Réveil surprise

Un petit texte court pour une raconter ce qu’y est arrivé la nuit dernière.

Je ne sais pas si je vous l’ai déjà dit, mais Marie et moi (Claude) nous faisons chambre à part.
N’imaginez rien, la seule raison est que nous dormons mieux ainsi. Les ronflements, les mouvements, … ne favorisent pas le sommeil.
Donc, depuis le départ des enfants pour leurs études supérieures, dans notre grande maison de 230m2, nous pouvons prendre nos aises.

Pour en revenir à mon récit, encore tout frais de cette nuit.
Pour situer les chambres, je dors à l’étage (+1), Marie au rez-de-jardin (-1), séparés par un rez-de-chaussée.
Il était quasiment cinq heure ce matin.
J’entends un bruit de pas dans les escaliers. Pensant que Marie veut surement prendre un verre d’eau dans la cuisine, je fais comme si je n’avais rien entendu.
Je suis étendu sur le dos, nu sous le drap.
J’entends que Marie continue de monter. Elle vient donc forcément me voir.
Je ne bouge pas, attendant de voir.
Les yeux entrouvert, je l’aperçois en léger contrejour, une faible lumière venant de l’extérieur l’éclaire par l’arrière.
Elle est entièrement nue (d’habitude elle porte un tee-shirt pour dormir) ; sa silhouette fait déjà monter en moi un peu d’adrénaline.

Je ne bougeai toujours pas, me forçant à respirer lentement. Était-elle dupe ?

Au bord du lit, elle attrape alors le drap et le tire vers le bas du lit. Je sens le léger tissus frôler ma peau, passant sur mon sexe qui commence à gonfler.
Toujours les yeux entrouvert, je la vois se pencher vers moi. Elle remonte doucement à quatre pattes, la pointe de ses seins frottant sur mes jambes.

Alors que je m’apprêtais à réagir, elle prit mon sexe dans sa bouche.
Elle referma alors sa bouche, entourant mon membre d’une chaleur humide qui provoqua rapidement mon érection.
Jamais elle n’avait montré autant d’attention à la fellation : Marie alternait la présence dans sa bouche, en salivant au maximum autours de mon membre, avec de long coups de langue de bas en haut, tenant fermement la base du pénis entre ses doigts.

Sans bouger le reste de mon corps, je glissa mes mains sous sa poitrine, soupesant celle-ci entre mes mains, malaxant ses seins, avant d’attraper ses tétons.
Ma surprise fut grande : ils étaient déjà gros, dur, et étiré comme lorsque je les suçais depuis plusieurs minutes. Elle s’était apparemment déjà excité et masturbée avant de monter me voir.
Je les pris alors entre 2 doigts pour les rouler fortement, à la limite du pincement. Elle était très sensible, et je sus qu’elle l’appréciais au léger râle qu’elle émis, ma queue toujours dans bouche.

Je compris qu’elle était dans un état d’excitation totale lorsque je sentis son entrejambe se poser sur une de mes jambes. Elle me mouillait carrément la jambe.
Je releva légèrement celle-ci, afin d’accroitre le contact. Elle se mit alors à se frotter son sexe et son clitoris sur celle-ci, glissant avec une facilité déconcertante.
Elle accrut alors encore la pression, puis s’arrêta d’un coup. Je sentis les contraction de son sexe sur ma jambe. Elle était en train de prendre son plaisir sur celle-ci ; je n’avais jamais même imaginé cette situation.
Mon sexe était toujours dans sa bouche, sa salive coulait le long de sa base, jusqu’au drap trempé sous mes fesses.
A 1 minutes près, j’étais si excité que j’allais lui remplir la bouche. Je fis un léger mouvement du bassin pour lui signifier de continuer.

Mais elle libéra mon sexe, et décolla le sien de la jambe, en se relevant sur les genoux. Je dû à mon grand regret lui lâcher ses leins, mais la position me permis d’admirer ceux-ci dans la pénombre.
Elle me tourna alors le dos, à genou entre mes jambes. Je compris que nous n’avions pas encore fini.

Maintenant qu’elle était de dos, je pouvais ouvrir les yeux.
Ils descendirent naturellement pour admirer se fesses, la cambrure naturelle dans cette position les faisait ressortir.
La lumière de l’éclairage public passait entre ses jambes. Je pouvais voir mon sexe, au-dessus de mon ventre, et a les lèvres de son sexe épilé, bien ouvertes par le frottement contre sa jambe.
Une goutte tomba sur son sexe. Je ne l’avait jamais vue aussi mouillée.

Marie passa la main entre ses jambes et attrapa mon sexe.
Dans un lent mouvement d’avant en arrière, elle se caressait en frottant mon gland contre ses muqueuses.
Le mouvement devenait de plus en plus rapide, et à chaque mouvement je n’avais qu’une envie : pénétrer dans son sexe chaud, qui coulait littéralement sur ma queue. Mais c’est elle qui menait la danse, et je ne pouvais qu’attendre, au bord de l’explosion.
Elle serait plus fort mon sexe dans sa main, et le mouvement était maintenant moins large. Un long râle résonna : elle jouissait à nouveau, mon gland appuyé sur son clitoris excité à l’extrême.
N’en pouvant plus, excité au point de jouir sans l’avoir pénétrée, ma queue commença à palpiter, signe d’une éjaculation imminente.

Marie sentie la contraction de ma verge dans sa main.
Elle murmura simplement : tu l’as bien mérité, et plaça mon membre devant son anus, puis relâcha son étreinte.
Ne pouvant et ne voulant plus me retenir, un premier jet de sperme gicla sur sa rondelle. Elle descendit alors pour prendre le premier quart de mon membre dans ses fesses.
Mon excitation était à son comble. Au second jet, elle s’assit complètement, s’embrochant elle-même jusqu’à la garde, dans un grand soupir, puis fit plusieurs aller-retour pendant que je finissais de me vider dans son cul.

Elle resta sans bouger quelques minutes. Aucunes paroles n’avaient été échangée.
Mon membre finit par quitter naturellement son orifice, suivi par un flot de sperme qui finit sur les draps déjà bien humides.

Elle se retourna alors, m’embrassa, se leva et dit juste : essaye de dormir un peu.
Et elle redescendit dans sa chambre, alors que j’étais encore abasourdit par ce qui avait eu lieu.
Je regardais l’heure. ¾ heures étaient passés, et je savais que je ne pourrais plus dormir, mes pensées se remémorant l’instant passé, en plus de l’étonnement de ce qui avait eu lieu, et de me questionnements sur la libido de ma femme