Soumission consentie 1

18 heures, Solange rentre du travail.
- « Salut chérie, la journée s’est bien passée ».
- « Oui sans problème sauf ce soir dans le métro, je me suis fait copieusement peloter les fesses ».
- « Comment ça » ?
- « Oui, il y avait la grosse cohue et un type derrière moi m’a caressée entre deux stations, je n’ai pas pu le voir, et impossible de bouger ».
- « Bravo, il y en a qui ne se gênent pas ».

Une semaine plus tard même scénario,
- « Dis, le type de l’autre fois a recommencé, enfin je suppose que c’était le même ».
- « Ça alors je vais finir par t’accompagner ».
- « Attend ce n’est pas fini, il a glissé un papier dans ma poche, lis toi-même ».
« Vous a-t-on déjà dit que vous aviez un beau cul, quel dommage que vous portiez une jupe serrée, j’aurais volontiers passé ma main en dessous. Peut-être un de ces jours, j’en rêve ».
- « Qu’en penses-tu » ?
- « Il ne manque pas d’air c’est sûr, on pourrait s’amuser un peu, essaie de porter ta jupe courte et volante on verra la suite ».
- « Coquin va ! Si on va jusqu’au bout je ne mets pas de sous-vêtements » ?
- « Pendant qu’on y est autant s’amuser ».
Trois jours passent, et le soir du quatrième Solange rentre excitée :
- « Le type a recommencé, je me suis fait peloter les fesses, à même la peau entre deux stations ».
- « Bravo, très excitant » dis-je un peu émoustillé, demain je t’accompagnerai discrètement ».

Le lendemain donc je rejoins Solange à son travail, elle est sur le départ. Je lui fais enlever soutien-gorge et culotte et nous nous dirigeons vers le métro. Je guète discrètement à quelques pas derrière elle, rien à signaler. Nous avons un peu de peine à monter dans la rame, je suis devant elle sans pouvoir la voir. Après deux stations elle me pince bras et me murmure :
- « ça y est » !

Je me retourne péniblement et j’aperçois un grand type, assez jeune, juste derrière son dos, je me dégage un peu et j’aperçois sa main sur un sein de Solange qu’il malaxe jusqu’à la station suivante. Solange ne dit rien, elle est rouge, je lui fais signe de ne rien faire. Arrivés à bon port nous descendons de la rame.
Je lui demande :
- « Alors » ?
- « Je me suis fait peloter copieusement un sein et les fesses, quand tu m’a fait un signe il était en train d’enfoncer son doigt dans ma chatte ».
- « Et alors, ça t’as plu »?
- « Me faire caresser avec tout ce monde, j’avais le cœur qui battait très fort. Je ne sais pas si d’autres passagers ont vu la manœuvre ».
- « J’espère bien » répondis-je.
- « Tu bandais » ?
- « Comme un âne ».

Plusieurs jours se passent, Solange revient un soir encore écarlate :
- « Le type m’a parlé, je crois l’avoir reconnu en montant dans la rame, et je me suis mise à côté de lui ; il m’a parlé à l’oreille :
- « Bonjour coquine, votre tenue est moins affriolante que l’autre jour » ; il me glisse un papier dans la main,
- « je vous donne mon adresse mail, contactez-moi ».
- « Enfin, on va pouvoir s’amuser un peu si tu es d’accord ».
-« Si tu l’es je le suis ».

Nous rédigeons ensembles le mail suivant :
- « OK pour une rencontre, organisez vous-même le rendez-vous, j’espère que vous saurez y mettre du piquant. Sachez que mon mari est au courant depuis le début, je rédige ce mail avec lui ».

La réponse arrive au bout de deux heures :
- « Quel bonheur j’aurais un immense plaisir à vous rencontrer, je vous propose à l’entrée du cimetière du Montparnasse, c’est peu fréquenté, nous pourrons faire plus ample connaissance. Si j’osais, je vous demanderai de porter une tenus sexy et comme dans le métro sans sous-vêtements. Disons samedi à 20 heures ».

- « Eh bien » dis-je, « il ne perd pas de temps, qu’en penses-tu »?
- « J’ai bien envie d’accepter, que veux-tu que je porte » ?
- « Je te propose une jupe très courte, un haut transparent avec un petit gilet et bien sur ni culotte ni soutien-gorge ».
- « C’est d’accord ».

Le samedi arrivant je me prépare comme prévu, avec un léger maquillage, et Dominique m’accompagne à pied puisque nous habitons près du cimetière. Nous avons, volontairement un bon quart d’heure de retard. Il me laisse seule au coin de la rue jouxtant l’entrée, je pénètre à l’intérieur, notre homme est là.
- « Bonjour, quel est votre prénom » ?
- « Solange et vous » ?
- « Edouard ».
- « Allons-nous asseoir sur un banc, voulez-vous » ?
- « Je veux bien ».
Pas de préliminaires, il attaque sans ambages :
- « J’aime le bas de votre tenue, moins le haut, je préférais celle du métro ».

Sans répondre j’ai commencé, après un coup d’œil aux alentours, à enlever mon gilet. Ainsi en tee-shirt blanc et transparent, l’effet ne se fait pas attendre :
- « Ouf ! Merci, quelle belle paire de seins vous avez, comme je les aime, j’avais pu en toucher un vous vous souvenez, mais pas les voir, c’est un régal. Votre mari nous épie-t-il » ?
-« Je ne sais pas, il m’a accompagnée mais je ne pense pas qu’il soit resté, je lui raconterai de toute façon ». J’étais persuadée néanmoins qu’il nous surveillait étroitement.
- « Votre attitude dans le métro et votre présence ici m’incite à vous demander si vous accepteriez le jeu de la soumission ».
- « Bien sûr j’accepte je me suis laissée copieusement peloter dans le métro, ça ne vous suffit pas ? »
- « Sans restriction » ?
Je reste un moment à réfléchir, je pense à Dominique : « Nous verrons, les seules limites seront fixées par mon mari, mais il a l’esprit large vous l’avez compris. »
- « Commençons, soulevez votre tee-shirt et dévoilez vos seins disons trois bonnes minutes ».
Je m’exécute l’air frais me fait, frissonner,
- « ne regardez-pas autour de vous et quoi qu’il arrive laissez vos mains sur le banc ».

J’obéi, regardant fixement devant moi, Edouard me caresse lentement, insistant sur les tétons. Je me trémousse un peu, sous une légère douleur quand il les pince. Soudain, j’entends des pas sur l’allée, je ne regarde pas serrant mes mains sur le bord du banc, mon cœur s’emballe. Edouard rabaisse rapidement mon tee-shirt, une vielle dame passe devant nous sans nous regarder.
- « Remontez votre haut à nouveau », nouvelle séance de caresses.
- « Regardez légèrement à gauche, un homme nous regarde, c’est votre mari » ?
- « Non je ne crois pas ».
- « Vous pouvez vous recouvrir, comment avez-vous ressenti cette petite épreuve ? avez-vous Aimé » ?
Je réponds sans réfléchir :
- « Oui, c’est nouveau pour moi, mais mon cœur battait très fort j’attendais que vous me recouvriez. »
- « Parfait ! C’est un bon début. Je n’ai pas vérifié si vous portiez une culotte, voulez-vous retrousser votre jupe, nous allons en faire profiter notre voyeur » ? Je m’exécute immédiatement, me voici debout face à lui, les fesses à l’air. Il me laisse ainsi quelques instants en caressant doucement ma chatte soigneusement épilée.
- « Vous pouvez descendre votre jupe, nous en resterons là pour aujourd’hui ».

Je me rhabille en remettant mon gilet.
- « Non, il fait beau, vous rentrerez ainsi c’est d’accord ? J’aime beaucoup l’idée que d’autres puissent profiter du spectacle. Quelle est votre taille de soutien-gorge » ?
- « Je porte du 95 C ».
- « OK, je vous laisse rentrer, sans le gilet bien sûr, vous ne devez pas cacher vos seins avec les bras. Vous me raconterez comment s’est passé le retour, au revoir ma belle ».
- « Au revoir Edouard ».

Je quitte le cimetière, les bras le long du corps comme demandé en espérant revoir Dominique au coin de la rue sans croiser du monde. Je sens ma poitrine balloter au rythme de mes pas. Dominique m’attend discrètement à la porte.
- « Tu es resté » ?
- « Oui, j’ai tout suivi mais je n’ai rien entendu de vos conversations ».
- « Je vais tout te raconter, mais il m’a demandé de rentrer ainsi vêtue jusque chez nous, que fait-on » ?
- « Je pense qu’il faut obéir aux ordres ». L’idée de voir Solange dévoiler ses seins en public est pour moi un vieux fantasme.
- « Il m’a demandé de ne pas les couvrir et de laisser mes bras ballants ».
- « Ca va de soi, mais je te laisse mener la marche à ta guise ».

Par chance, nous ne croisons que peu de monde, il est 21h30, mais quelques regards s’attardent sur ma poitrine encore gonflée dont on distingue parfaitement les tétons ; mais nous sommes proches de la rue de la gaieté, on a dû me prendre pour une prostituée.
Pendant le retour je raconte tout en détail, Dominique est très excité. Nous convenons de continuer ce petit jeu.

Une semaine que nous n’avons plus de nouvelles d’Edouard, je regarde notre boite avidement chaque soir, que se passe-t-il ?
Enfin hier soir, le mail attendu :
- « Bonsoir, cette semaine de séminaire était bien longue, j’ai beaucoup pensé à vous, j’espère que vous avez respecté la consigne de ne pas vous couvrir durant votre retour. Je suis invité samedi à une soirée chez un couple d’amis, nous serons six, sept si votre mari veut venir. Je vous préviens à l’avance, ce sont deux couples très libertins, j’espère votre présence ».
- « J’irais si tu es d’accord bien sûr, tu m’accompagneras » ?
- « Non pas cette fois c’est beaucoup plus excitant d’imaginer en attendant ton retour, tu me raconteras tout ».
Je suis très touchée par sa confiance ; je réponds rapidement à Edouard en lui demandant l’heure et le lieu de rendez-vous.
- « Parfait, nous nous retrouverons samedi prochain à 20 heures comme la dernière fois, je vous accompagnerai en voiture. Vous n’avez pas de consignes vestimentaires, mais soyez belle ».

Fin de la première partie.