondulés tout à fait secs.

En début de soirée, de retour chez moi, lorsque j'eus à corriger les copies de mes élèves, l'envie de commencer par celle de Jennifer s'imposa comme une évidence, et je la chargeai rapidement dans la pile.

La première page, étonnamment, ne contenait que son patronyme. Jennifer C. À l'intérieur, en lieu et place de la dissertation, je trouvai une grande photo d'elle. Un mauvais tirage, issu à n'en pas douter d'une imprimante bon marché. Mais la photo n'en était que plus troublante, plus intime. Jennifer y était vraisemblablement dans sa chambre, à la fenêtre, nue, présentant le spectacle de son dos, de ses cuisses et de ses fesses inénarrables. Quelques lignes courraient le long de l'intérieur de la double page, sans rapport, il faut bien le dire, avec l'intitulé du devoir :
« Ce soir, interdiction formelle de te défouler sur ta salope de femme. Si tu as envie d'éjaculer, branle-toi sur ma culotte. Tu m'apporteras la preuve de ton obéissance demain. Et pour ce devoir, bien entendu, ne vous aventurez pas à me saquer… J'attends au minimum un 16. »

Je relus trois fois ces quelques lignes, tentant d'en rire, de me convaincre que je pouvais sans le moindre problème passer outre, comme je l'avais fait jusqu'à aujourd'hui. J'aurais pu me jeter sur Nicole dès son retour, comme je l'avais déjà secrètement programmé. Après tout, répètai-je, qu'en aurait su cette Jennifer ? Qu'en aurait su cette petite effrontée ?…

Mais étonnamment, j'avais une sourde envie de prendre à la lettre son injonction, j'avais une sourde envie, même, de lui prouver que j'étais capable d'accomplir ce qu'elle me demandait. Avant que Nicole ne rentre elle serait là dans moins d'une heure je décidais donc d'aller honorer sa petite culotte mauve offerte en récompense pour ma patience. Cette fois, je m'enfermai dans les toilettes pour ne pas prendre le risque de me laisser surprendre par le retour inopiné de Nicole.

Quand Nicole rentra, à l'heure dite, j'avais déjà soigneusement plié la culotte de Jennifer, imbibée de mon sperme, dans la poche latérale de mon cartable. Pour prouver ma bonne détermination à mon élève, je m'étais même fait venir deux fois, sa photo à la main, sans effort.

Nicole s'étonna un peu de mon manque de velléité ce soir, mais ne s'en formalisa pas. Elle avait tout comme moi de nombreuses copies à corriger, et nous travaillâmes sagement tous les deux à nos devoirs, n'échangeant à l'occasion que quelques baisers sans insistance.

Et je pus m'endormir sagement aux côtés de ma femme, m'efforçant de faire taire la terrible envie que j'avais de la prendre sous les draps, par derrière, en me remémorant la photo de Jennifer. Ce fut d'autant plus difficile que je savais que je pouvais partager ces « secrets fantasmes » avec ma femme. Mais je tins bon, me concentrant sur la satisfaction que j'aurais à revoir Jennifer, le lendemain, pour lui remettre discrètement la preuve de ma droiture…
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