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sortie champêtre

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 07/11/2023

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En ce début du mois d’octobre il fait encore beau et chaud. Presque caniculaire.
Le réchauffement climatique a au moins cela de bon.

Marie et moi allons souvent nous promenez dans un coin de nature proche.
Quelques kms de voiture, et nous suivons un chemin qui fait un tour et nous ramènes devant notre voiture.
Il y a des champs, mais également beaucoup de bosquets et des arbres fruitiers le long du chemin.

Il y a quelques temps, pour rire, nous sommes allés dans un de ces bosquets, et Marie m’a montré ses atouts, que je me suis empressé de prendre en photo avec mon smartphone.

Comme je l’ai déjà indiqué, Marie a de beaux atouts, à l’aube de la cinquantaine :
- Une poitrine bien fournie, opulente diraient certains, un joli 100D. Ayant pris du volume avec le temps, et 2 longs allaitements, ses seins se sont développés en prenant une rondeur qui ne les a que peu fait tomber,
- Une taille fine qui met en valeur un fessier plus développer qu’à 20 ans, mais dans les fesses sont restées hautes, avec une séparation plutôt prononcée dans laquelle Claude adore glisser une main jusqu’à l’humidité de son sexe, puis remonter en appuyant avec insistance sur sa rondelle

Cette fin d’après-midi, Claude envoi à Marie 2 photos parmi celles qu’il avait prises lors de la sortie :
- Une ou elle lui exhibe ses 2 gros seins,
- Une seconde, ou penchées en avant, ses fesses tendues, on peut voir les grosses lèvres de son sexe, légèrement humides d’excitation, et son anus, tache noire entre ses fesses blanches.
Les 2 photos sont accompagnées de ce texte explicite : ‘j’ai envie de te coller contre le tronc d’arbre et de te prendre par derrière, que tes seins nus frottent contre l’écorce alors que je monte à l’assaut de tes fesses’

Claude attend. Pas de réponse, mais il voit qu’elle a bien lu le message. Marie hésite surement. Si elle s’est dévergondée cette dernière année, elle n’apprécie que peu la prise de risque, et n’est pas exhibitionniste. Son terrain de jeu se cantonne à la maison.

La réponse fini par arriver : ‘ok, mais on fait attention’. Visiblement, la curiosité et l’excitation ont eu raison de sa timidité.

Quand Claude rentre pour l’emmener en promenade, Marie est visiblement déjà prête : des baskets, un de ces legging de sport moulant noir, ou l’on peut facilement apercevoir le contour des lèvres charnues, séparée par l’étirement du tissus, et un tee-shirt rose avec une brassière intégrée.
Claude sourit. Autant de la voir prête, que d’imaginer ce point rose au milieu de la nature verdoyante. Mais il ne dit rien, et va enfiler un short long gris et un tee-shirt large bleu marine.
Dans sa poche, il glisse rapidement quelques objets dont il espère avoir l’utilité.

Le trajet est court, Marie ne dit rien. Elle regrette surement un peu d’avoir accepté.
La voiture garée, nous suivons notre chemin habituel.

Je ne peux m’empêcher de caresser la croupe ferme de Marie, bien moulée dans le tissus élastique du legging.
Marie regarde alentours, peu rassurée. Mais à cette heure de la journée, il n’y a personne. Les gens travaillent pour la plupart. Marie commence à se détendre.

Les 10 minutes de promenade jusqu’au bosquet se font sans rencontrer personne.
Claude, tout en marchant, a passé sa main dans le legging de Marie et malaxe gentiment une fesse de Marie.

Arrivés à la lisière du bosquet, Claude libère Marie, et ils s’enfoncent d’une quinzaine de mètres entre les arbres, jusqu’au lieu où ils avaient pris les photos.
Pour détendre l’atmosphère, et sachant que c’était une bonne entrée en matière, Claude demande à Marie de lui montrer ses seins, le smartphone en main.
Elle s’exécute, relevant son tee-shirt pour fièrement lui exhiber ses gros seins ronds. Les pointes sont déjà en érection, signe d’une excitation déjà présente.
Claude s’approche et se moque gentiment d’elle : « tu as froid ? » avant de lui prendre les 2 seins à pleins mains, et de les sucer longuement tour à tour.

L’excitation vient chez Marie, qui commence à accompagner la succion par de lent mouvements involontaires du bassin. Claude caresse d’un main le sexe de Marie, qui ne tarde pas mouiller son legging.

Claude recule alors, et lui dit : encore une photo, tes seins sont si beaux quand ils sont excités. Prends les en main
Marie s’exécute, tendant à pleine main ses 2 seins pour la photo.

Claude profite de l’instant, et lui demande immédiatement de baisser son legging pour la photo suivante.
Marie s’exécute, non sans avoir jeté un coup d’œil alentours. Il n’y a toujours personne.
Elle baisse alors son shorty jusqu’aux genoux. Après une première photo, Claude lui demande de se tourner, comme la fois précédente.
Marie s’exécute, montrant son adorable fessier à Claude. Il s’approche, et lui demande de se baisser pour mieux voir la photo.
Elle met ses mains sur les genoux et cabre son dos pour faire ressortir ses fesses. Elle sait qu’il adore les voir ainsi.

Mais Claude ne se contente pas de prendre une photo. Il s’approche, se baisse et saisi une fesse dans chaque main ; elle ne bouge pas.
Il écarte alors autant doucement celles-ci, pour glisser une langue directement sur les lèvres de son sexe.
Marie sursaute. Elle pensait à un passage à l’acte rapide, puis un retour dans la maison protectrice.
Mais Claude, qui tient fermement ses fesses, écarte avec sa langue les lèvres pour s’introduire dans son sexe. Elle se laisse doucement aller, savourant l’instant présent ;
Claude n’en reste pas là. Sa langue remonte maintenant pour faire des aller-retours dans l’espace entre son sexe et son anus, insistant de plus en plus souvent avec sa langue sur celui-ci.
Marie, bien qu’excitée par le va et vient, bouge légèrement. La position n’est pas des plus confortable, et elle n’avait pas imaginée y passer un temps certains, synonyme pour elle d’un risque accru.
Claude le comprend rapidement.
Il se lève, extirpe son sexe dur de son short, et le présente à l’entrée du sexe humide de Marie. Elle se relève alors légèrement, s’embrochant elle-même sur le sexe en érection de Claude.

Claude l’attrape par les hanches, et commence immédiatement de long va et vient, sans ménagement, écrasant à chaque poussée les fesses de Marie. Après tout, une sortie nature, ce n’est pas pour faire dans la dentelle.
Le plaisir de Marie monte rapidement. L’excitation du moment s’ajoute aux coups de boutoir de Claude pour la faire rapidement jouir une première fois. Elle pousse un cri étouffé alors que Claude sent son sexe être serré par les spasmes de Marie.
Il pousse alors un peu plus fort, pour s’approcher de l’arbre devant eux. Marie a compris, elle s’y accroche des 2 mains, alors que Claude peut saisir les seins et pincer les pointes durcies par l’excitation.
Il continue d’avancer, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que Marie soit quasiment debout contre l’arbre. Claude sent l’écorce contre ses mains. Il pince encore plus fortement les tetons de Marie, et d’un coup, il se saisit de ses seins comme une coupe.
C’est ce qu’il avait voulu. Maintenant les seins de Marie frottaient contre l’écorce, maintenus par les mains de Claude. Marie gémit un peu, mais l’excitation était telle qu’elle laissait faire, concentrée sur la queue de Claude qui cognait au fond de son sexe à chaque mouvement.
Un second orgasme la secoua, elle cria sans se retenir. Heureusement, personne n’était aux alentours.
Claude accentua encore ses mouvements ; Marie était maintenance sur la pointe des pieds, entièrement collée à l’arbre, Claude lui enfonçant son sexe presque à l’horizontale. Il avait l’impression de toucher cogner l’arbre avec son gland à chaque poussée. Cette image suffit à lui faire perdre ses moyens : il planta une dernière fois son sexe et éjacula en plusieurs longs jets dans le ventre de Marie, entièrement collé contre elle. Marie était comme scotchée à l’arbre, ses seins mais aussi son ventre et même son pubis touchaient l’écorce.
Quand il se recula, il prit ses seins dans ses mains. La chaleur de ses mains lui faisait ressentir un plaisir, mélangé à la douleur des nombreuses égratignures qu’elle devait avoir.
Ils se rhabillèrent, et reprirent leur souffle avant de rejoindre le chemin.

Main dans la main, sur le chemin du retour, Marie entama la conversation :
- Ça t’as exciter de me prendre comme ça contre un arbre ?
- Oui, beaucoup ; Et toi ?
- Oui, on pourra le refaire quand tu voudras. Mais d’abord il va me falloir beaucoup de crème sur mes seins.
Claude sorti de sa poche un plug et un petit lubrifiant
- La prochaine fois, je te prendrai le cul
- Cochon, tu en veux toujours plus
- Oui, et le plug t’évitera ça
Il pointa du doigt le legging de Marie : une grande tache mouillait son entrejambe, et un long filet descendait le long d’une jambe jusqu’à la limite du legging, sous le genou.
- Regarde tes baskets
Une tache de sperme, qui séchait déjà à la chaleur, maculait une des chaussures ;

Un couple de promeneurs arrivait au loin. Marie se précipita vers l’unique banc et gênée, serrait les jambes au passage de ceux-ci.
Claude s’amusait de la situation, et murmurait à son oreille :
- Je crois qu’ils vont voir comme tu es mouillée. Ils vont deviner que tu n’as pas de culotte. tu es une petite cochonne.
Marie rougissait, tout en saluant le couple qui passait.
Le retour se fit ensuite rapidement.

Il fallut ensuite plusieurs jours, et beaucoup de biafine, pour que disparaisse, sur les seins mais aussi sur le ventre de Marie, les traces de cette mémorable sortie.
Claude en fut un peu frustré, n’ayant plus le droit de toucher les seins jusqu’à ce qu’ils soient revenus à leur état normal.
Il ne sut pas dans quelle excitation Marie était toute la journée, le frottement du moindre bout de tissus sur ses seins l’excitant au plus haut point.
Le soir, Marie se masturba plusieurs soirs de suite, pinçant ses seins douloureux pour augmenter son excitation.
Elle l’avoua à Claude au bout d’une semaine, quand toute trace avait disparue. Peut-être pour l’exciter, ou peut-être pour y retourner ? Allez savoir
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Histoire de benoitClaude

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Commentaires du récit : sortie champêtre

Le 07/11/2023 - 18:31 par OlgaT
Baiser dans la nature, un grand plaisir!

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