Révélation de mon homosexualité

Déjà tout gosse j’aimais voir le sexe de mes copains pendant la douche après le sport, j’enviais ceux qui l’avaient plus grosse que la mienne. A l’adolescence comme beaucoup de gamins j’aimais me branler mais surtout en compagnie d’autres jeunes pour me régaler de la vision de ces belles bites.

Un soir après l’entrainement nous avons été deux à être retardés pour des raisons de licences etc. mon copain Jean et moi somment partis à la douche où il n’y avait plus que nous, pendant qu’on se lavait je me suis rendu compte que Jean se masturbait il s’est aperçu que je le matais et il s’est tourné vers moi pour exhiber sa superbe queue bien plus grosse que la mienne, je me suis branlé aussi, il s’est approché de moi et m’a dit « elle est belle hein » j’ai acquiescé d’un geste de la tête, il m’a demandé si je voulais sentir comme elle été dure, je me suis approché et j’ai pris dans ma main ce superbe sexe bien raide et j’ai commencé à le caresser puis le branler, au bout d’un bon moment il a voulu que je le suce, j’ai refusé je ne pensais pas mettre un jour un sexe d’homme dans ma bouche ni ailleurs non plus. Je me trompais lourdement car quelques jours plus tard, il m’a invité à venir chez lui pour voir ses nouveaux crampons, bien tenté et surtout bien réussi, je me suis vite aperçu qu’il était seul il a commencé a ce tripoté en m’enjoignant d’en faire autant, il est allé fermer la porte à clef, et m’a entrainé dans sa chambre.

Nous étions en plein été en un tour main il s’est défait de son tricot, son short, le slip et les sandales de plage et m’a invité à faire de même, je m’y suis plié de bonne grâce, j’avais très bien compris ses intentions. Il a commencé a ce masturber j’en ai fait de même, et comme dans les vestiaires il m’a présenté sa bite que j’ai pris en main pour la caresser et la branler soigneusement, il m’a demandé de le sucer je lui ai expliqué que je trouvais ça pas très bien, il s’est mis à rire et m’a expliqué que c’était une pratique tout à fait normal et que presque toutes les femmes le faisait à leur mari, il s’est mis à genoux devant moi a pris ma bite dans sa bouche et m’a pratiqué une bonne fellation, je venais de découvrir quelque chose de nouveau et drôlement bon, quand j’ai voulu jouir il m’a donné un mouchoir en papier dans lequel j’ai versé tout mon sperme, pour ne pas en rester là je l’ai sucé en essayant de reproduire sur sa bite ce qu’il avait fait sur la mienne et lui aussi a éjaculé mais un mouchoir n’a pas suffi et il a remis son sexe gluant dans ma bouche, j’ai gouté à ce liquide que j’ai de suite aimé, j’ai léché sa bite sur toute sa longueur pour la nettoyer, et j’ai réalisé que j’aimais ce côté homo que je refusais de m’avouer.

Il s’est rhabillé et j’en ai fait autant, il m’a caressé les fesses en me disant la prochaine fois on ira plus loin, j’ai de suite compris qu’il voulait m’enculer et je n’y ai pas vu d’inconvénient je dirais même que tout mon corps me le demandait, pour la forme je lui ai dit on verra mais dans ma tête c’était acquis je voulais prendre cette belle bite dans le cul.

Quelques jours sont passés sans le revoir et je ne pensais qu’a lui et au moment où il allait prendre mon pucelage, le lendemain entrainement, pas un mot pas une allusion, à la fin la douche pour tous et on est partis pour rentrer chez nous, à ma surprise Jean qui était parti avant m’attendait près de chez moi, nous somment entré dans un vieil immeuble, il s’est assuré que personne ne risquait de nous voir et il m’a caressé les fesses me disant des mots doux, j’avais le cul en feu si cela n’avait pas été risqué je me serais fait prendre sur place dans cette grande cage d’escalier ou nous nous sommes réfugiés, je lui ai caressé la bite à travers son short, il n’avait pas mis de slip donc j’ai passé ma main à l’intérieur et je l’ai branlé, un bruit de porte nous a ramené à la réalité.

Nous sommes sortis de l’immeuble et il m’a donné rendez-vous chez lui le lendemain matin, j’y ai pensé toute la nuit me disant que j’allais surement avoir mal mais tant pis il fallait que je le fasse j’en avais trop envie.

Le lendemain matin je me suis rendu chez Jean je ne portais qu’un teeshirt, un short sans slip et des tongs, a peine arrivé il a refermé la porte à clef et nous sommes allé dans sa chambre, on s’est mis nus et il a voulu m’embrasser mais ça non plus je ne l’avais jamais fait de toute façon j’étais là pour apprendre et je me suis laissé faire, il m’a guidé en disant qu’il fallait que je fasse comme les filles, après plusieurs essais j’y suis enfin arrivé, pendant nos baisers on s’est branlé mutuellement, Jean s’est agenouillé et a commencé à me sucer en même temps il a commencé à me branler le cul avec un doigt qu’ il avait enduit de salive, il a insisté en mettant un deuxième doigt, au début ça m’a fait mal mais je m’y suis habitué et j’ai même aimé.

Il s’est relevé et en appuyant sur ma tête il m’a fait comprendre qu’il voulait que je le suce je me suis exécuté avec un immense plaisir puis il m’a demandé de me pencher et il m’a agacé le cul avec son gland qu’il avait mouillé, doucement mais surement il a commencé à faire entrer son sexe dans mon cul qui n’attendait que ça, j’étais déjà dilaté par le désir, il s’est enfoncé en moi avec précaution, quand il a été entièrement en moi j’ai senti ses grosses couilles contre mes fesses, il a commencé à me prodiguer de lents va et viens et je me suis mis à accompagner ses mouvements et n’y tenant plus je lui ai demandé de me pilonner plus fort et plus profond, c’est à ce moment-là que j’ai su que j ‘étais homo, quand il a jouis et que j’ai senti ces longs flots de sperme envahir mon cul j’ai jouis comme cela ne m’était encore jamais arrivé.

Il a décrété que j’étais sa femelle et que je devais le satisfaire quand il le voudrait et ou ça lui plairait, j’étais d’accord à ce moment-là j’aurais accepté tout ce qu’il aurait voulu, ça ne s’est pas fait attendre il a recommencé à m’enculer avec fougue je sentais sa queue me bourrer le cul avec force il m’a pilonné pendant un long moment et je souhaitais qu’il ne s’arrête jamais mais il s’est contracté et il m’a encore rempli le cul de son bon sperme. A cette époque le mot sida n’existe pas donc pas de précautions particulières.

On est allé se laver, il m’a procuré la poire de lavement de sa mère pour que je puisse laver l’intérieur de mon cul. Je me suis rhabillé et après de nombreux baisers je suis parti content et heureux d’avoir connu ce merveilleux délice de me faire enculer et de me sentir tout a lui.

On s’est fréquenté pendant environ 3 ans mais pas toujours que les deux car il a tout fait pour me présenter d’autres gars dont un d’une vingtaine d’années et surtout très bien monté prénommé Georges.

Si mon récit vous a plu je vous raconterais la suite.

Ceci est une histoire vraie vécue quand j’avais 16 ans, Jean avait lui 17 ans et était monté de 18 cms et 4/4.5 de diamètre. (Les prénoms sont bien sûr d’emprunt).