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Partage 2: Le bigame heureux

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Lue : 3329 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 15/09/2012

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Les yeux remplis d’images et de larmes, le cœur chaviré, l’esprit embrouillé, je rate une marche d’escalier et mon départ. Je me retrouve allongé dans l’entrée entre les tessons du vase que j’ai renversé dans ma chute. Louise apparaît nue en haut de l’escalier et interroge:
-C’est toi Hervé? Tu es tombé? Tu as mal? Mais que fais-tu là? C’est vendredi, tu n’es pas à la cantine? Je n’ai pas préparé de repas. Mais lève-toi. Comment, pourquoi? Tu aurais pu téléphoner? Me répondras-tu? Es-tu blessé? Comment es-tu tombé? Tu viens d’arriver? As-tu oublié quelque chose ce matin? Pourquoi es-tu revenu?

Ouf, elle a épuisé en une tirade rapide l’essentiel des questions possibles. Penaud, je tente de me mettre debout. Ma cheville droite est trop douloureuse, j’ai besoin d’aide. Louise dévale l’escalier, m’attrape sous les bras et me voici debout sur le pied gauche, mes mains appuyées sur les épaules de ma femme nue au front couvert de sueur, aux lèvres gonflées, porteuse d’odeurs de sexe.
-Alors, tu t’es trompé de jour? Explique-moi.

Je suis piteux, je me sens trahi et stupide et ma réponse se veut sincère au risque d’être incongrue ou très ridicule dans le contexte actuel. Je n’ai plus rien à perdre, puisque tout est perdu.
-J’ai ressenti une irrésistible envie de te faire l’amour et dès midi je me suis précipité pour venir t’aimer.
-Mais… il est passé treize heures. Il t’a fallu une heure pour couvrir un trajet de cinq minutes? Tu ne vas pas bien dans ta tête? Mais c’est si mignon de changer tes habitudes pour venir embrasser ta femme qui t’aime. Quel détour as-tu fait, tu t’es perdu en route?
-Oui, je me suis longuement arrêté devant une porte entrouverte, la porte de notre chambre.

Louise s’étouffe, ravale la série de questions suivantes, me regarde, le regard égaré, met sa main devant sa bouche et devient écarlate puis blanche, tremble et bafouille
-Devant la porte de notre chambre? Tu…tu…as regardé…tu as vu? Tu m’as vue?
-Oui, j’ai vu, je vous ai vues toutes les deux.
-Ah! Et tu n’as rien dit, tu as regardé…Alors tu sais? Mais comment es-tu tombé?
-Je ne sais pas. Je m’en allais.
-Sans rien dire, comme un voleur. Tu ne m’aimes donc plus? Tu t’en fiches? Tu laisses faire et tu te sauves?
-Oui, mais tu vois je ne tiens plus debout. Je ne sais pas, je ne sais plus…je
-J’ai compris. Dans le fond, ça me soulage. Je ne savais pas comment te le dire. Tu as vu et tu sais: finalement c’est mieux comme ça. Allez, monte, je vais te soigner et nous bavarderons. Nora, viens m’aider. Nora

Nora sort de la chambre. En vitesse elle a enfilé une culotte et tente de fermer un soutien-gorge ramassé à la hâte. Ses seins sont trop volumineux et refusent de se laisser enfermer dans les bonnets de Louise. Du coup elle balance la chose et descend à son tour, poitrine nue et tendue, essaie de me saluer en guettant mes réactions. J’ai trop mal au pied pour entamer une diatribe. A cloche-pied, soutenu par deux femmes nues ou presque je remonte à l’étage, on me couche sur mon lit. Louise s’est ressaisie.
-Tu as de la chance dans ton malheur, Nora est infirmière. Elle va bien te soigner.

De la chance dans quel malheur? Le malheur d’être cocufié par une femme, trompé par la mienne ou le malheur d’avoir chuté ou le malheur d’être découvert et de passer pour un voyeur?
-Tu te rends compte, Nora, mon délicieux mari venait me faire l’amour. C’est chou.
-Oui, tu as un mari formidable. Je ne cesse de te le répéter. Je suis jalouse de ton bonheur. Ah! Si je trouvais un homme comme le tien.
-Chéri, tu connais notre voisine Nora. Nous sommes devenues de très bonnes amies.
-J’ai vu.
-Il faut que je t’explique. Quand son mari est décédé, je suis allée lui porter du réconfort. Je lui ai parlé, je l’ai serrée dans mes bras. Sous le coup de l’émotion elle m’a embrassée, nous nous sommes embrassées. Nous nous sommes revues. Pour lui remonter le moral je l’ai encore prise dans mes bras et de fil en aiguille nous sommes devenues inséparables. Elle a besoin de moi pour la consoler et je fais tout ce que je peux pour l’aider à reprendre goût à la vie.
-En effet, tu sembles très douée pour lui faire aimer la vie, bien qu’elle se dise inconsolable. Pour rester dans tes bras je serais plus inconsolable qu’elle.
-Ne sois pas amer. Chaque vendredi et chaque lundi matin nous nous retrouvons ici ou chez elle pour encourager son retour à une vie normale après son deuil. Elle est inconsolable, c‘est vrai!. Mais as-tu souffert de l’affection que je lui donne? Ai-je manqué une seule fois d’amour pour toi. Je continue à t’aimer comme au début, mon cœur s’est ouvert davantage. Je t’adore et j’aime cette amie malheureuse à cause de son veuvage.
-C’est vrai dit l’infirmière. Louise parle de vous avec tellement d’affection que je suis à mon tour devenue amoureuse de vous, cher Hervé.

C’est quoi, cette histoire de fous. Elles ont été surprises en flagrant délit et maintenant elles essaient de m’enfumer avec des déclarations d’admiration et d’amour hors normes. Elles m’ont trompé et croient pouvoir me couvrir de ridicule pour trouver dans ma conduite une excuse à leur conduite honteuse.
-Assez parlé. Il faut te soigner. Montre ta jambe. L’infirmière va t’examiner. Pour bien faire retirons, tes chaussures, tes chaussettes et ton pantalon.

Louise est experte dans ce jeu de déshabillage. Je laisse faire les deux lesbiennes. Après tout Nora en voit d’autres tous les jours dans son métier. Et si elles jugent nécessaire pour un examen complet de mes plaies et bosses de me retirer chemise et slip, c’est leur affaire. Nora a des gestes très professionnels pour constater l’absence de fracture. Mon coude présente un gros bleu et ma cheville s’est tordue. L’entorse est légère et guérira vite grâce aux compresses d’arnica. Louise, ma femme juge indispensable de vérifier le bon fonctionnement de mes organes génitaux: un choc psychologique violent, me dit-elle sérieuse, pourrait me rendre inapte aux travaux sexuels. Elle fait allusion à la révélation de ses relations charnelles avec la femme qui bande mon pied pendant qu’elle, ma femme aimante, fait bander mon pénis entre ses doigts de fée.
-Vois Nora, je ne t’ai pas menti, Hervé possède un beau spécimen. Le voilà en érection. Je lui dois des soins. Parce qu’il a eu envie de moi il est venu nous surprendre. Il mérite tout mon amour.
-Tu as raison. Faites l’amour, je me retire, navrée d’avoir retardé votre plaisir.
-Attends. Hervé, je suis capable d’aimer mon mari et de faire en plus de la place à Nora dans mon cœur sans nuire à notre amour. Je suis sure que ton cœur est assez grand pour continuer à m’aimer et pour s’ouvrir à Nora. Ainsi, sans nuire à notre amour, tu pourrais aimer deux femmes qui t’adorent. Nous pourrions vivre si heureux à trois. Nora n’avons-nous pas imaginé ensemble, à plusieurs reprises, cette solution paradisiaque?
-Oh! Si. Ce serait merveilleux. Hervé, je serais si heureuse de contribuer au bonheur de votre couple. Dites oui. Il faut que je vous embrasse.

Comment résister? C’est physiquement presque impossible avec cette entorse et en raison de mon érection entretenue par ma femme qui vient de m’emprisonner dans sa bouche. C’est mentalement difficile: elles sont volontaires, consentantes, complices préparées et elles m’ont si bien flatté. Et surtout, si je repousse Nora, Louise pourrait me quitter et la suivre. Enfin, messieurs, que celui qui n’a jamais rêvé faire l’amour avec deux femmes, séparément ou simultanément, lève le doigt. Je ne suis ni meilleur ni pire que beaucoup. Je n’aurais jamais osé le demander, mais on me l’offre avec tant d‘insistance! Comment refuser?

Ma femme me suce le gland. L’infirmière amante de ma femme embrasse mes lèvres, me fait du bouche à bouche. J’en ai besoin pour traverser l’épreuve. J’ouvre la bouche et je perfectionne le baiser. Je sens le mouvement de Nora en direction de Louise. Du coin de l’œil je vois disparaître dans les mains de mon épouse le string de notre alliée toujours occupée à exciter mes papilles. C’est au tour de Louise de faire mouvement. Sans bouger, couché sur le dos, immobilisé par la douleur et les quatre bras de mes deux femmes, je passe de la bouche dans le vagin de la partageuse épouse. Elle est parfaitement humide et s’embroche du premier coup sur le pieu. C’est elle, je reconnais son coup de rein, son allure de croisière, sa mélopée amoureuse. Elle se penche, relève la tête de Nora et l’embrasse amoureusement à une trentaine de centimètres de mes yeux. Elle continue son activité soutenue sur ma verge, balance inlassablement sa croupe. Elle abandonne la bouche amie et ordonne
- Nora, donne-lui ton con à sucer. Monte sur le lit et accroupis-toi sur sa figure.

Sitôt dit, sitôt fait. Nora y met de l’enthousiasme. Je vois passer sa jambe puis descendre son abricot épanoui au milieu de sa toison de blonde. La vulve se pose délicatement sur mon nez. Mes mains saisissent deux cuisses massives, attirent le fruit juteux à ma bouche. De deux doigts j’ouvre la voie puis pointe ma langue. Nora se déplace d’avant en arrière, d’arrière en avant et fait glisser toute la longueur de sa vulve sur ma langue, ainsi je fouille toute la fente déjà trempée de jus féminin au goût si différent de celui de l’épouse qui me chevauche. A ce moment se forme un triangle de chair: mes deux femmes pratiquent une bouche à bouche ardent et me gratifient de mouvements de fesses passionnés. Mes mains s’emparent de leurs seins, les couvrent de caresses. Le traitement est efficace, mon érection atteint son comble, ma verge tressaille dans la chaleur du ventre de ma femme. Lorsque Louise sent le premier jet de mon sperme contre son utérus elle s’arrache à moi, empoigne la tignasse blonde, pousse la tête de Nora sur ma queue et lui crie
-Là, c’est pour toi, avale, je te l’offre.

Je m’épanche dans la bouche assoiffée de la veuve privée de sperme depuis trois mois, Louise de la main pompe sur mes couilles afin de procurer à sa maîtresse un maximum de sirop de corps d’homme. Nora en se relevant ouvre la bouche: elle a gobé tout mon foutre! Louise lui présente son sexe et lui demande d’y puiser le liquide de ma première giclée. Les yeux de Nora disent l’infini plaisir de retourner boire à cette source et le temps qu’elle passe à téter les lèvres de la vulve lui permet de faire jouir ma femme. Nous nous reposons alors, nos mains touchent les peaux en tous sens.
-Mon chéri, Nora veut jouir avec toi. Baise-la. Il y a si longtemps qu’aucune bite n’a pénétré son frifri. Sois bon et généreux, prends-la. Je te le demande au nom de notre amour. Hervé, ce sera une bonne action, pas un adultère. Complète l’union de nos trois cœurs par l’union de vos deux corps.

Nora relève ses jambes, me regarde amoureusement. Je connais sa bouche. Louise conduit mon membre au seuil du sexe à combler. Pour durcir mon pénis elle masturbe d’une main et suce. De l’autre main elle prépare l’entrée. Nora a ouvert son sexe avec ses deux index, dégagé le losange rose au milieu duquel Louise promène et enfonce un index et un majeur.
-Bon, vous êtes prêts, pénètre-la et aime-la comme tu m’aimes, je le veux, mon amour.

Soif d’amour, gratitude, reconnaissance, envie de plaire et de profiter du moment, tout contribue à donner à cette amante particulière un attrait formidable. Ma femme le veut, je ne me pose pas de question, je fonce, je défonce, à grands coups de reins je pénètre au plus profond, je pioche avec entrain, je creuse avec enthousiasme, je sens les frissons de ce vagin revenant à la vie, ses contractions violentes autour du pieu qui la fouille. Elle m’accueille, referme ses bras et ses jambes sur ce corps d’homme enfin retrouvé. Deux femmes l’ont voulu. Louise m’accompagne, glisse une main entre nos poitrine pour caresser les seins ou envoie un doigt dans l’anus de la femme, en parallèle à ma queue prise dans le sexe, gratouille l’entrée de l’anus de Nora, s’enfonce dans ses entrailles. Alors Nora se cambre, lève son ventre, arque son dos, me soulève. Son excitation est contagieuse, je pilonne, je laboure cette friche et dans un grognement sourd j’y sème ma graine. Impossible de me retirer:
-Reste, crache dedans, crie Louise. Louise s’est assise sur mes fesses, me maintient au chaud et me plante un doigt dans le cul. J’éjacule longuement, Nora gémit, dit « baise-moi fort, je t’aime. »

Je roule sur le côté. Louise se précipite pour recueillir sur sa langue et l’avaler le sperme de son époux qui coule lentement en filet blanchâtre du berlingot honoré par son homme et pour relancer l’orgasme bruyant de notre maîtresse.
C’est le baptême de notre trio. Nous achèterons un lit plus grand pour pouvoir dormir à trois. En attendant, nous nous aimons. Quand la nuit venue nous avons épuisé nos ressources sexuelles, quand nous n’en pouvons plu de faire l’amour, par tirage au sort l’un de nous trois va dormir dans la chambre d’amis. Parfois pendant mon sommeil on me suce, on monte sur moi, d’autres fois une étreinte des deux amoureuses me réveille et je suis prié de me joindre à mes deux femmes. C’est le paradis.
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Histoire de Veilleur

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