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Taisla dating

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/09/2024

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TAISLA DATING

Quand je suis arrivé en vue du parking du supermarché, évidemment fermé le dimanche, mais le parking était accessible, je les ai toutes vues. Et j'ai été bluffé. Je dois bien dire que je pensais que personne ne viendrait. Or il y avait, déjà, sur le parking, une quarantaine de Taisla. Eparpillées. Bon, finalement, le rendez-vous avait attiré du monde.
J'ai été ému, réellement ému de voir toutes ces bagnoles.
Moi aussi, évidemment, j'étais un fan absolu des Taisla. Sinon je n'aurais pas été là.
J'étais abonné à un fil d'actu qui rassemblait des amoureux des Taisla.
Des événements très divers étaient rapportés par ses membres.
Et donc il y avait eu quelques jours plus tôt l'annonce de ce premier Taisla dating. Le texte était le suivant :

Vous cherchez une âme sœur. Et vous avez une Taisla. Rencontrez quelqu'un dont vous vous rapprocherez plus facilement, qui a la même passion que vous. Rendez-vous dimanche prochain, à partir de huit heures sur le parking du supermarché Entramarket à A...
Qui sait? Vous ferez peut-être une rencontre qui changera votre vie.

Ce qui m'a décidé à m'y rendre? Sans doute, déjà, le fait que je suis célibataire. De là à dire que je croyais pouvoir trouver une fille qui me plairait ou à qui je plairais... Non, pas vraiment.
J'étais aussi curieux de voir à quoi un ou une Taisla addict pouvait ressembler. Un geek? Ou bien y avait-il d'autres profils? Voire pas de profil précis du tout?
Et puis je me suis dit que, sans aller jusque là, je pourrais, au minimum, voir des passionnés de Taisla, et discuter avec eux. Et contempler des modèles différents.
J'ai pris la bretelle qui permettait de s'engager dans la rue parallèle par laquelle on accédait au parking.
Je me suis garé sur la droite, au bout d'une rangée de Taislas.
Vraiment sympa de voir tous ces véhicules alignés. Ils étaient beaux. Ils avaient quelque chose de plus, que les autres véhicules n'avaient pas.
Mais le spectacle n'était pas uniquement constitué par toutes ces Taisla, rutilantes de beauté.
J'en ai pris plein les mirettes quasi immédiatement.
Juste devant moi, il y avait une Taisla, et deux protagonistes.
J'ai embrassé la scène du regard dans sa totalité, en revenant ensuite aux détails, et en cherchant en même temps à la comprendre.
Dans le prolongement de mon regard, une fille me présentait son côté pile. Longue et fine, elle avait une silhouette impeccable. Des jambes impeccables, gainées, du pied au creux poplité par des bottes de cuir noires, neuves et luisantes, avec des talons aiguille.Elle avait une culotte blanche qui n'était plus à sa place initiale, descendue aux genoux, frôlant le haut des bottes, Et une robe noire roulée à la taille. De la sorte, elle était cul nu. Et sur ce cul nu, étaient posées deux mains qui le caressaient.
Elle avait une croupe vraiment charnue, pleine, très rebondie.
Les deux mains posées sur la croupe étaient féminines, à en juger par la finesse des doigts mais aussi le vernis, bleu foncé, qui teintait les ongles.
Au final je ne voyais pas grand chose de ces deux filles. Le dos de l'une, et les jambes de l'autre, puisqu'elle était masquée par le corps de sa copine, deux jambes différentes, mais elles aussi bien galbées, gainées elles de nylon, et ces mains qui caressaient la croupe comme un trésor, avec ardeur.
Se faire pétrir ainsi le cul était apparemment une source de plaisir pour la jeune femme de dos. Je ne le lisais évidemment pas sur son visage, mais à la manière dont sa chatte, dont le boursouflement était bien visible entre ses cuisses s'ouvrait, laissant voir un intérieur tout rose.
Des filaments de mouille se multipliaient, pendant de ses lèvres épanouies.
Sa partenaire a lâché une de ses fesses et a fini par amener son index tout près de sa fente. Elle a glissé dedans sans l'ombre d'une hésitation. La fille pénétrée a poussé un petit gémissement de plaisir et s'est cambrée. Le doigt a bougé en elle, avec vigueur, et de la mouille, de plus en plus abondante, a coulé autour du doigt, ruisselant sur les pourtours de son sexe, ses aines et ses jambes.
Troublé et curieux, je me suis dit que j'allais faire le tour de ce parc provisoire.
Au moment où j'allais bouger, le tableau a changé. La fille longiligne a sorti la main du sexe de sa partenaire. Main que j'ai eu le temps d'apercevoir, luisante, poisseuse d'un liquide gras issu de son intimité. Et elle s'est accroupie. Une position qui m'a donné de nouvelles perspectives. Sacrément excitantes.
La jolie blonde, ainsi accroupie, la robe toujours roulée à la taille, était ouverte jusqu'à la béance. Laissant voir son intimité d'une manière quasi clinique. Ses fesses étaient écartées, laissant voir son sillon, et les plissements de sa muqueuse anale. Son sexe était lui aussi rendu par béant par cette position. Même si son excitation naturelle contribuait largement à cette béance.
Je me suis un instant vu glisser sous elle, pour caresser ses muqueuses, de la langue, des doigts, et finalement glisser ma queue en elle.
C'était aussi l'occasion de voir enfin sa partenaire.
Aussi brune que sa copine de ce dimanche matin était blonde, une chevelure dense, épaisse et longue, un visage de madone qui se déclinait en traits délicats, des yeux noirs immenses, une bouche bien rouge et bien charnue. Elle portait une chemise en jean que sa partenaire a défaite avec une certaine fébrilité. J'ai vu ses seins jaillir à l'air libre et ça m'a tourneboulé. Elle n'avait pas de soutien-gorge dessous, ce que j'avais plus ou moins senti à leur manière d'appuyer contre le tissu de la chemise. Ils étaient lourds, bien épais, mais aussi très fermes, charnus, avec de larges aréoles et des tétons que, même dans la distance, j'ai bien vu se dresser. La fraîcheur de l'air, l'excitation, ou les deux...
Sa copine d'un moment a posé ses mains au niveau de sa taille et a descendu ce qui m'a semblé être une jupe. Elle avait également pris dans le mouvement une culotte, et les deux pièces de vêtement ont fini sur le macadam. C'est venu d'autant plus facilement qu'elle s'était légèrement soulevée de son siège pour faciliter les choses.
On ne voyait rien, le corps de la blonde masquait le ventre de la brune. Le fait de ne pas voir son ventre, et en même temps des détails troublants, la jupe et la culotte descendant par exemple donnait un maximum d'impact à ce moment. Un instant, j'ai cru que j'allais me jouir dessus tellement j'étais troublé.
Et je pouvais en dire autant des minutes qui ont suivi.
La blonde s'est penchée sur la brune, et j'ai bien compris qu'elle lui fouillait le sexe, la langue, les doigts...Sans doute les deux, je ne voyais rien. Ce que je voyais bien, par contre, c'étaient les réactions et l'expression de la jolie brune. Ses tremblements, ses tressaillements, sa bouche ouverte, ses yeux posés sur un ailleurs...Ca disait tout.
Je me suis levé. J'étais partagé entre l'envie d'en voir plus, et celle d'aller capturer des images ailleurs, plus loin. J'avais bien compris que c'était une explosion de rapports sexuels à travers le parking, de Taisla en Taisla. Le fameux Taisla dating était un mot pudique pour désigner des rapprochements sexuels. Il fallait le faire, sur le parking d'un supermarché, même en plein jour. Mais c'était tout sauf un problème. Je me suis rendu compte, mon regard glissant sur la rue que les gens passaient, à pied ou en voiture et ne regardaient même pas ce qui se passait.
Un rendez-vous pour du sexe immédiat. Les autres participants l'avaient-ils compris? Moi, j'étais trop naïf. Qu'ils l'aient, en tout cas, compris ou pas, ils étaient tous, comme j'ai pu le constater dans des rapports qu'on réservait généralement pour l'intimité.
Je suis parti sur l'allée centrale du parking, avec l'envie de découvrir ce qui pouvait se passer autour des Taislas. S'il se passait quelque chose. Mais je n'en doutais pas. Si c'était à l'image de ce que je venais de découvrir, je n'allais pas être déçu.
Et je n'ai pas été déçu. Jouant les voyeurs mais sans réel complexe, parce que chacun était dans son univers, et se fichait bien qu'on le regarde. Le Taisla dating était un lieu de liberté absolue.
Contre la deuxième Taisla à gauche, un type était appuyé. Il y avait deux filles autour, deux blondes, jeunes et avec des corps faits tout en courbes, l'une plus volumineuse que l'autre. Elles portaient des tenues ultra-moulantes, jean, caleçon, top qui les faisaient plus nues que si elles l'avaient été réellement. Ultra-désirables, deux filles dont on sentait bien qu'elles aimaient le sexe. Il aurait d'ailleurs été difficile de penser le contraire, vu la manière dont elles tournaient autour de la queue du gars, qu'il, qu'elles, ou que l'une d'entre elles avait mise à nu. Une queue bien charnue, bien longue aussi, collée contre son ventre et qui accueillait les caresses des deux filles...Elles jouaient avec la queue, se la partageaient avec harmonie.
On voyait bien qu'elles étaient très complices et que ce n'était pas la première fois qu'elles faisaient l'amour, ensemble, à un homme. J'ai observé leurs mouvements changeants, spectacle ultra-excitant. L'une qui masturbait doucement la queue, pendant que l'autre venait balader sa langue sur le gland congestionné. L'une qui prenait ses couilles dans sa bouche tandis que l'autre enfonçait un ongle ultra-long dans son méat et allait et venait dedans...Difficile de ne pas être troublé. Le gars gonflait à vue d'oeil, et je me demandais comment il faisait pour ne pas jouir. Mais il était vrai que quand on avait des rapports sexuels, on basculait dans une autre dimension, et chacun se comportait comme il n'aurait jamais pensé se comporter en temps normal.
Les filles avaient bien perçu ma présence, même si elles semblaient totalement concentrées sur la queue du gars. Celle de droite s'est retournée vers moi, et elle m'a proposé:
— Viens avec nous. Une queue pour deux c'est bien, une queue chacune, c'est encore mieux.
J'aurais pu m'arrêter. Elles étaient aussi attirantes l'une que l'autre. Avec de belles promesses. Mais j'avais envie de continuer. De découvrir tout ce que le Taisla dating pouvait offrir. Quitte à revenir.
Autant de tableaux qui mettaient en scène couples ou trouples. Même si quelques uns ou quelques unes faisaient encore tapisserie. Mais d'autres Taisla arrivaient encore, démultipliant les chances de s'accoupler. Certains, comme moi, étaient décontenancés et ne s'éloignaient pas de leur Taisla, parce qu'ils ne s'attendaient pas à ça. D'autres, sitôt arrivés, repéraient qui pouvait leur plaire, ou faisaient un petit tour, pour des rapprochements qui allaient très vite. Il n'y avait pas d'hypocrisie sociale ici, juste une envie, et si elle était mutuelle...On concluait très vite.
Un peu plus loin, autour d'une Taisla, bien évidemment, l'élément indispensable, une jolie jeune femme se faisait monter et descendre sur la queue d'un homme. Il était installé sur le siège passager de la Taisla et la fille était calée sur lui, avec son sexe fiché dans le ventre.
La fille avait un visage radieux. Elle avait de beaux cheveux châtains, longs et épais, un visage aux traits fins, et elle était quasiment nue, ses vêtements sur le sol, à l'exception d'une magnifique paire de cuissardes noires, plissées, et d'un soutien-gorge qu'elle avait peut-être gardé par honte d'une poitrine menue.
Je me suis figé une fois de plus. J'avais envie de voir. De voir cette vulve glabre, lèvres étalées le long du sexe, dilatées, fines et longues, vulve dans laquelle la queue bougeait, rentrant et sortant, apparaissant et disparaissant. Le gars avait une queue énorme, à la fois très longue et très épaisse, et on se demandait comment il arrivait à tout rentrer en elle, ce que pourtant il faisait bien.
Un moment hypnotique.
Les liquides intimes ruisselaient sur ses chairs, le long de la queue, jusqu'à la racine de celle-ci, lubrifiant en tout cas leur rapport.
Elle se pâmait, semblait prendre un profond plaisir à se sentir ainsi fouillée.
Elle était magnifique, et je me suis dit que j'aurais bien aimé être assis à la place du gars, et que ce soit ma queue qui soit enfoncée dans son ventre.
Elle était dans son plaisir. Elle s'est rendue compte de ma présence, et m'a souri. Un sourire qui était une invitation à les rejoindre. Il lui restait ses mains, sa bouche.
J'avais très envie de céder cette fois. Mais au moment où j'allais avancer vers eux, un gars a fait son apparition sur ma gauche. Il a exhibé une queue en pleine érection qu'il a collée devant le visage de la fille. Elle a ouvert la bouche, et exhibé sa langue, qu'elle a fait tourner d'une manière particulièrement évocatrice. Le gars a avancé sa queue de quelques centimètres. Il a posé son gland sur son palais, et a glissé en elle. Elle a fait aller et venir sa bouche dessus.
Ce qui m'a fasciné, ça a été le rythme décalé. Les deux actions n'étaient absolument pas en harmonie, entre la queue qui allait et venait dans sa bouche, et celle qui allait et venait dans son sexe, et ça avait énormément de charme.
J'ai avancé.
De nouvelles Taisla arrivaient encore. Le parking se remplissait. Heureusement qu'il y avait de la place. Leurs conducteurs se garaient et descendaient, cherchant à capturer l'ambiance du moment.
Un peu plus loin encore, deux garçons s'embrassaient en se masturbant mutuellement. Ils ont joui pile au moment où je passais, crachant de grands jets de sperme.
J'ai fait demi-tour et je suis revenu à ma voiture.
C'est au moment où j'y arrivais que j'ai entendu les talons frapper le macadam derrière moi. Et en même temps senti une main sur mon épaule.
Je me suis retourné.
La fille qui m'avait suivi et qui me faisait à présent face était magnifique. Elle était plus grande que moi. D'un bon paquet de centimètres. Il faut dire que, même si on est déjà très grande, des talons de dix centimètres, ça aide.
Elle n'a pas dit un mot. En guise d'introduction, elle a défait la ceinture qui maintenait son imper à sa taille, et elle en a écarté les pans.
Dessous, elle avait une robe bleue d'un tissu très fin qui était entièrement transparente, laissant voir l'intégralité de son corps. Elle avait un corps lourd, aux formes pleines. Seins volumineux, hanches marquées, cuisses pleines, pubis proéminent et un sexe glabre, qui, d'excitation, s'est ouvert devant mes yeux. Une fente close qui a commencé à béer, deux lèvres, jusqu'alors invisibles, qui sont sorties, se sont épanouies, mais également un gland clitoridien qui s'est immédiatement décapuchonné. Son sexe était à l'image de son corps, volumineux, avec des lèvres impressionnantes, et un clitoris qui avait les dimensions d'une petite bite.
Dans un souci d'exhaustivité, elle s'est aussi tournée, et elle m'a présenté son cul. Un cul très charnu, qui avait l'air vraiment dur, très bien cambré, coupé en deux par un sillon profond dans lequel j'ai immédiatement eu envie de mettre mes doigts, ma langue et ma queue.
Elle avait tout ce qu'il fallait.
Et l'envie de venir vers moi.
Elle s'est avancée jusqu'à moi et elle a attrapé ma main pour la coller à son sexe. Les sensations ont afflué et le feu est monté en moi. Ses lèvres s'épanouissant contre ma peau, gonflant, s'épaississant, ses jus liquoreux remplissant ma paume et en débordant...
Elle a tendu les mains vers mon pantalon et elle m'a défait.
C'était vraiment particulier...Le sexe, pour moi, c'était dans l'intimité, et là, j'étais en plein air, devant tout le monde. Il est vrai au milieu de couples qui faisaient comme nous. Et je me fichais bien d'exposer ainsi mon intimité. J'étais dans une sorte de transe hypnotique, dans une ambiance qui changeait tout.
Elle m'a trouvé...Très dur. L'ambiance, les scènes que j'avais surprises, la beauté de la fille, sa main contre moi...Un ensemble de facteurs...
Elle a eu un petit rire. La joie d'avoir une bonne queue au creux de la main. Elle a amené mon gland contre ses lèvres et elle s'est frottée avec, se cambrant, fermant les yeux et m'arrosant de ses liquides intimes. Elle a gémi. J'ai du faire un effort immense sur moi-même pour ne pas jouir tellement c'était bon. Je voulais tenir autant que possible.
On avait au moins un point commun. Ma queue et ses lèvres gonflaient en parallèle, se gorgeant de sang.
L'étape suivante, ça a été quand elle m'a fait rentrer en elle. De quelques millimètres seulement. J'étais en elle et je n'y étais pas en même temps. Partagé entre la frustration et le plaisir de sentir, quand même, sa chatte autour de moi, même si c'était pour ces quelques millimètres. Chaleur, humidité, sensation d'être quand même enveloppé par son sexe, les sensations étaient quand même là. Et le plaisir aussi. Elle m'a avalé un peu plus, mais clairement ça n'irait pas plus loin. Frustrant, mais le plaisir naissait de la frustration.
Me tenant fermement pour que je ne sois pas tenté de me pousser en elle, elle s'est remise à me caresser et à se caresser avec ma queue, frottant cette fois mon gland contre ses muqueuses internes. Et je devais vraiment me retenir pour ne pas jouir.
Mon regard a glissé sur la droite. J'étais curieux de savoir où en étaient les deux filles.
La situation avait évolué. Mais dans un sens que je ne comprenais pas très bien.
En effet, les deux filles avaient interverti leur place, et la brune allait et venait sur la blonde, qui la tenait par les hanches. Comme la fille que j'avais vue, plus loin, sur la queue de son partenaire.
Ce que je ne comprenais pas, c'était que la jolie blonde avait elle aussi une...queue... Queue sur laquelle la brune montait et descendait. Or j'avais bien vu qu'elle avait une chatte dix minutes plus tôt.
Et puis j'ai compris que, la queue, même si elle était couleur chair, était factice. Si épaisse, si longue soit-elle, il s'agissait en fait d'une queue de plastique accrochée à un socle, lequel était lui accroché aux hanches de sa partenaire. La blonde l'engloutissait, et puis sa partenaire la soulevait, elle réapparaissait, luisante de la mouille de la fille.
Ca m'a troublé.
A vrai dire, il y avait deux sources de trouble. Le plaisir que me donnait mon immense partenaire, et ce spectacle hyper troublant.
La blonde fine était en plein nirvana et c'était vraiment troublant de la voir en plein trip.
Elle se laissait aller, se donnait totalement au plaisir.
Ma partenaire m'a dégagé de l'entrée de son sexe et elle m'a dit:
— Je voudrais que tu me baises contre la voiture. Tu t'en sens capable?
Ca m'a fait sourire. C'était un cliché, mais parfois, on s'incarne dans les clichés.
Je me souvenais en tout cas d'une photo sur le net, devant laquelle je m'étais branlé cent fois. Une blonde, le cul nu,croupe et sexe offerts, avec des bottes et un petit T-shirt qui lui arrivait sur les hanches, pliée sur le capot d'une voiture et qui regardait l'objectif du photographe, avec un regard qui disait, 'Viens, je vais me plier en deux, tu vas mettre ta queue en moi, tu vas prendre du plaisir et moi aussi.' Je n'avais jamais imaginé connaître une situation qui se rapproche de ce fantasme. Ce n'était pas la même fille, mais elle ferait très bien l'affaire.
S'y rajoutait l'envie, le plaisir, que j'imaginais partagé, de partager un rapport sexuel contre une Taisla. Contre une Renault Cléo, le plaisir n'aurait sans doute pas été le même.
On allait se caler, mais on s'est figés, regardant l'un comme l'autre, voyeurs, la blonde jouir. Elle a crié, s'est tordue, totalement empalée sur le pénis artificiel, jusqu'au dernier centimètre, éjaculant et balançant des jets de liquide puissants. Sur elle, sa copine, et autour d'elle.
On s'est regardés. On avait envie tous les deux de jouir aussi fort.
Elle s'est calée contre le capot dans une position qui me rappelait fortement celle de la jeune femme qui m'avait fasciné. La situation l'imposait. Et sans doute aussi ce même regard tourné vers moi.
— Tu as des capotes?
J'en déroulais une sur ma queue.
— Je veux que tu me prennes d'abord par la chatte et ensuite par le cul. C'est le script parfait pour moi.
Je ne regrettais pas d'être venu. Je n'avais pas imaginé passer un aussi bon moment.
Son sexe était à point pour être pénétré. Bien ouvert. C'était le bon moment pour rentrer en elle. J'ai glissé en elle avec facilité, m'enfonçant aussi loin que le permettait la position. Elle a poussé un gémissement de plaisir, qui s'est démultiplié en d'autres gémissements, d'autres cris, quand je me suis mis à bouger en elle.
Notre regard s'étalait alentour, capturant les images des couples qui, autour de nous, faisaient aussi l'amour. Autant de situations différentes. La blonde et la brune en avaient fini. Il y a eu une prise de numéro mutuelle, avant que la blonde, la robe redescendue pour masquer son corps, ne s'éloigne et n'aille rejoindre sa Taisla. La brune aussi s'est rhabillée, et elle est partie. C'était d'ailleurs bien que les premiers arrivants s'éclipsent, après, je l'imaginais bien, un contact noué pour se revoir, car il y avait encore de nouveaux arrivants. Pour un succès, c'en était un.
Je la sentais s'ouvrir, se dilater de plus en plus. Ce que je sentais aussi, c'était ce qui ruissellement au début, devenait un Niagara, et nous arrosait littéralement.
— Viens derrière, maintenant que je suis bien lubrifiée.
J'ai sortie ma queue de son vagin, le latex détrempé. Laisser son sexe libre a permis à ses liquides d'excitation de couler encore plus librement, dans un flux ininterrompu. Une véritable fontaine. J'avais rarement vu ça.
J'ai posé mon gland tout dilaté contre son œillet. Je me suis dit que ça allait rentrer, à la fois parce que j'étais bien lubrifié, mais aussi parce qu'elle se faisait souvent prendre par le cul. Et effectivement, je suis rentré en elle sans problème. Elle a crié de plaisir, et perdu le peu de contrôle qu'elle avait encore. J'ai remarqué, et cela m'a fait monter d'un cran, qu'elle avait amené sa main contre son sexe et qu'elle se masturbait fébrilement pendant que je la fouillais, d'abord dans un mouvement circulaire, le contact entre son sexe et sa main faisait qu'elle nous éclaboussait avec les jus qui sortaient d'elle...Elle a finalement opté pour une autre technique, se frottant le gland clitoridien, qui était devenu énorme. Elle m'a crié :
— Putain, je vais jouir!
Son corps secoué de spasmes, elle a éjaculé des quantités de liquides importantes qui nous ont trempés tous les deux.

XXX

Quand je me suis réveillé, j'ai vu une ravissante fille, très charnue, qui faisait aller et venir sa bouche sur ma queue en pleine érection.
— Tu faisais un rêve érotique?, elle m'a demandé, avant de reprendre sa caresse buccale.
— Je rêvais que j'allais à un Taisla dating et que je rencontrais une très jolie fille.
— Ca c'est un souvenir, c'est pas la même chose, elle m'a répondu, lâchant ma tige pour venir bouffer mes couilles.
Finalement, le Taisla dating portait bien son nom. Après qu'on ait joui ensemble, elle m'avait dit:
— Je veux passer le reste de la journée avec toi. C'est possible ?
Avec sa Taisla, elle m'avait suivi chez moi. On avait envie de sexe tous les deux, ça avait été la matinée, déjeuner ensemble, sexe dans l'après-midi, sortie, dîner ensemble et sexe une partie de la nuit.
Je pensais qu'on allait en rester là, mais on s'était revus le lendemain soir, le mardi aussi...
Bref, ce Taisla-dating portait bien son nom.
Je l'ai attirée à moi pour lui bouffer la chatte, pendant qu'elle travaillait ma queue de la bouche. Elle s'est laissée faire. Un parfait 69 qui s'est prolongé dans d'autres positions.
C'est plus tard que je lui ai dit:
— Tu as vu ? Il y a un Taisla-dating aujourd'hui aussi.
— On n'en a plus besoin,non?
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Histoire de JamesB

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