Récupération du vol

Mon ami Elise arrive de son voyage en avion :
Je vais me reposer un peu au lit.
Je crois savoir ce que tu vas faire.
Oui, comme d'habitude pour me reposer je me branle. Ca ne te dérange pas ?
Non, mais si tu veux j'irais te voir dans un moment.
Et me sucer ?
Je connais ton sexe comme ma poche et toi le mien aussi bien. Je vais me servir de mon dernier achat
Tu as un nouveau gode ?
Oui. Tu veux le voir ?
Je vais mouiller et je le voudrais aussi dans mon con ou mon cul ;
Tu es une véritable salope. Je te le mettrais après que je me sois branlée. Mais reste pour voir ce que je me fais.

Elle n'attend même pas mon accord. Elle est nue sur le lit, le gode dans la main droite. Elle le passe sur son corps Elle doit sacrément mouiller. Je veux la voir se donner du plaisir.

Elle passe le bout du gode, disons le gland sur sa fente. Elle avance le ventre sur le machin. Elle m'explique ce qu'elle fait :
Je vais me branler pour moi et pour toi. Regarde-moi faire.

Le gode pleine main entre doucement dans sa fente. Elle ferme les yeux et moi je la regarde en mouillant. Arrive le moment où je ne me retiens plus. Je passe ma main sous ma culotte. Je frôle le sexe. Mon dieu que j'ai envie d'elle, de son con, de son gode et de son cul.
Elle surveille ce que je fais :
Tu ne te branles pas ?
Je voudrais te branler, ton con m'attire.
Embrasses moi.

J'approche mes lèvres des siennes. Elles sont douces ; m'attirent d'avantage. Ma main va sur son ventre. Je caresse le nombril quand elle me donne sa fente.
Oui, masturbes moi.

Je ne dis ni oui, ni non, ma main se pose sur son triangle. Elle guide ma main. J'ai deux doigts sur sa fente. C'est doux, aussi doux que la mienne. Mais je ne sais pourquoi je fais juste un petit arrêt sur elle. Mes doigts descendent vers son petit trou. Je le caresse doucement pour finir par entrer même si elle ne veut pas : tu parles, elle réagit de suite en ouvrant son cul. J'y mets un doigt au début pour compléter ma charge avec un deuxième. Elle gémit. Elle ajoute à son plaisir deux doigts sur le clitoris.

Je la sens monter entière vers son plaisir. Sa respiration est saccadée : elle pousse un grand cri de délivrance quand je sens ses spasmes.

Elle se lève, ayant récupéré, ma laissant avec mon besoin d'orgasme que je traine jusqu'à ce que je me couche le soir où enfin je me branle plusieurs fois en jouissant de plus en plus fort.