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Sortie en boîte sans mon mari.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 04/05/2022

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C’est en rentrant des courses, vers dix huit heures, que Pierre, mon mari, m’annonçait que Charlène avait appelé, concernant la soirée organisée par le lycée pour fêter le départ en vacances. Je ne lui en avait même pas parlé, du fait que seul les lycéens et les profs étaient invités, mais pas les conjoints. Je me voyais mal faire la fête sans mon mari.
Mais Pierre insista pour que j’y aille, que je ne sortais jamais, et que c’était l’occasion de me détendre entre collègues de travail. J’avais beau lui dire que ce genre soirée durait toute la nuit, en vain. Il tenait à ce que j’y participe.
Je m’appelle Sylvie, quarante deux ans, et suis professeur au lycée de la ville.
Il est vrai que chaque année, une fête est organisée, pour fêter le départ en vacances. Je n’y ai jamais participé. Cette année, la soirée est réservée à ce qui ne seront plus là pour la rentrée, étant mutés dans un autre établissement.
Pour l’occasion, j’enfilais un débardeur, et une courte jupe, dernière tenue offerte par mon mari, et il tenait beaucoup à ce que je la porte. Pas de soutien-gorge, encore une idée coquine de mon époux.
C’est donc en pleine accord avec mon mari, je suis sortie avec mes collègues de travail, fêter le départ en vacances en discothèque.
Je trouvais mes copines au bar, perchées sur des hauts tabourets. Je pris celui qui restait. Elles étaient toutes ravissante. Habillées simple, mais sexy.
Après les traditionnelles embrassades, nous commandions une tournée.
Après quelques verres, nous passions à table. La soirée se passait super bien, dans une ambiance parfaite, qui m’incitait à danser sur toutes les musiques.
Sans provoquer outre mesure, je me laissais quelque peu charmer par Yann et Lucas, deux jeunes lycéens âgés d’à peine dix huit ans, que j’avais dans ma classe, et que d’après les regard qu’ils me jetaient en cours, je ne les laissait pas indifférent. L’un d’eux se collait derrière moi, n’hésitait pas à poser ses mains sur mes hanches, remonter sous mon débardeur, et caresser mes seins à même la peau. Mes bourgeons, extrêmement sensibles, approuvaient cette caresse. Je m’empressais vite de le recadrer.
Un instant plus tard, je les retrouvais à l’extérieur de la discothèque, à fumer une cigarette, au milieu d’autres fumeurs. Celui qui m’avait peloté tentait à nouveau sa chance, en vain cette fois. Il finit par s’excuser.
De plaisanteries coquines, en quolibet malicieux, on riait, sans retenue.
Je suis bien dans ma tête et dans mon corps, et suis capable de me maîtriser. J’aime danser, m’amuser lors de sorties avec mon mari, mais jamais, en deux ans de mariage, l’idée de le tromper m’a traversé l’esprit. J’aime mon mari, et il me satisfait pleinement. Je connais mes limites, et peux dire « Halte » quand ça va trop loin. C’est pourquoi mon mari n’a pas hésité à me laisser sortir, connaissant ma fidélité, et me faisant une totale confiance.
Lors de cette soirée, je découvrais des scènes hallucinantes. Comme la directrice, et la prof de sport, se donnant un sulfureux baiser au milieu de la piste, sans se soucier des danseurs autour d’elles, tandis que Claire, responsable de la cantine, roucoulait dans les bras d’un jeune homme, au cours d’un slow langoureux.
Autant de scènes qui me conforte dans l’idée que l’on ne connaît pas les gens. Moi même suis surprise de me voir pendue au cou d’un jeune homme, à deux doigts de frôler ses lèvres. Je sens aussi l’effet que je lui fait, en jugeant la barre dans son pantalon, qui appuie contre mon ventre. C’est d’une tape sur l’épaule, que Charlène me tire de ce mauvais pais, alors que j’étais prête à succombé à ses avances. « Fait gaffe, me dit-elle, penses que tu es mariée ».
Plus la nuit avance, plus mes collègues quittent la discothèque, en trouvant je ne sais quelle excuse. Je me retrouvais seule avec Charlène, qui m’invita au bar.
Je lui dis que j’allais aux toilettes, et que je la rejoignais. En fait, j’allais aux toilettes, pour évacuer l’alcool qui commençait à me monter à le tête.
J'étais sur le point d'ouvrir la porte pour ressortir, lorsque Yann et Lucas étaient là, dans la partie réservée aux femmes. Je fus surprise.
En fait, ils m’avaient vu entrer, et m’attendais pour me proposer de sortir fumer une cigarette. Pourquoi refuser, je ne lisais aucune arrière pensée dans leur regard.
Cette fois, ils m’emmenèrent un peu plus à l’écart du champ visuel de la discothèque. On s’appuyait sur un muret, et reprenions nôtre conversation, dont on ne savait plus de quoi elle traitait. Puis Yann passa une main autour de mon cou, attira mon visage à lui, prit les lèvres, tandis que Lucas, la main sous mon débardeur, me tenait par la taille. Affaiblie par l’alcool, je me laissais faire. Le baiser devint vite langoureux, nos langues s’enroulant entre elles.
Soudain, ils m’allongèrent au sol, sur un espace gazonné. Yann prit mes lèvres. Dans l’euphorie de ce baiser, je n’opposais aucune résistance. Je ne m’aperçus pas que la main posée sur ma taille, était maintenant posée entre mes jambes. J’essayais de la repousser, mais déjà un doigt avait écarté mon string, et avait pénétré ma chatte. Il y resta quelques minutes, s’activant légèrement à l’intérieur. Je poussais un petit gémissement, quand le pouce excita mon clitoris. C’était mal ce que je faisais, mais ces caresses m’apaisaient. Lucas caressait mes seins, tandis que le doigt sur mon petit bouton, accéléra, me faisant gémir plus fort. Prise dans la tourmente du désir, j’appuyais d’avantage mon baiser.
- Oh putain….le bout des seins qu’elle a, dit Lucas, ils sont énormes
- Et son clito...ouah...une agate...
La main sous mon débardeur se retira, et je vis Lucas tomber à genoux, promenant sa bite devant mon visage. Il profita d’une légère ouverture de mes lèvres, pour y enfoncer sa queue. Calmement, il entama de lents va et vient.
- Ouah...comme elle suce la salope…on va bien s’amusait avec elle
- C’est pas la sainte ni touche du lycée...et plus de colle l’an prochain...sinon...
Je me faisait maquer par deux étudiants qui prenait un réel plaisir à m’entendre gémir, en.espérant qu’ils resteraient discret. Le pire, c’est que j’appréciais cette queue aller et venir dans ma bouche, lorsque soudain, je sentis des giclées de sperme au fond de ma gorge, Je recrachais tout aussitôt…
Ce salaud de Lucas m’avais surpris. Malgré tout, je sentais que j’allais jouir, mais ne le voulais pas l’admettre. Je ne voulais pas que d’autres hommes que mon mari, me fasse jouir. Réalisant la position dans laquelle je m’étais fourré, je me débattais en leur disant d’arrêter, de me laisser...Et pourtant…
- Arrêtes salaud...tu vas me faire jouir...oh putain…
- T’aimes ça, hein...dit Yann, avoue que t’aimes te faire doigter le clito…
Que répondre à ça. Impossible de simuler une jouissance naissante, tant je me tord comme un vers, le clito sur ce doigt qui me donne énormément de plaisir.
- Oh oui...j’aime ça...tu le sais enfoiré...
- Et ma queue dans ta bouche...et avaler mon jus, t’as aimé aussi, poursuit Lucas.
- Oui j’ai aimé...vas-y...doigtes moi...fais moi jouir…mais qui t’as appris tout ça...
Rarement un doigt, me fit atteindre un orgasme aussi puissant, et réalisais en fait, que ce n’était pas mon mari, qui en était l’auteur. D’ailleurs, mon mari n’aurai jamais été capable de me doigter comme ça.
A deux doigts des larmes, je leur criais de partir, que je ne voulais plus les voir.
C’est à ce moment que deux hommes, attirés par mes cris, interviennent. Ce sont Guy, et Marc, deux profs du lycée.
Après avoir fait fuir les deux jeunes hommes, ils me raccompagnent dans la discothèque.
Je tombe dans les bras de Charlène, qui commençait à s’inquiéter. Elle salut mes sauveurs, et je lui demandais de m’accompagner aux toilettes.
- Que c’est-il passé, me demande-t-elle.
- Regarde, dis-je en soulevant ma jupe.
- Mais...mais, ou as-tu mis ton string.
Je sentis le rouge me monter aux joues. Je n’osais lui avouer ce qu’il s’était passé, malgré la mouille apparente, et surtout que j’avais pris énormément de plaisir.
- C’est Yann et Lucas...ils me l’ont confisqué.
- Comme un trophée quoi..
- Ils ont dit que si je voulais le récupérer, il fallait que je leur taille une pipe.
- Et…continue...
- Je les ai sucé pour acheter leur silence, pas pour mon string. Du reste, il faut que je me rince la bouche...allons aux toilettes.
Pendant que je me repoudrais, je fus surprise quand Charlène se mit à nettoyer ma chatte avec des essuies tout. Je lui connaissais un penchant lesbien, mais faire ça à sa meilleure copine...J’appréciais cette caresse rugueuse sur mon clitoris. Agréablement surprise, mais troublée aussi.
Venait-elle de m’apporter le coup de grâce, toujours est-il que je lui avouais avoir une folle envie de baiser. Je vis passer une lueur coquine dans ses yeux.
Toujours aussi fringante, Charlène voulait pimenter la soiré, et me proposa d’aller prendre un verre dans un club libertin tout proche.
- Quoi...mais ça va pas...je suis mariée...imagines que…
- Tu l’as bien oublié ton mariage tout à l’heure.
- Mais c’était un accident…
- Un accident qui t’a coûté un string...je plaisante...t’es pas obligé de participer.
- D’accord...si on est pas obligé de participer...on prend juste un verre…
Finalement, j’acceptais la proposition de Charlène, me doutant qu’elle connaissait l’endroit. Mon doute s’estompait, quand je la vis embrasser le vigile, le contrôleur de billets à l’entrée. Aussi, nous n’avons eus aucune difficulté pour rentrer, malgré l’absence de papiers d’identités. Charlène leur caressa la joue, et nous dirigeons au bar. Je m’aperçus qu’effectivement, la courtoisie était de mise. En tout cas, aucune proposition indécente à mon encontre, et de nôtre côté, ne cherchions pas.
Sauf quand se présente devant nous, deux mecs d’une insolente beauté. Très courtois, Ils proposent de nous offrir un verre.
- Avec plaisir, dit Charlène
- Heu...oui, c’est gentil, dis-je surprise.
Arès quelques verres, leur courtoisie se transformait vite en chasseur de primes, dont nous étions le gibier. C’est pourtant lucide, et de nôtre plein gré, que nous les avons suivis au sous sol, espace réservé à l’échangisme.
Hommes et femmes s’adonnaient sans vergogne, aux plaisirs de la chair, sur un immense tapis rouge molletonné. Ça baisait, suçait, léchait, s’échangeait, gémissait dans tous les coins. Les deux hommes nous ont entraînés dans un espace resté libre, agencé d’un grand matelas, rouge lui aussi.. Ont s’est allongée, et tout en nous couvrant de baisers, ils se sont mis à nous effeuiller. Nous nous retrouvions, Charlène et moi, entièrement nues, dans les bras de deux inconnus, beaux comme des dieux.
Puis, ils se déshabillaient à leur tour. Je n’osais regarder. L’un d’eux à commençait à me caresser les seins, puis couvrit ma chatte d’une main. J’aventurais une main vers son sexe, et fus surprise par l’imposante envergure de sa queue. De longs et chauds préliminaires s’engagèrent. Charlène ne tardant pas à se faire enfiler. Quand à mon partenaire, il était allongé près de moi, deux doigts encrés dans ma chatte. J’appréciais la douce façon qu’il avait de me branler. J’avais les yeux mi-clos, gémissant de plaisir. Je sentais un intense désir envahir mon corps. J’ouvris les yeux, et je le voyais me sourire.
- T’aimes ça hein…
Je me contentais de hocher la tête, savourant l’instant présent. C’est vrai que j’aime ça, et j’avoue que les préliminaires ne sont pas le point fort de mon mari.
- Ton mari le sait que tu es là ?
- Heu...non...mais comment tu sais…
- L’alliance au doigt...fais gaffe quand tu sors.
Quel observateur, et moi quelle conne. Comment ne pas avoir penser à la quitter.
Surtout quand il me dit, que certaines soirées étaient filmées. Je lui demandais si s’était sérieux. Lui en tout cas l’était.
- Il dirait quoi s’il savait que tu baises avec un autre homme?
- Une femme qui a envie de se faire baiser, et prête à prendre tous les risques.
Nous avons passé deux heures de sexes incroyable, changeant régulièrement de partenaire, s’avérant l’un comme l’autre de merveilleux amants. Après avoir avalé leur sperme une dernière fois, nous décidons de remonter, et passer par les toilettes, pour se repoudre le nez, mais aussi se rincer la chatte, et la faire refroidir.
En revenant dans la salle, j’aperçus Guy et Marc assis à une table. Je m’avançais pour les remercier une nouvelle fois. Guy nous proposa de nous asseoir, tandis que Marc commandait une bouteille de champagne. Je murmurais à l’oreille de Charlène de ne pas dire à mon mari qu’on avait bu un coup avec eux, car il n’était pas copain avec Guy. Plus jeune, Pierre avait surpris Guy au lit avec sa fiancée de l’époque, avec qui il avait prévu de se marier. Ce fut un choc pour lui, et depuis ce jour là, il le déteste, et ils ne se parlent plus
Sans donner tort à mon mari, je les trouvais très courtois, remplissant souvent nos verres, nous invitant régulièrement à danser. A chaque slow, Guy me prenait la main, et m’entraînait au milieu de la piste. Au fur et à mesure, je le sentais se rapprocher de plus en plus, au point de sentir sa queue en érection frotter sur mon pubis. Il s’amusait à passer sa langue dans le trou de mon oreille, ou la mordait. J’étais gênée ? Je sais pas...troublée, c’est sur, car ces douces caresses buccales me donnaient des frissons dans tout le corps.Tout près de moi, Charlène était passé à le vitesse supérieure, offrant ses lèvres à Marc, dans un sulfureux baiser.
Pour éviter qu’on nous reconnaisse, Guy, nous proposa d’aller finir la nuit chez lui. Charlène était partante, je n’eus d’autre choix que d’accepter, tout en sachant le risque que je courrais. De toute façon, au point ou j’en étais.
Guy ouvrit une bouteille de champagne, et remplit les coupes. Après avoir trinqué, il nous convia à passer à la chambre, ou un immense lit, occupait le centre de la pièce. Charlène s’y jeta dessus, et dans la minute qui suivit, elle se faisait enfiler. Guy était plus doux, était très doué pour les préliminaires. Je prenais un certain plaisir à sucer sa queue, alors qu’il aspirait mon clitoris,tout en pénétrant ma chatte et ma rosette, d’un doigt pervers. Il se mit sur le dos, la hampe dressée au plafond...et quelle hampe. Il m’invita à m’y empaler dessus, ce que je fis en gémissant de plaisir. Guy ne bougeait pas, c’est moi qui faisait tout le travail.
- Salaud...t’aimes me voir jouir comme ça…
- Ça veut dire que ma queue te convient...comme celle de ton mari je suppose…
- Bien sur...quelle me convient...mieux que celle de mon mari...
- Tiens dont...et tu peux développer…
- C’est justement ça, dis-je en gémissant...la tienne est bien plus développée.
Comment pouvais- je faite de telle comparaison, alors que la queue de Pierre me convient parfaitement, même si elle est moins grosse que celle de Guy.
Soudan une puissante chaleur envahit mon corps. Un orgasme se prépare, d’une puissante intensité. Celui là va faire trembler les murs de la chambre. Malgré l’insonorisation, Guy plaça une main contre ma bouche. Il la retira, remplit se salive et de bave, tandis que mes spasmes ne faiblissaient pas..
Je m’écroulais sur son torse, mordit ses mamelons, lui pris ardemment les lèvres.
En me retournant, je vis Charlène se faire prendre en levrette, mais ne perdait rien de la scène qui se déroulait à côté d’elle. Elle me sourit, un sourire coquin, vicieux. Elle dit à son partenaire de se retirer, et de profiter de ma position pour me sodomiser. J’eus un sursaut, mais Guy me maintenait fort contre lui. J’étais obligé de subir, malgré mes plaintes de refus.
Calmement, Charlène passa un doigt dans ma chatte, alors que la queue de Guy y avait toujours sa place. Elle lubrifia mon petit trou, et guida la bite de Marc.
Lentement je sentais la queue, du même calibre que celle de Guy, se frayer un passage, dilatant mon petit orifice. Marc y allait doucement, sachant que s’était ma première double pénétration, mais malgré ça, je sentais un léger picotement. Charlène s’approcha, me pris les lèvres, caressa mes seins d’une incroyable dureté, à m’en faire mal.
- Ça va aller ma chérie...tu verras comme tu vas aimer, souffla-t-elle.
Après que la queue de Marc fut bien installée en moi, je dois avouer que la douleur s’atténuant, je pris un énorme plaisir à me faire enculer, par lui, tandis que Guy honorait ma chatte.
La nuit se poursuivit dans une cadence infernale. J’ai du atteindre cinq ou six orgasme avec Guy, puis Marc, puis les deux ensemble. Une nuit torride…
C’est sous la douche que Charlène me proposa de coucher chez elle. Dans mon état, j’acceptais volontiers la proposition, d’autant que mon mari était prévenu.
La dizaine de kilomètres jusqu’à la maison de Charlène parurent long. Je me posais mille et une questions, honteuse d’avoir trompé mon mari, mais surtout avec qui. Il ne méritait pas ça.
Je sursautais quand Charlène me dit que la chambre était prête..
Épuisée, je m'endormi rapidement, dans les bras protecteur de ma copine.
Je fus réveillée par les douces lèvres de Charlène, aspirant le bout d’un sein. Sans être comme elle, j’appréciais cette caresse qui apaisait mon corps.
- Même endormie, ton clitoris réagit bien quand on le doigte. T’as pas senti comme je l’ai doigté...
- Ben non...t’as fait ça…
- Oui...et tu as bien joui ma chérie...tu devais rêver de ta folle nuit de baise.
Charlène se pencha sur moi, me donna un tendre baiser.
Je rentrais discrètement à la maison. Mon mari dormait profondément. Il avait dû m’attendre toute la nuit. Le pauvre. J’avais les larmes aux yeux quand je me suis blotti entre ses bras.
Mais malgré les larmes, je revivais, le corps en feu, mais comme apaisée, calmée, par cette soudaine et gargantuesque nuit, ou je me suis offerte à quatre amants exceptionnel. Je me posais la question, si je devais retenter l’expérience un jour. Dans ma tête, ce fut un refus catégorique...quant à mon corps…
C’est à eux de se mettre d’accord sur une éventuelle participation à la fête de départ en vacances de l’année prochaine...sans les conjoints bien sur.
Ils ont un an pour ça.
Dans l’attente d’une réponse favorable, je finis par m’endormir….









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Commentaires du récit : Sortie en boîte sans mon mari.

Le 29/06/2022 - 23:22 par Titi12
Belle Histoire. Peu de volonté pour une femme fidèle lol
Le 27/05/2022 - 10:17 par carlito
J'adore sérieux ils on beaucoup de chance de t'avoir secoué comme ça j'aime les femmes mur qui aime la baise sans tabous

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