Sexe entre amis

Des vacances sportives.

Partie 1: Le commencement

Pour vous situer le contexte, tous les ans nous partons entre amis pour une semaine de vacances au soleil dans le sud de la FRANCE. Trois couples donc six en tout. Tout se passe toujours très bien et la bonne humeur est au rendez-vous. Quelques sorties vtt pour les hommes, bronzette pour les dames.

Dames qui, je dois l'admettre, sont charmantes et j'avoue que mon regard s'égare parfois sur ces corps désirables, malgré le fait que tout autre chose que de l'amitié est parfaitement impensable.

Jeanne est accompagnée de Tony. C'est une brune assez grande et élancée, des yeux vert magnifique et une poitrine de taille mais appétissante ainsi qu'un fondement de toute beauté.

Sophie, en couple avec Éric, est pour sa part une blonde "cliché", j'entends par là yeux bleus, gros seins, une bimbo pleine de sex-appeal et qui ne le sait que trop bien.

Ma femme, Christine, n'est pas en reste pour ce qui est du physique, mais le temps émousse parfois le désir qui nait lors d'un regard appuyé sur une plastique pourtant très agréable.

Or cette année, Christine est retenue par son travail. Qu'importe, nous ne serons que cinq mais ce pèlerinage annuel ne saurait être annulé. Nous prenons donc la route de bon matin et arrivons dans l'après-midi sur notre lieu de villégiature. Un rapide coup de fil à madame pour l'avertir de l'arrivée et viens la répartition des chambres, un moment toujours délicat, chacun voulant précisément celle que l'autre voulait....

Comme d'habitude, je suis conciliant et accepte les conditions des autres. Je suis donc dans la chambre à un lit, entre les deux autres chambres. En espérant que les murs ne trembleront pas trop, ce qui serait une torture pour moi qui ne peux ni prendre du plaisir avec ma moitié, ni évidemment me soulager avec les deux autres filles du groupes.

Une fois tous ce petit monde installé, vient le moment du ravitaillement. Je me propose d'allé au magasin avec les courses, non sans arrières pensées, pendant que les deux autres mâles finissent de décharger les voitures. Cette idée plait à tout le monde, moi surtout, et nous voilà en route....

Les filles ont déjà revêtues les tenues légères et je déambule dans les rayons en profitant de pouvoir me rincer l'oeil sans risque, plus occupé par les formes de mes amies que par la liste de course. Des shorts serrés mettant en valeur ces galbes fessiers de déesses et des hauts qui laissent entrevoir un maillot de bain mini, débordé par une poitrine généreuse pour Sophie, moulant parfaitement les obus de Jeanne. J'avais les yeux perdus dans ces décolletés, envahi par des fantasmes où des scènes très hard s'enchainaient avec ces deux corps, lorsque Sophie me demanda pourquoi je souriais ainsi. Gêné, je prétextais la joie d'être en vacances pour justifier cette rêverie, et je partais dans un autre rayon pour masquer son effet sur mon membre en manque et avide de plonger dans ce corps qui semblait vouloir être pris sauvagement.

La journée se termina et vint la nuit. Et ce que je craignais arriva. De part et d'autre de ma chambre, j'entendais gémir les femmes et grincer les lits. C'était très excitant, j'entendais distinctement les coups de reins de mes amis et les réactions de leur proie. Elles semblaient prendre un immense plaisir et j'entendais Sophie en demander plus et plus fort tandis que Jeanne voulait "se faire démonter le cul comme jamais". Inutile de préciser que la bosse formée sous mon boxer attira ma main qui me soulagea rapidement en m'imaginant baiser comme il se doit ces deux beautés que j'entendais jouir pour la seconde fois. J'enviais mes amis et regrettais l'absence de ma femme, qui aurait su enroulé sa langue autour de mon gourdin et en extraire la liqueur avant de m'offrir son cul, ce qu'elle aimait particulièrement.

Le lendemain, nous déjeunions tous à la même table, comme si de rien était. Je soupçonnais les deux couples d'avoir volontairement été bruyants, et de prendre un malin plaisir à me faire entendre leurs ébats. J'imaginais un moyen de voir ces défoulements sexuels de mes yeux, pour bander encore plus et voir ces salopes se faire empaler.

Et ce sera pour demain soir...