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Rencontre insolite dans le métro 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 09/03/2023

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Heure de pointe dans le métro, Sandrine s'engouffre tant bien que mal dans le wagon. Elle s'agrippe à la barre verticale pour ne pas être refoulée. Le wagon est bondé, pressée de part et d'autre, elle ne peut bouger. Un homme est plaqué contre elle. L'inconnu s'accroche à elle en la prenant fermement par la taille. Elle sent sur son cou son souffle chaud. Les tressautements continuels de la rame font que les corps se frottent, en permanence l'un contre l'autre. Le bas ventre de l'inconnu, est malgré lui en contacte avec les fesses bien rebondies de Sandrine. Les vibrations sont telles, que la verge, en appuie contre les demi-sphères charnues de Sandrine, commence à prendre du volume.

Sandrine n'ose faire aucun mouvements, elle subit en soupirant le contacte du membre qui prend encore de l'ampleur. Sans savoir pour quelle raison, elle se cambre légèrement. L'homme prend ça pour une invitation. Il appuie plus fortement son bassin contre le fessier provocant, et agite doucement son bas-ventre. Sa verge est tendue au maximum, Sandrine la sent bien contre ses fesses, elle frissonne malgré elle. L'homme s'enhardit, il pose ses mains sur les hanches de Sandrine, les caresse un bon moment. Ses doigts atteignent le bas de la jupe, et lentement glissent dessous le fin tissu, le coquin caresse doucement la naissance des cuisses, puis progresse lentement sous la jupe. Sandrine se crispe un peu, son cœur bat très fort. Elle respire mal, la verge de l'inconnu qui glisse contre ses fesses, la fait soupirer, il n'y a que quelques millimètres de tissu qui protège son intimité. La rame s'arrête, quelques personnes en sort, puis d'autres entrent. Pendant la petite cohue, la jupe de Sandrine, involontairement, a remonté sur son fessier. Maintenant, il n'y a que la culotte qui serre de rempart au membre bien raide.

Une main de l'homme passe devant Sandrine, et caresse avec douceur l'aine en se dirigeant vers la porte des plaisirs. L'homme dépose quelques petits baisers sur la nuque et sur le cou de la femme, fébrile, qui se cabre lorsque les doigts fureteurs, de l'inconnu se posent sur sa fente que seule la culotte protège.
L'homme sourit puis gobe le lobe de l'oreille de Sandrine, qui soupire profondément. Elle ferme les yeux, sa culotte s'humidifie, au contacte des intrus. L'homme, d'une main habile, extirpe de son slip sa verge tendue et tente de forcer le barrage de tissu. Sandrine défaille, sa respiration s'accélère. Le membre puissant glisse dans le large sillon. Sandrine réagit, elle passe difficilement sa main derrière elle, et saisit l'intrus. Elle le presse fortement en soufflant comme une bête en chaleur. L'homme serre les dents, sa verge est prête à exploser.
Ses doigts appuient sur la vulve dégoulinante de jus. Le tissu humide de la culotte s'insère entre les grandes lèvres vaginales. Sandrine et très fébrile, elle serre les dents pour étouffer ses gémissements, les doigts de l'inconnu s'emparent de son bouton d'amour et le triture tant bien que mal, car la position n'est pas simple.


L'homme, tendu comme un arc, n'en peut plus, il délaisse la vulve en ébullition et écarte avec beaucoup de mal la culotte. Il decouvre l'anneau ridé, qui semble palpiter. Comme par miracle, son glaive se pose contre, il ne peut pénétrer le muscle rectal qui se resserre automatiquement. L'homme pousse doucement, l'anneau récalcitrant cède sous la poussée insistante, le gland s'engage que de peu dans le temple de Sodome. Sandrine se cabre, l'homme trop excité, envoie une puissante giclée de sperme dans le conduit à peine pénétré. Sandrine écrase fortement la verge gluante, l'homme pousse un cri et lui murmure à l'oreille :

-Suis-moi, tu mérites mieux que cela !

Le sperme s'écoule entre les fesses de la femme frustrée, l'homme replace la culotte dans le sillon fessier et range sa verge gluante dans son pantalon. Le compartiment est tellement bondé que personnes n'a vu quoi que ce soit. À la station suivante, l'homme insiste :

-Suis-moi, tu ne peux pas rester insatisfaite !

Il faut prendre rapidement une décision rapidement, car l'arrêt est de courte duré. Le choix est vite fait, les deux sortent du wagon. Sur le quai, Sandrine regarde l'homme, elle est surprise par le charisme de cet homme mûr, ses tempes grisonnantes, lui donnent un charme fou. Les deux se sourient, puis sortent du métro. Ils font quelques pas puis l'homme propose à Sandrine de prendre un verre avant d'aller plus loin. Ils sont attablés l'un en face de l'autre, les regards ne se quittent pas, les sourires qu'ils échangent sont ravageurs. Sandrine se demande pourquoi, elle en est arrivée là, elle, si pudique d'habitude, la voila, qui se promène avec la semence de l'homme dans son anus. L'homme lui prend la main et l'embrasse avec tendresse. Les deux s'avouent être mariés chacun de leur côté. L'homme, au prénom de Vincent, avoue que ce n'est pas son habitude de se frotter contre les femmes, mais là, il ne comprend pas pourquoi, il l'a fait, il est surpris de son attitude peu cavalière envers Sandrine. Elle repond en souriant :

-Au début, j'ai été choquée, puis cela est devenu excitant, je ne me suis même pas reconnue en cette femme qui se laissait faire !

Les deux éclatent de rire, enfin, ils terminent leur consommation, puis se dirigent vers l'hôtel le plus proche. Une fois dans la chambre, sans crier gare, l'homme bascule Sandrine sur le bord du lit, lui retrousse la jupe et lui arrache la culotte. Instinctivement, elle replie les jambes sur son ventre comme pour se protéger. L'homme, trop excité, lui écarte les cuisses et approche sa tête de la vulve encore trempée. Il hume avec force l'odeur fétide qui s'échappe du puits d'amour. Il plaque sa bouche sur la fente, la lèche avec rage. Sandrine mouille atrocement, elle a un peu honte de ce qu'elle fait, mais l'appel des sens est le plus fort. Vincent dévore la chatte en ébullition de Sandrine, qui geint de plaisir. La femme adultère, gémit sous les coups de langues répétées de son amant qui sans relâche lui dévore la chatte. Soudain, elle se cabre puis jouit en grognant comme un animal. Vincent la regarde et lui dit en souriant :

-Nous voila à égalité maintenant !

Il se redresse et retire tous ses vêtements, il retire avec douceur un à un ceux de Sandrine qui, se retrouve nue devant un inconnu. Elle tremble doucement, en regardant la verge tendue de Vincent. Il s'approche d'elle et présente aux lèvres charnues de la belle inconnue sa queue raide de désir. Il la regarde et lui dit avec des trémolos dans la voix :

-Soit une bonne salope vas-y !

Sandrine le regarde en fronçant les sourcils, elle se demande ce qu'elle fait là. Il s'avance encore un peu plus. Sandrine se sent forcée, elle tend la main et saisit le manche de chair qui se met à palpiter dans sa main, le sang frappe les parois des grosses veines en les faisant gonfler fortement. Elle decalotte tendrement le gland, elle écarquille les yeux, le cèpe large et épais est impressionnant. Elle se penche davantage, la verge sent encore le sperme. Sandrine, la brande minutieusement, puis là hume un instant, avant de la prendre en bouche. Vincent se raidit, il se laisse tomber sur le bord du lit. Sandrine tète à merveille le gland étalé sur le haut du mat, ses succions très appuyées font gémir Vincent de plaisir. Elle recrache le gland, regarde le mat un court instant, et commence à lécher la hampe sur toute sa longueur. La langue rapeuse qui glisse sur sa queue, fait défaillir Vincent, il ne peut s'empêcher de dire :

-Ouah, tu suces mieux que ma femme, c'est trop bon !

Sandrine, fier de cette déclaration, redouble d'ardeur. Elle suce avec gourmandise le champignon gascon. Sa bouche descend sur la hampe et se pose sur les testicules pleins de jus, elle les suce une après l'autre avec exaltation. Vincent ne retient pas ses gémissements, il replit ses jambes sur son ventre pour faciliter l'accès à ses attributs à Sandrine. Sa queue est tendue comme un arc, elle est secouée de soubresauts. Sandrine s'acharne, sa bouche s'approche de l'anus de son amant, sa langue titille l'anneau brun, en tentant de le pénétrer. Vincent grogne de plaisir. Il se cabre et gicle avec force sur son ventre et sur une partie du visage de Sandrine, qui se redresse rapidement. Elle regarde la queue gluante, la saisit, puis l'enfourne au font de sa gorge, elle suce et tète jusqu'à ce que le mandrin soit entièrement nettoyé. Elle delaisse la verge, et lèche le ventre englué de son amant avec une ardeur insoupçonnée.

Vincent la bascule sur le lit, et s'empare des lobes mammaires, qu'il pétrit avec force. Les bouts se dressent fièrement au centre des aréoles grenelées. Vincent tel un expert les gobe et les tète férocement en faisant gémir Sandrine de plaisir. Sa main descend sur le corps fébrile de son amante, pour atteindre la fente inondée de cyprine, deux doigts s'enfoncent dans le puits intarissable et le fouillent longuement. Les visiteurs font couiner Sandrine comme une bête malade. Elles se cabre en gémissant, et jouit fortement. Vincent rapidement se place entre ses cuisses et plante son engin qui ne débande pas. Il s'accroche à elle, et la besogne comme un soudard en terrain conquit. Sandrine s'agite en geignant, elle s'accroche à son amant comme une pieuvre à son rocher. La bite vigoureuse, de Vincent coulisse dans son ventre en lui extirpant des râles monstrueux. La cadence augmente, Sandrine est au bord du coma, sa bouche est grande ouverte, ses yeux sont presque exorbités. Son souffle est rapide, elle divague :


-Oh Vincent, défonce-moi comme une chienne, vas-y, vas-y !

Les coups de reins sont si violents, c'est comme si Vincent voulait lui faire mal. La queue, distant les parois sensibles de la gaine vaginale. Sandrine gémit terriblement, soudain, un cri presque inhumain s'échappe de sa gorge, elle jouit comme une dingue, en agonissant presque de plaisir. Vincent, retire sa verge raide comme une barre de fer, etb la place contre l'anus de Sandrine, il donne un couop de reins, sa queue s'enfonce aisement dans le conduit anal, qui regorge encore de sa semence précédemment offerte dans le métro. Il demonte son amante comme une bête enragée, le va-et-vient est terrible, les longs râles rauques de sandrine, encouragent Vincent. Il defonce Sandrine comme il ne l'a jamais fait à sa femme. sandrine ressemble à une poupée desarticulée, elle geint faiblement, se cbare en poussant un cri terrible, elle jouit du cul attrocement fort. Vincent la bourre encore un moment avant de déverser sa semence dans les entrailles en fusions de son amante. Les deux restent allongés sur le lit l'un contre l'autre, ils bavardent comme de vieux amis.

Vincent raconte sans complexe :

-Ma femme, notre fille est moi, nous sommes des libertins, je suis heureux lorsque je vois ma femme et notre fille se faire baiser par d'autres, c'est un regale pour moi !

Sandrine redresse la tête et dit :

-Tu couches avec ta fille ?

Vincent repond en souriant :

-Oui ma femme aussi s'envoie en l'air avec elle, Sara a 22 ans elle adore le cul la coquine, si tu veux je t'invite à une de nos soirée, tu en penses quoi !


Sandrine repond unn peu troublée :

-Mais je suis mariée, si mon mari apprennait que je viens de le tromper, je ne connais pas de sa reaction, nous aussi, nous avaons une fille de 19 ans !

-Tu ne lui dis pas, j'arrange le coup avec ma femme et ma fille, tu lui dit que nous sommes des amis d'enfances, et qui tu m'as rencontré dans le métro ce matin, et que je vous invitent samedi pour féter nos retrouvailles !

Sandrien dubitative, se oince les lèvres et dit :

-Bon je lui en parlerai, j'espere que cela va marcher, je crois que je ne peux plus me passer de ta queue !

Vincent éclate de rire et dit :

-Oh tu verras, que de ma femme et de ma fille aussi, tu ne pourras plus t'en passer ma salope, c'est des bombes sexuelles !

Sandrien repete plusieurs fois :

-Oh pourvu que cela marche, tu m'as mis l'eau a la bouche salaud !

Apres la douche, les deux se séparent sans omettre d'échanger les adresses et télephones.

































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Commentaires du récit : Rencontre insolite dans le métro 1

Le 11/03/2023 - 05:57 par Micky
Et dire qu'l y en a qui protestent contre de vagues attouchements dans le métro. Sandrine est un cas !
Le 09/03/2023 - 22:44 par OlgaT
Une sacrée rencontre!

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