ACCUEIL > Fantasmes > Récit : Parfois, le vie réserve des surprise. (histoire courte)

Parfois, le vie réserve des surprise. (histoire courte)

+9

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 13/02/2023

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Je n’aurais jamais cru, que cette soirée que tu as gentiment organisé pour fêter mes soixante cinq ans, attirerait autant de couples d’amis.
Le hasard est curieux, provoque les choses, et le destin les scelle. C’est lui qui ma fait te rencontrer après la perte douloureuse de mon épouse.
J’étais fier de moi quand je t’ai épousée, fier de voir une femme aussi belle pendue à mon bras, et ce malgré nôtre différence d’âge. Tu avais vingt huit ans pas à l’époque, trente aujourd’hui.
Je souriais avec une pointe d’ironie, en te voyant frôler félinement les invités pour leur proposer le plateau de petits fours.
Ils n’avaient d’yeux que pour ton extrême beauté.
Je dois avoué aussi, que ta tenue vestimentaire était assez affriolante.
Jupe courte, chemisier ouvert plus que de raison.
Je pensais en te voyant te déhancher entre les tables, aux rumeurs que véhiculaient certains collègues, jaloux, dont certains se vantaient de t’avoir baiser, ou de s’être fait tailler une pipe.
Pur mensonges pour m’humilier, et se la jouer...les pauvres.
Je souris moins, lorsque je vis Bastien s’approcher de toi. Oh je sais qu’il n’y a plus rien entre vous, mais ta façon de l’accoster laisse planer un doute.
Je connais bien ce jeune homme, plein de vitalité, qui contrairement à moi, qui ne suis qu’un fantôme au lit, t’apporte jeunesse, et virilité.
Les bruits de couloir font même courir, qu’on t’aurait vu sortir de l’hôtel avec un jeune Homme. Bastien ?
Tu sais, les mauvaises langues. Bizarrement, tu ne m’avais pas répondu.
J’ai compris, quand tu m’as épousé, que je ne pourrais assouvir tes fantasmes, et savais très bien, qu’en une nuit, vingt ans cinq, pénétrait plus que soixante cinq, et à plusieurs reprises.
Je me contentais du plaisir de te voir pendue à mon bras quand nous sortions, sentir le regard des hommes se poser sur ton sublime corps.
C’est pourquoi je t’accordais des escapades nocturnes avec tes copines, sachant très bien que tu les finissais dans les bras vigoureux d’un jeune mâle.
Bastien peut-être...
Mais tout ceci m’importe. Je veux que tu sois heureuse, et que la beauté de ton corps servent à des mains avides, et non à un regard qui ne t’excite pas.
Je me souviens même t’avoir proposé d’emmener tes amants dans nôtre propre couche.
Ce soir là, bizarrement, tu n’étais pas sortie. Tiens dont !!
Tu dois savoir qu’à mon âge, on a le sommeil fragile, et que le moindre bruit pouvait me réveiller. Ce fut le cas cette nuit là.
Je t’entendais gémir, comme si quelqu’un te donnait du plaisir, te faisait jouir...je t’entendais murmurer son nom, inaudible pour moi.
Inquiet, je me levais, poussais la porte de ta chambre. Quelle ne fut pas ma surprise de te voir empalée sur la queue de Kevin, mon propre fils. Je te voyais te déhancher au rythme de tes soupirs, jusqu’à atteindre l’orgasme.
Blessé, je m’appuyais sur le mur du couloir, le visage entre les mains, puis regagnais ma chambre, pour finir une nuit sans sommeil.
Au petit déjeuner, je vous faisais part de ce que j’avais découvert. Tu tins des propos qui évoquaient la menace d’une éventuelle séparation, ce qui était inconcevable pour moi, et qui m’aurait mené à ma perte.
Mon fils en fut désolé, me dit être très amoureux de toi, et toi très éprise de lui, et que tes sorties nocturnes, c’est avec lui que tu les passais, et dans ses bras que tu les finissais.
Je ne peux pas dire que j’étais rassuré de te savoir en sécurité avec lui, mais c’est à partir de ces aveux, que tu ne sortis plus et passait le plus clair de ton temps au lit, avec lui.
Mais ce Bastien, me direz-vous. En fait, il n’y jamais rien eu entre lui mon épouse, il n’était que la couverture d’un adultère bien orchestré, le pote, le complice, le confident de toujours.
Le jeune homme qu’on voyait sortir de l’hôtel, n’était autre que mon fils, qui venait de baiser sa belle-mère, ma ravissante épouse.
Cette histoire se finit par une totale rémission de ma part. Je ne voulait pas perdre mon épouse, ni mon fils unique, qui menaçaient de quitter la villa.
Voilà. J’ai aujourd’hui soixante dix ans, et le seul plaisir qu’il me reste, c’est de les entendre faire l’amour, et m’occuper de...mon petit fils.

9 vote(s)


Histoire de Aurore34

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Parfois, le vie réserve des surprise. (histoire courte)

Le 13/02/2023 - 14:06 par OlgaT
L'amour amène à accepter beaucoup de choses! Mais les protagonistes semblent heureux ainsi

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :