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Sexe à Boncelles

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Lue : 12872 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 28/08/2010

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- Non, désolée Driss, mais je n'ai pas ma carte Visa avec moi. Je regarde sa mine un peu déconfite et souris intérieurement; il veut me baiser, il peut payer l'hôtel.

Le concierge me dévisage longuement, et, de la façon dont il le fait, je sens qu'il me prend pour une pute; il ne me laissera même le doute du couple illégitime. C'est vrai que l'Ibis à Boncelles n'est pas un hôtel de passe et que, c'est certainement la première fois qu'il voit débarquer un couple à midi trente pour prendre une chambre.

Il fallait bien que cela arrive un jour; depuis le temps que Driss, mon chef de service, me court après

Quelques mois auparavant :

Voici deux mois que j'ai été engagée dans cette société de biotechnologie. Nous sommes trois à travailler dans un petit service annexe : Driss, docteur en biologie, la petite cinquantaine et, comme son nom l'indique, marocain, en est le chef. Franck, vingt huit ans, est, comme moi, licencié en sciences et nous nous partageons le travail de production. Il suffit d'être précis, minutieux, consciencieux et, pas trop regardant sur les horaires.

Dès le début, j'ai sentis le regard de Driss se poser sur moi, me jauger, me déshabiller. Franck, lui, me voit comme un concurrent et me traite comme si j'étais un mec. Je préfère, il a un tempérament vraiment trop gamin.

Driss a l'art et la manière de me déstabiliser; il profite de mes petites erreurs professionnelles, que je trouve normales pour une débutante, pour me mettre mal à l'aise avec ses critiques. Dès que je perds pied, il embraye sur ma vie privée et me pose des tas de questions très personnelles. Je sais que j'ai déjà dû lâcher pas mal de choses; notamment le fait que je ne sais pas si je suis heureuse ou non avec mon mari.

Il y a un mois, nous avons travaillé tard. Il était plus de vingt et une heure quand la production s'est terminée. Driss et moi étions les derniers à quitter l'entreprise. J'avais à peine parcouru un petit kilomètre, de quoi quitter le zoning de Flémalle, que des appels de phares m'ont fait stationner. J'ai de suite reconnu la voiture de Driss. J'ai donc quitté mon véhicule pour le rejoindre : aurais-je oublié quelque chose ? Devons-nous bien vite retourner au labo pour effectuer une dernière manip ? Driss ouvre la portière passager et m'invite à monter. Fin octobre, le temps est très frais, je n'hésite pas une seconde et me voici à ses côtés dans le véhicule. Driss, après quelques mots sur la production d'aujourd'hui, et le planning des jours prochains, me regarde profondément dans les yeux. "Tu sais, Ma-Pi, me dit-il, quand on est pas heureuse dans son ménage, il ne faut pas rester.". Je lui sors quelques banalités, genre c'est quoi le bonheur ? Et mes filles, dont la cadette n'est même pas encore en maternelle ?....Sans que je le remarque vraiment, les mains de Driss se sont posées sur moi, sur mes cuisses et me caresse légèrement. Ce n'est pas la première fois. Au labo, j'ai déjà senti ses mains effleurer mes fesses, ou, penchée sur ma paillasse, il a déjà glissé ses mains sous mes bras, pour m'aider, et ce faisant, frôlait ma poitrine...

Driss reprend : "Tu sais, si tu ne veux pas quitter ton mari, prends au moins un amant. Ça te rendrait souriante et ca me rendrait le travail moins pénible". Un amant ? Il pense sûrement à lui; et, bien que je ne suis pas particulièrement regardante, il est quand même plus âgé, fume comme une cheminée et est ventripotent. Et puis, sexuellement, si je me permets beaucoup de choses, je n'y prend pas vraiment de plaisir. Je pratique comme un exutoire. Certaines font du jogging, moi, je baise...Mes tensions s'en vont et je peux m'endormir profondément, mais pas sereinement.

Une de ses mains a quitté mes cuisses et enserre un de mes seins. C'est drôle, mais je n'ai aucune envie de lui demander de l'enlever. Sensation bizarre, pas vraiment du plaisir, mais aucun déplaisir. Il se penche vers moi et m'embrasse. Je lui rends son baiser; le goût du tabac m'insupporte et je me recule très vite. J'ouvre la portière et m'en vais en le saluant vaguement de la main.

Depuis, ce scénario s'est déjà répété quelques fois : il me caresse, parfois, glisse même ses mains sous ma blouse. Par contre, je le repousse quand il veut me caresser le sexe. Quand à moi, je glisse la main dans la poche de sa main et le caresse doucement ainsi. "Quand passerons-nous aux choses sérieuses ?" m'a t-il un jour susurré. " Des choses sérieuses ? Comme celles-ci" lui ai-je répondu en ouvrant sa braguette, sortant son sexe et en le masturbant... "Oui, comme celles-là" m'a-t-il répondu...

Pendant que je le branlais, j'ai repensé à Th., mon mari. Ce geste, quelquefois je l'ai déjà accompli quand nous revenons de chez frère à Mons. Les filles dorment à l'arrière et moi, je masturbe Th. qui conduit...La première fois, je n'avais pas pensé aux conséquences...une belle tâche de sperme sur le siège qui m'a fallu nettoyer le lendemain matin. Maintenant, j'ai toujours des mouchoirs en papier dans mon sac.

J’essuie longuement le sexe de Driss...si ça continue tout le paquet de kleenex va y passer. Non pas qu'il ai éjaculé beaucoup, mais j'adore ce moment de triomphe où le mâle est entièrement entre mes mains. Driss bande toujours; je sens qu'il voudrait autre chose. Mais, je jette négligemment le mouchoir maculé par terre et quitte son véhicule. "A demain...fais de beaux rêves" lui laisses-je en refermant la portière.

Depuis, Driss est beaucoup plus entreprenant et pressant. Il m'a un jour suivi aux toilettes et a exigé que je l'y masturbe ou l'y suce... Comme j'hésitais un peu, il a défait sa ceinture, baisé son pantalon et son slip et, d'un ton plus qu'autoritaire : "Alors, tu y va...Tu fais beaucoup moins de manières dans ma voiture...C'est de vivre avec un camionneur qui déclenche tes envies dans les véhicules...Fais moi jouir, salope, je sais que tu aimes ca". J'ai envie de répliquer ou de m'enfuir...Je ne suis pas une salope. Je me laisse emporter par des ambiances, des odeurs...ou même, je ne suis pas là, c'est une autre que moi. Driss m'a pris le poignet et m'oblige à prendre son sexe en main. Et puis, tant pis, on va pas faire tout un plat d'une petite branlette.

Ce jour là, Driss a réussi à enlever mon tablier, mon chemisier, mon soutien gorge. Il m'a mise à genoux et a éjaculé sur ma poitrine. Je l'ai regardé, j'ai vu son air triomphant quand, les seins pleins de son sperme, je me suis relevée pour aller m'essuyer. J'étais à peine debout, qu'il m'a embrassé à pleine bouche et, sans que je ne puise réagir, à réussi à détacher mon jean. "Montre-moi ta chatte, maintenant !". Son ton est vraiment cassant, je glisse mon pantalon sur mes hanches et, lui, d'un geste brusque, fait suivre mon string...Il veut me toucher la chatte, mais, dans un mouvement réflexe, je mets mes mains devant. "D'accord, fait-il, je ne te toucherais pas. Mais, alors, tu vas te branler devant moi."

Voilà une chose que je n'ai quasiment jamais faite : me masturber. J'ai bien quelques petits souvenirs d'adolescentes, comme à l'école. La mixité n'était pas encore de mise et nous avions trouvé un jeu idiot, mais marrant. Nous nous jetions en tas, les unes sur les autres et, le jeu consistait à passer une de ses mains dans la culotte d'une condisciple. Plusieurs fois, lors de ce jeux, j'ai sentis les doigts qui s'insinuaient entre mes lèvres, qui caressaient mon clitoris. Pas vraiment une jouissance, mais une sensation de bien-être.

Où, comme dans la maison de Provence que possédait un de nos voisins. Ils nous est arrivé, à mes soeurs et moi de pouvoir profiter de cette ancienne bergerie. Un jour, des garçons que nous avions rencontré dans une soirée à Liège se sont arrêtés. Ils se rendaient en Espagne et avaient fait le crochet pour nous voir. Nous dormions tous dans la même chambre et, le dernier soir, ce ne fut que murmures et gémissements. Moi, personnellement, je me suis contentée de caresser et surtout d'être caressée, du moins, c'est tout dont je me souviens..... Ce dû être chaud, parce que le lendemain, mon compagnon était tout maculé : un mélange de sperme et de mouille...

C'est là aussi que j'ai pu mesurer la première fois l'émoi que mon corps provoquait. Nos voisins pratiquaient le nudisme. La première fois, cela me surprit et me mit un peu mal à l'aise. Les jours passant, je finis par quitter totalement mes vêtements. Il n'y avait que deux hommes à demeure : le voisin et son fils. Son fils, Jean-Loup, était alors âgé de dix ans. Trois, quatre années plus tard, je suis retournée en vacances avec les enfants de mes voisins. Nous étions six, les trois enfants du voisin, Isabelle, mon amie, Emmanuelle, sa soeur, Jean-Loup et son copain, une de mes soeurs et moi-même.

Après deux, trois jours, nous avions retrouvé nos habitudes et, tant que nous étions entre nous, nous étions nus du matin au soir. Jean-Loup et son ami étaient maintenant pubères et, quelquefois, je sentais leur regard gêné s'attarder sur nous. Un après-midi, prétextant une certaine fatigue, j'étais restée seule à la bergerie; le reste du groupe préférant se balader à vélo. Jean-Loup revint assez rapidement. "Foutu vélo", laissa-t-il seulement échapper en jetant son vélo sur le sol. Puis, reprenant ses habitudes; il se défit de son short et de son t-shirt et se laissa tomber dans un transat. Je reposais alors ma tête sur l'oreiller et, couchée sur la pelouse, offrit mon corps au soleil. J'adore toujours cette caresse, rien que le soleil et moi... Quelques minutes plus tard, je rouvris les yeux. Jean-loup était débout, à mes pieds et me regardait avec attention. Je refermais prestement mes jambes que, dans un moment d’abandon, j'avais grand ouvert. "Tu sais que tu es très belle" me dit Jean-Loup. Moi ? Belle ? Cela me surprit, petite et assez boulotte, je ne comprends pas que l'on puise me trouver belle. Je me rassis, surprise par cette déclaration et détailla Jean-Loup. C'est vrai que lui était assez mignon : blond ondulé et un regard doux, très doux...Physiquement, il avait changé, plus charpenté, des traits plus masculins. Mon regard descend et, sous une toison déjà fournie, je constate son sexe à moitié durci. Je me rappelle alors les livres porno que ma soeur aînée nous avait montrés un soir; elle pratiquait le sexe depuis quelques mois et avait tenu à faire "notre éducation", nous expliquant qu'il fallait varier les positions et les plaisirs.

Et devant moi, j’ai un garçon qui bande, à cause de moi...Je suis assez choquée, non, plus tôt apeurée; que dois-je faire ? "Oui, tu es vraiment très belle" reprend Jean-Loup et je vois sa main gauche qui descend vers son sexe et qui le caresse doucement. "Jean-Loup, si tu continues, je m'en vais" . J'essaye de prendre un ton autoritaire, mais je sens bien qu'il contient trop de trouble que pour être pris au sérieux. Jean-Loup se rapproche et vient se placer au dessus de mes genoux; j'ai son sexe juste au face des yeux. "J'en peux rien si tu es belle..." Jamais aucun garçon ne m'a parlé ainsi, ni même ne m'a regardé ainsi. Je fixe mes yeux dans les siens et je vois tellement de douceur, tellement d'envie que j'en oublie mon appréhension. Mon regard redescend vers son sexe et là, je vois qu'il bande complètement, son sexe est dressé et, entre ses doigts qui bougent, je vois son gland, rouge et maintenant décalotté. Je suis subjuguée par ce spectacle. C'est la première fois que je vois une bite d'homme en érection et je n'oublierais jamais la boule de feu que cela a déclenché dans mon sexe. Je ne peux plus me contrôler, je tends la main gauche et lui caresse les testicules. Jean-Loup pousse un long soupir et se rapproche encore de moi.

C'est la première fois que je touche un sexe masculin ,mes doigts remontent vers sa verge, mais sa main ne me laisse pas de place. Je me mets alors à genoux et, sans douceur dégage sa main de son sexe. C'est à mon tour, mes doigts enserrent sa tige. Est-ce possible ? Je la sens encore se gonfler. Je ne sais comment faire, mais, peut être un instinct venu du fond des âges, fait que ma main remonte et descend le long de sa queue. "Doucement", gémit doucement Jean-Loup, "Fait doucement; sinon je vais avoir mal". Je déserre légèrement mon étreinte et continue mes mouvements. Le temps est suspendu et je crois que je pourrais continuer longtemps, très longtemps, ces caresses. Mais Jean-Loup ne peut se retenir plus longtemps et laisse échapper sa semence. Deux, trois, quatre jets ?? Je ne m'en souviens pas. Je me rappelle de la chaleur du sperme sur mon bras, de son odeur...Je sais que je vais aimer ces moments. Pendant les deux semaines de vacances qu'il me reste, je m'arrangerais pour retrouver Jean-Loup et améliorer ma technique. Nous n'en reparlerons que bien des années après, lors d'une petite fête. Profitant d'un aparté, Jean-Loup me demandera : "Tu te souviens de l'année de mes quatorze ans ?". "Les vacances en Provence ?"lui demanderais-je. "Oui, tu as été la première femme à me toucher et j'en garde un souvenir extraordinaire." Devant tant de candeur et de douceur, nous parviendrons à nous isoler et, le temps d'une masturbation, nous redeviendrons adolescent...

Je sors de mes souvenirs et me retrouve dans ces toilettes, nue devant Driss. Me branler devant un homme...Mais, je n'ai pas le choix et j'y vais donc, doucement d'abord. J'essaie de me caresser le clitoris, d'éprouver des sensations, mais rien. Driss insiste : "Pas comme ca. Ecarte tes lèvres et enfonce-toi un doigt ou deux et fais les aller comme un sexe". J'y vais, je tente la chose...C'est drôle, je ne me sentais pas excitée et, pourtant, mon sexe est tout mouillé. Je suis là, debout, devant un marocain ventripotent en train de me branler...Et lui fait de même. Tout à coup, il éjacule une deuxième fois, en plein sur mon string...

"Tu vois ce que tu as raté....Parce que tout ca devrait maintenant se retrouver au fond de ta chatte". Je le regarde, perdue, que dire, que faire. "Tu vas remonter ton string et le garder comme ca, toute la journée. Ca m'excitera de savoir que tu te balades avec mon sperme collé à ton sexe". Je ne sais rien faire que d'obéir. "Un jour, je te baiserai et tu seras chienne ce jour, n'est ce pas ?" Je ne réponds pas. "N'est ce pas ?", fait il en insistant lourdement. "Oui, oui un jour nous baiserons et je serais chienne".

Plusieurs fois, je me suis réveillée en pleine nuit en revoyant cette scène et j'ai, chaque fois, stimulé Th.. Il me fallait un sexe, dur, en moi, je devais sentir du sperme sur répandre dans mon ventre. Une fois, même, j'ai rejoints Th. qui prenait sa douche. Je me suis agenouillée et l'ai branlé...Je voulais une éjaculation faciale...Je voulais être chienne. Th. a répandu sa semence partout, dans mes cheveux, sur mes lunettes et s'est presque excusé. "Pardon" a-t-il fait en me passant une serviette. Si il savait que j'ai adoré cette situation.

Avec Driss, nous ne jouerons pas d'autre jeux que celui-là. Régulièrement, je le rejoindrais dans sa voiture, mais je ne ferais rien d'autre que de l'y masturber. La voiture me rappelle trop les premiers ébats avec Th., quand nous cherchions des petits chemins dans le pays de Herve pour y garer la Ford Orion et pratiquer le jeux de la bête à deux dos. Le souvenir de Djidji est aussi toujours trop présent que pour que je m'y laisse aller...

Jusqu'au jour où nous devons aller visiter nos futurs nouveaux locaux au Sart-Tilman. Je pense que Driss a prémédité son coup. Il a tenu que je passe d'abord à Flémalle et, de là, nous partons ensemble, lui et moi, vers nos nouveaux labos. Il a, subtilement, refilé une tâche urgente à Franck en lui promettant de lui faire la visite le lendemain.

Le tour du nouveau bâtiment est très vite effectué; une bonne partie est toujours en chantier. En remontant dans sa voiture, Driss me glisse : "Il est temps de tenir parole". Je le regarde interloquée. "Oui, reprends-t-il, les petits jeux sont terminés. Aujourd'hui, je te baise. Aurais-tu oublié ?". Oui et non...Non, je n'ai pas oublié. J'ai seulement mis çà de côté. Et puis, a-t-il le droit de décider tout seul ? Je n'ai pas mon mot à dire ? Oh, et puis tant pis, ce sera fait et on n'en parlera plus. Et puis Driss a un côté très paternel quand il veut et ce côté me rassure toujours.

Et c'est ainsi qu'une demi-heure après, je me retrouve dans une chambre à l'hôtel Ibis de Boncelles. Une chambre d'hôtel comme toutes les chambres d'hôtel, sauf que celle-ci sent encore le neuf. J'ai envie de la jouer provoc, mais Driss me surprend déjà. "As-tu fais l'amour hier soir ?" me demande-t-il ? Il faut que je me rappelle...Etait-ce hier ou avant-hier ?? Très souvent, dans ces moments intimes, j'y suis présente physiquement, mais mon esprit est ailleurs. Où, je ne sais pas...Mais je ne suis pas là. Très, trop même, rarement, j'éprouve autre chose qu'un soulagement physique et nerveux..."Oui, hier soir, j'ai fait l'amour...Pourquoi ? Va prendre une douche, je ne veux pas d'autre odeur que la tienne" me répond-il d'une voix autoritaire.

J'aime ce ton; il est clair, net et ne supporte aucune contestation. Et, en même temps, je le déteste. Non, je ne suis pas un objet, je fais ce qu'il me plaît. Toutes ces pensées me traversent la tête pendant que je me dirige vers la douche. Driss me suit, il me regarde me déshabiller et, m'empêchant de fermer la porte de la cabine, me regarde me doucher. Je fais cela méticuleusement et, puisqu'il m'observe, prend bien le temps de me laver le sexe et traîne sur mes seins. Lui, reste là, une cigarette en bouche. Il me regarde et ne dit mot.

J'ai un flash : je me revois gamine. Nous revenions, mes parents et mes trois soeurs de la visite dominicale chez mes grands-parents. Assises toute quatre derrière, nous ne portions aucune de ceinture de sécurité. Dans un virage un peu trop serré, la portière droite, contre laquelle j'étais, s'est brusquement ouverte et je me suis retrouvée hors de la voiture. Une grosse frayeur, quelques éraflures, je m'en sortais très bien. Rentrés à la maison, ma mère me donna vite un bain. L'oncle Maurice, un beau-frère de mon père, se tenait, comme Driss actuellement, dans l'encoignure de la porte. J'ai alors éprouvé le même sentiment que maintenant : de la gène d'être entièrement nue dans un geste intime et de la fierté, fierté d'être regardée et de sentir de l'envie.... Lorsque j'arrête le robinet, il tourne les talons et s'en va vers le lit.

Je traîne un petit peu, bien m'essuyer partout, un coup de sèche-cheveux et, nue, regagne la chambre. Driss s'est dévêtu et m'attend couché sur le lit. Je le regarde, il n'est pas vraiment beau. Il m'invite d'un signe à le rejoindre et je m'allonge à ses côtés. Il m'embrasse longuement et me caresse. Mon corps sursaute légèrement quand son majeur s'introduit entre mes grandes lèvres. Driss, couché sur le côté me regarde avec un sourire ironique. "Trop tard , Ma-Pi ! Aujourd'hui, tu seras chienne, ma chienne..." et se disant, pousse son doigt au fond de mon sexe. Je viens de comprendre. J'espérais avoir un peu de tendresse, quelques mots doux, peut être même très doux....Je n'aurais que du sexe...

Des images me reviennent en tête : mon premier amant. Je l'avais rencontré au mariage d'une copine et, lui, toute la soirée avait dragué ma soeur aînée. Leur idylle n'a duré que quelques jours; ma soeur apprenant qu'il n'était pas tout à fait libre, l'avait planté en le traitant de tous les noms. Moi, j'ai voulu lui prouver qu'il fallait prendre la peine de connaître les gens avant de les juger. Comme nous étions tous les deux étudiants en science à l'université, il m'a été facile de recréer le lien. Ce fut une drôle de relation : peu de paroles échangées, beaucoup de séances de cinéma gratuites (il en faisait la critique sur une radio libre) et puis, après quelques jours, de la baise. De la baise, parce qu'il n'y eut jamais d'amour. La première fois, je lui ai demandé d'y aller doucement, que j'étais toujours vierge...Mais, je n'ai même pas saigné et, physiquement, j'ai fait cela comme une séance de gymnastique. Jamais, il n'a voulu admettre qu'il m'avait dépucelé. On a, bien sûr, essayé plusieurs positions, plusieurs endroits, mais, jamais, je n'ai pris mon pied. Un jour, son ex-copine est revenue et, sur l'instant, notre relation s'est terminée.

Je revois aussi ma nuit de noces : Th, l'a passé à discuter avec un ami. Je suis restée sur mes envies. Pratiquement, tous les hommes que je rencontrerais me verront comme çà : un objet sexuel et, foncièrement, je crois que ça ne me dérange pas..

Driss me masturbe, assez brutalement et j'essaye d'accompagner ses mouvements. Je tends mon bras pour saisir son sexe, mais il m'arrête en plein mouvement. "Non, me dit-il, la branlette, c'est pour la voiture". Il se lève du lit et m'invite à le suivre, me pousse à genoux et me prenant la tête à deux mains me pousse son sexe en bouche. Il me baise littéralement par la bouche, c'est lui qui m'impose les mouvements de va et vient. Je sens son sexe venir cogner mon palais, il l'introduit au plus profond. Si cela continue, je vais avoir des nausées. Il me traite de cochonne, de salope, de pute...Il a sûrement raison. Il finit par sortir de ma bouche, me relève, et me pousse vers le lit "T'aimes ça, hein Ma-Pi, t'aimes la bite, t'aimes te faire sauter..." J'ai envie de lui répondre que je veux de l'amour, mais il a raison. J'aime me faire sauter...

Et il en profitera, principalement en levrette. Dans cette position, pour la première fois de ma vie, pendant qu'il me baise, un homme introduira son index dans mon anus. Passée la première surprise, je vais aimer cette présence dans mon cul. Il voudra me sodomiser, mais c'est la seule chose que je lui refuserai. Il va ma garder à quatre pattes sur le lit et me représenter sa bite. Je lui lécherai, allant jusqu'à lui lécher les couilles et je la prendrais en bouche. Il va de nouveau me tenir la tête dans ses mains et éjaculera ainsi. Il ne me lâchera que quand j'aurais tout avalé.

Nous resterons trois heures dans cette chambre. Driss me prendra, me reprendra jusqu'à plus faim. Je ne sais pas où il a été cherché cette énergie. Je ne jouirais pas une seule fois...je ne me rappellerai même pas de tout; mon mental m'emmenant plusieurs fois ailleurs. Je me poserais même, en pleine action, la question de savoir : pourquoi ? Avec Driss, c'est sûrement freudien; un homme plus âgé, sûr de lui et m'indiquant ce que je dois faire. J'ai certainement été cherché l'image de mon père, présent physiquement, mais tellement absent...Est-ce pour cela que je laisse faire les hommes : besoin d'une reconnaissance ?? Pourtant, ce faisant, je me conduis comme la pire des salopes !

Nous prendrons notre douche ensemble et Driss me raccompagnera à Flemalle. En chemin, il sortira son sexe de son pantalon et je lui ferais encore une fellation.

Au milieu de la nuit suivante, je me réveillerai en sursaut. Une envie, soudaine et irrésistible. Je taillerai une pipe à Th. et, pour la première fois, j'avalerais son sperme.

Une seule fois encore, je partagerais encore mon sexe avec Driss. Je serais toujours mariée, mais aurais un amant "plus régulier". Et pourtant, lors d'un voyage d'affaire en Suisse, je serais soumise aux envies de Driss.

Le jour de notre retour à Liège, je filerais en vitesse à l'appartement de mon amant. Il m'y sodomisera. Ensuite, rentrée à la maison, je demanderais à Th. de me rejoindre sous la douche pour un long moment...

A suivre
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Commentaires du récit : Sexe à Boncelles

Le 31/03/2011 - 11:03 par dropitlike
Merci pour cette jolie histoire,un vrai delice... En plus etant du coin c est un peu comme si j aurais pu la vivre lol mais c est driss qui a eu cette chance J espere que nous aurons encore bientot droit a une de tes histoires
Le 28/10/2010 - 19:02 par Sosweet
jadeeerreeee trés bon texte sincerement tu ecrit bien et jm aussi les flash back c kiffant
Le 29/08/2010 - 19:53 par gg85
Très bon récit ,j' ai beaucoup aimé les "flash back" sur tes expériences ultérieures qui émaillent ta narration et aident à mieux comprendre le cheminement de ta soumission

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