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Renouer avec le sexe après un divorce (1)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 20/02/2023

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‌Maud (46 ans)


‌Je m'appelle Maud, j'ai 46 ans, je suis mère de trois enfants mais divorcée (ou plutôt en instance de) depuis un an. C'est évidemment un événement considérable dans ma vie, que personne dans mon entourage ne comprend. On me considère en effet comme une jolie femme, vraie blonde, mince, beau visage, dynamique dans sa vie personnelle, bonne mère et ex bonne épouse. Mais voilà : mon mari a trouvé que l'herbe était plus verte ailleurs que dans notre lit. Il est vrai qu'on faisait moins l'amour qu'autrefois et qu'une espèce de routine s'était installée, un peu normale dans un couple de vingt ans de vie commune. Mais quand on le faisait, c'était bien. J'ai toujours aimé ça et je ne ménageais pas mon ardeur. Il faut croire que ma remplaçante faisait mieux. Fermons le ban.

Le résultat de tout ça est que maintenant, je suis sans homme. Je dirais même sans mâle. Si les premiers temps, je ne pensais pas du tout à la bagatelle, trop occupée à préserver mes enfants de cette rupture et de trouver un boulot adapté à ma nouvelle existence, ce n'est plus le cas aujourd'hui. J'ai une furieuse et permanente envie de sexe afin de me sentir à nouveau femme, ou plutôt femelle. Fort heureusement, la nature ne m'a pas desservie et je suis toujours "baisable". Le seul souci est de baiser en dehors de mes obligations familiales car pas question d'amener mon amant conjoncturel chez moi en présence de mes enfants dont j'ai la charge la majeure partie du temps.

L'arrivée des vacances d'été m'a ouvert cependant des perspectives favorables. Plutôt que partager nos enfants et deux parties, j'ai exigé que mon ex les prenne tous pendant une partie de ces congés afin que je puisse bénéficier d'une vraie liberté. A tant faire, j'ai opté pour un voyage dans une terre réputée pour sa liberté sexuelle, à savoir les Baléares et plus exactement Ibiza. Il se trouve que j'adore danser et la multiplicité des pistes de danse dans cette station m'offrait de multiples possibilités.

Les premier temps, j'avoue que je me suis sentie un peu déplacée auprès de tous ces jeunots qui se trémoussaient sur les "dance floor". J'ai fait en sorte de me rajeunir un maximum avec tee shirt fluo ou débardeur, mini jupe, sans soutif, mes jambes et mes seins me permettant (encore) ce genre d'initiative. Ce n'était pas maladroit de ma part puisque la fille solitaire que j'étais a vite trouvé du compagnonnage. Je me suis retrouvée dans un petit groupe hétérogène d'Espagnols, d'Allemands et d'Anglais, mais pas de Français. J'ai mangé avec eux, picolé avec eux, dansé avec eux et bien entendu, un bel Andalou prénommé Juan, même pas trente ans, s'est mis à la tâche de me séduire.

Il n'a pas eu à se forcer beaucoup. J'ai eu tout de suite envie de baiser avec ce beau brun finement musclé qui pouvait "tomber" beaucoup plus jeune que moi. Ne parlant pas espagnol, je me trouvai limitée pour les conversations mais un homme et une femme qui ont l'intention de coucher ensemble n'ont pas besoin de grands discours. Après nous être embrassés sur la piste de danse et qu'il eut glissé sa main sous ma mini-jupe pendant qu'on sirotait à table nos mojitos, après que j'eus moi-même vérifié la réalité de ses arguments en tâtant sa braguette, on a quitté les lieux main dans la main, direction ma piaule, pas trop éloignée du lieu.

J'avais pris la précaution de partir en voyage avec un stock de capotes, me trouvant très optimiste. Mais quand j'eus déchiré l'enveloppe d'une pour coiffer le pénis bien érigé de mon Andalou, j'ai conclu que mon sens proverbial de l'anticipation avait encore fait merveille. J'avais pourtant quelques appréhensions en entrant dans mon studio. Le gars banderait-il en me voyant à poil ? Oui, il bandait, et pas qu'un peu. Je n'ai pas eu besoin de le sucer longtemps en lui soupesant les couilles pour qu'il réclame davantage. Quant à moi, je mouillais d'importance en voyant ce beau corps sec et bronzé au-dessus de cette corne d'abondance caoutchoutée s'avancer tout sourire entre mes cuisses grandes couvertes. Enfin, j'allais baiser. J'ai tout oublié, mon divorce, mon ex, mes gosses, mon boulot pour me concentrer sur cette bite espagnole qui me ramonait avec vigueur, me plongeant dans une béatitude infinie. Mon objectif était clair : lui montrer qu'il ne s'était pas trompé en me distinguant dans la masse des meufs d'Ibiza.

Je remuai inlassablement mon cul, jouait de mes mains, de mes pieds, de mes cuisses, de mon ventre avec toute la science éprouvée d'une quadragénaire rompue au sexe. Je l'encourageai verbalement par des "fuck fuck !", mot valise de l'espéranto de l'amour. J'anticipai ses désirs en changeant de position, tantôt le chevauchant pour mon plaisir visuel autant que vaginal, tantôt me mettant à quatre pattes face au miroir de l'armoire pour me regarder baiser et surtout le regarder me la mettre bien profond. J'étais bénie puisque j'étais tombée sur un as de la baise qui maitrisa longuement son éjaculation, m'offrant plusieurs orgasmes sans débander. Je lui valais une belle récompense : "fuck ma ass", lui dis-je. Encule-moi en bon français. Il a très bien compris. Son introduction m'a fait un peu mal au début mais le sentir dans mes entrailles m'a tellement fait jouir que cette fois, il n'a pas pu se retenir et j'ai senti son jet chaud à travers le latex au pic de ma propre jouissance. Première baise, première réussite, vacances déjà amorties, si j'ose dire.

Néanmoins, je n'avais pas l'intention de poursuivre avec ce Juan. D'une part parce que je n'avais pas l'intention d'entamer une liaison forcément provisoire. D'autre part parce que je craignais d'avoir à subir une nouvelle rupture. J'ai donc pris les devants. Je ne me suis pas rendue à son rendez-vous mais j'ai répondu à celui d'un bel Allemand prénommé Klaus, genre blond aux yeux bleus, un peu plus âgé que Juan mais quand même nettement plus jeune que moi. Il m'a proposé une fiesta dans une grande maison et m'a dit d'apporter mon maillot de bain. J'ai vite compris pourquoi : cette fiesta était organisée autour d'une immense piscine. Le lieu était peuplé de couples et d'individualités d'âges et de nationalités divers. Quel était le trait d'union ? J'ai deviné : le sexe.

Plusieurs filles se sont mises à poil avant de plonger dans la piscine, vite rejointes par des mecs dans le même état. Les autres les regardaient jouer dans l'eau à grands éclats de rire, jusqu'au moment où une fille s'est assise au bord et où un mec debout dans l'eau s'est glissé entre ses cuisses pour lui lécher le minou. Le ton était donné. Plusieurs couples se sont formés dans la piscine et même au bord. La partouze aquatique était lancée. J'étais devenu voyeuse, assez estomaquée, jusqu'au moment où j'ai senti une main tirer sur la ficelle de mon bas de bikini et celui-ci tomber sur mes pieds. J'avais désormais le cul nul. C'était mon Klaus. Il m'a enlacée, embrassée et j'ai senti sa queue tendue dans son bermuda. Je n'ai pas pu me retenir d'y plonger ma main. j'ai saisi une belle queue bien raide qui voulait rendre hommage à mes quarante balais et quelques. C'était d'autant plus difficile de résister que dans et autour de la piscine, rares étaient ceux qui ne baisaient pas, ou s'apprêtaient à le faire.

Klaus m'a entrainé vers un bain de soleil libre, à côté d'un couple en pleine fornication où une femme encore plus âgée que moi se faisait ramoner par un jeunot en lui mettant le doigt dans le trou du cul. Klaus m'a d'abord longuement léchée, mes pieds sur ses épaules. Je voulais qu'il me baise mais avec un "condom" et il est allé en chercher un à l'intérieur de la maison. En attendant, j'ai regardé ce qu'il se passait autour en me caressant et ça clapotait dans la piscine. L'eau renvoyait le son des cris de plaisir des filles et ça faisait un sacré boucan, très excitant. Klaus est arrivé coiffé de son latex et n'a pas tergiversé. Il m'a enfilée recta, les pieds de chaque côté du bain de soleil et moi très ouverte, très demandeuse. Il y est allé avec tant d'ardeur que j'ai craint un moment de me retrouver par terre avec le bain de soleil cassé en deux. Mais non, faut croire qu'il avait été prévu pour ça. En tout cas, Klaus m'offrait exactement ce dont j'avais besoin, à savoir une baise radicale, profonde, tonique, pour bien me faire sentir femme. Mes cris de plaisir se sont ajoutés à tous les autres dans et autour du bassin. J'ai pensé fugitivement à mon ex. Que penserait-il en voyant ce beau mec remuer son cul entre mes cuisses et en train de me faire jouir ? Serait-il jaloux ? Il pouvait l'être de la queue de Klaus, infatigable, inlassable.

Toujours en érection, mon Allemand m'a emmenée dans la piscine pour me baiser dans l'eau, ce qui ne m'était encore jamais arrivé. Bloquée contre le mur, à un endroit où on avait pied, je me suis fait enfiler verticalement dans des éclaboussures, juste à côté de la mature déjà citée qui subissait le même traitement. On s'est regardé toutes les deux avec un regard complice entre deux exclamations de jouissance. Après, je n'ai plus rien vu. L'extase m'a saisie, brouillant mon regard, ne pensant plus qu'à cette bite qui m'emmenée au septième ciel. J'ai senti Klaus ramollir et on s'est laissé glisser dans l'eau, quelques particules blanchâtres à la surface issues de sa capote désormais retirée.

Peu à peu, la tension érotique est retombée, même si deux ou trois couples subsistaient dans l'eau. La plupart d'entre nous se rassemblaient autour du buffet généreusement achalandé. Tous à poil ou presque. La soirée s'est poursuivie et j'ai bien vu que la partouze allait reprendre mais j'avais mon compte. Klaus m'a raccompagnée gentiment à mon studio, on s'est fait la bise et j'ai déjà commencé à préparer ma valise. J'avais bien profité de mon séjour et je n'aspirais plus qu'à retrouver mes enfants. La femelle redevenait mère. Mais sûrement pas de manière définitive. N'en déplaise à mon ex, je suis bel et bien baisable et je compte bien profiter désormais des belles années qui me restent encore.
A SUIVRE
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Histoire de Micky

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Commentaires du récit : Renouer avec le sexe après un divorce (1)

Le 20/02/2023 - 15:41 par OlgaT
Une fois de plus, Micky nous propose une série qui s'annonce passionnante. Elle prouve qu'un divorce, épisode douloureux, ne signifie pas la fin de la vie sentimentale et sexuelle, à condition, comme pour Maud, de savoir rebondir. C'est excellent, comme toujours!

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