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Saisir la chance quand elle passe

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Lue : 8951 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 21/12/2012

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Tous les mecs le savent, le stop reste un moment privilégié pour les rencontres fortes sans lendemain. Je sais c'est banal, mais tous ceux qui pratiquent comme moi le sexe plaisir, sans amour, haine et violence me comprennent.

Pour ma part, j'ai juste la cinquantaine, marié, enfants et beaucoup de temps passé sur les routes. Bien que j'adore ma femme et les femmes, j'aime aussi la bite surtout sans lendemain, jeune et inexpérimenté. Je crois que cette histoire et celle qui me restera le plus en mémoire vous allez comprendre.

Mon histoire est donc banale au départ. Route secondaire, sortie de grande ville, quelque part en France. Un carrefour, un auto-stoppeur assez grand, 20 - 25 ans, brun une barbe d'ado et l'air jovial. Il est habillé sport, dans des vêtements amples et classiques pour cette tranche d'âge. Apparemment il est seul.

Je m'arrête, lui demande où il veut aller. Il me confirme qu'il est seul. Il monte à l'avant et nous voilà parti. On a presque 2 heures de route en commun et la radio fait le fond sonore.
La conversation est très banale. Rien ne laisse présager ce qui va suivre. Quelque fois il faut un petit coup de pousse de la chance. Ce fut le cas. Un engin agricole est sorti juste devant moi, m'obligeant à rouler au pas le temps de trouver une zone de dépassement. Ca faisait quelques minutes que nous étions au pas, nous croisons une voiture à l'arrêt sur le bas-côté dont le conducteur, pas farouche, urinait tranquillement le sexe à la vue de tous.

"Ça a pas l'air de le gêner" dit mon passager qui semble ne pas le quitter des yeux.

Je saisie l'occasion pour embrayer sur le sujet.
"Ça a l'air de vous intriguer devoir un homme ainsi, il est mieux monté que vous ?"

Ma question ne semble pas l'étonner et il me répond : "je ne vois pas quel peut être sa motivation, c'est pourtant simple de se cacher un peu et on est en pleine campagne... pour la taille, on est trop loin..."
"Vous savez il y a des hommes qui éprouvent du plaisir voir même plus à monter leur sexe dans les toilettes ou les vestiaires, ça vous étonne ?"
"Non, il faut de tout pour faire un monde, ça fait bizarre, c'est juste ce que je me dis"

Comme le sujet du sexe masculin ne semble pas l'effrayer, je continue :
"Vous trouvez ça pervers qu'un homme prenne du plaisir à montrer son sexe des inconnus du même sexe ?"
"Non si c'est pas des enfants et vous ?" me répond t-il toujours sans réelle gène dans le propos.
"Je dois dire que moi aussi j'aime ça. Ca procure un autre plaisir, il n'a rien à voir avec celui qu'on éprouve avec son conjoint, c'est différent.. vous voulez essayer ?"
"qu'est-ce que vous voulez dire ?"
"Juste que je suis un inconnu et que si vous voulez me montrer votre sexe vous pouvez essayer. Ça peut vous faire découvrir autre chose..." dis-je avec un petit sourire intéressé.
Je sens un peu d'étonnement arriver. Il n'avait surement pas prévu d'en arriver là mais le sujet est arrivée tellement naturellement qu'il me répond sans beaucoup hésiter:
"Pourquoi pas", tout en en remontant son tee-shirt pour atteindre sa ceinture.

Doucement, sans geste brusque ni tension, il ouvre sa ceinture et dégrafe son pantalon. Il baisse la braguette et toujours lentement, il enlève son pantalon qui découvre un caleçon jaune et rouge plein de petites figurines. Son pantalon étant relativement ample son sexe était difficilement discernable. En caleçon la bosse est déjà plus marqué, il ne bande pas.
"Quel effet ça fait" lui dis-je.
"Aucun, ça reste commun de se retrouver en caleçon" dit il en souriant.

Toujours très calmement, il saisit son caleçon et commence à le baisser. Il découvre un sexe totalement au repos. Il est calotté, de taille très correcte pour un hétéro, la touffe brune est abondante aussi bien au-dessus que sur les bourses. Elles semblent fermes et bien joufflus. Un beau sexe comme je les aime.
"Voilà, qu'est-ce que tu en penses", me dit-il. Il s'est mis à me tutoyer..
"J'en pense rien, je regarde. Ton plaisir, si tu en as, n'est pas visible"
"Je dois dire que ça me fait drôle, j'ai aucune envie sexuelle particulière mais une impression de bien être étonnante. Nu ou presque devant un homme inconnu et aucune honte...."
"essai d'aller un peu plus loin, en me la présentant mieux en la décalottant..."

Il le fait est met à jour un gland bien rose et lisse avec un petit orifice légèrement plus rouge... Il ne bande toujours pas...
"Joli sexe, Ça te dirait de me déshabiller aussi" ? lui dit-je.
"Pourquoi pas, il n'y a pas de raison que je ne vois pas ta bite.... ça me rappelle les mises à l'air de mon enfance" me dit-il

Le langage change, il utilise des mots de plus cru, J'ai de plus en plus l'impression qu'il y prend gout et que ça va être un bon coup.
La chance est nécessaire dans ces cas-là et encore une fois elle tape à la porte. La route s'était dégagée et un petit sous-bois s'offre à nous. Je prends le premier chemin et m'arrête sur le bas-côté hors de vue de la route principale.

Toujours assis sur le siège conducteur voilà que mon passager, bite à l'air, s'attaque avec la même douceur à mon pantalon. après la ceinture et le bouton, il baisse la braguette en prenant soin de ne pas toucher mon sexe comme s'il avait peur.

Il découvre mon boxer noir. Mon pénis replié sur les bourses est avantageusement moulé par la couleur noire. Ça donne une belle impression. Mon passager, s'apprête à l'enlever mais je ne stoppe.
"A non", dis-je, "on ne met pas le sexe d'un autre homme à l'air sans l'avoir préparé".

A mon propos je sens que mon passager commence à avoir des doutes. Jusque-là il semblait prendra ça comme un jeu mais maintenant les choses évoluent. Je lui demande d'entrer en contact avec mon sexe, un sexe d'homme, le même que le sien. De plus il commence à bander. son sexe a presque doublé de taille lui démontrant que le souvenir d'enfance de comparer "son arme" se transforme en réelle envie de prendre du plaisir avec une personne du même sexe.

J'ai souvent vu ça chez les homos puceaux. Ce moment de doute, j'y vais, j'y vais pas. Il y aura un autre moment important. C’est la culpabilité qui va monter après l'orgasme. Si elle est mal gérée, c'est quelques nuits blanches à la clef et peut être un mec de perdu pour les homos...

Je ne fais rien, ne dit rien, il faut qu'il décide. Mon sexe, toujours caché sous le boxer, reste impassible. Il ne faut pas que je montre la moindre envie, il ne faut pas qu'il ait l'impression d'être tombé dans un traquenard. C'est son envie et que son envie qui doit lui faire sauter le pas.

Doucement il approche sa main vers la boule que contient mon boxer, il comment à la caresser en la moulant de la main. Son sexe poursuit son ascension... doucement il monte et descend sur le tissu. Sa main remonte sur mon ventre puis redescend doucement. Pour l'aider à franchir le pas, je rentre le ventre pour libérer un espace suffisant entre mon ventre et l'élastique du boxer. Sa main passe dessous et rentre en contact direct avec mon pénis. C'est parti, il a fait son choix...

Après quelques secondes de caresses assez maladroites mais qui m'ont fait un bien fou, il retire doucement le boxer et libère mon sexe en début d'érection. Son regard confirmait qu'il est pour la première fois face à un sexe d'homme mature. Il essaye quelques caresses, autour du pénis, du gland et des bourses puis s'arrête et me regarde.
La situation est cocasse. Deux hommes dans une voiture, le sexe à l'air en érection. L'un comme l'autre dans un état qui confirme leur appréciation positive de la situation.
"Et maintenant" dis-je "tu as envie de quoi ?"

Pensif, mon passager ne répond pas, j'imagine son esprit tourner à toute vitesse, j'arrête, je continue mais quoi,...
Au bout de quelques instants, sans lui laisser le temps de répondre je prends doucement son sexe qui commençait à retomber entre mes deux mains expertes. J'ai l'impression qu'il attendait que ça et doucement il manœuvre le dossier du siège passager pour s'allonger plus confortablement et faciliter l'accès à son sexe.

Au bout de quelques minutes d'un malaxage à deux mains, la taille de la bite a rejoint son maximum. La phase buccale peut commencer. Je n'embrasse jamais les hommes que je ne connais pas, je commence donc la descente de ma langue à partir du ventre. Même sans expérience, il comprend vite ou je veux en venir et son sexe m'attends que ça.


La fellation durera plusieurs minutes avant que les premiers signes extérieurs de plaisir m'apparaissent. Mon plaisir est redoublé par les gémissements, ma langue fait tours et retours autour de son gland jusqu'à ce que je détecte les prémisses de l'éjaculation. Avec de l'expérience c'est un moment que les homos savent détecter. J'arrête donc là ma besogne et afin d'être certain de profiter encore quelques temps de ce jeune homme je comprime entre deux doigts le bas du pénis pour faire tomber l'envie. La manip marche bien et son sexe se détend rapidement.
"alors toujours envie ?"
"aide moi à te faire pareil" me dit t-il je ne l'ai jamais fait à un homme...

Comme lui, je baisse mon dossier et prend la position. Il devait avoir tellement envie qu'il en oublie les préliminaires et passe directement à la fellation. Là, pas besoin de dire qu'il ne l'a jamais fait. On aurait dit une poule devant un couteau. Même avec quelques gestes pour le guider, j'étais loin de l'extase. J'ai même eu du mal à conserver mon érection.

Au bout de 10 mn d'un travail approximatif je me retire et le regarde droit dans les yeux. Il semble sur une autre planète, toutes ses réticences sont inhibées, il est en pleine phase de découverte et semble ne pas vouloir s'arrêter. Ses propos viennent vite confirmer cette impression.
"Est-ce que tu peux m'enculer ?", j'ai envie de voir ce que ça fait"

Sans un mot (je n'aime pas parler dans ces moments-là) le l'invite à sortir de la voiture. Il fait beau et doux.

Je le guide pour qu'il se positionne devant la voiture, ventre sur le capot. C'est la première fois que je vois ses fesses. Bien rondes et fermes, presque des fesses de femmes tant elles sont lisses et potelets. J’écarte avec les pieds ses jambes pour faciliter la position de pénétration. Tout homo qui se respecte a toujours un peu de lubrifiant dans une boite à gants du véhicule. Ma femme aime aussi beaucoup la sodomie, pas besoin de le cacher. Comme c'est une première j'y vais abondamment sur et dans l'anus. il est très tendu au point que j'ai du mal à mettre le gel dans son anus.

Afin de l'aider à se détendre je commence à malaxer sa rondelle avec le bout de mon sexe. Difficile de dire s'il se détend, mais la rondelle, elle, commence à s'ouvrir.
Dans ces cas-là, la pénétration est toujours douloureuse, mon partenaire n'y échappera pas. Un petit cri accompagne ma première pénétration et son sexe chute rapidement.

Il faut qu'il retrouver son envie et efface la douleur. J’attaque donc les va-et-vient petit à petit, avec douceur et sans aucune brutalité. La méthode marche bien mais c'est des années d'expérience...
J'aime bien malaxer le pénis et le gland du mâle que je l'encule, ça augmente mon plaisir et mon partenaire voit qu'on ne s'occuper pas que son trou du cul. Cela faisait pas 2 minutes de j'avais commencé mes va et vient accompagnés de la branlette à deux mains que son sexe commence à être pris de soubresauts et voilà qu'il éjacule dans ma main, une semence abondante et chaude. Et m.... et moi qui suis loin de l'orgasme. je ne voulais pas que son plaisir s'efficace trop vite.
J'accélère donc ma besogne et les râles qui l’accompagnent me rassure sur la disponibilité du cul de mon partenaire. Il en voulait encore et encore... à croire qu'il m'avait pas tout lâché...

J'ai pris mon temps et d'un dernier coup de hanche, j'ai accompagné mon lâché de purée. Que du plaisir.
Contre toute attente, la suite fut étonnante. Sans un mot, il s'est habillé m'a aidé à faire de même, puis au moment de remonter dans la voiture pour poursuivre la route, droit dans les yeux il me dit:
"Merci pour ce dépucelage, j'ai vraiment pris beaucoup de plaisir mais permets moi une question ?"
"Je t’écoute" lui répondis-je
"On a passé plus de 30 mn à baiser et jamais tu m'as embrassé, tu n'aimes pas embrasser un homme ?"
"Jamais la premier fois" ai-je répondu.

Il se jette alors sur moi et me roule une pelle avec une envie rageante.
"On dira que c'est la deuxième fois...

Nous avons poursuivi la route en reprenant notre discussion banale. Je l'ai déposé là où il souhaitait aller et j'ai poursuivi ma route. Pas d'autre auto-stoppeur sur la fin du trajet.....
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Histoire de mazigounette

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