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Perverse infirmière

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Lue : 13718 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 05/04/2010

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Au sein de l’hôpital Radclife les morts se ramassent à la pelle. Quoi de plus normal me direz-vous pour une clinique que de compter ses morts mais ici le nombre grandissant de décès appelle à une enquête. Le secteur cardiologie semble particulièrement frappé de manière exagérée et exponentielle. En particulier les hommes qui meurent tous d’un arrêt cardiaque aussi soudain qu’inexplicable tant leur traitement semblait prouver jusque là son efficacité. Leur visage exprime une sorte d’extase comme s’il avait entrevu un quelconque paradis avant de passer de vie à trépas.

Les plaintes des familles des défunts pleuvent comme en plein mois de mars et l’inspecteur Jean-Pierre Appelgate est chargé de l’enquête. Après avoir laissé courir le bruit qu’il était riche, non sans auparavant avoir su se faire admettre en commun accord avec le directeur de l’hôpital dans le service incriminé comme malade, l’inspecteur demande à Adeline sa nièce de venir à son chevet. Il n’avait pas tardé à soupçonner les infirmières, dans un crime il faut toujours se méfier du valet, c’était sa devise. Trois des quatre infirmières n’ont pas plus de trente cinq ans et la chef de service a quant à elle 45 ans ou presque. Elles ont en commun d’être très jolies et d’avoir un postérieur qu’on voudrait manger ou y asseoir son visage. La chef de service se nomme Lissa, elle est très mince et rousse et a le visage couvert de tache de rousseur ce qui contraste avec Véronique, qui, elle, a un blond visage avenant et de jolies formes. Véronique n’est pas très grande. Mais comme on dit ce qui est petit est mignon. Ses cheveux d’un blond augmenté sont coupés assez court. Loraine lui ressemble quoique plus grande. Julie, quant à elle, possède de longs cheveux noirs et est d’origine ivoirienne, une de ces beauté d’ébène comme on aimerait en voir plus souvent.
- J’ai un service à te demander, lui dit-il inquiet de la réponse de sa nièce.
- Je t’écoute, tu sais que je ne peux pas te refuser grand-chose. Je sais déjà que tu n’es pas vraiment malade et en suis heureuse. Si tu savais comme tu m’as fait peur…
- Exact mais tais-toi (il met un doigt sur sa bouche se disant), on pourrait nous entendre. Je voudrais que tu ailles fouiller pour moi quelques maisons. Ces infirmières ne m’inspirent pas du tout confiance, je suis sûr que l’une d’entre elles a des choses à cacher.
- Tu sais pour moi le cambriolage, c’est du passé ! dit Adeline un rien offusquée...
- Oui je sais je sais, mais si on ne fait pas ça je vais devenir fou ici, tu n’es pas sans ignorer ma phobie des hôpitaux.
- Pourquoi tu ne demandes pas à Terry, ta coéquipière, elle est de la police elle !
- Justement, je ne veux pas attirer les soupçons. Si cela tourne mal ne t’inquiètes pas je te couvrirais. N’oublie pas qu’il y a cinq ans je t’ai évité un long séjour à l’ombre, ajoute Appelgate d’un ton qui se veut convaincant mais a tout de maladroit.
- Bon çà va, c’est bien parce que je te dois d’avoir évité la prison et que tu es mon oncle préféré (rire). Mais je te rappelle tout de même que tout ce que je volais à l’époque je le restituais. Le cambriolage était pour moi juste un hobby comme d’autres collectionnent les timbres.

Ni Adeline ni Appelgate ne s’étaient rendu compte qu’une oreille qui traînait par là avait entendu la fin de la conversation.

Une journée passe. Et puis deux. L’inspecteur n’est toujours pas plus avancé. Il s’apprête à décrocher le téléphone quand ce dernier soudainement retentit. Il décroche rapidement.
- Allô, Allô, c’est Adeline (elle chuchote) Je viens de téléphoner à Terry elle arrive tout de suite…. Non ne me coupe pas s’il te plaît…Je suis chez une des infirmières…Tu avais raison. Fais attention la doctoresse est dans le coup aussi ainsi qu’un notaire de la région que Terry est partie arrêter. La doctoresse se chargeait des certificats de décès et le notaire des papiers pour dévier une partie des héritages.
- Tu es chez qui ? Le nom de l’infirmière ?
- Je suis chez celle qui dirige tout, c’est elle le cerveau, c’est…

Soudainement un fracas se fait entendre au téléphone
- Adeline ! Adeline s’écrie Appelgate paniqué !!...

La porte s’ouvre soudainement et une main s’empare du cornet.
- Il ne faut pas vous énerver comme cela, ce n’est pas bon pour votre cœur.

C’est Véronique, la pulpeuse blonde qui lui fait face. Appelgate comprend alors qu’il est en face du cerveau de toute cette macabre opération mais il devrait plus tôt dire du corps tant l’infirmière propose un corps de rêve fait de jolies courbes, d’intéressants vallons et intimant à l’esprit de beaux rêves rose bonbon.

La pulpeuse blonde ouvre sa bouse blanche d’un geste suave et raffiné mais sec. Elle est nue en dessous. Elle vient près de l’inspecteur, se retourne et soudainement relève sa blouse. Appelgate se retrouve nez à nez avec le derrière tout nu de Véronique qui rit en éclat feutré. La blouse atterri sur le sol et bientôt l’infirmière visiblement perverse se retrouve nue avec seulement de sexy mocassins rouges aux pieds dont les orteils dépassent suffisamment pour qu’on ait envie d’y goûter. Elle sort une seringue de sa trousse, se couche sur le sol et fait glisser délicatement la seringue sur sa peau, sur ses jambes et sur ses gros seins tendus comme deux cloches à fromage.

Suave, Véronique s’approche ensuite lentement de l’inspecteur telle une panthère blonde et, féline, « C’est l’heure de votre piqûre !... » dit elle alors avec la voix qui chantonne.

Et de lui injecter un produit qu’il comprend être un stimulant cardiaque et sexuel. Il en a déjà le cœur qui palpite et son sexe a déjà une raideur suffisamment grande pour qu’on y lie un drapeau.
- Alors prêt à jouir, ajoute la jeune femme. Elle augmente la musique qui jusque là allait en sourdine et commence à danser langoureusement, se tapotant les fesses comme se donnant de menues fessées et ses lourds seins tressautent lentement comme au ralenti
« Mon derrière te plaît tu veux encore le voir de plus près ?"

Appelgate n’a pas le temps de placer un mot tant il tachycarde que Véronique est déjà à califourchon sur lui et vient lui bouffer le visage avec ses fesses rebondies.
« Je ne voudrais pas t’étouffer, il faut que cela ait l’air d’une mort naturelle »

Puis elle fait de même avec ses seins et termine en comparant la hauteur du sexe du malheureux à la taille de ses pieds laissant ses orteils délirer à l’envi sur le mat en rut. Mais Appelgate résiste. Après quelques minutes de ce traitement on frappe à la porte.
- Ce n’est pas encore finit ?! L’heure de midi est presque arrivée !

C’est la doctoresse, une grande femme solide et puissante, qui vient aux nouvelles.
- Celui-ci est un dur à jouir ! Tu t’es occupée de la fouineuse ?
- Ne t’inquiètes pas son cas est réglé. Tu avais bien entendu elle cherchait à nous cambrioler et aurait pu tomber sur des preuves compromettantes. A mon avis elle voulait plumer l’autre zozo aussi. Il n’a pas l’air bien malin faut dire.

Suivant le ton employé, il semble bien que ce soit Véronique qui commande et qu’aucune des deux femmes n’avaient perçus les liens filiaux qui unissaient Appelgate et Adeline.
- Je vais t’aider, dit alors la doctoresse qui abaisse son pantalon, je te remplace, il préfère peut-être les grosses.

La doctoresse s’installe alors sur l’inspecteur qui n’aura sans doute jamais autant connu le plaisir que ce jour là tandis que Véronique se caresse le corps avec son mocassin avant de se porter à la fenêtre ayant entendu un bruit strident comme des sirènes de police. En même temps la plaque de police de Jean-Pierre tombe de la poche de sa veste mal posée sur une chaise. Véronique comprend qu’elles se sont faites piégées mais plutôt que d’en avertir sa complice elle remet sa blouse blanche. Elle regarde intuitivement dans l’armoire et trouve le revolver d’Appelgate caché sous les vêtements, elle le prend et sort en catimini. La doctoresse trop occupée à se faire aller sur l’inspecteur qui ne sait plus où donner de ses sens ne la voit même pas sortir.

Véronique voit Terry arriver arme au poing et toute haletante. Elle décide de prendre l’escalier de service qui conduit aux urgences. Terry se jette alors dans la chambre en criant « Haut les mains ».

La doctoresse lève alors les mains, surprise dans une position indécente.
- Où est Véronique ? demande alors Terry avec véhémence
- Le notaire a tout avoué, s’en est fini de vos petites
manigances...
- Et Adeline, s’inquiète alors Jean-Pierre encore tout haletant.
- Ne t’inquiète pas, elle va plutôt bien, on l’amène a cet instant en ambulance. Elle est juste commotionnée mais ça aurait pu être plus grave.
- Alors que Terry passe les menottes à la doctoresse un médecin renseigne qu’il a vu Véronique fuir par l’escalier de service. « Elle avait l’air très pressée ! »

Pendant ce temps Véronique dans sa hâte à fuir referme une porte sur sa blouse blanche et la perd se retrouvant à nouveau nue. Pas le temps de la remettre ! Elle décide de profiter d’une ambulance qui vient de rentrer. Tandis que les ambulanciers se portent à l’arrière pour sortir leur malade, elle les menace de son arme, monte nue au volant et démarre brusquement. A ce moment Terry descend.
- Elle est folle celle-là ! s’exclame un ambulancier surpris et outré.
- Qui était à l’intérieur ? demande alors Terry prise d’un affreux doute.

L’ambulancier lui montre alors la carte d’identité de la malheureuse patiente. Aucun doute c’est Adeline.
- Y a-t-il moyen de réquisitionner un hélicoptère ? renchéri Terry.

Et bientôt Terry et deux collègues prennent place dans un hélico, prêt à se lancer à la poursuite de la fuyarde impudique.

Véronique complètement à poil au volant se concentre sur la conduite. Ses seins n’ont jamais été aussi durs et pointent droit. Ses pieds s’amusent des pédales. Le bruit de l’hélicoptère se fait insistant. Véronique regarde et comprends qu’elle est prise en chasse et que la poursuite est inégale. Elle allume la sirène pour aider à s’ouvrir le passage.
- La voilà ! s’écrie Terry, elle conduit comme une folle

Toute sirène hurlante, l’ambulance se fraye un chemin rapidement entre les voitures.
- Il faut attendre qu’elle sorte de la ville, ici c’est trop dangereux. Surtout ne tirez pas dessus, Adeline est à l’intérieur.

Très vite Véronique emprunte les chemins boisés et sinueux en dehors de la ville. Ses seins sont très tendus. Elle s’excite de sa propre nudité au volant.
« HA HA vous ne m’aurez jamais toute nue »
- Ici ça ira ! s’exclame Terry, on va lui barrer le passage, et l’hélicoptère se pose au milieu de la route profitant d’une petite clairière. Terry en descend rapidement.
« Je vais t’écraser petite emmerdeuse », geint alors Véronique dont la beauté n’est plus qu’un masque.

Dans l’instant l’ambulance bondit comme un fauve et part se jeter sur Terry qui, ultime réflexe de survie, tire sur le pneu avant qui explose. L’ambulance alors complètement déséquilibré commence à zigzaguer d’un bas côté à l’autre. Terry en se jetant sur le sol a à peine le temps de voir la tronche décomposée de Véronique qui essaie vainement de corriger la trajectoire folle de l’ambulance qui bientôt devient totalement incontrôlable et sort de la route. La rencontre avec la première bosse provoque l’ouverture de la porte arrière et l’éjection salvatrice d’Adeline qui se retrouve jetée avec son lit sur le chemin. Terry coure au nouvelle d’Adeline qui bien que bousculée semble aller bien. Pendant ce temps l’ambulance continue sur sa lancée, brinquebalant à vive allure. Véronique plus nue que jamais, impuissante à corriger la trajectoire folle de son véhicule, ne peut que constater qu’un profond ravin s’apprête à se dessiner sous ses roues : voyant arriver le vide, elle se cramponne au volant tout en poussant des jappements d’impuissance qui se muent bientôt en un hurlement plus prononcé d’effroi. Elle se barre ensuite le visage allant d’un AAAAAAH !!! de circonstance et disparaît dans le profond précipice qui l’avale telle une bouche sans fond et à l’appétit goinfre. L’ambulance se fracasse 200 mètres plus bas sur une énorme roche et sous le choc explose littéralement, les flammes jaillissent à la même seconde emportant la pulpeuse criminelle nue dans la mort.
- Bon sang quelle chute ! s’exclame l’un des deux policiers
- Affaire résolue ! rajoute Terry en regardant l’ambulance complètement explosée en contrebas de la falaise et qui hoquète encore quelques flammes.

FIN
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Histoire de pelochon

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Commentaires du récit : Perverse infirmière

Le 08/04/2010 - 20:41 par Paradise Kiss
Euuh...C'était pas senser être une histoire érotique??

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