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Soumission consentie 3

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Lue : 3937 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 27/09/2014

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Mercredi, le mail annoncé est au rendez-vous.
- « Ma chère Solange nous sommes invités samedi à 20 heures chez Serge, si vous acceptez de venir, ce que je souhaite, vous devrez passer chercher votre tenue au magasin « sexy-girl » rue de la gaieté vous ne porterez que ce que je vous ai choisi. Vous sortirez du magasin et m’attendrez sans rien faire d’autre, toujours les bras le long du corps évidemment. Je passerai vous y prendre vers 19 heures trente. Je vous rappelle votre devoir d’obéissance absolue ».

Dominique lit le mail en même temps que moi :
- « Ça va devenir intéressant ».

Je lui ai raconté la dernière soirée sans omettre un détail, ça l’a beaucoup excité, surtout mon nouveau surnom dont il m’affuble régulièrement.
- « J’ai très envie que tu y ailles et toi » ?
- « Au point où nous en sommes, autant aller jusqu’au bout n’est-ce-pas mais je te préviens, ça sera la dernière rencontre avec Edouard, nous cesserons ce jeu qui commence à m’inquiéter » !
- « D’accord ».

Samedi sept heures, je me dirige vers la rue de la gaieté, je me suis maquillée un peu lourdement et me suis faite faire un superbe chignon.
Je ne me suis pas encore présentée, je suis ce que l’on appelle une belle plante brune d’un mètre soixante-dix, pour cinquante-cinq kilos, j’ai des poignets et des chevilles fines, des jambes longue et bien galbée, une poitrine lourde et ferme mes tétons pointent au milieu d’aréoles très larges.
Je pénètre dans le magasin, un vendeur goguenard m’accueille.
- « Bonjour, je viens de la part d’Edouard qui a du faire préparer une tenue pour moi ».

L’homme esquisse un large sourire, qui m’inquiète un peu, et va chercher la tenue préparée par Edouard, il est de retour rapidement :
- « Voici, madame, vous pouvez l’essayer je pourrais faire quelques retouches rapides si besoin ».

Je cherche vainement des yeux une cabine ;
- « Notre cabine est en réfection, j’ai aménagé un petit endroit derrière ces cartons ». En fait je vais me déshabiller devant ce monsieur, je crois que l’on pourra m’apercevoir également de la rue. Je surmonte mon dégout, me déshabille complètement avant de découvrir ma tenue du soir. J’ai un haut le cœur, c’est un tailleur ocre, la jupe est ultra-courte et s’arrête juste à la naissance de mes fesses, la veste ne comporte pas de boutons, la fermeture, si l’on peut dire, s’effectue par une ceinture nouée juste sous la poitrine. Le vendeur ne perd pas une miette, je me regarde dans la glace horrifiée, la jupe bien-sûr, appel au viol et la veste qui offre un très large décolleté. En me tournant je peux apercevoir mes aréoles et mes tétons ; Impossible de sortir ainsi.

Je fais signe que j’ai terminé, le vendeur me rejoint, toujours goguenard et m’examine sous toutes les coutures.
- « Je crois que c’est parfait, aucune retouche à faire, je vais aller chercher vos chaussures ».

Il revient avec plusieurs boites d’escarpins noirs, les talons sont très hauts. Je m’assois pour les essayer, c’est là que le supplice commence, ma jupe si courte se relève et dévoile mes fesses que je pose nues sur un tabouret glacé. Le vendeur me passe les escarpins, je suis obligée d’écarter les jambes lui exposant ma chatte, il la regarde sans vergogne. Je mets gauchement mes mains entre mes genoux pour me dissimuler un peu.

Je suis vêtue, si l’on peut dire pour la soirée, le vendeur me complimente, me souhaite une bonne nuit, m’annonce qu’il doit fermer et que je peux venir récupérer mes vêtements demain. Il est dix-neuf heures trente, Edouard ne devrais pas tarder, je suis obligée de quitter le magasin, j’ai une longue hésitation avant de sortir dans cette tenue ; je fais concurrence aux prostituées locales. Je suis même abordée par deux « clients » qui me demandent mes tarifs.
L’idée me vient, pour me rassurer d’appeler Dominique :
- « Dominique, j’ai peur, je suis habillée comme une pute en pleine rue Saint Denis et Edouard n’est pas au rendez-vous » !
- « Bah, cela fait partie du jeu de te faire poireauter ainsi, il doit même te surveiller, décris-moi ta tenue ».
- « J’ose à peine, micro jupe ras des fesses, veste au décolleté indécent escarpins noirs très hauts, et mon sac ».
- « Eh bien je bande déjà, j’ai hâte de voir ça à ton retour ».
- « Tu ne seras pas déçu, s’il n’est pas là dans cinq minutes tu viendras me chercher ».
- « D’accord ».

Comme par enchantement, la voiture d’Edouard arrive, il me fait signe de monter.
- « Bonsoir Solange, vous êtes de plus en plus belle, je ne regrette pas le choix de votre tenue ; avez-vous été abordée par des clients en m’attendant » ? Je m’assois dans la voiture, ma jupe remonte, c’est comme si je n’en portais pas.
- « Oui, vous avez fait exprès de me faire poireauter ».

Mon ton est sec, il semble surpris,
- « Je ne peux pas aller chez vos amis dans cette tenue, elle est totalement indécente, je ne peux même pas m’asseoir ». J’ai des sanglots dans la voix, je commence à pleurer. Je commence à regretter d’être venue.
- « Allons, allons ma chère, reprenez-vous, vous allez faire couler votre maquillage ; il n’est pas question de changer votre tenue, de plus je vous avais demandé de ne rien faire en m’attendant et je vous ai vue téléphoner, vous aurez une punition pour cela. Maintenant si vous voulez renoncer, descendez de la voiture et rentrez chez vous ».

Je suis coincée, impossible de rentrer ainsi. Je ravale ma salive :
- « Je suis obligée de vous suivre ».
- « Alors vous allez vous ressaisir, plus de pleurnicheries, je vous veux gaie, obéissante et soumise ».

Je pense à Dominique il a voulu cette soirée, « c’est d’accord, pardonnez-moi ce moment de faiblesse et partons ».
Nous arrivons rapidement chez Serge, le trajet de la voiture à l’appartement fait sensation sur les personnes que nous croisons évidemment.
Nous sonnons, Edouard me fait passer la première, Serge nous ouvre ;
- « Solange, quel plaisir de vous voir, et quelle tenue, entrez vous montrez à nos amis ». Il me prend la main et me fait faire le tour du salon, j’ai l’impression d’être une bête de concours exhibée par un maquignon. Je reçois évidemment des compliments, Brigitte et Agrippine semblent un peu renfrognées. J’essaie de faire bonne mesure et de sourire.
- « Asseyons-nous, voulez-vous ».

Aïe, le moment redouté arrive, je me pose délicatement dans un canapé profond, j’ai beau tirer sur la jupe, me voici à nouveau fesses à l’air, je serre mes jambes.
Agrippine démarre les hostilités,- « Ma chère Seins-d’enfer votre cul est aussi beau que vos nichons, c’est vous qui avez choisi vos vêtements » ?
- « Non c’est Edouard »,
- « Bravo Edouard mais de grâce ne serrez pas vos jambes ainsi ».

Je m’exécute, Jean vient s’asseoir près de moi et me caresse la chatte sans vergogne, c’est au tour de Serge qui de l’autre côté caresse ma poitrine, je regarde fixement Edouard en essayant de sourire. Serge introduit un doigt dans ma chatte, je suis rouge.
- « Bon si je comprends bien il n’y en a que pour Solange ce soir, ma chère Brigitte nous nous occuperons toutes les deux ».
- « Solange, enlevez-donc vos vêtement, nous allons vous infliger la punition que je vous ai promise, Serge avez- vous un gros plug » ?
- « Bien sûr, je vais le chercher ».

Je suis nue devant eux, Serge me fait retourner écarte mes fesses et y dépose une substance gluante.
- « Ma belle avez-vous déjà été enculée ».
- « Non jamais », dis un peu angoissée.
- « Alors c’est pour ce soir, posez vos mains sur vos genoux ».

Je prends la position demandée, Serge introduit son index dans mon anus et effectue quelques mouvements de va et viens, il le retire et je sens alors le contact du plug qu’il essaye d’introduire. Je reçois une grande claque sur la fesse,
- « Ne vous contractez pas, laissez-vous faire », j’essaie de me détendre au moment où Serge fait pénétrer le plug, je pousse un cri, j’ai mal, mes yeux sont embués, les larmes coulent sur mes joues.
- « C’est parfait, vous le garderez pendant le repas. Quand la place sera faite, nous passerons aux choses sérieuses ». Je frissonne et j’ai honte.
- « Vous pouvez vous relever maintenant et venir vous asseoir ».Je me dirige péniblement vers ma place, ma démarche est gauche, je me dandine d’une jambe sur l’autre pour atténuer ma douleur.

En posant mes fesses, j’ai un haut le cœur, le plug s’est enfoncé, je pleure à nouveau.
- « Votre maquillage coule ma belle, mais restez ainsi, vous êtes bandante, c’est la première fois que nous avons à faire à une novice. Prenez-vous un apéritif » ?
- « Très rarement je bois peu d’alcool ».
- « Jean un double whisky pour Seins-d’enfer » !

J’avale difficilement la mixture, je tousse et une vague de chaleur me monte au visage, Jean me ressert une autre dose. Ma tête tourne.
Le repas se déroule rapidement, je n’ai pas faim, j’ai mal, j’ai honte, je suis la seule nue. A la fin du repas ma tête tourne de plus en plus.
- « Passons donc aux choses sérieuse », dit Serge « Reprenez la position de tout à l’heure, vous allez gouter aux joies de la sodomie,
- « Edouard à vous l’honneur ».

Je me remets dans la même position indécente, Serge passe derrière moi et enlève le plug sans ménagement, je ressens simultanément un soulagement et une douleur aigue. Edouard se positionne derrière moi et après quelques instants entreprend de me pénétrer. L’espace laissé par le plug lui permet d’y parvenir rapidement. Ses va et viens rapides me font mal, je ne peux retenir de petits cris, soudain je sens qu’il se crispe, il éjacule rapidement avec un cri rauque de soulagement.
- « A toi Jean », c’est le même scénario, une nouvelle éjaculation. Je n’éprouve aucun plaisir, seulement des douleurs vives à chaque va et viens, la tête me tourne de plus en plus. C’est au tour de Serge qui semble faire durer son plaisir, je me cramponne à mes genoux en me pince les lèvres pour ne pas crier. Je pleure abondamment ce qui semble amuser tout le monde. Serge se retire enfin, mon anus me brûle cruellement, je suis soulagée d’en avoir terminé ; mais j’entends la voix d’Agrippine
- « Ne vous relevez pas, je veux participer au jeu moi aussi ». Elle me fait face en brandissant un concombre, je ne peux m’empêcher de crier : « Non, pas ça ».

Edouard interviens sèchement :
- « Silence pouffiasse et laisses toi faire » ! Je suis horrifiée par ce qualificatif, lui d’habitude si courtois. Agrippine me contourne et entreprend l’introduction du légume, Edouard s’est placé devant moi et appuie sur mes épaules pour l’aider ; le concombre écarte mon anus et s’enfonce doucement. D’un geste brusque Agrippine le fait pénétrer plus avant, je pousse un grand cri de douleur.
- « Cette garce est insupportable, il va falloir la bâillonner » s’exclame Serge, - « alors salope le bâillon ou une autre punition ».

J’ai mal, je suis presque saoule :
- « Punissez-moi s’il vous plait ».
- « Brigitte allez donc chercher un instrument équivalent, vous pouvez vous relever, maintenant ». Je le fais péniblement le concombre est très enfoncé et le moindre mouvement me soulève le cœur. Brigitte arrive, fière, avec un très gros gode.
- « Qui veut l’introduire » ?
- « Qu’elle le fasse elle-même, se sera plus amusant » ; je ne peux que m’exécuter dans une position un peu grotesque, mais j’ai moins mal. Je me retrouve ainsi, dos un peu courbé pénétrée par devant et par derrière.
- « Bien petite salope, vous resterez ainsi jusqu’à ce qu’on vous le dise ».

Ils passent tous dans une autre pièce, je les entends discuter grossièrement sur les qualités sexuelles respectives d’Agrippine et de Brigitte. J’ai mal au dos, au cul et au bout d’un temps qui m’a paru bien long ils reviennent.
- « Allez Solange vous pouvez enlever tout ça ». Je parviens sans trop de mal à retirer le gode, mais c’est une autre affaire pour le concombre, je n’y parviens pas, je suis obligée de me mettre à quatre pattes, je n’y parviens toujours pas.

Tout le monde s’éclaffe, je suis morte de honte .C’est manœuvres ravivent mes douleurs. Enfin, allongée sur le dos jambes en l’air, vous pouvez imaginer la position, je parviens à l’extraire avec un grand cri. Ma tête tourne, je pleure en restant les bras ballants le concombre à la main. Le sperme des trois sodomies s’écoule entre mes jambes je n’ai jamais été autant humiliée.
Edouard vient à mon secours, il me réconforte, sèche mes larmes et m’accompagne dans la salle de bains.
- « Vous avez été très courageuse ce sera tout, refaites vous vite une beauté ».
En me regardant dans la glace, je ne ressemble plus à rien, mes joues sont striées de coulées noires, j’ai les yeux rouges et mon beau chignon tout en désordre.
Je me refais rapidement une beauté mais je suis obligée de défaire mon chignon. Je me passe la tête sous l’eau, mon ébriété s’estompe peu à peu. Par contre mes vêtements, si l’on peut dire sont restés au salon.
J’y retourne toujours aussi nue.
- « Rhabillez-vous dit Serge, vous êtes presque plus bandante que nue ».

J’enfile la micro jupe et le tailleur et me rassoie dans un fauteuil.
A partir de ce moment personne ne se souciera plus de moi, Agrippine et Brigitte passerons chacune trois fois à la casserole. Contrairement à moi, elles y prennent visiblement beaucoup de plaisir. A tour de rôle elles viendront pour m’embrasser ou me caresser. Agrippine est une experte en la matière elle me caresse le pubis, les lèvres, le vagin en enfonçant deux ou trois doigts.
« Tu as assez donné pour aujourd’hui, mais la prochaine fois j’enfoncerai mon bras » me glisse-t-elle à l’oreille. Curieusement ses caresses douces et ses paroles me provoquent un début d’orgasme. Je lui donne un long baiser.

La soirée se termine ainsi, nous prenons congé, Serge et Jean me gratifient, sur le pas de la porte de caresses sur les fesses et me pelotent les seins sans vergogne.
Il est tard, nous ne croisons personne et atteignons la voiture sans nouvelle rencontre.
Sur le chemin du retour Edouard me demande ce que j’ai pensé de la soirée.
Je réfléchis longuement,
- « J’ai souffert le martyre, vous m’avez humiliée, traités de poufiasse, exhibée en public habillée comme une putain, fait subir les derniers outrages, mais je ne vous en veux pas, j’étais consentante ; simplement je ne m’attendais pas à tout ceci, nouveau pour moi. J’ai accepté de venir pour faire plaisir à mon mari qui se délecte quand je lui raconte les détails ».
- « Vous n’êtes pas prête pour la soumission, l’humiliation fait partie du jeu, voulez-vous continuer » ?
- « Non pas ainsi, nous verrons ce que dira Dominique, s’il le souhaite je lui ferais ce plaisir mais en sa présence ».
- « Je vous délie à présent de votre soumission, voulez-vous prendre un dernier verre je connais un petit club échangiste pas très loin, puis je vous raccompagnerai ».

Je pense à ma tenue, je peux refuser maintenant mais malgré ma fatigue et mes douleurs :
- « D’accord mais pas trop longtemps s’il vous plait je suis très fatiguée ».

Nous nous garons devant le club, j’oublie ma tenue, nous y pénétrons. Curieusement celle-ci ne fait pas sensation, personne ne s’occupe de nous. Beaucoup de femmes sont très peu vêtues, quelques-unes torse nue, sur la piste de danse, des couples s’embrassent et se caressent. Nous commandons nos consommations. Un couple nous rejoint, visiblement éméché, tous les deux m’entourent et me caressent, la femme me donne un long baiser. L’homme délace ma ceinture, il ne semble intéressé que par mes seins. Je me laisse faire, je souris même, il me suce longuement chaque téton, je commence à trouver cela agréable, j’essaie de prendre du plaisir. Edouard renouvelle les consommations, je n’esquisse pas un geste pour refermer ma veste quand le serveur nous les apporte. Les caresses plus profondes de la femme provoquent un violent orgasme que je ne cherche pas à dissimuler. A cet instant, le couple nous quitte sans un mot. Je ne rhabille pas, c’est Edouard qui vient nouer ma ceinture, je me lève, les fesses à moitié à l’air, c’est lui qui remet ma jupette en place.
- « Nous rentrons » ; je crois qu’il n’a pas aimé les manœuvres du couple et peut-être, que j’ai été totalement consentante. Il me dépose devant ma porte, m’embrasse longuement et repars. Je rentre, même pas soucieuse de croiser du monde en me préparant à raconter la soirée à Dominique.

Fin du troisième épisode.
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Histoire de Misterhyde17

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Commentaires du récit : Soumission consentie 3

Le 20/12/2023 - 14:54 par Sexytoy86
Avez vous prévu une suite C'est tellement existant

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