Saisir la chance quand elle passe 2

Je ne suis pas toujours sur la route. Et comme j'aime ça, même au bureau j'arrive à avoir des opportunités à saisir.

Ce jour-là j'étais donc en réunion de travail sur un sujet complexe et pas très intéressant pour moi.

Dans la salle nous étions une dizaine et les échanges étaient nombreux. Un petit jeune d'une trentaine d'année, du type 1er de la classe un peu coincé, enrichissait le débat sur des points très précis. A plusieurs reprises nos regards se sont croisés et, sans savoir vraiment pourquoi, j'ai eu une drôle d'impression.

A la pose, un petit groupe se forme autour de la machine à café. Notre jeune homme est là. Je m'approche pour prendre un café et engage la conversation sans aucune arrière-pensée.

Nous nous éloignons un peu du groupe et au bout de quelques minutes, comme notre conversation tourne autour de détails techniques, nous nous retrouvons seuls. La conversation semble l'intéresser. Pour ma part elle l'est moins mais j'y prends goût. Plus la conversation avance plus j'ai l'impression que notre jeune homme est mal alaise et se tortille. Instinctivement (c’est mon côté bi…) je jette un oeil discret sous sa ceinture pour me rendre compte qu'une petite boule commence à apparaître. Il cherche à la dissimuler. Voyant ça, je poursuis la conversation en le fixant de mon regard de quinqua en suivant d'un œil discret la forme de la boule qui ne cesse d'augmenter.

Afin de ne pas le mettre trop mal à l'aise, je l'invite à rejoindre la salle. Au bout de quelques mètre après m’être assuré que personne ne nous voit, je lui glisse à l'oreille.
"Je vois que tu as du mal à cacher tes envies, va faire une photo de ta bite dans les toilettes et envoi moi la photo par mail. Si elle est baisable, je te dirais où aller".

Je rejoins la salle et reprend ma place. La réunion redémarre comme si de rien n'était. Nous allons déjeuner. Je ne prête aucune attention au jeune homme qui mange avec une autre partie du groupe. Le travail reprend tout aussi dense et technique.

Sur le coup de 15h00 mon portable me prévient de l'arrivée d’un mail. Discrètement je le consulte: deux mots « ma bite » et une photo d'un sexe relativement petite mais effilée et peu touffu. Vraiment comme je les aime...

Toujours discrètement j'écris "RDV à 18h00 dans les toilettes du 3éme étage au fond. Tu m'attends dans le WC, les couilles à l'air. Je taperai 3 fois à la porte pour m'identifier". Je savais ces toilettes vastes et le lieu très calme après 17h30.

Notre réunion se fini à 17h00. Je quitte la salle pour rejoindre mon bureau et traiter quelques mails. Vers 18h10, je me rends dans ces toilettes. La porte de l'unique et vaste WC est fermée. Je tape 3 fois et j'entends la serrure s'ouvrir.

Je rendre et je trouve le jeune homme, pétrit d'anxiété, debout son pantalon sur les chaussures ne sachant pas quoi dire, ni faire. Il ne bande pas. Sa queue, pas très longue et filiforme, est comme sur la photo, entourée d'une touffe légère châtain clair. Les bourses semblent fermes mais peu gonflée. En le regardant droit dans les yeux, je saisi son sexe et commencé à le malaxer doucement. Le fait de le décalotter provoque un soubresaut qui fait démarrer l'érection. Ce sexe sans grande particularité commence à prendre une forme plaisante. Je continue mes caresses qui font de plus en plus d'effet. Il a maintenant les yeux fermé et son souffle commence à être de plus en plus saccadé. Il le fait rien de ses bras qu'il laisse le long de son corps. Ne voulant rien perdre de ce premier contact, je me dirige vers ce sexe en érection pour lui tailler une pipe. Doucement, lentement je fais des va et vient prenant bien soin de sucer le gland à pleine langue. Le jeune homme semble se retenir pour ne pas gémir. Je commence à sentir les prémisses de l'éjaculation. Pour ne pas finir trop vite, je lâche son sexe qui reste droit comme un nid.

Sans un mot je l'invite à s'asseoir sur le WC et je me relève. Cette pipe ne m'ayant pas laissé indifférent, il me faut libérer l'étreinte. Quelques secondes pour dégrafer la ceinture et baisser mon pantalon et me voilà le sexe à hauteur de sa bouche. Mon sexe et très touffu et d'un diamètre enviable... Sans avoir besoin de faire quoi que ce soit, mon sexe se retrouve dans sa bouche qui semble découvrir le plaisir de la fellation.

Les premières minutes furent difficiles car il ne savait pas vraiment comment s'y prendre. Avec un peu d'aide il se mis vite au diapason et son va et vient commençait à faire de l'effet.

Le WC dans lequel nous étions est assez vaste et contient un lave main avec distributeur de savon.

Mon sexe ayant atteint sa taille critique, je le retire de sa bouche et l'invite, toujours sans un mot, à s'accroupir sur le WC.

Il prend la position ad-hoc car il a bien compris ce que je voulais faire. Deux trois coup de pompe à savon, je badigeonne son anus un peu contracté et j'asperge mon sexe d'eau pour qu'il soit vraiment bien humide.

Je commence par quelques caresses pour décontracter le muscle. La pénétration est rapide, facilitée par le savon mais douloureuse si je me réfère au recul et au petit cri du jeune homme.

Pour me faire pardonner j'entame doucement un mouvement de va et vient en prenant soin de lui malaxer les couilles pour l'aider à trouver son plaisir.

La technique marche et je sens son anus s'ouvrir de plus en plus, son sexe reprendre le garde-à-vous et les gémissements étouffés reprendre.

Son cul, son sexe et ses gémissements ont fait monter mon plaisir plus rapidement que ce que je voulais et au bout de quelques minutes d'un tel traitement un chaude giclé de sperme envahi le cul du jeune homme qui s'en rend compte et lâche sa purée dans ma main qui lui malaxe le gland presque au même moment..

Nous restons l'un dans l'autre quelques instants sans bouger. Depuis le début ces ébats nous n'avons échangé aucun mot, juste des regards et des gestes.

Après m'être retiré et essuyé le sexe avec l'essuie tout papier du lavabo, je remonte mon pantalon et quitte le local sans un mot.

Je n'ai jamais revu ce jeune homme dont j'ignore même le nom. Il n'a jamais cherché à me contacter. Par contre j'ai toujours la photo de son sexe sur mon portable. De temps en temps je la regarde pour me souvenir.