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Souvenirs coquins

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Lue : 1790 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 31/08/2013

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Mes souvenirs coquins remontent quand je devais avoir quoi, 16, 17 ans ? Je me souviens vaguement que j’étais toujours nue, le soir, des fois dans la journée quand j’étais sure d’être tranquille, par exemple quand mes parents sortaient sans moi en « amoureux ». Je rêvais à des épouvantables accouplements où je n’étais pas au milieu. Je voyais des amies à moi, des copains se livrer à des débauches impossibles. Ca suffisait pour me faire mouiller suffisamment pour que mon index glisse tranquillement sur le clitoris que j’avais découvert il y avait peu. J’ai grandis ainsi un peu seule, à peine isolée. Quand je sortais de mon cocon, vers 20 ans, j’étais en fac de droit. Certains et certaines de mes condisciples pensaient plus à leur cul qu’aux études. Les résultats négatifs tombaient au bout de l’année. Je restais sage dans ma chambre quand certains autres se prélassaient au frais de papa/maman dans des soirées prétendument récréatives. J’étais penchée sur les études, sauf que des fois, rarement je sortais avec un garçon toujours le même qui m’apprenais les prémices des orgasmes à deux. Il m’a vite appris comment tirer parti de sa queue. Je commençais à bien jouir avec lui. Je ne me privais pas de masturbations normales suivies jour après jour. Ce devenait une habitude que je n’ai retrouvé qu’il y a peu. J’aimais me caresser longuement la fente, les fesses, mes trous. N’étant plus vierge je me payais un jour des boules de geishas dont on disait le plus grand bien. Je les mettais le matin après la toilette intimes et les ôtais le soir avant de ma caresser autrement. J’avoue que j’aimais bien cette sensation de désir permanent, ces orgasmes imprévus.

Le principal restait mes études. Je réussissais mes examens pour sortir docteur en droit.
J’ai épousé par amour celui qui a tenu une grande place dans ma vie. Je me laissais menée par un homme directif. Par contre au lit je devais me contenter de peu, de très peu. Je ne pensais pas qu’un homme soit aussi peu attentif aux plaisirs sexuels. Une fois par mois était sa moyenne. Je serais devenue dingue si je n’avais mes boules et ma main. Dès que je le pouvais je me masturbais par mesure d’hygiène. Je laissais vagabonder mes fantasmes vers des rivages inaccessibles que j’attendrais peut être un jour.

J’ai eu une aventure avec un homme plus âgé que moi. Nous nous étions rencontré dans un bar où je prenais une orangeade Il me l’a payée, je l’ai remercié. Nous sommes partie ensemble vers ….l’hôtel voisin. Je me suis offerte par désir, par défit aussi. Mais qu’elles étaient remplies ces deux heures. Il voulait même me la mettre au cul à la fin. Par défi j’acceptais la sodomie, comme une vengeance. Il m’a donné du plaisir, pas d’orgasme de ce côté. Je ne l’ai jamais revu. Mais le plaisir que je venais de connaitre me rendais plus exigeante vis-à-vis de mon mari. Pour se faire pardonner il m’a baisée correctement deux mois, m’a acheté une petite maison en banlieue. C’est même là que j’ai accouché d’une jolie petite fille. Et plus la vie a repris son morne court, sauf que j’ai acheté un joli gode. Un jour il a voulu divorcer.

J’étais enfin libre de faire ce que je voulais. Mes moyens m’ont permis d’acheter un bel appartement dans un beau quartier de Paris. Je l’inaugurais à ma façon, rester nue un weekend entier, me masturber le plus souvent possible, mettre un gode dans la chatte, bref me défouler totalement. Si quelqu’un m’avait vu, il m’aurait traité de nymphomane, de pute dégénérée. C’était une obligation pour mon moral, mon corps, ma chatte, mon cul. Je pouvais recevoir des amies, celle d’avant, des voisins ou voisines, des collègues. Bref j’avais une vie sociale agréable.

Ma trentaine bien entamée, il me fallait de temps en temps un homme pour passer une nuit. Je cherchais dans des bars l’homme de mes ténèbres. Je trouvais souvent la bite qu’il fallait. Je n’en demandais pas plus. Je baisais bien de droite et de guiche, sans m’attacher jamais.

Un soir, je rentrais du travail quand je l‘ai rencontré. Il avait provoqué un accident, j’en étais témoin. Nous nous sommes souvent téléphoné. Il m’a invité au restaurant, nous avons bavardé comme des camarades au début, comme de amis plus tard comme des presque amants à la fin. C’est lui qui m’a embrassé le premier. J’ai rendu le baiser. Nous en sommes restés là, comme des imbéciles. J’avais tellement envie de lui que je me suis masturbée comme une dingue presque toute la nuit.

Nous nous somme revus le lendemain. Nous avons diné ensemble. Nous nous sommes embrassés encore. Nous avons fini la nuit dans un hôtel. Il avait une queue d’enfer, des couilles comme on en fait plus, des épaules, des jambes, des pieds des….tout, il me plaisait, j’étais amoureuse de lui comme ça, sur un coup de foudre. Je crois que quand il m’a baisé la première fois il le savait. J’ai refusé qu’il me baise, je voulais lui sucer la queue (j’étais devenue une chienne depuis mon divorce). Il me regardait faire, il m’a arrêté pur à son tour lécher d’abord autour et ensuite toute la chatte. Il me faisait un bien fou, inconnu encore de mon corps. Je le laissais me faire jouir, recommencer dès que je le lui demandais. Putain que c’était bon. Il venait sur moi, je sentais sa bite contre mes jambes. Elle était sacrément dure. Il s’arrêtait en route pour mordiller les seins qui n’en pouvait mais. Sa bouche est revenue sur la mienne quand sa queue touchait mon église. J’avais beau bouger, remuer, je n’arrivais pas à mon but : me faire baiser seule. C’est lui qui est venu dans mon con. C’était à la fois suave, délicat et douloureux. Il était gros autour de moi, je serrais mes muscles pour mieux le sentir. J’ai commencé moi-même les aller et tours. Je n’en pouvais plus d’attendre éternellement qu’il commence. Le plaisir envahissait tout o corps. Je devenais une femelle en chasse du mâle. Mais qu’est-ce qu’il baisait bien ce mâle. Il s’est arrêté sans raison pour moi ; il restait pour absorber le plaisir d’être en moi. Quand il a reprit ses mouvement j’ai cru défaillir de plaisir : j’ai eu un orgasme plus fort que les autres. Il s’est retiré, il est descendu vers ma chatte, l’a embrassé pour finir parle lécher partout. J’aime sa langue sur mi qui lèche tout ce qu’i faut. Il arrive à la mettre sur mon petit trou. Là je n’avais connue qu’une seule bite, j’en gardais n bon souvenir. Mais sa langue d’avait rien avoir avec une queue : elle était plus douce, plus satinée plus veloutée qu’une bite. En plus il savait s’en servir remarquablement bien. Il me léchait doucement le tour, titiller à peine, recommencer longuement, à me faire gémir d’envie. Je la voulais en moi. Il m’a fait mettre sur le ventre : il revenu sur moi, sur mon corps, je sentis son poids sur mos dos. J’écartais les jambes d’ans l’attente de l’estocade. Il est bien venu, ses jambes étaient contre les miennes. Je sentais sa pine fouiller ma raie. Il me tardait qu’il vienne. Il est venu sur l’anus, doucement, amoureusement. Je le sentais quand le gland et venu m’agacer

J’ai senti qu’il forçait un peu. J’ouvrais mes fesses à son dard. J’étais prête à me faire sodomiser. Il l’a fait gentiment posément. Je le sentais entrer dans mon ventre : il écartait mes chairs : c’était bon, j’allais mourir. Je ne pensais plus à rien sinon ce qu’il faisait. J’allais mettre ma main sur le clitoris. Il m’a remplacé. Il était le seul maître de mon plaisir, de notre plaisir. Je me retenais le plus possible, j’ouvrais encore un peu mon anus. J’avais tort e faire cette manœuvre : j’ai jouis autour de sa queue. En deux ou trois aller-retour, il jouissait à son tour : je sentais le sperme inonder mes intestins. Je serrais bien l’anus pour ne pas perdre sa précieuse semence. Nous n’avions rien de plus pressé de nous retrouver pour baiser. J’n devenais accro. Lui aussi puisqu’il me proposait un soir de baiser avec un autre que lui en sa présence. J’acceptais. J’avais tort, je me faisais mettre par une bite pas capable qui bandait à peine. Mon plaisir n’est venu que grâce à mes doigts.

J’ai voulu choisir une fille pour l’expérience suivante. Après des recherches sur internet nous avons mis la main sur une nommée Margot. Je l’ai rencontrée seule d’abord. Après une bise sur les joues nous nous sommes entendues pour qu’elle baise bien mon amant. Pour moi c’était le principal.

Notre premier soir était remarquable. Margot s’intéressait plus à la queue de mon amant qu’à mon corps, sauf qu’en cour de route elle s’est tournée vers moi. Sa bouche m’a embrassé câlinement puis sensuellement : sa langue faisait des ravages dans ma bouche. Elle m’a pris en main en me montrant tout ce qu’une fille devait savoir sur une autre fille. Nous avons fini couchée, elle sur moi, en 69. Je passais mes mains sur elle, ses sens, ses fesses, sa chatte son cul. Nous avons joui longtemps l’une et l’autre. Quand nous nous sommes revues en cachette nous avons recommencé. J’aimais ses massages et caresses spéciales plus que celle que me donnait mon amant et je prenais gout à son corps satiné, doux délicat. Elle aimait ce que j’aimais. Nous nous passions les mains entre les fesses pour aboutir au petit trou. Nous arrivions à faire coïncider nos clitoris pour mes caresser d’un seul mouvement d’aller et retour commun. C’était plus excitant, plus fort, plus jouissif qu’une bite. Nos corps prenaient l’habitude de l’autre. Nous ne pouvions nous séparer.

Depuis 4 ans, nous vivons ensemble, toujours amoureuses.
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Histoire de fabrissa

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