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Renouer avec le sexe après un divorce (2)

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 27/02/2023

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‌José (36 ans)

‌Je m'appelle José, j'ai 36 ans, divorcé officiellement depuis deux mois, par consentement mutuel. Je m'étais marié trop jeune avec mon ex Cécile et on en était arrivés à un point de non retour. Alors, autant se séparer et vivre notre vie chacun de notre côté. Je suis infirmier dans un Ehpad et donc confronté tous les jours à la mort. Rien de tel pour donner envie de vivre et de profiter de sa jeunesse. Et donc de sa liberté sexuelle désormais sans entrave. J'ai l'intention de réaliser mes désirs les plus cachés, mais je me heurte déjà aux réticences de la gent féminine, beaucoup plus coincée que je l'imaginais. Les jeunes surtout, qui ont vite fait de vous balancer des accusations de sexisme. Il reste donc les femmes mûres, mais elles aussi ne sont pas aussi "open" que je l'imaginais, à commencer bien sûr par les femmes mariées.

J'avoue que j'ai un gros fantasme : baiser une femme noire. Je les sens plus dispo, peut-être à tort. Il se trouve que dans mon Ehpad, la directrice adjointe, Sandra, me fait bander. C'est une grande black d'une quarantaine d'années qui a tous les attributs de la couleur de sa peau : gros seins, grosses fesses, fortes cuisses, des cheveux tressés, un sourire éclatant et la gouaille facile, qui lui fait avaler tous les drames de la boite sans sourciller. Un vrai bonheur de la côtoyer. Bien sûr, elle est mariée, elle a des gosses mais je l'ai quand même entreprise, à tout hasard, en lui faisant des compliments sur sa tenue, son charme, son allure et bla bla bla et bla bla bla.
- Mais ma parole, José, tu me dragues, m'a-t-elle répondu.
Je lui ai répondu que pour moi, elle était la quintessence de la Femme avec un grand F. Belle, généreuse, facile à vivre. Et ça eut l'air de lui faire plaisir.
- Mon mari ne me parle plus comme ça, a-t-elle rétorqué.
Alors, je me suis lancé, joué mon va-tout :
- Et il te fait encore l'amour, au moins ?
Elle m'a regardée avec ses grands yeux charbonneux, le sourire au coin des lèvres :
- Pas suffisamment à mon goût.

C'est ce jour là que j'ai compris que j'avais une chance de la baiser. Il fallait juste y aller progressivement. J'ai continué à la baratiner, à lui rendre de menus services, à répondre avec zèle à ses directives, jusqu'au jour où je lui ai proposé de prendre un verre après le boulot. Et là, dans l'intimité de son bureau, elle m'a glissé à l'oreille :
- Tu veux me baiser, c'est ça ? Dis-le franchement au lieu de tourner autour du pot.
J'avoue que j'ai eu l'air un peu con. Et elle s'est marée de toutes ses dents. Et elle a ajouté :
- On va d'abord chez toi et on ira boire un pot après. J'en ai autant envie que toi.

J'étais scotché. C'est elle qui me mettait, symboliquement pour le moment, la main aux parties. Je me doutais que les femmes noires sont plus libérées que les blanches côté sexe mais pas à ce point. Elle m'a suivi à distance dans sa petite voiture et m'a rejoint dans l'ascenseur. Là, sans crier gare, elle m'a roulé une pelle énorme d'une langue large et chaude.
- J'espère que tu as ce qu'il faut au bon endroit. Je suis chaude comme un brasero sénégalais, m'a-t-elle soufflé.
Et en plus, elle me mettait la pression !
Dans mon appartement, Sandra a demandé à boire. Elle a fait le tour du propriétaire et dit que j'aurais grand besoin d'une femme de ménage. Passons. Assise sur mon seul fauteuil, elle a croisé haut les jambes et j'ai pu apercevoir son slip blanc. Elle m'a regardé d'un air goguenard, a posé son pied nu sur ma braguette et m'a dit :
- Tu bandes.
J'ai opiné du chef et elle a ajouté :
-Tu as intérêt. Quand je trompe mon mari, j'ai horreur d'être déçue. Tu me montres ta queue ?

J'ai ouvert ma braguette, assez confiant, car j'étais très excité par cette femelle en chaleur et qui ne s'en cachait pas. Elle a dit :
- Pas mal mais j'ai mieux chez moi. Il va falloir que tu te surpasses.
Cette allusion aux grosses bites noires m'a piqué au vif. Je ne suis pourtant pas trop mal pourvu de ce côté. Elle en remettait une couche sur la pression.
Et sur ce, sans quitter le fauteuil, elle s'avance et me prend en bouche. Le délice. Elle tournait sa langue autour de mon gland tandis que j'avais une vue plongeante sur son décolleté en pointe. Elle a pris mes mains et les a posées sur ses seins. Bon dieu quelle fermeté ! J'ai gagné un centimètre de bite. Elle levait les yeux vers mon visage pour observer mes réactions pendant qu'elle me pompait avec art.

Puis elle s'est levée et s'est tranquillement mise à poil, en baissant très lentement son slip. J'étais fasciné par son cul nu, large et bombé, pendant qu'elle tirait sur ma couette. Elle s'est allongée, coudes sur le matelas, cuisses ouvertes, pointes de seins dressées, toujours le sourire aux lèvres.
- Alors, tu me baises, oui ou non ?
Au moment où, déloqué, je m'avançais pour venir entre ses cuisses, elle a posé un pied sur ma poitrine :
- Hep. Pas tout de suite. Tu me lèches d'abord.
Je me suis trouvé devant sa chatte large, charnue, baveuse et j'y ai mis la langue. Une chatte reste une chatte, le goût n'est pas si différent d'une couleur de peau à l'autre. Je m'en suis gavé comme elle s'était gavée de ma bite. Elle roucoulait en remuant les hanches, c'était bon signe.
- Viens maintenant. Vas-y à fond, j'aime qu'on me secoue.

Cela tombait bien, j'avais une furieuse envie de la secouer. Je l'ai bien ramonée en faisant gaffe de ne pas trop m'emballer car il s'agissait de durer. Ses gros nichons pendaient de chaque côté de son torse et s'agitaient à chacun de mes coups de bite. Il a fallu que je les quitte des yeux car j'aurais fini par gicler tant c'était excitant. Je me suis concentré sur son visage où se lisait le rayonnement du plaisir. Elle ne cessait de m'encourager, "oui, vas-y, comme ça, continue, c'est bon" etc. La pression de ses talons sur mes reins était si forte que j'en ai eu la peau rougie.
On s'est mis d'accord pour changer de position. Elle m'a chevauché et j'ai encore eu la vision de ses nichons remuant au rythme de ses coups de cul avant que je les saisisse et les palpe avec volupté. Puis elle m'a montré son cul, très ouvert. Elle a aimé que j'y mette le pouce, sa peau s'est couverte de chair de poule pendant que je la doigtais.

Je sentais mon sperme monter inexorablement et j'ai demandé une petite pause. On s'est assis face à face, on a parlé de cul. Elle m'a dit que je la baisais bien, que je la faisais jouir et qu'on allait jouir ensemble. Je lui ai demandé si elle trompait souvent son mari. Elle m'a dit "de temps en temps mais lui en fait autant, c'est une entente entre nous, on aime le changement". Elle m'a demandé ce qui me plaisait en elle. Je lui ai dit son côté femelle, ses nichons, son cul.
- Tu vas me faire une cravate de notaire et après, tu vas m'enculer, m'a-t-elle dit, comme ça, de but en blanc.

J'avais l'impression d'avoir un mât de cocagne à la place de la queue. Et on a fait ce qu'elle proposait. Pendant la branlette espagnole, elle me titillait le gland de sa langue rose. Puis elle s'est retournée et m'a dit en tournant la tête vers moi :
- Mets-la moi maintenant.
J'étais raide dingue de ce cul magistral qui me souriait verticalement. J'y suis entré très facilement et elle s'est mis à le remuer avec une telle ardeur que je n'avais même pas besoin de le fouiller. Je lui prenais les seins par en-dessous et ce contact doux et volumineux m'électrisait. Elle était en extase, nuque redressée, clamant son plaisir. J'avais déjà enculé mon ex mais jamais elle n'avait manifesté un tel enthousiasme.
- Viens, viens, maintenant ! a-t-elle rugi.
Enfin, j'ai pu me libérer, tout lâcher dans ma capote. Je suis resté fiché en elle quelques minutes avant que ses sphincters se relâchent.
- Tu m'as servie comme un chef, a-t-elle soufflé.
J'étais heureux et fier. On a parlé, allongés côte à côte. Elle m'a fait promettre de ne rien dire au boulot, de ne faire aucune allusion, de ne montrer aucun geste.
- J'en avais besoin et toi aussi, on est quittes, a-t-elle résumé.
J'ai compris que ce serait un "one shot". Dommage. Néanmoins, elle m'a glissé à l'oreille que j'avais mes chances auprès d'Audrey, la psychologue, une grande brune pourtant mariée et Anne, la chef infirmière,, une quinqua tout aussi mariée. "Elles baisent facilement, tu as juste à les exciter", m'a assuré Sandra. J'en suis resté pantois. Et je me suis dit que ma nouvelle vie de divorcé allait finalement m'apporter de bonnes surprises...

‌Sandrine (44 ans)

‌Je m'appelle Sandrine, j'ai 44 ans, je suis technicienne en optique et je travaille en magasin, mais je suis surtout en instance de divorce après être séparée de mon mari depuis deux ans. Ce n'est pas de mon fait. C'est lui qui m'a quittée pour une fille plus jeune et j'ai longtemps du mal à m'en remettre mais ça y est, j'ai tourné la page. J'entre dans ma nouvelle vie de femme encore jeune, bien que je n'aie plus vingt ans. Je n'ai pas pour l'instant l'envie de me remettre en couple, bien que la solitude me pèse parfois, du moins la solitude sexuelle car ma fille de 17 ans vit encore avec moi et connait ses premiers émois avec son petit ami. J'aspire maintenant à refaire l'amour après avoir fait une parenthèse de plus de deux ans, par un rejet un peu stupide de l'homme suite à ma rupture avec mon ex.

D'abord, le fait que ma fille fréquente un "copain" qui l'a dépucelée, avec mon accord, je précise, et dûment protégée, m'a remis en mémoire le bonheur que peut procurer l'acte charnel. Elle aime autant ça que moi à son âge et ça promet pour son avenir. On en a parlé ensemble, je lui ai donné quelques conseils pour qu'ils puissent jouir en même temps. Cela a ravivé mes sens et j'ai recommencé à me caresser. Mais il arrive un moment où une "auto caresse" crée plus de frustration qu'autre chose. Est née peu à peu en moins l'envie irrépressible de pénis. Quand je me suis mise à regarder les hommes en dessous de leur ceinture, comme si je pouvais passer à travers la toile de leur pantalon pour voir ce qui se cache derrière, j'ai compris qu'il fallait passer à l'action.

Je précise que je ne suis pas précisément une beauté mais pas une mocheté non plus. Une femme ordinaire, quoi. Je suis blonde avec cheveux coupés au carré, je porte des lunettes (normal vu mon boulot), j'ai un corps genre fil de fer avec de petits seins et des fesses plates mais j'ai de jolies jambes, longues et galbées, et j'ai décidé de les montrer. Mes jeans sont restés dans l'armoire au bénéfice de mini jupes et mini robes. C'était ma tenue autrefois, ce qui m'a permis de séduire mon ex. Je poussais même la coquinerie jusqu'à ne pas porter de slip l'été et à jouer du croisement de jambes, ce qui allumait mon ex à tous les coups. Combien de fois m'a-t-il baisée à la hussarde après avoir aperçu mon minou sous ma jupe relevée ! C'était le bon temps !

Mais il revient, comme je vais le raconter. J'ai d'abord vu quelques mecs pas mal reluquer mes jambes dans le magasin, mais sans oser me draguer. Bon signe, me suis-je dit. C'est notre voisin, le vendeur de vin, qui a osé m'entreprendre. Il est divorcé lui aussi. Cela faisait un moment qu'on se fréquentait à la pause. Hier, je suis allée lui faire une petite visite et on a parlé encore de nos situations respectives. Je lui ai fait comme d'habitude le coup du croisement de jambes alors qu'on était dans son arrière-boutique, assorti d'un regard qui en disait long. Je me suis demandée si je n'allais pas trop loin, mais il a eu dans les yeux une étincelle, que je connais bien : le regard d'un homme qui a envie de baiser. Il a abordé le sujet sexe pour la première fois. Quand je lui ai dit que je n'avais pas baisé depuis plus de deux ans, il a dit "moi aussi" et que ça commençait "à bien faire". Alors, il a mis une main sur ma cuisse découverte et m'a dit :
- Tu as des jambes superbes.

J'ai dit merci, mais je n'ai pas ôté sa main. Il a donc progressé, lentement mais sûrement, et forcément, nos bouches ont fini par se rencontrer. Après, ce fut un véritable orage. Je rappelle qu'on était dans l'arrière-boutique, à l'heure du déjeuner, donc à la fermeture. Je l'ai aidé en me tortillant à ôter mon slip tandis que je m'escrimais à ouvrir son pantalon. Enfin, j'ai vu un pénis, son pénis, une vraie bonne bite comme j'en rêvais depuis un moment. Je me suis jetée dessus la bouche en avant pendant qu'il tirait sur la fermeture de ma robe dans mon dos pour me mettre à poil. Pendant que je gavais de sa queue jusqu'à la glotte, il dégrafait mon soutif et me caressait les seins ultra sensibles. Il escaladait en même temps son pantalon et se débarrassait de sa chemise, révélant un torse puissant et velu de mâle sexué. Dans l'enchainement, il m'a juchée sur la table de l'arrière boutique pendant que je virais mes escarpins et m'a enfilée debout en me regardant droit dans les yeux.

Ce fut un coït sauvage, presque brutal, entre deux corps nus en manque de sexe. Sa queue allait et venait avec une vigueur enthousiasmante et je célébrai son activité avec une floppée de mots crus, révélant un aspect de ma personnalité dont il n'avait pas idée. J'ai failli en perdre mes lunettes, qui tombaient sur le bout de mon nez et m'obligeaient à les remettre en place tout en gigotant. Je l'adjurai de durer et c'est pour ça qu'on a changé de position. Il s'est assis sur une chaise et je suis venue m'empaler sur lui, pieds au sol, faisant danser mon petit cul sur sa bite magistrale pendant qu'il me léchait les pointes de seins.

Puis on est revenu vers la table et il m'a prise par derrière, une position que j'adore parce que la bite va loin. Il m'a demandée comment je voulais jouir une dernière fois et j'ai apprécié la démarche. Voilà un vrai mâle qui sait attendre le plaisir de la femme. Je lui ai dit que je voulais d'abord venir sur lui, par terre, pour le faire durer un peu car je sais qu'un homme éjacule moins facilement lorsqu'il est couché. Et ensuite, il pourrait prendre son plaisir. Il a fini par me basculer et mains au sol, mes talons dans ses reins et mes mains sur ses fesses, mon corps très replié, très ouvert, mes yeux dans les siens et la crudité à la bouche, il m'a assaisonnée de ses coups de bite jusqu'à produite une énorme quantité de sperme qui a constellé mon ventre et ma poitrine tandis que je gueulais mon extase. Pour une reprise, c'était une sacrée reprise !

Depuis lors, Régis, le prénom de mon marchand de vin, est devenu mon amant régulier. On est tombé d'accord sur le principe de notre relation. Il s'agit d'abord et avant tout de baiser. Nos corps sont en parfaite harmonie. J'adore sa queue et il adore glisser son museau entre mes cuisses sous ma mini jupe avant de m'enfiler. On baise toujours dans son arrière-boutique, ou quelque fois en plein air, mais jamais à nos domiciles car lui aussi a une fille. J'ai totalement oublié les affres de mon divorce. Et je me dis parfois qu'au fond, c'était une bonne chose, cette séparation. Je me sens désormais comme une jeune fille à l'aube d'une vie sexuelle intense.
A SUIVRE
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Histoire de Micky

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Commentaires du récit : Renouer avec le sexe après un divorce (2)

Le 28/02/2023 - 06:28 par DBHB24
Encore deux très belles histoires, comme sait si bien les raconter Micky. Didier
Le 27/02/2023 - 13:11 par OlgaT
Une superbe série! Excellente iidée que de donner aussi la parole à un homme

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