Train du désir

Gisèle courrait comme une folle malgré la chaleur pour ne pas louper son train ! Il était moins une ! A peine montée dans le wagon, les portes se refermaient sur elle ! Le train était bondé mais elle n’avait pas l’intention de voyager debout ! Enfin dans un compartiment, elle voit une place libre ! Elle s’engouffre aussitôt bien qu’on lui dise que la place était réservée à partir de Chartres.. Oui ben on verrait bien ! Avec un peu de chance, la personne ne viendrait pas et en attendant elle pouvait bouquiner !

Chartres... Personne ne descendit mais en revanche y avait bien la personne qui avait réservée.. Un homme sur la trentaine avec un air sympa et qui semblait tellement désolé de devoir reprendre sa place qu’il lui proposa de s’asseoir sur ses genoux.. Gisèle surprise par la proposition de cet inconnu regarda les personnes debout dans le couloir.. Et après quelques secondes d’hésitations accepta la proposition ! Elle s’assit en travers, le dos contre la fenêtre et elle se replongea goulûment son roman policier quand au bout d’un moment elle sentit nettement du coté fenêtre sa main qui se baladait sur le bas du dos... ça la déconcentrait un peu dans sa lecture mais au fond ce n’était pas désagréable du tout.. La main pris de l’assurance et descendit pour mouler sa fesse.. Vu que Gisèle ne semblait pas mal réagir, il commença à la malaxer à travers le tissu fin de sa robe.. La robe était tellement courte qu’il eut vite fait de passer en dessous.. Gisèle frissonna au contact des doigts sur ses cuisses..

Il commença à lui chuchoter à l’oreille ‘comme toutes les bonnes choses, le confort a son prix.. tu te laisses faire et tu peux rester confortablement assise au lieu de te taper tout le voyage debout.. qu’est-ce t’en dit..’
Gisèle fit le compte.. elle était crevée et y avait encore au moins 3 heures de train.. et après tout c’est pas si désagréable ces caresses..
Il continua ‘Bien.. je vois qu’on est pas du genre sainte Nitouche..’
les doigts inquisiteurs continuaient lentement leur exploration.. et se bloquèrent sur la fesse nue..
‘dis donc salope.. ça t’arrive souvent de te balader le cul nu..’

Gisèle rougit violemment.. c’est vrai que ce matin dans la précipitation, c’était le genre de détail qu’elle oubliait facilement.. c’était tellement agréable de sentir les courants d’air sur ses fesses quand il faisait si chaud..
Très bien.. j’aime les cochonnes qui se baladent le cul à l’air.. c’est tellement plus pratique.. tourne-toi pour te mettre le dos contre moi.

Gisèle s’exécuta en tenant toujours son livre pour se donner une contenance et sentit nettement une barre dure au bas de son dos.. il passa les mains sous sa robe pour les glisser sur les hanches en descendant jusqu’à sa fente déjà humide qu’il se mit à astiquer de long en large avec une régularité démoniaque. Gisèle était bloquée sur la même ligne depuis 5 minutes.. et redoutait que le bruit mouillé de sa chatte s’entende dans tout le compartiment..

Bien.. J’aime les chattes qui jutent.. maintenant tu vas faire ce que je vais te dire.. écartes les jambes.. je veux que le connard assis en face voit ta fente juter..
Gisèle, le rouge aux joues ne savait plus où se mettre.. mais c’était plus fort qu’elle.. elle écarta légèrement les cuisses.. la mini robe glissa sur les cuisses ne cachant plus grand-chose..
Mieux que ça salope.. tu veux que je te les écartes… non, alors vas-y.. plus que ça.. mets les à l’extérieur de mes jambes.. oui.. c’est bien.. restes comme ça.. je sens que nos voisins vont apprécier le voyage..

Gisèle faisait semblant de lire son livre mais elle sentait tous les regards fixés sur son sexe.. les doigts tiraient sur les poils pour écarter largement les lèvres de façon obscène et les refermer avec un bruit de succion.. et Gisèle se sentait complètement ouverte aux regards vicieux des personnes assises en face.. elle ressentait une honte terrible mélangée à une excitation sans précédent qui la paralysait..

T’aimes ça te donner en spectacle.. hein salope.. tu sens comme ils louchent sur ta chatte.. ça te fait mouiller ça hein pouffiasse.. tu voudrais même qu’on te la remplisse ta grosse chatte hein.. une grosse pine pour te ramoner la chatte, une autre dans ta bouche.. une autre dans le cul.. c’est ça que tu veux hein ma salope.. qu’on te bourre de partout.. nos voisins donneraient cher pour te tripoter comme je fais tu crois pas.. une occasion pas possible.. 5 mecs rien que pour toi.. c’est pas tous les jours que ça arrive.. regarde un peu comme tu les fais bander..

Gisèle ne comprenait plus ce qui lui arrivait.. ce n’était pas possible.. elle avait l’impression d’être dans un film de cul.. d’avoir perdu complètement le contrôle.. sur ces 5 voisins qui paraissaient tous de bons pères de famille respectables y’en avait pas un pour se priver du spectacle.. et les bosses sur le devant des pantalons le confirmaient..

Les doigts se retirèrent de son sexe pour s’écraser sur ses seins..
Branle-toi maintenant.. allez.. fais pas ta mijaurée.. mets-toi un doigt..
Gisèle était paralysée.. se branler devant tous ses mecs ?.. Il lui pinça rudement le sein
Fais ce que je te dis salope.. maintenant... allez vas-y.. branle toi..
Gisèle comme hypnotisée lâcha une main de son livre pour la glisser sur sa fente
Bien salope.. très bien.. continue comme ça.. tu vas les faire mourir.. tandis qu’il défaisait les boutons de sa robe un à un.. jusqu’au nombril... dévoilant son soutien-gorge noir qu’il releva brusquement pour dénuder ses nichons.. et les malaxer rudement..

T’aimes ça pouffiasse.. ça fait semblant de lire mais ça jute comme la dernière des salopes.. maintenant enfiles-toi 3 doigts.. Lentement... comme ça...
Il pinçait la pointe de ses seins et Gisèle rouge comme une pivoine essayait de se concentrer sur son livre pour oublier sa honte qui la dévorait.. une excitation folle grimpait dans le compartiment.. et mon dieu !.. les mecs du couloir étaient agglutinés à la fenêtre pour pas perdre une miette du spectacle..

Enlève tes doigts et écartes au maximum tes cuisses.. voilà.. comme ça.. maintenant laisse moi t’enfoncer 3 doigts.. putain ce que t’es chaude.. jamais senti une chatte dégouliner comme ça.. t’aimes ça salope.. fais-voir si t’es aussi chaude du cul.. putain c’est pas vrai.. elle jute aussi du cul.. t’aimes ça qu’on te ramone le cul hein pouffiasse.. dis-le que t’aimes ça.. dis le que tu veux te faire toutes les bites du wagon.. c’est ça qui t’excite connasse.. tu te ferais même toutes les bites du train tellement t’es chaude du cul..
Gisèle incapable de réagir était dans un état second.. accrochée à son bouquin pour ne pas sombrer dans ce délire sexuel torride..

Toi en face ça te dit une pipe pour 20 Euro.. bien.. le fric d’abord avant de te défroquer.. et toi salope, penche toi en avant.. et tailles lui une pipe pendant que je m’occupe de ton cul..
Gisèle comme hypnotisée engloutit la pine qui se présentait devant sa bouche.. qui en 2 minutes chrono se déchargea tandis qu’il lui écartait les fesses à pleine main pour zieuter son trou du cul, cracher dedans et le pistonner avec 3 doigts..

c’est bon ça hein.. 3 doigts dans ton cul.. tu sais que t’es vraiment bandante.. assis-toi maintenant pouffiasse.. doucement... là comme ça... ça glisse tout seul.. comme dans une motte de beurre... ce que t’es chaude punaise.. tu le sens au fond de ton cul ma salope.. t’aimes ça.. hein dis-moi que t’aimes ça.. te faire enculer devant tout le monde.. t’en veux une autre dans ta bouche.. dis donc toi, ça te dit une pipe ?
oui mais je voudrais la lécher avant..
pas de problème mec, c’est 25 Euro.. écartes les cuisses salope.. montres lui ta grosse chatte..
C’est pas bon ça ? une grosse pine qui te ramone le cul pendant qu’on te suce la moule..
La honte mélangée au plaisir, Gisèle se sentait défaillir..

T’en veux encore salope.. dis le que tu en veux encore.. tu jutes du cul tellement t’aimes ça.. je vais t’en mettre plein le cul.. aaah putain ce qu’elle est chaude cette salope.. Dis-donc toi tu veux prendre ma place pour 50 Euro ? ok, salope lève toi et assis-toi à coté et suce le type qui t’a si bien léché..
Gisèle comme une automate se leva et s’assit docilement sur le type d’à coté qui lui empoigna les hanches pour l’enfourner sur sa bite tandis que l’autre lui présenta sa pine..
Tout le compartiment était au comble de l’excitation, sans parler du couloir bloqué par l’afflux de voyeurs.. Et la voix du contrôleur ahuri de cet agglutinement sans précédent : contrôle des billets ! Laissez passer s’il-vous-plait !