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Tanya 3

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Lue : 5557 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 17/11/2011

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Chapitre 3 : Tanya commence à prendre goût à mes petites manies.


Le mercredi matin, je reçus un SMS tout simple de Tanya :

- J’aimerais vous revoir.

Celui que je lui envoyai en retour était tout aussi simple :

- Chez toi ou chez moi ?

Il présentait également l’avantage d’être assez explicite, et je suis sûr qu’elle comprendrait l’allusion.

J’étais assez fébrile en ouvrant celui qu’elle me renvoyait, serait-il celui que j’espérais ?

- Chez vous Monsieur.

Le message était bien passé, je lui répondis une dernière fois :

- Ce soir, à vingt heures, même tenue, mais épilée intégralement.

Son dernier SMS à elle également arriva dans la foulée :

- Bien Monsieur.


A son arrivée, je vis qu’elle avait fait un effort sur sa tenue, le chemisier était assez échancré, et la longueur de la jupe avait diminuée.

- Entre. Lui dis-je simplement en guise de bienvenue, et en lui tendant les lunettes de piscine.

Puis je la guidai au centre du living. Je lui expliquai ensuite ce que j’attendais d’elle :

- Tu vas me faire le même strip-tease que la dernière fois, mais aujourd’hui je vais te prendre en photo.

Son visage marqua un léger trouble, mais elle commença son effeuillage mot dire.

Les premiers boutons du chemisier s’ouvrirent lentement, et le chemisier alla rejoindre le sol. Peu de temps après, c’est la mini-jupe qui chuta en silence. Elle marqua un petit temps d’arrêt pour me laisser le temps d’admirer un superbe ensemble sexy noir. Puis commença à faire son tour sur elle-même.

Elle était vraiment splendide, et le string qu’elle avait mit me permit d’admirer le galbe de ses fesses.

Comme l’autre fois, elle se contenta de dégrafer son soutien gorge sans l’enlever. Puis, elle sembla avoir une légère hésitation, mais fit tout de même descendre son string à mi-cuisse.

Elle m’avait bien obéit, plus aucun poil ne me cachait la vision de son sexe.

Je lui annonçai une petite variante :

- Ôte complètement ce qui te reste, et donne le moi.

Lorsque j’eus les sous-vêtements en main, je lui expliquai une nouvelle règle.

- A partir de maintenant, je ne veux plus que tu portes de sous-vêtements. Lorsque tu seras indisposée, tu mettras une petite culotte, et un pantalon. Les autres jours, les seules tenues qui te seront autorisées seront chemisiers, jupes ou robes qui s’ouvrent par devant, sans rien dessous.

Je vis une nouvelle fois son visage marquer une légère surprise, mais toujours pas un mot.

Elle se souvenait bien de ce qu’elle avait fait le mercredi passé ; Je la vis mettre ses mains derrière sa tête et faire un nouveau tour, avant de s’arrêter les cuisses écartées, et attendre mon bon vouloir.

- Tu es vraiment très désirable. Lui dis-je pour l’encourager. Ton chéri a vraiment de la chance.

Cette phrase n’était pas anodine. Un petit mot gentil est toujours stimulant, mais d’un autre côté, j’aimais mettre mes partenaires mal à l’aise.
Lorsque je lui parlai de son petit ami, elle se mit à rougir légèrement, lui rappelant que normalement, elle ne devrait pas être là en ce moment, nue devant un autre homme, alors qu’elle avait un chéri.

Comme l’autre fois, je commençai à lui caresser le visage. Lorsque j’arrivai à sa bouche, je lui mis un doigt juste sur les lèvres, et appuyai un peu. Tanya entrouvrit la bouche pour le laisser entrer, je lui fis alors faire quelques allers retours. Elle répondit favorablement à ma sollicitation, en le suçotant gentiment.

Lors de son briefing, elle m’avait avoué qu’elle pratiquait la fellation, mais qu’elle n’ingurgitait pas. Une mauvaise habitude, qu’elle ne tarderait pas à perdre avec moi.

Mes caresses allèrent à présent à sa poitrine. Je pris mon temps à bien m’occuper de ses seins, sans toutefois m’intéresser aux pointes. J’aimais les voir grossir lentement, avant d’en profiter plus particulièrement.

Lorsqu’elles furent pleinement érigées, je les comprimai doucement entre deux doigts, m’amusant à les serrer quelques secondes, puis à les relâcher. A chaque fois la pression devenait un peu plus forte. Je voulais tester sa force mentale à résister à la douleur. Comme c’était la première fois, je m’arrêtai largement avant de voir des larmes inonder son visage, mais je pense qu’elle avait du potentiel à accepter la douleur sans se plaindre.

Sans aucun préliminaire, je plaquai alors ma main sur son bas ventre, et glissai un doigt entre ses lèvres intimes. Comme je m’y attendais, elle était déjà bien humide. Je retirai aussitôt mon doigt pour le présenter devant sa bouche. Pour la première fois, je dus faire face à un refus, sa bouche restait obstinément close. Je dus me fâcher :

- Est-ce-que je dois te punir, pour que tu fasses ce que je veux ?

Sa bouche s’entrouvrit alors légèrement, et je dus forcer le passage pour arriver à mes fins. Je la tançai assez vertement une nouvelle fois :

- Ne recommence jamais cela.

Puis je réitérai mon geste. Mon doigt redescendit s’humecter de sa liqueur, avant de rendre une nouvelle visite à sa bouche. La troisième fois, elle l’ouvrit plus naturellement, et le suça tout aussi simplement qu’elle l’avait fait la première fois, avant que je n’explore sa féminité.

Je la mis en garde une ultime fois.

- C’est la dernière fois que tu me fais cela. La prochaine fois que tu refuses d’obéir, tu t’en souviendras.

Pour la stimuler et l’encourager à plus de soumission, mon doigt trouva vite son petit bouton, qu’il s’amusa à taquiner. Cette nouvelle caresse lui était plus plaisante que la précédente. Je continuai mon manège jusqu’à ce qu’elle soit à la limite de l’explosion, mais m’arrêtai juste avant. Si elle était ici, c’était principalement pour mon plaisir, il était temps qu’elle comprenne cela.

- Tu auras du plaisir quand tu l’auras mérité, et avec ce que tu viens de me faire, ce n’est pas le cas.

Elle sembla toute penaude par ce qu’elle venait de faire, autant par son refus initial de sucer mon doigt, que par le fait d’avoir commencé à avoir du plaisir sous ma caresse, alors qu’elle venait de me décevoir.

Elle commençait petit à petit par comprendre qui était le maître.

- Tournes-toi à présent, appuie tes coudes sur le canapé, écartes bien les jambes sans les plier.

Elle se trouvait maintenant les fesses exposées bien hautes et mises en valeur. Une position que j’adorais, et qui laissait présager une bonne sodomie. Tanya ne l’avait accordée à son chéri qu’à de très rares occasions, anniversaire ou St-Valentin par exemple.

Elle n’appréciait guère, mais surtout, elle trouvait cela vulgaire. Une autre mauvaise habitude à lui faire perdre.

- Ne bouges pas que je fasse plusieurs photos.

Elle semblait avait oublié que je la prenais régulièrement en photo, je l’avais vu à sa légère contraction en le lui annonçant.

Vu de derrière, j’avais réalisé quelques beaux clichés de toute son intimité, ainsi que de ses seins bien fermes entre ses bras.

Je posai alors mon appareil, et continuai mon inspection.

Mes mains se firent très câlines sur ses fesses, les caressant tout en les massant. Elles aussi étaient assez fermes, l’avantage de sa jeunesse sur mes ex amies. Je continuai par ses lèvres intimes, ainsi que par son petit bouton. Ceci pour la maintenir sous pression, mais également pour lubrifier mes doigts, dans le but d’une autre exploration tout aussi intime.

Mon doigt naviguait constamment entre les deux orifices. Pleinement dans le premier, et petit à petit vers le second. Pour ce dernier, que je n’avais pas encore investi, j’avais commencé par des petits attouchements circulaires. Peu à peu je l’avais fait pénétrer davantage à chaque visite. A présent, mon majeur était entré le plus profondément qu’il puisse, et avait commencé son travail de stimulation. Ce qui ne semblait pas déplaire à Tanya.

Si cette dernière n’avait jamais apprécié cette pénétration, c’est certainement que son copain n’avait jamais assez misé sur les préliminaires de ce côté.

Alors qu’elle commençait à se balancer doucement au rythme de mes caresses, je stoppai net pour partir dans ma chambre. Je revins moins d’une minute après, avec quelques gadgets de ma collection. Elle m’avait avoué qu’elle n’avait pas de sex-toys.

Un premier vibromasseur, à peine plus gros que mes doigts, vint chercher un peu de chaleur sous son bas-ventre. Tanya fut surprise de ne pas ressentir la douceur de mes mains, et se contracta légèrement sous la légère froideur du plastique. Il trouva ensuite le chemin de ses reins, et imita le mouvement précédant de mon majeur.

Lorsqu’elle fut habituée à sa présence, je lui en présentai un nouveau devant sa bouche. Celui-ci était de la taille normale d’un sexe masculin. Ayant compris ce que je voulais, elle avança son visage, et le prit instantanément en bouche. Lorsqu’il fut bien lubrifié par sa salive, je fis l’échange avec le petit. J’eus un peu de mal à le faire pénétrer, il fallut que je lui tape sur les fesses pour qu’elle se décontracte. Cette fois il entra plus facilement, et je pus continuer les mêmes mouvements.

J’avais prévu de faire lécher le petit à Tanya, mais il était encore trop tôt dans son éducation, ce serait pour une prochaine fois.

Je continuai encore plusieurs minutes avec le gros, le temps qu’elle s’habitue bien à sa présence. D’ailleurs elle l’acceptait mieux à présent, il coulissait sans difficulté.

Le troisième gadget que j’avais prévu, était un plug anal que j’avais spécialement acheté pour elle. Je lui en fis part immédiatement, en lui mettant en place :

- Celui-là est un cadeau pour toi, tu le garderas 24 heures sur 24.

Elle fut surprise par ce gadget un peu particulier, elle ne semblait pas savoir ce que c’était.

- Cela s’appelle un rosebud, ou un plug anal. Il est spécialement fait pour rester en place, et pour habituer un passage étroit à être élargi.

Je fus étonné par sa réaction, elle qui n’avait toujours pas dit un mot depuis sa venue, me gratifia d’un :

- Merci Monsieur.

Je la libérai ensuite en lui disant que j’aimerais la voir la prochaine fois en robe.

Je n’avais plus besoin à présent d’être autoritaire avec elle, mes désirs étaient exaucés comme des ordres. Elle apprenait très vite à interpréter mes envies, et prenait bonne note de tout ce que je lui demandais, nul n était besoin pour moi de répéter ce que je désirais.
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