Prise en soirée

Nous n'étions mariés que depuis peu de temps lorsqu'un collègue de travail, nous invite, Carla, ma jeune et ravissante épouse, et moi, à une fête. Tom, nôtre hôte avait insisté.
« Allez Marc, ce sera l’occasion de nous présenter ton épouse. »
Malgré le fait que nous ne connaissions pas beaucoup de gens, nous avons tout de suite sympathisés. Après quelques danses, Carla, excellente danseuse, est vite courtisée. Surtout pat mon pote Tom, mais aussi par son copain, un certain Jeff, que l’on ne connait ni d’Eve, ni d’Adam.
Je me sentais très fier qu'elle soit au centre de tant d’attention et visiblement, elle s'en délectait aussi. Elle prenait un certain plaisir à allumer les hommes, mais ça n’allait pas plus loin.
Tom, en hôte parfait, lui servait à boire, aidé en cela par ce fameux Jeff. Ils étaient de suite autour d’elle quand elle regagnait le bar, posaient une main sur son épaule, la prenaient par la taille. Ca ne me déplaisait pas de la voir ainsi.
Mais plus la soirée avançait, plus l’alcool commençait à faire effet. Tom et Jeff, s’employaient à remplir mon verre. Ils parlaient entre eux, à voix basse.
Carla, elle, profitait de la soirée, passait de cavaliers en cavaliers, se laissait embrasser dans le cou.
Clara avait un peu bu, et dans cet état, je la savais vulnérable. Quant à moi, mes paupières devenaient de plus en plus lourdes, mais ne perdais rien des échanges à voix basse, entre Tom et Jeff. Ils parlaient de ma femme.
« Putain, la bombe, disait Jeff…je me la taperais bien. »
« A ouais, répondit Tom…et si je t’arrangeais le coup. »
« A bon, et comment ? »
« Je sais que son mari aime boire …je peux augmenter les doses si tu veux. »
« Sérieux, poursuit Jeff, tu ferais çà. »
Tom me sert un whisky, le dernier. Voyant mon état, il me propose d’aller me repose cinq minutes. Etait-ce une façon de m’écarter de la soirée. Toujours est-il que j’accepte sa proposition, laissant involontairement, ma femme entre leurs mains. C’est même Tom qui m’emmène à la chambre d’amis. Je ne veux pas m’allonger, de peur de vomir. Le fauteuil fera l’affaire.

Soudain, vers une heure du matin, j’entends des éclats de rire dans le couloir. La porte s’ouvre, apparait Carla, soutenue par Jeff. Mon épouse ne sait pas que j’ai regagnais la chambre, que je suis tapi dans l’ombre. C’est en toute confiance qu’elle a invité Jeff à la raccompagner.
Ils s’allongent sur le lit. Jeff couvre mon épouse de baisers. Sa main glisse sous le pull, pétrit les seins.
« Hi...hi…rit mon épouse…vous voulez me choper…salaud…vous savez que je suis mariée. »
« Chut, laissez vous aller, vôtre mari n’en saura rien »
Jeff se met à genoux, remonte la courte jupe, retire le string. La chatte de ma femme apparait, parfaitement épilée. C’est mon épouse elle-même qui retire les autres vêtements. Elle se retrouve entièrement nue, devant un inconnu.
Jeff a un sifflement admiratif, en découvrant le corps superbe de Carla. Il se penche pour l’embrasser, tandis qu’elle se pend à son cou. Donc, elle est assez lucide, consciente pour accepter ça, elle sait ce qu’elle fait.
Excité, je n’interviens pas, tout en sachant que mon épouse va me tromper. Jeff glisse sur le ventre de ma femme, l’embrasse sur tout le corps. Son visage arrive jusqu’à la fourche de la chatte, sa langue excite le clitoris. Carla ondule sur le lit, saisit les cheveux de Jeff, de peur qu’il ne se retire.
« Hum…salaud…vas-y, bouffe moi la chatte…hum… »
Jeff se relève, ôte ses habits. Il arbore une queue d’au moins vingt centimètres.
Inutile de dire que je ne peux lutter avec de telles mensurations.
Jeff pose ses mains sur les genoux de mon épouse, fait pression pour qu’elle s’écarte d’avantage. L’énorme queue pénètre la chatte, sans difficulté.
« Oh mon dieu, souffle mon épouse, que ta queue est grosse.
« C’est toi qui la fait grossir ma chérie…on va bien s’amuser tous les deux. »
« Oh oui…j’ai tellement envie…vas-y, fais moi mal…fais moi jouir…ah…ah…»
De là ou je suis, je vois le cul de Jeff, et les jambes écartées de ma femme. Je l’entends aussi gémir de plaisir sous les coups de boutoirs. J’assiste, impuissant, au premier orgasme de Carla.
« Oh oui…vas-y putain…maques moi… »
« T’aimes ça, hein ? Petite salope… je vais t’en donner de la queue.»
Il est clair que Jeff connait les femmes, il sait ce qu’elles aiment. Il demande à Carla de s’allonger sur le dos. Lui se met à genoux à côté d’elle. Il avance sa bite, jusqu’à ce qu’elle soit en contact de la bouche de ma femme. A ma grande surprise, Carla la prend en main, puis en bouche. Jeff ne reste pas inactif. D’une main experte, il caresse la chatte de ma femme, doigte le clitoris décalotté.
Je n’avais jamais remarqué que mon épouse avait un tel clito. C’est lui en l’excitant qui lui à donné cette taille. Le majeur provoque un effet dévastateur sur mon épouse, qui se tord, se cambre sur le lit en gloussant de plaisir, jusqu’à l’orgasme…le deuxième déjà.
Je n’en peux plus. Je tire la couverture sur moi, sort ma queue en érection, et commence à me branler. Je ne fais pas de bruit, de peur de les alerter de ma présence. J’étais à deux doigts d’éjaculer, quand je fus attiré par de puissants râles.
« Oh oui…vas-y salope…avale tout…ouais…t’aimes ça, hein…ouah… »
« Vas-y salaud, vide tes grosses couilles dans ma bouche…hum…c’est bon, fais voir que je te nettoie le gland».
Mais c’est fou, je n’ai jamais eu droit à une telle faveur.
Le couple roule sur le côté. Je vois Jeff se pencher dans le vide, fouiller dans son pantalon. Il se relève deux minutes après, s’allonge sur le dos.
« Regarde comme tu me fais bander…viens t’assoir sur ma queue. »
Carla ne se fait pas prier. Elle enjambe le corps de son partenaire, et s’empale sur son énorme calibre. Elle pousse un gémissement de plaisir, se cambre, tend sa croupe.
Soudain, la porte s’ouvre. Apparait alors Tom, une serviette enroulée autour de la taille. Il la laisse tomber au sol, libère une queue du même calibre que celle de Jeff. Il s’avance doucement derrière Carla, mouille un doigt, et fouille le petit trou. Ma femme a un léger sursaut, se retourne, sourit au nouveau venu. Tom fléchit sur ses jambes, jusqu’à ce que sa bite soit en contact avec le petit orifice. D’une simple poussée, il le pénètre. Carla pousse un cri de douleur.
« Aie…aie…l’enfoiré…il est en train de m’enculer…
Mon dieu, il est fou, sa queue est trop grosse, il va la déchirer. J’ai mal pour elle.
Je vois les deux calibres coulisser dans les orifices de mon épouse. Petit à petit, les gémissements de douleur, deviennent des cris de plaisir.
« Oh putain, que c’est bon d’avoir deux grosses queues dans le ventre. »
« On va te les mettre dans la bouche…tu vas tout avaler, grogne Tom. »
Tom se relève, Carla s’allonge sur le dos, Jeff se met en place. Ils se branlent tous les deux, au dessus de la bouche de ma femme.
« Vas-y, salope, ordonne Tom…ouvre la bouche…ah…ah… »
« Oh putain, elle aime le foutre la pute… »
Ensemble, ils vident leurs énormes couilles dans la bouche de Carla. Les deux mecs se regardent, se tapent dans les mains en signe de victoire.
Avant qu’ils s’en aillent, Carla prend bien soin de leur nettoyer le zob.
Lentement, je me lève, vais m’allonger à côté d’elle, la prend dans mes bras.
Elle s’est assoupie.