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Première journée de soumission de Laetitia

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 26/10/2024

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Première journée de la soumission de Laetitia

Au lendemain de l’acceptation de la soumission de mon épouse, Laetitia devait venir vêtue d’une robe noire avec des escarpins puisque les températures extérieures étaient clémentes.

Le patron n’a pas imposé de dessous particuliers, il a donc laissé libre choix pour le port des sous-vêtements.

Elle s’est préparée le matin comme presque tous les matins, mais avec l’appréhension d’aller au travail sans savoir ce qui l’attend.

Je l’ai rassuré en lui rappelant qu’il n’avait pas le droit de la toucher durant les six premiers mois de son éduction et que du coup elle aurait le temps de voir venir et prendre la mesure de sa soumission.

Arrivée à son bureau, le patron l’a convoqué pour qu’elle puisse mettre à exécution les conditions, en l’occurrence lui montrer sa tenue en lui soulevant pour savoir ce qui se cache sous ses habits.

Devant la porte de son bureau, son cœur bâtait la chamade… Elle était pétrifiée de toquer pour entrer et devoir se montrer à son maître, finalement au bout de quelques secondes elle a pris la décision de toquer et une voix forte lui a ordonné de rentrer dans le bureau.

Laetitia a ouvert la porte puis elle est rentrée dans son bureau en prenant le soin de bien refermer la porte derrière elle.

Elle s’est avancée devant son patron et à environ deux mètres devant son bureau s’est immobilisée en lui disant de sa petite voix tremblante et hésitante :
Laetitia : « Bonjour Monsieur »,
Le Maître : « Bonjour soumise, mais il me semble qu’en ma présence seule tu dois m’appeler Maître ! »,
Laetitia : « Pardon, oui bonjour Maître »,
Le Maître : « Voyons-ça… belle tenue, tu portes bien les robes, tes jambes sont très fines et élégantes et tes escarpins les mettent en valeur. Tourne-toi sur toi-même que j’admire tes formes ! »

Laetitia s’est exécutée en faisant un tour complet sur elle-même pour qu’il puisse l’observer de tous les angles. « Doucement, continue doucement, rien ne presse, tu as le temps de bien me montrer ! » lui a ordonné son patron.

Elle a donc pris le temps de bien lui montrer de profil puis de derrière avant de se retourner vers lui.
Le Maître : « Tu as vraiment un très beau cul ! »
Laetitia : « Merci. »
Le Maître : « Merci qui ? »
Laetitia : « Merci Maître. »
Le Maître : « Voilà c’est mieux, tu as désormais le devoir de me nommer à chaque phrase, c’est clair ? »
Laetitia : « Oui Maître. »
Le Maître : « Bon à présent, tu vas me soulever cette robe que je vois ce que tu portes dessous, depuis le temps que tu m’excites et que j’ai envie de voir ça ! Alors action, soulève ! »

Mon épouse était très réservée sur cette pratique, elle n’osait pas soulever pour montrer une partie de son intimité, même si les sous-vêtements portés la protègent encore de sa nudité comme une sorte de bouclier.

Elle a pris doucement sa robe en main et hésitait à le faire.

Le Maître : « Allez dépêche-toi, on ne va pas y passer la journée, exécution ! »

Timidement elle a soulevé pour dévoiler son string de couleur bleu marine. Puis devait se retourner pour montrer de derrière pour lui dévoiler une partie de ses fesses, ce qu’elle s’est efforcée à faire dans la foulée.

Le Maître : « C’est bien, désormais tous les matins c’est comme-ça sans que je te le demande, tu as obligation de venir te présenter à moi, de faire un tour sur toi-même habillée, puis de soulever pour me montrer devant et derrière, c’est entendu ? »
Laetitia : « Oui Maître. »
Le Maître : « Tu peux retourner à ton bureau, si j’ai besoin de toi, je t’appelle. »
Laetitia : « Très bien Maître. »

Laetitia est ensuite sortie de son bureau avec le cœur plus léger. Elle tremblait de tout son corps car sa grande timidité lui interdisait de se montrer ainsi à un inconnu. La voilà soulagée au-moins jusqu’à demain pour la question de devoir se montrer à lui, du moins en pensée…

Dans la journée, le patron a fait appel à ses services pour diverses raisons, le courrier à étudier, les notes à prendre, les marchés à consulter et beaucoup d’autres formalités administratives.

Parfois sa visite se faisait dans son bureau en compagnie des autres assistantes parfois dans le bureau du patron.

Elle devait faire sans cesse attention à comment elle répondait et ne pas confondre Monsieur en public et Maître en privé.

Dans son bureau, assise en face de lui sur le fauteuil dédié pour la cause, elle n’avait pas le droit de croiser les cuisses, élément qui lui avait échappé la première fois.

Le patron a tout de suite réagi en lui rappelant qu’en face de lui, assise seule, le croisement des jambes était interdit et qu’elle devait toujours garder les cuisses écartées pour qu’il puisse bien observer son entrejambe.

Du coup elle a décroisé ses jambes et s’est repositionnée en face de lui de manière à ce qu’il puisse bien voir son string et ses cuisses sous sa robe.

Il a immédiatement approuvé sa nouvelle posture en lui rappelant que c’est ainsi qu’elle doit se présenter à lui assise, mais uniquement lorsqu’elle est seule avec lui.

Durant toute la journée elle s’est donc retrouvée ainsi assise en face de lui dans son bureau.

En fin de journée, avant qu’elle ne quitte son service, il lui a demandé d’écarter ses cuisses pour qu’il puisse bien contempler son string.

Après s’être avancée un peu sur le fauteuil, elle a un peu écarté plus grand ses cuisses ce qui ne convenait pas au Maître puisqu’elle devait encore écarter davantage.

Au bout de plusieurs « Allez encore, vas-y écarte encore » elle a fini par se retrouver les cuisses pratiquement entièrement écartées devant lui.

Puis elle a entendu son patron lui dire : « Regarde-moi ça petite coquine, tu as la fente humide… On voit bien ta mouille qui dessine les contours de tes lèvres vaginales ! »

Laetitia était morte de honte devant lui, mais elle m’a avoué qu’en même temps elle n’a pas compris pourquoi mais cette honte s’est transformée en une sensation nouvelle, une forme d’excitation par la confusion.

Le patron lui a demander de se lever et de rentrer chez elle, mais que progressivement les strings opaques vont être remplacés par des strings en dentelle ou en tulle transparent pour qu’il puisse découvrir les formes de sa chatte.

Complètement dévastée par ces propos et cette vision future, Laetitia a salué son patron et a quitté le bureau pour retourner chez nous.

Durant le trajet retour elle a discrètement touché son string entre ses cuisses pour découvrir qu’il était effectivement bien humidifié par sa chatte qui transpirait selon elle.

Lorsqu’elle est rentrée chez nous, elle m’a tout raconté et j’ai demandé qu’elle me montre son string. Je confirme qu’on distinguait la forme de ses lèvres vaginales à travers le tissu complètement trempé de sa mouille.

On a encore longtemps discuté de sa première journée et de son ressenti. Elle m’a avoué qu’elle s’attendait à pire, à devoir baisser sa culotte, ce qui heureusement ne s’est pas produit.

Je lui ai demandé si se montrer à son patron était difficile, elle m’a répondu que c’était un exercice plutôt compliqué car je sais bien combien elle est pudique et n’ose à peine se montrer à moi…

Avant de quitter le bureau, le Maître lui a imposé la tenue du lendemain…

Suite à venir…
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Histoire de Epicure75

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