retour TGV

Pour ce second récit, nous restons dans le réel.

Je fais suite au texte de présentation : Marie est la femme de Claude, tous les 2 la cinquantaine, maintenant seuls après le départ de leur 2 enfants, étudiants, dans leurs studios respectifs (2 villes différentes).

Claude revient d’un séminaire de sa société, qui œuvre dans le domaine de la technologie ; il y a rencontrer un grand nombre de collègues, dont certains pour la première fois, la période de Covid des 2 dernières années n’ayant pas favorisée les déplacements professionnels.

Donc, Claude est dans le TGV, confortablement installé dans son siège individuel en 1ère, petit luxe qu’il affectionne car sans voisin, il peut plus facilement regarder tranquillement son écran.
En effet, il a décidé, comme ils le font chez eux, d’envoyer des SMS coquins à Marie. Ces 2 jours loin du foyer lui ont paru long, d’autant qu’il a vu défiler au séminaire une quantité de belles femmes, plus ou moins jeunes, bien habillées et même pour certaines, dans des tenues qui laissaient largement entrevoir leurs atouts (une soirée est, comme souvent, prévue la première soirée, immédiatement après le cocktail).

Légèrement excité par le souvenir de ces visions, et bien décidé à faire profiter Marie de sa vigueur après plusieurs jours d’abstinence forcée, il lui envoie une première image : un GIF animé qui montre un homme suçant les seins d’une femme, les pointes dressées par la caresse.
Sur son téléphone, l’accusé de lecture apparait rapidement, mais pas de réponse.
Claude se dit qu’elle est encore au travail, elle y reste souvent pour effectuer des corrections.

Une demi-heure après, n’y tenant plus, Claude envoi un second message, plus corsé : une superbe animation qui montre la tête d’un homme réalisant un cunnilingus sur un abricot parfaitement rasé, 2 doigts pinçant un clitoris décalotté et très excité, de belle taille.
Pas de réponse de Marie.

Une troisième photo, toujours d’un cunni, mais cette fois avec un doigt dans le petit trou, la langue sur le clitoris bien gonflé, les petites lèvres ouvertes, luisantes de salive.

Enfin une réponse : un teton dressé, visiblement rougi d’avoir été fortement excité, pressé, malaxé, avec une pince à seins bien serrée à la base, forçant la pointe à rester dressée. Claude reconnait la pince et la pointe du sein. Marie, contrairement à son habitude, lui a envoyé une photo personnelle. Claude la détaille, salive déjà à l’idée de sucer cette fraise mure à point, et un durcissement involontaire commence à poindre au fond de son pantalon.
Encore 1 heure de TGV, puis ½ de voiture avant d’être rentré. Claude aimerait pouvoir accélérer le temps.

Puis une seconde photo : cette fois, Marie lui envoie une photo de son abricot. Claude n’en revient pas. Contrairement à d’habitude, celui-ci est fraichement et entièrement rasé. Pas un poil de visible. Claude admire l’abricot ; il aime qu’elle soit entièrement rasée, ce qu’elle ne lui accorde que rarement. Fermé, on peut juste apercevoir le capuchon du clitoris en haut de ses grandes lèvres. Celle-ci sont lisses, gonflées, rien ne dépasse. Il a toujours admiré le sexe de Marie, il est impatient de pouvoir l’explorer encore, ouvrir les lèvres avec ses doigts, sucer ses lèvres, son clitoris, enfoncer sa langue pour y gouter l’excitation de Marie.
Cette fois, entre la photo et ses pensées, son sexe est dur et quasiment douloureux, coincé dans son pantalon.

Il lui vient une idée. Assis près de la porte, il n’y a personne entre lui et la porte du wagon.
Claude se lève et se dirige rapidement vers les toilettes. Il s’enferme, ouvre sa braguette et libère son sexe excité.
Devant le lavabo, il prend en photo son sexe fièrement dressé, et l’envoi à Marie.
Puis il prend son sexe en main, le masturbe un peu, décalotte le gland et envoi une seconde photo de son sexe, le gland rouge d’excitation, une goutte de précum luisant au bout de celui-ci.

Claude pose son téléphone sur le lavabo pour remballer tant bien que mal son engin, quand son téléphone vibre à nouveau.
Marie lui a envoyé une nouvelle photo : Claude peut distinctement voir les doigts de Marie écarter les grandes lèvres au maximum avec les 2 doigts d’une main.
Les petites lèvres, rouges écarlates, sont également ouverte sur le sexe luisant de Marie. Son autre main a décalottée son clitoris, qui apparait gonflé d’excitation.
Plusieurs gouttes translucides perlent distinctement, et les jambes relevée de Marie laissent voir le liquide épais qui a coulé dans le sillon fessier et rejoint l’anus serré, luisant de ses secrétions.

Claude ne peux de son côté que lui envoyer une photo de son sexe encore plus excité, la main enserrant celui-ci comme s’il se masturbait en regardant la photo.
Il revient un peu sur terre, se disant qu’il y a déjà 5 mns qu’il est enfermé dans les toilettes, et qu’il serait temps qu’il rejoigne sa place avant que quelqu’un ne vienne toquer à la porte.
Claude remballe donc son engin, et retourne rapidement à sa place.

10 minutes se passent, laissant Claude rêver à la soirée qu’il va passer avec Marie.
Soudain, son téléphone vibre à nouveau.
Il n’avait jamais, même dans ses rêves (encore que) penser la voir un jour ainsi.
La première chose qui lui sauta aux yeux, c’est le vibro violet sans fil, enfoncé à ¾ dans son sexe. Elle devait se faire sacrément plaisir, car il était, à l’entrée du vagin, entouré des secrétions épaisses qui montraient qu’elle avait surement déjà eu un orgasme. Le vibro était légèrement flou sur la photo, Claude en déduit qu’il devait vibrer à la vitesse max. un second tout petit vibro rose (genre de voyage) était appuyé sur le dessus du clitoris, décalotté. Claude ne l’avait jamais vu dans cet état, tout rouge et aussi gros que le bout d’un de ses doigts.

Il se précipita à nouveau aux toilettes de la rame, et lui renvoya une photo de son sexe, encore plus gros que la fois précédente. Il était violet d’excitation, gros à lui en faire mal.
Tout en regardant la photo, Claude se masturbait doucement, essayant de calmer la douleur lancinante de son bas ventre.

Une nouvelle photo ralluma son écran : Marie avait visiblement ramené ses jambes sur ses seins, et Claude n’en cru pas ses yeux. Marie, si timide habituellement, lui présentait une vie plongeant sur son sexe et ses fesses.
Le gros plug ( de la collection des trois, voire présentation) qu’il n’avait jamais réussi à lui mettre était fiché dans son anus, luisant des secrétions de Marie, le vibro maintenant entièrement planté dans le sexe, et les 2 mains qui écartaient au maximum les fesses pour bien lui montrer toute son anatomie. Le clitoris était gonflé, il ne pouvait visiblement plus être toucher. Marie avait surement obtenu une jouissance extrême pour en arriver là. Le vibro était toujours légèrement flou, preuve qu’il continuait à vibrer, surement contre l’entrée de l’utérus vu la façon dont il était enfoncé.

Claude n’en pouvait plus. Sans s’en apercevoir, hypnotisé par la photo de Marie, il avait accéléré le rythme et éjacula en longs jets sur le lavabo et jusque sur le miroir des toilettes, se surprenant lui-même.
Il pris aussitôt une photo, mais ne l’envoya pas immédiatement. Ayant débandé, il nettoya son sexe avec un mouchoir, puis comme il le pu, le lavabo et le miroir. Une longue trainée resta sur le miroir malgré ses efforts.

Retourné à sa place, et devant l’indécence des photos de Marie, il se dit qu’il pouvait bien lui envoyer sa dernière photo.
La réponse ne tarda pas : « mon chéri, j’ai déjà joui 2x en pensant à ta queue remplissant tous mes orifices. Je t’attend sur le canapé, vient me prendre comme l’excitée que je suis »
Claude regarda sa montre : le temps avait filé, plus que 5 minutes avant l’arrivée.
Il ramassa sa valise, et se positionna devant la porte, pour être le premier à sortir, et envoya un dernier message : « continue ma chérie, je serais bientôt là. Je bande déjà à nouveau, j’arrive… »

Suite au prochain épisode…