ACCUEIL > Divers > Récit : Sexe et clôtures partie 2

Sexe et clôtures partie 2

+28

Lue : 739 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 24/02/2022

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

J'ai démarré pendant qu'elle attachait sa ceinture, et on a commencé notre périple sur de petites routes de campagne tranquilles, avec peu de circulation, en même temps qu'on discutait. Je l'observais du coin de l'oeil. Ses jambes offertes jusqu'à la jarretière, sa silhouette fine, son joli minois. Elle m'a parlé de son parcours, elle avait plusieurs diplômes commerciaux, et moi du mien.
On était en pleine campagne, quand elle m'a dit :
--Si vous ave envie de caresser mes jambes, c'est tout à fait possible.
Je me suis demandé si j'avais bien entendu.
--On peut s'arrêter cinq minutes, même dix. J'ai toute la matinée.
Je n'ai pas pu m'empêcher de répondre.
--Mais vous n'avez personne pour les caresser ?
--Pas en ce moment, et je suis en manque.
Un peu plus loin, il y avait un vaste parking, près d'un silo à grain. J'ai ralenti pour m'y arrêter. Je n'avais pas anticipé qu'on basculerait ainsi sur un moment dont je définissais mal les contours. Mais, même caresser ses jambes pendant quelques minutes, ce serait bon.
J'ai coupé le moteur et je me suis tourné vers elle. Elle souriait, un encouragement sans doute mais aussi une manière d'anticiper un bon moment.
Ma main est venue dans un mouvement fluide se poser au niveau de son genou. Matérialisant sans aucun doute une envie qui était en moi depuis la veille, depuis que mon regard avait embrassé tous ses charmes. Les sensations ont tout de suite été très fortes. Le nylon, doux et électrique à la fois, et la chaleur de son corps, intense, qui est remontée en moi, en quelques secondes, m'envahissant, m'embrasant.
Elle a eu un sourire, qui a clairement dit le plaisir qu'elle pouvait ressentir. Plaisir d'être caressée, plaisir qu'un homme mette ses mains sur elle. Elle avait bougé sur le siège, pendant le début de notre trajet, et la robe était remontée à la lisière de son ventre. Elle a écarté la jambe que je ne caressais pas, me laissant voir son sexe. Sous mes yeux, une lèvre a jailli a l'air libre, et s'est mise à gonfler, en même temps qu'un jet de liquide sortait, qui a ruisselé sur sa chair, s'interrompant pour se prolonger dans les secondes qui ont suivi. Elle a amené ses doigts sur elle et elle s'est mise à se caresser, dans un mouvement circulaire, son sexe se métamorphosant sous mes yeux. Chacun une partie du travail. Je caressais ses jambes, elle son sexe. Elle a lâché de petits soupirs qui m'ont laissé penser qu'elle éprouvait du plaisir à cette double caresse. Il était vrai qu'il suffisait de regarder son sexe pour le comprendre, bien dilaté et ruisselant.
--Montre-moi ta queue, elle m'a demandé au bout d'un moment. J'ai envie de voir si elle est belle.
Elle a tendu les mains vers moi pour me défaire. Son visage s'est éclairé quand elle a mis ma queue, dilatée de désir et d'excitation, à nu. Dans un geste doux, elle est venue m'enserrer. C'est bon d'avoir simplement une main de femme autour de la queue, et ça a été encore meilleur quand elle s'est mise à me caresser doucement.
--Ne jouis pas tout de suite, elle m'a intimé, il faut profiter de ce moment.
C'était un moment décalé ici, en plein milieu de la nature, avec autour de nous des champs, un bois un peu plus loin. Mais c'était sans doute ce qui était bon. Sa main tournant sur ma chair, esquissant des mouvements qui me faisaient monter vers le plaisir, puis cassant le rythme au moment où j'étais proche de la jouissance, et sa main sur son sexe, bien visible, tournant sur elle dans ce rythme circulaire qu'elle avait gardé, Son clitoris est sorti des chairs qui le recouvraient.
--Je vais te faire jouir, laisse-moi faire...
Elle a posé sa main sur ma hanche, et elle m'a fait un rien avancer vers elle. Elle a attrapé ma queue, et elle a frotté mon gland contre le nylon qui couvrait ses cuisses. Il y a toujours quelque chose de nouveau à découvrir, et c'était la première fois que j'éprouvais ce plaisir. Le nylon et sa chaleur contre mon gland hyper-sensible, j'ai su que je ne tiendrais pas très longtemps...J'ai poussé un cri quand le premier jet de sperme a jailli de ma queue, venant maculer d'un blanc crémeux le sombre du bas, bientôt suivi par d'autres jets de semence. Elle a joui elle aussi, se tendant, poussant un cri qui n'avait rien à voir avec le mien, profond et rauque, qui m'a moins surpris que les jets de liquide qu'elle a éjaculés, et qui ont frappé nos chairs, nos vêtements et le tableau de bord.
On a repris notre route, nos pulsions apaisées. Ma queue rangée dans mon pantalon, son sexe masqué par la robe...Que j'avais encore envie de voir. Ses bas étaient marqués de sombre, mais ils ont séché petit à petit.
Il a fallu une heure de trajet, avec une demi-heure de pause supplémentaire, pour arriver chez moi. J'ai ouvert et je l'ai emmenée en bas de la pente, pour lui montrer la clôture.
--C'est tout à fait faisable. Il faudra simplement qu'on plante les piquets plus profond à cause des glissements de terrain. Je vais prendre les dimensions.
--Je vous aide ?
--Je vais utiliser un mètre laser, avec les poteaux pour limite.
Je l'ai laissée faire.
Quand elle s'est accroupie, elle m'a donné de nouveau une vision de son ventre qui a fait remonter mon envie d'elle. Elle était vraiment très attirante, et une partie de cet attrait tenait au fait qu'elle aimait le sexe.
Elle venait de finir, j'allais lui proposer: 'On repart ?' quand elle m'a dit : ' Vous avez les clefs de la maison ? On pourrait se poser à l'intérieur ? J'ai envie d'un sexe d'homme dans le ventre. On a encore le temps.'
J'avais les clefs. Je l'ai faite glisser dans le living et j'ai ouvert les volets. La lumière a envahi les lieux.
--Je vais chercher ce qu'il faut.
J'ai récupéré une boite de préservatifs dans la pharmacie. Ils n'étaient pas périmés. Je les ai ramenés dans le living. Elle m'attendait sur le divan, les jambes ouvertes, elle se caressait à nouveau.
--Je vais avaler ta queue, il n'y aura pas un centimètre dehors, elle m'a assuré.
Tout en elle était excitant. Son corps, ses paroles. Elle a tendu les mains vers moi, m'a défait. Elle m'a caressé doucement, mais j'étais déjà bien dur, et a récupéré un préservatif dans la boite. Elle l'a calé entre son pouce et son index et a fait glisser le latex sur moi d'un seul mouvement, souple et habile. Une fois ma queue enveloppée de latex, elle a baladé sa langue dessus pour une caresse à laquelle le latex, entre sa langue et ma queue donnait un relief particulier, et excitant.
Elle a basculé à quatre pattes, ses parties intimes offertes à mon regard et à ma queue, son visage tourné vers moi, avec dans son regard un mélange de provocation, d'impertinence, et un appel qui disait qu'elle aimait le sexe, profondément, intensément, et qu'elle avait envie d'un moment unique.
J'ai posé mon gland dilaté contre ses lèvres et j'ai poussé pour glisser en elle. Elle a lâché un long gémissement, que j'aurais sans doute pu pousser aussi, du bonheur intense de sentir sa muqueuse vaginale, chaude et souple, me prendre et m'envelopper, jusqu'à la totalité, quand j'ai été fiché en elle jusqu'à la garde.
--Fouille-moi bien. Je veux avoir la sensation que ta queue va de plus en plus loin en moi, jusqu'à ce que ton gland arrive à ma gorge.
Ce n'était qu'une image bien sûr, mais qui m'a troublé, et incité sans aucun doute à bouger en elle, rapidement, lentement, puis en alternant les rythmes, avec la sensation, crée par l'image que je remontais de plus en plus haut en elle. Je sentais son corps frémir. Son plaisir était évident.
Elle m'a interpellé :
--J'aime changer de position quand je suis avec un homme. C'est bien d'avoir des nuances de plaisir différent.
Je me suis laissé tomber sur le divan, elle au dessus de moi, mon sexe toujours planté en elle, un angle différent, un plaisir différent. Je l'ai attrapée par les fesses, et je l'ai faite monter et descendre sur moi. Elle coulait tellement, ses jus ruisselaient le long de ma queue, qu'on aurait pu penser qu'elle faisait pipi.
Le temps s'était dissous...Nous étions dans une parenthèse, une bulle, à la recherche de notre plaisir. Contractant les muscles de son sexe autour de ma queue, elle a esquissé un mouvement circulaire, venant me présenter son dos au lieu de son ventre. J'ai cru que j'allais jouir de la sentir serrée autour de moi, mais je me suis contenu. Elle me présentait à présent son dos, et ses fesses cambrées...Elle s'est faite bouger sur moi, avant de me dire :
--J'ai envie qu'on finisse dans la bouche l'un de l'autre...
Elle s'est dégagée de ma queue, que j'ai aperçue quelques secondes dilatée à l'extrême, elle a reculé pour m'offrir son sexe, pendant qu'elle gainait le mien de sa bouche. Nos plaisirs étaient proches, et les ultimes caresses que nous nous sommes prodiguées nous ont poussé vers une jouissance intense. Je tournais sur ses chairs délicates avec l'envie de boire tout le liquide qui coulait d'elle, même si une partie m'échappait, tellement elle ruisselait, tandis que, la bouche étroitement fermée sur moi, elle elle travaillait ma queue dans le but de me faire enfin exploser. La jouissance est venue en moi subrepticement, et l'orgasme ne s'est installé qu'après le premier jet de sperme. Elle a gardé sa bouche obstinément serrée, ma semence coulant dans son gosier, puis une fois que j'ai eu craché tout mon sperme, elle a lapé tout ce qui coulait de moi pour ne rien laisser perdre, pas la moindre goutte. Elle n'a joui qu'après, elle s'était retenue sans doute pour profiter de ma queue et de mon sperme au maximum. Son corps a été agité de spasmes, elle m'a inondé, sans éjaculer comme
précédemment, mais ça n'a pas empêché que je sois inondé par des flots de liquide, que je n'ai pas tous bus...
On est restés un moment figés, pour profiter encore de ce moment. Le plaisir, c'est bon, c'est rare aussi, et il était encore avec nous. Il s'estompait peu à peu. On aurait bien pris de prolonger ce moment. Il y avait encore des possibilités de caresses, de positions, de plaisir.
Mais il fallait rentrer.
On s'est rajustés, j'ai fermé la maison, et on est repartis en sens inverse.
On n'a pas dit grand chose sur le chemin du retour. Ce n'était pas qu'on se faisait la gueule. Au contraire. On était dans un moment de complicité, un moment rare, et ça ne passait pas par les mots.Je crois bien que l'un comme l'autre on était surpris que ça ait été aussi bon et que le courant soit aussi bien passé.
Je me suis garé près de sa voiture.
Elle m'a regardé.
--Je vous fais le devis avec les mesures et votre choix.
Nos rapports étaient redevenus purement professionnels.
--Vous avez pris la peine de m'accompagner jusque chez moi, vous n'étiez pas obligée. Ca vous dit qu'on aille manger ensemble ? Vous n'ouvrez le magasin qu'à 14 heures, on a largement le temps. Je connais un restaurant où on mange bien, une cuisine familiale. Ce n'est pas très loin.
On est partis ensemble à pied pour le restaurant. On a parlé de tout et de rien pendant le repas, et j'avais le sentiment que ce qui s'était passé entre nous n'était plus qu'une parenthèse alors que j'aurais aimé prolonger ces moments de plaisir, qui avaient eu une saveur particulière pour moi. Même s'il n'y avait que ça entre nous, la complicité dans le sexe, c'était déjà beaucoup. Elle m'a dit, au moment du dessert :
--Je ne sais pas si on se reverra pour autre chose que la clôture, mais j'ai encore envie de sexe.
Deux minutes plus tard, on se retrouvait dans une cabine des toilettes mixtes de l'établissement. Ca a été très rapide alors qu'on s'était inscrits dans une durée relative précédemment. Elle a tiré un préservatif de son sac, en a gainé ma queue, elle est venue s'asseoir sur moi, je m'étais posé sur un siège, couvercle fermé . Mon sexe a bougé en elle et on a joui très vite, un orgasme qui pour moi avait le goût du regret.
Je l'ai ramenée devant le magasin.
--Je vous envoie le devis, et si vous êtes d'accord, vous me le renvoyez signé ? Ensuite, nos techniciens viendront chez nous. Ah, au fait, on n'a pas regardé les coloris.
Je me suis glissé dans le magasin avec elle. Elle m'a sorti un catalogue papier cette fois avec les différentes teintes. J'ai vu du coin de l' oeil qu'elle griffonnait quelque chose sur une carte bristol. Elle l'a posée près du catalogue.
--Le blanc ça me va très bien.
Mon regard a glissé sur le bristol. Elle avait rajouté à ce qui était déjà imprimé une adresse et une heure.
Mon regard a glissé un peu plus sur la gauche. Elle venait de se poser sur le bord de la table, et, tournée vers moi, elle avait enfoncé ses deux index dans son sexe, s'ouvrant autant qu'elle le pouvait, et me laissant voir un intérieur tout rose.
--Regarde bien. Tu y penseras tout l'après-midi, et ce soir, tu pourras me faire tout ce que tu veux. C'est trop bien le sexe entre nous, et j'ai envie de continuer à explorer le plaisir avec toi.
Je suis parti heureux.
28 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Sexe et clôtures partie 2

Le 24/02/2022 - 13:35 par christofoly
Bon début!

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<
>>> Histoire suivante



Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :