panne de voiture

Commençons par une courte présentation, je suis Julie, une femme de 23 ans, petite, je mesure seulement 1M55 pour une petite cinquantaine de kilos et mon amoureux Stéphane, il a 30 ans, 1M80 plutôt musclé, nous sommes en couple depuis 4 ans maintenant.

Une fois par an, nous allons une petite semaine chez mes parents en vacances au fin fond du centre de la France dans un petit village perdu avec seulement cinquante habitants, nous avons huit heures de route en voiture pour nous y rendre, nous partons juste après mon travail, il est seize heures, nous prenons donc la route, nous devrions arriver vers 00h environ, je me suis habillée avec un jogging et un simple débardeur afin d'être le plus à l'aise possible.

Après une heure de route, je demande à Stéphane de s'arrêter pour une première pause pipi, ce qui fait rager Stéphane, car il me dit qu'à chaque fois c'est pareil, je suis une vraie petite pisseuse, qu'à cause de moi, nous prenons du retard, car on s'arrête presque tous les deux heures pour que je vide ma vessie ! Chose faite, nous reprenons la route et comme prévu, nous en sommes à notre 3 --ème arrêt pipi. Stéphane a dû s'arrêter en pleine campagne, car je ne pouvais plus me retenir, je m'accroupis, je fais mes petites affaires, puis je remonte dans la voiture.

Stéphane essaie de mettre en route la voiture, celle-ci refuse de démarrer, impossible, après plusieurs essais, Stéphane se résigne, il essaie d'appeler notre service assurance afin d’avoir une dépanneuse. Après plusieurs essais, Stéphane se résigne, il n’y a aucun réseau. Nous décidons donc d'avancer dans la nuit noire en quête d’habitation afin d'y trouver peut-être un téléphone fixe si celui-ci est ouvert. Nous marchons depuis minimums trente minutes, il n'y toujours rien, nous n'avons même pas croisé une voiture, je me dis dans ma tête qu'heureusement que je me suis mis en jogging basket.

Je continue à marcher sans broncher étant donné que c'est un peu de ma faute notre panne vu que là on s'est arrêté pour moi. On aperçoit au loin de la lumière au beau milieu de nulle part, je me dis que c'est sûrement un bar et comme il est éclairé, il doit être ouvert, nous arrivons enfin à l'entrée de celui-ci, et à notre grande surprise, c'est un bar libertin, je dis à mon homme que nous allons faire l'aller-retour rapide, car je n'aime pas ce genre d'endroit.

Nous entrons nous allons voir l'homme qui est derrière le bar afin de lui expliquer notre mésaventure, celui-ci nous dit que son téléphone fixe ne fonctionne pas dû à un problème sur les lignes téléphoniques, qu'il ne peut rien faire pour nous, cependant si nous acceptons de patienter jusqu'à la fermeture, il nous accompagnera à la ville la plus proche, on lui explique que nous ne sommes pas à l'aise dans ce genre d'endroit, il nous dit de rester au bar afin d’être le plus à l'aise possible, nous avons 3 heures à tuer avant la fermeture, nous décidons de boire un verre avec mon chéri, nous essayons de ne pas faire attention à l'environnement.

nous enchaînons les verres, je sens que l'alcool fait son effet, il nous reste deux heures à tenir, nous jetons un coup d'œil sur les personnes qui nous entourent, la population est plutôt âgées, je dirais dans la cinquantaine environ, beaucoup d'hommes et peu de femmes.

Comme à mon habitude et le nombre de verres que l'on a bus aidant, une grosse envie d'uriner se pointe, j'en fais part à mon homme de cette envie, celui-ci me dit de demander au gérant où se trouvent les toilettes, j'ai tellement peur que je n'ose y aller, je me retiens le plus longtemps possible.

Je regarde ma montre encore une heure et demie - impossible de tenir jusqu'à là. Je prends mon courage à deux mains, je demande aux patrons où se trouvent les toilettes. Il me dit vous ne pouvez pas vous tromper, c'est tout au fond de l'établissement, je laisse donc mon homme au bar puis me dirige vers un couloir presque tout noir, j'essaie de ne pas regarder et de traverser le plus vite possible, mais les cris et les gémissements me font détourner le regard.

je passe devant un genre de salon où trois hommes sont nus sur un canapé. Ils regardent un porno tout en se masturbant, j'avance vite avant qu'ils voient que je les observe, je continue ma route. Des gémissements de femme me font m'arrêter devant une pièce avec un lit au milieu. Celle-ci se fait prendre par deux hommes à la fois, j'avoue que je me suis attardée un peu plus longtemps devant ce spectacle, mais ma vessie me rappelle à l'ordre qu'il y a urgence, je vois enfin les toilettes devant moi, j'entre, il n'y a pas de verrou.

Je me dis tant pis, il y a urgence, je m'installe, baisse vite mon jogging, je me vide avec un tel soulagement, je repense un peu à ce que je viens d'observer. Je dirai que cela ne me laisse pas de marbre, soudain la porte des toilettes s'ouvre, je me retrouve avec un homme, la cinquantaine, face à moi qui s'excuse, qu'il n'avait pas vu que c'était occupé. Je lui dis je termine et je vous laisse la place, je m'aperçois que des deux côtés des toilettes, il y a des trous.

Je me dis bizarre, je me demande ce que c'est, ma curiosité me dicte de jeter un coup d'œil. Je distingue un homme en train d'uriner. C'est à ce moment que je compris que ces trous sont faits pour jouer les voyeurs. Je regarde discrètement cet homme, sa queue est hyper-longue, cela m'intrigue. Je vois celui-ci en train de la secouer, puis il la glisse dans le trou par lequel je l'observais, j'ai failli la prendre dans l'œil !

Choquée, je viens de comprendre que ce n'est pas uniquement pour observer, je la regarde longuement puis j'attends suce-la ! Je sais qu'elle te plaît, je t'ai vue me mater. Je ne fais plus aucun mouvement, j'observais puis plus je la regardais, plus mon envie grimpe, je pense que l'alcool + l'excitation vont me faire déraper. Je tends ma main direction de sa queue puis je la saisis.

Dans ma tête, je me dis que tu es en train de faire en plus il t'attend, il va s'inquiéter, je commence à la caresser, j'entends derrière la paroi, je savais que tu es une coquine à me regarder pisser ! Je le masturbe délicatement, dans ma tête, je me dis ne va pas plus loin, mais l'excitation prend le dessus, j'approche ma bouche de sa queue et je passe un rapide coup de langue sur son gland, celui-ci me dit allez nettoie ma queue ma belle.

J'enfourne sa queue dans ma bouche et me je me mets au travail, je le suce tout en le masturbant. J'essaie de le faire jouir rapidement afin de vite rejoindre Stéphane au bar, après peu de temps, j'arrête de le sucer bien que sa queue est excellente, mais par peur qu'il éjacule dans ma bouche, je suis obligée de le finir à la main et sans me prévenir, celui-ci m'envoie une grosse giclée de sperme qui finit en partie sur mon jogging, je me relève rapidement.

J'essaie de nettoyer mon jogging souillé afin de ne pas laisser de trace de cette aventure, je sors des toilettes, je tombe nez à nez avec celui que je viens de sucer. Il me remercie pour cette superbe fellation, je rougis et repars rejoindre mon homme, j'arrive à notre table, Stéphane avait continué à boire pendant mon absence. Il était vraiment bien éméché, il est endormi sur la table, j'attends un peu pour voir s'il se réveille, mais il dort profondément, je m'ennuie seule à table, je repense à ma petite aventure, je suis restée sur ma faim.

Je décide de prendre un peu plus mon temps afin de visiter les lieux, je retourne donc dans la première salle où les trois mecs sont toujours en action avec leurs queues, je m'installe sur le canapé juste à côté et je les observent se masturber, les trois ont entre cinquante et soixante ans environ, j'aperçois leur queue bien rasée se faire branler ! Il regarde un film avec des jeunes filles qui se font prendre par des vieux, je me dis cela a l'air des excitées j'ai une carte à jouer.

Je commence à défaire mon jogging et mon débardeur. Je suis nue sur le canapé et je commence à me caresser mes petits seins bien fermes et, caresser ma petite chatte toute lisse de jeunette, les regards se détournent aussitôt de la vidéo, je suis trempée d'excitation, je ne pense absolument plus à mon chéri qui est à quelques mètres de nous, endormi, mes envies sexuelles de petite jeune se réveillent et je leur lance alors les gars les petites jeunes comme moi vous excitent ? Cela vous dit de vous faire sucer par une nana de vingt-trois ans, approchez vos queues, j'attends que cela, je me surprends d’être aussi cochonne!

rapidement j'ai les trois queues devant mon visage, je ne réfléchis même pas, j'en saisis une dans chaque main puis je prends la dernière directe en bouche. Je me mets au travail sur ces trois queues d'hommes matures,j' alterne les queues, afin que je puisse goûter aux trois queues, je les suceS avec vigueur, je leur lâche un videz-vous sur moi bande de vieux cochons, ils ne tiennent guère longtemps étant donné qu'ils se branlent depuis un bon moment.

Le premier me lâche de grosses giclées sur ma petite poitrine, le deuxième m'arrose le visage, puis le troisième me gicle aussi sur les seins. Me voilà pleine de sperme, sans me toucher, j'arrive à jouir tellement l'excitation était forte, sous le bruit de mes cris, le patron arrive dans le salon. Il me lâche et bien dis donc pour une qui était mal à l'aise, je vois que tu aimes la bite !!

Si tu veux que je te ramène avec ton homme, il va falloir payer avec ta petite chatte et ton petit cul ! Je me dis après tout, je ne demande que ça, de la queue, je lui fais signe de s'avancer, il sort sa queue, contrairement aux autres, elle est poilue, pas très longue, mais vraiment très épaisse, je la caresse afin de la faire durcir, sa queue répondit vite à mes sollicitations.

Je commence à le sucer, il me dit alors ça te fait quoi de vider les couilles de vieux hommes comme nous. Ca t'excite d'être utilisée comme une chienne, je vois que les trois hommes que je viens de vider m'observent pendant que je m'occupe du patron, je le pompe pendant plusieurs minutes, il me dit maintenant ta chatte va goûter à ma queue, l'excitation de la soirée était grande, il commence à me limer la chatte, je peux vous dire que je la sens bien passer sa grosse queue, il me caresse les seins tout en étalant le sperme encore dessus, il me baise de plus en plus vite, je jouis plusieurs fois sous ses coups de butoir, quel plaisir, il n'y a pas à dire, il sait y faire le bougre.

Sous mes cris, mon homme arrive soudainement dans la pièce, le patron encore en moi s'arrête, tout le monde observait mon homme, celui-ci bien qu'éméché s'énerve, me demande ce qui se passe, je lui réponds qu'il ne s'énerve pas, je suis en train de payer notre voyage jusqu'à la ville et que je prends un pied fou, installe-toi chéri et observe comment il me baise bien ce salaud ! A ma grande surprise, il obéit, il s'assoit et ne me lâche pas du regard, je dis au patron alors qu’est-ce que tu attends pour me baiser, mon cocu est d'accord !

Ni une ni deux le patron se remit en action, il me baise avec une telle intensité, il est hyper-endurant, mon homme s'approche afin de voir de plus près la queue du gérant en moi, je lui demande si cela lui plaît d’être le cocu de la soirée, il acquiesce ! Je vois que les trois mecs que j'avais vidés précédemment on reprit leur queue en main et qu'ils étaient de nouveau opérationnels. Le gérant dit je vais bientôt jouir, mets-toi à genoux et venez les gars on va rajouter une deuxième couche de sperme sur cette petite cochonne, me voilà à genoux devant 4 bites qui se branlent devant moi et tout cela sous les yeux de mon cocu, le gérant est le premier à jouir sur mon visage, j'en ai partout, je ne peux même plus ouvrir les yeux, le deuxième me demande d'ouvrir la bouche puis il se met à jouir dedans, le second vient à son tour faire de même, puis il me demande d'avaler chose que je fais bien entendu après avoir avalé toute cette semence, j'embrasse mon cocu de chéri avec le goût du sperme de mes amants de ce soir puis le troisième me demande de m'allonger afin de gicler sur ma chatte, j'exécute son ordre, j'écarte bien ma chatte afin de recevoir le maximum de sperme sur ma chatte grande ouverte grâce au passage de la queue du patron, ma chatte est couverte du sperme du dernier homme, elle est toute blanche de foutre, je me lève, exténuée de la soirée, je ne prends même pas la peine de m'essuyer, je me rhabille directement encore toute collante de leur semence, je vais voir le patron, il nous dit que l'ont méritent bien le trajet jusqu'à la ville, je glisse à l'oreille de mon homme vivement la nouvelle panne.