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Première rencontre avec ma maîtresse

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Lue : 4669 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/04/2012

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Ceci est l'histoire (fictive) de la première rencontre avec ma maîtresse. Sorte de fantasme avant notre vrai rencontre quelques jours plus tard.
Nous nous sommes rencontrés sur un site de rencontre extra-conjugale, oui nous sommes mariés tous les deux. Depuis nous entretenons une relation suivie où nos désirs virtuels ont depuis fait place à la réalité...

Une invitation. Un rendez-vous. Une rencontre... J’arrive.

Une pause clope, tu m’attends. Impatiente, fébrile (excitée). Pour la première fois nous voici réuni. Face à face. Un bonjour. Une bise, sur une joue, sur l’autre (l’envie d’autre chose. Un baiser ?).
Nos regards ne peuvent se quitter. Soudain tu prends ma main, m’entraines. Vers un lieu connu de toi seule. Un endroit secret. Loin des regards. Loin de tout, de nos vies, loin du temps. Nous deux, seuls. Ensemble. Ma main ne t’a pas lâchée, jamais rompu le contact. Nos yeux se retrouvent, sans un mot. Pas envie de parler. Juste envie (de contact) d’être là. Nos bouches s’attirent, nos lèvres se touchent. Notre baiser (enfin ce baiser...) est sensuel, chaud. Délicieux. Nos langues font connaissance, s’apprivoisent. Ton goût est sucré... Le plaisir monte, le désir grandi. Mes mains te caresses doucement le dos, remontent lentement pour se perdre dans ta chevelure, pressent délicatement ta tête. Mon cœur bat la chamade, je sens le tien à l’unisson. Tu frisonnes de ce baiser langoureux, contradictoire avec cette chaleur qui monte doucement dans tout ton corps. Ma bouche quitte la tienne et glisse sur ta joue, ton cou, ta nuque. Mes lèvres frôlent ta peau. Tes yeux sont fermés, savourant chaque instant, tes mains m’agrippent, comme pour m’empêcher d’arrêter, de m’enfuir, de mettre fin à ce moment de bonheur intense. Mes mains, elles, se déplacent, parcourent ton corps, en découvrent les formes. S’attardent sur tes fesses, les caresses, en apprécient le galbe. Ma main droite remonte inexorablement plus haut. Elle en veut plus, elle veut tes seins. Et, pendant que ma bouche s’attarde sur ton coup, elle malaxe ton sein droit, lentement, avec douceur. Je sens la pointe durci par ton excitation au travers de ton chemisier. Mes doigts le frotte, le titille. Tu soupires. Tes mains me pressent plus fort, ta bouche me supplie : «- Encore...». Je déboutonne ton chemisier, ma main glisse à l’intérieure attirée par ton sein, encore. Ma bouche revient sur la tienne, s’attarde, puis la quitte à nouveau pour descendre. Mes lèvres veulent tes seins...

L’endroit est calme, silencieux. A l’abri de tout regard, presque hors du temps. Il est le seul témoin des ébats passionnés de deux amants qui se retrouvent.
Nos corps sont mêlés, enlacés, fondus l’un dans l’autre. Nos bras entrecroisés s’activent dans une frénésie de caresses, comme pour découvrir avec le sens du touché chaque parcelle du corps de l’autre.
Nos têtes sont jointes, collées par la bouche dans un baiser sans fin. Nos lèvres s’apprécient, nos langues bataillent. Ce baiser est tendre et fougueux, comme le désir qui grandi et grandi encore.

Tout à ce baiser, les yeux fermés, je ressens ton corps de mes mains qui le caresse. Je sens ton odeur. Tu sens bon. Une odeur suave, subtile. Enivrante. Une odeur de désir.
Ma main droite, plus baladeuse, remonte au niveau de ta poitrine. Palpe délicatement ton sein. Le malaxe avec douceur. Je sens sa pointe durcie d’excitation sous ma paume. Elle est dressée, ne demandant qu’à s’extraire, sortir de ce vêtement qui la comprime, respirer à l’air libre. D’un geste rapide je te débarrasse de ce superflu, ce chemisier inutile. Avec une dextérité déconcertante je dégrafe ton soutien-gorge et te voilà... Je contemple ta poitrine. Tes seins. Beaux, menus, fermes (terriblement excitants...) (cela dit, je ne peux que les imaginer...), leurs pointes dressées, lançant un appel. Un appel auquel je ne résiste pas...

Tes seins. Beaux, menus, fermes (terriblement excitants...), leurs pointes dressées, lançant un appel. Un appel auquel je ne résiste pas...
Mes lèvres découvrent enfin la douceur de ces seins tant convoités. Ils en effleurent délicatement la surface, à cet endroit, ta peau est douce, chaude, avec un goût de miel. Ma bouche en avale la pointe toute entière, ma langue lèche ton téton avec gourmandise comme un bonbon aux saveurs délicieuses. Pendant que ma bouche s’attèle à te dévorer les seins, tantôt le droit, tantôt le gauche (pour ne faire aucun jaloux...), mes mains accompagnent cette boulimie de plaisirs en les malaxant, les malmenant, les caressant avec douceur et légèreté. Tes soupirs se font plus fort, plus intenses, tes mains agrippent ma tête pour la presser contre ta poitrine qui m’est totalement offerte. Tu frisonnes mais ton corps est chaud, brulant de désir. Ta respiration s’accélère, ton cœur bat si fort que je peux l’entendre.

Pendant que ma bouche s’attarde sur tes seins, ma main glisse le long de ton ventre et, sans même que tu t’en rendes compte, desserre ta ceinture et défait un à un les boutons de ton pantalon qui se retrouve bientôt à tes chevilles, suivi de près par ta culotte. Machinalement tu m’aides à le retirer, puis t’appuies sur une table qui se trouvait derrière toi. Elle remonte doucement entre tes jambes, douces, fines. Caressant au passage ton mollet, l’arrière de ton genou, l’intérieur de ta cuisse (ce qui te provoque une légère chatouille mais celle-ci, mélangée aux frissons de plaisir, devient presque agréable...). Elle atteint finalement une zone sensible au contact suave. Ma paume se plaque contre ta toison comme pour en englober toute la surface. Mon majeur se glisse doucement au centre, un peu plus bas, pour en explorer les secrets. S’introduit dans ta fente en quête de tes atours intimes... Finit par trouver ton petit bouton du plaisir et s’amuse à le taquiner doucement, à en faire le tour par frottements voluptueux. Continuant sa fouille, il descend encore pour arriver à une entrée magique. Il s’y engouffre. Tu manifestes ton plaisir et ton approbation en m’étreignant plus fort contre toi, agitant plus fougueusement ta langue dans ma bouche. Un mouvement s’amorce alors. Te pénétrant avec ce doigt aventureux dans un mouvement exquis. Il est humide, témoignage de ton excitation. Entre et ressort, encore et encore. C’est si bon...

Ma bouche finie par quitter la tienne. Descend lentement, parsème ton cou de baiser, tes épaules. Flâne sur tes seins. Encore... Descend. Dépose çà et là quelques baisers sur ton ventre, ma langue fouille ton nombril. Descend encore... Mes lèvres rencontrent d’autres lèvres, plus sensuelles, plus délicates (plus intimes...). Je les embrasse avec délice. Ma langue cherche ton clitoris, le frotte de la pointe, le lèche tendrement. Tes mains plaques ma tête contre ton bas ventre comme pour m’empêcher de stopper ce moment d’extase. Tu écartes d’avantage tes cuisses pour me laisser libre accès à ton intimité. Tu glousses de plaisir, tu aimes ça... Pendant que ma langue s’évertue à te combler, mon doigt lui continus son œuvre dans tes profondeurs...

Puis tes mains me plaquent plus fort, tes doigts s’agitent dans ma chevelure, ta respiration s’accélère, tes cris de plaisirs se font plus intenses... Je sens ton extase approcher.
Ma bouche t’embrasse plus fort, ma langue lèche ton clitoris avec plus de fougue, mon doigt accélère son mouvement. Soudain la chaleur de ton plaisir explose au plus profond de ton être, tu ressens une onde de choc parcourir tout ton corps pour finir sa course dans ta tête. Tu vacilles, tu ne sais plus où tu te trouves, rien ne compte désormais que cet instant de béatitude euphorique. Ta jouissance est belle, voluptueuse, intense...

Je remonte lentement, par étapes. Des baisers sur ton ventre, sur tes seins (délicieux !), ton cou. Ta bouche. Nos langues se retrouvent....
Tu m’écartes doucement, me fais pivoter, me retires mes vêtements (j’étais encore habillé...). Mon pull, mon pantalon, mon caleçon. Me voilà nu devant toi. Tu me scrutes, m’observes (me mange des yeux...). Cette fois c’est moi qui m’appuie sur le bord de la table.
Dans un baiser tu me dis : «A moi, maintenant.»...
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