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Première partouze

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Lue : 1058 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 05/07/2021

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Claire est une jolie brune, très délurée qui vit dans un bourg près de Toulouse, au mois d’août 1985 elle a 18 ans, n’est plus vierge depuis longtemps et recherche des aventures épicées. Elle travaille comme serveuse dans un des cafés locaux et attire Dupuy, un quadra, copain de son père qui va l’entreprendre et me raconter, trente ans plus tard, une histoire croustillante, celle de sa première partouze.

« Au bar je discute avec elle, je la sens peu motivée. Elle me dit qu’elle a envie de fric, mais qu’elle n’aime pas bosser. Je remarque qu’elle s’habille mieux qu’avant, presque coquette. Une fois, m’enhardissant, je lui dis :
— Tu sais ma belle comme tu n’es pas farouche (elle sourit), tu pourrais te faire de la tune sans trop forcer…
— Ah bon et comment donc ?
— Ben, quelques soirées privées, avec champagne !
— Tu me demandes de faire la pute ! En s’énervant.
— Mais non ! Des échanges entre adultes consentants, sans obligations.

Si cette conversation se termine ainsi, elle doit réfléchir, car vers la fin août elle m’entreprend :
— Tu sais, je pars dans peu de temps à mon lycée mais je serai là les WE. Par rapport à ce que tu m’as dit, il y a des possibilités ?
— Je te tiens au courant, mais déjà ce samedi tu serais libre ?
— Oui.

Le soir même, je contacte deux de mes plus proches compagnons de bringue : un médecin obsédé par le cul, affublé d’un engin démesuré et le quincailler, un bon nounours bedonnant, photographe amateur. Le médecin a un petit chalet au-dessus d’Aspet à un peu plus d’une heure de route, on se débrouille pour se libérer et nous embarquons Claire, discrètement, le samedi matin.

Elle est sexy avec une robe fine printanière, ses longs cheveux bruns, le visage légèrement maquillé. Je suis au volant et elle s’installe à l’arrière à côté du toubib qu’elle connaît bien, médecin de famille et copain de son père.
— Ma chère Claire, cela faisait longtemps que je ne t’avais pas vue… Pas souvent malade, tant mieux pour toi. Tu étais déjà très mignonne, là tu es resplendissante, ce en lui posant sa main gauche sur la cuisse. La dernière fois, tu n’avais pas encore seize ans. C’était à la suite de ton dépucelage, tes parents se sont inquiétés. Je t’ai examiné en détail et tu m’as fait bien bander, ce qui m’arrivait rarement avec mes patientes.

Il y va fort et direct, nous ça nous émoustille et elle ne semble pas choquée de ces souvenirs gynécologiques.
— Voyons si cette magnifique foufoune se porte toujours aussi bien, poursuit-il en remontant sa main, ah pas de culotte, coquine ! Accès direct à la plage. Toujours l’Amazonie ! dit-il en soulevant la jupe.…

Moi regardant dans le rétro, la vue de la touffe me fait presque aller dans le fossé…
— Où en est tu depuis cette défloraison
Elle, nerveuse :
— Ben une dizaine de mecs et un copain qui m’a appris beaucoup de choses.
— Il sait que tu es avec nous ?
— Je l’ai quitté en juin, mais j’ai été fidèle pendant un an et demi. À nouveau libre je veux expérimenter d’autres choses mais plus comme avant. Là j’ai découvert le plaisir, le clitoris, le point G et je suis devenue selon lui « la princesse de la pipe ». J’ai envie de voir un peu ailleurs pour comparer. J’aimerais devenir une experte, une courtisane, une nana que les hommes badent pour ses talents.

Elle disait cela mécaniquement comme une démarche à suivre. Je perçois qu’elle commence à flipper avec tous ces mecs autour d’elle.
— Quel beau programme ! reprend Doc, tu es tombé sur qui il fallait : des vrais mecs, murs et virils, pas de petites tarlouzes. De toute façon tu es faite pour ça , tu as une foune à bite !
— C’est-à-dire ? questionne Claire surprise par cette appréciation directe et salasse.
— Comme je te l’ai dit je connais ton sexe. Je ne sais pas bien d’où tu sors, mais tu n’as pas une moule de française. Plutôt asiatique ou indienne, j’en ai connu.
— Pourquoi tous les sexes de femmes ne sont pas pareils ?

— Bien sûr que non ! Il y a cinq grandes sortes de vulves. La tienne c’est une « tulipe ». Tes grandes lèvres sont larges, bien gonflées et les petites, très charnues, les dépassent. Tu as un gros clitoris. De plus ta forte pilosité indique que tu dégages beaucoup d’hormones d’où les fortes odeurs corporelles dont tu t’es plainte, que tu mouilles rapidement et que par conséquent tu peux absorber de grosses queues, larges et longues, comme la mienne.
Claire qui se sent un peu perdue après cet exposé sur sa propre anatomie, questionne à nouveau :
— Elle fait quelle longueur ?
— Presque vingt et large. Ton minet il tient combien ?
— Presque 15 je crois…
— Ton mec, il arrive au fond de ton minou ?
— Pas tout à fait…
— Donc tu dois faire plus de 16, une « éléphante » !
— Une éléphante ?
— Oui le kamasoutra – le toubib étale son savoir pour épater la donzelle – cite trois tailles : lièvre, taureau et cheval pour les hommes et biche, jument et éléphante pour les filles. Tu es bien une nana à bite !
— Mais tu n’entreras pas tout !
— Pas grave ! En revanche toi ça devrait te plaire. Tu sais Claire, vous les filles il vous faut choisir les mecs à la taille de leur membre et non à leur tronche…

Il va sans dire que leur conversation nous enflamme et vers 11 heures le chalet apparaît. On descend, avec les courses et nos affaires. Le Doc fait visiter le chalet à Claire et lui montre sa chambre. Comme je trouve la petite bien partie, j’appelle le notaire qui m’a dit de le tenir informé si je la sentais open.

Le quincailler prépare l’apéritif sur la table de jardin pendant que je m’attelle à nettoyer les ustensiles pour les grillades qu’on a prévues à midi. Nounours adorait la photo et se débrouillait mieux que moi.

Lorsque Claire réapparaît dans la cour, il lui propose quelques prises de vue dans sa jolie robe. Elle se prête au jeu. Regardez, une des mieux.

— Affirmatif, répondis-je devant le cliché qui m’impressionne, une vraie jeune lionne !
— Après j’en ai d’autres. Cette virée a été une des plus sexy de ma vie alors, comprenez comme je suis fétichiste j’en ai gardé toutes les traces !

Bien excités par la séance, on passe ensuite à l’apéro. Elle s’installe en terrasse dans un fauteuil en rotin et on l’entoure. Elle m’avait dit qu’elle adorait le vin de Champagne qui la désinhibé et la stimulait, alors je la sers rapidement… Au deuxième verre, ses yeux pétillent plus que le breuvage. Il fait très bon, et une légère brise nous stimule. Mais contrairement à ce que vous devez penser, on n’était pas du tout des porcs lubriques. En fait, Claire, après avoir commencé à paniquer dans la voiture, semble à présent contrôler la marche des choses avec un érotisme époustouflant. Doc a su l’apaiser.

Prenant conscience qu’elle a affaire à trois vieux matous et sans compter un quatrième dont elle ignore encore la venue, elle questionne le toubib qui l’a impressionné par sa maitrise des questions sexuelles. Un docteur ça met en confiance…
— Je crois que je me surestime, vous êtes trois, c’est beaucoup…
— Voyons ma poulette, combien de fois par jour as-tu fait l’amour avec ton Jules ?
— Au début beaucoup, on n’avait rien à faire et il avait du retard à rattraper. Jusqu’à cinq fois. De plus vu la cadence, il mettait du temps à décharger et à la fin j’avais le minou irrité…

— Ben, où est le problème ? Nous on est que trois, un coup chacun aujourd’hui et autant demain : on est sous tes quotas. Tu devrais t’en sortir…
— Vu comme ça…
— Quant aux gâteries à l’allumage, qu’en penses-tu ?
— Non, les branlettes ça ne compte pas. Les pipes tant que les pénis sont propres et pas vilains, j’aime bien. En revanche pas de sodomie !
Du coup ensuite elle est très détendue. Le doc continue :
— Alors une gâterie pour l’apéro ?

Claire comprend que le temps des palabres est passé, qu’il faut qu’elle assume son pari de courtisane. Elle écarte ses cuisses, se met à se remonter le bas de la robe pour nous offrir à nouveau la vue de sa magnifique foune et commence à se la caresser avec sa main gauche. Ses lèvres – celles de la bouche et celles de la vulve – gonflent. Elle ferme à demi les yeux. Je n’en peux plus ! Étant allongé sur un transat à sa droite, je me descends le pantalon et lui tend mon chibre.

Sans hésiter elle le prend dans sa main droite et commence à le branler. Quant au Doc, il se met à genoux pour la lécher.
— Tout cela part très vite !
— Ce n’était que la première séquence. La diablesse est toute jeune et pleine de ressources comme vous allez voir ! On réussit fort. Elle commence à tressaillir de plaisir grâce à la langue experte du toubib.
— Sacré Claire ! Tu as le minou qui sent fort et j’adore ce goût aigre, tu es vraiment hormonale !
Elle me serre et me secoue le jonc de plus en plus violemment. Nounours ruisselle de sueur.
— Bon je prends mon tour, dit-il, tant pis je ne peux pas attendre !

Il fait tomber son pantalon et apparaît sa pine. Même Doc est surpris. Il ne le savait pas aussi bien monté : presque plus que lui. Moi je me sens un peu ridicule avec mes 13 cm… Il lui lève les jambes pour avoir son sexe en meilleure portée, et y enfonce son pieu.
— Elle glisse bien, dit Claire.
— Putain, que tu mouilles, ça rentre tout seul dans ton tunnel ! Lui répond Nounours.

Doc complète :
— Tu vois, Claire, pas de raison de t’inquiéter tu as vraiment de grandes capacités !
Les trois quarts du chibre sont en effet rentrés sans problème, mais Nounours s’exclame en haletant :
— Je touche le fond !
— Doucement, réplique Claire, j’ai mal…
— Vous voyez, dit Doc très fier de lui, j’avais dit au moins 16….

La petite a l’air d’aimer même si on ne sent pas d’orgasme. Moi j’éjacule et Nounours, qui dans l’empressement n’a pas mis de preserv, se retire d’elle brusquement et envoie plusieurs jets de sperme sur sa robe et son visage… Elle n’apprécie pas…

Le toubib pas très content prend Nounours à l’écart :
— Arrête de faire le con, elle va paniquer ! Tu la prends sans capote alors que tu ne sais pas où elle a trainé cette petite salope et de plus tu lui balances ton foutre dans la gueule, calmes-toi !

Le doc reste en réserve, mais il va se rattraper… Apaisés, on passe ensuite à table quand le notaire arrive. Il est à son tour ébloui par Claire dont il se rappelait comme une gamine paumée mal fagotée. Elle est d’abord un peu contrariée par cette quatrième bite qui arrive mais elle apprécie le notable, un très bel homme qu’elle connaît pour avoir négocié le terrain de la maison paternelle.
— Bonjour ma belle, lui dit-il en lui tentant un superbe bouquet de fleurs, ravi de te revoir ! J’ai raté l’apéro mais tu me gâteras pour le digestif. Claire sourit, elle accepte la situation qui passait du trio au quatuor.

On boit pas mal !
— Les amis, dit le Doc à la fin du repas, je vous propose une petite sieste puis une promenade, il y a un site super pas loin. Ce soir je vous invite au resto au village !
— Super la promenade ! répond Claire qui s’assoupit, récupérant de la première ruade.

On avait compris pour la sieste… Le thérapeute attend son dû et c’est le maître des lieux. Il accompagne Claire dans sa chambre et y reste. Nous, sacrés voyeurs, on le suit discrètement et, par les interstices des planches de bois de la cloison rustique, on peut les suivre. Claire se déshabille, le Doc enlève sa chemise, s’approche d’elle et lui demande de finir de le dévètir, s’entendant à un cri de surprise. Effectivement lorsque la coquine voit l’engin elle en pousse un petit.
— Je n’ai jamais vu aussi gros ! C’est pire que Nounours, tu vas me faire mal !
— Mais non, je vais rentrer au moins aux trois quarts puis je fais attention, je te promets. Tu dilates merveilleusement comme on l’a vu à l’apéro. Quant à la largeur, les femmes vous pouvez aller au moins jusqu’à plus de dix centimètres, alors tranquillises toi. De plus, pour vous, c’est le diamètre qui compte et vous fait jouir et non pas la longueur qui n’a d’importance que pour nous les mâles.

Elle commence à le sucer pour s’habituer au braquemard, mais sa largeur la gêne pour le gober, alors elle se répand surtout en coup de langue. Lui, l’accompagne d’un efficace doigté. Puis, quand il la sent prête, il l’enfourne.

C’était à voir ! La charge de la cavalerie lourde ! Mais en expert, il s’y prend très bien et la petite semble apprécier ou du moins supporter le diamètre et la longueur. Le Doc avait encore raison : là elle a un orgasme, mais semble-t-il le seul véritable du séjour.

Deux heures plus tard nous entamons la petite rando. À la pause, à l’un des plus beaux points de vue sur la montagne, Nounours propose une nouvelle séance de photos. Là, Claire est nue, je vous les montre, superbes et toujours excitantes plus de trente ans après, quel moment ! Le notaire est rouge pivoine. Le doc dit :
— À ton tour, fais-nous un bel acte, tu es ok Claire ?
— Encore ! J’en ai un peu marre de me prendre des coups de queue !
— Ben, notre cher notaire, lui, n’a pas eu encore le plaisir de voir tes talents et on a compris que pour le digestif…

Claire pourrait pu tout arrêter mais elle ne le fait pas. Après avoir étendu une serviette sur l’herbe, le tabellion la prend en levrette sous nos yeux et elle encaisse sans réel plaisir les saccades successives. Puis le notaire se retire et répand son sperme sur le bas du dos de la petite pute.

Le dimanche matin avant de partir, on lui remet une pétée, mais c’est moins émoustillant que la veille. On s’est tous cotisés, un sacré pactole pour elle et elle le mérite : deux branlettes, cinq pipes et huit pénétrations. Tout le monde est rentré ravi, on le serait à moins ! Le week-end suivant on a fait l’apéro avec son père :
— On a vu ta fille ainée, tu sais, elle est en pleine forme !
— J’espère, répondit-il soucieux, elle a sa rentrée et elle doit s’accrocher c’est sa dernière chance !
En regardant mes comparses, d’un œil amusé et complice, je lui répondis :
— Ne t’inquiètes pas ! Elle est pleine de ressources ! Et en moi-même : si elle rate son bac ce sera quand même une belle pute, et effectivement une princesse de la pipe ! ».
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