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Un chaud covoiturage.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 18/08/2023

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Je ne sais toujours pas comment je m’étais laissée convaincre, mais j’avais regretté dès les premières secondes d’attente sur le parking « réservé covoiturage ».
Mon copain, qui n’avait pas jugé nécessaire de venir me chercher, m’avait expliqué que pour le rejoindre dans le bled paumé où il bossait tout l’été, le mieux était de passer par un site de voitures en partage. Je lui en voulait, après tout, j’étais sa copine.
Je n’avais jamais testé ce type de service préférant le confort du train et ma tranquillité. Pas besoin de parler à son voisin de banquette.
En voyant arrivée la « Golf » aux vitres teintées, j’ai soupiré avant d’afficher mon plus beau sourire de façade. La fille qui conduisait est sortie de la voiture en même temps que son petit copain qui l’accompagnait. Au moins, en voyageant avec un couple, je n’aurai pas besoin de faire la conversation.
J’ai fait la bise au couple qui devait avoir vingt cinq ans, comme moi, et après avoir jeté mon sac dans le coffre, elle a rabattu le siège, pour que je puisse m’installer sur la banquette arrière, en priant pour qu’ils ne me posent pas trop de question.
Mais ils sont restés parfaitement silencieux pendant au moins dix kilomètres. Au lieu de me satisfaire, cet étrange silence me mettait au contraire mal à l’aise. Je n’ai pas tardé à comprendre pourquoi ils ne disaient rien. Ils s’étaient disputés avant que je monte. On en avait pour trois heures de trajet et j’en venais à espérer que l’ambiance se détende un peu.
J’ai donc fait le premier pas en me penchant entre les deux sièges avant, les questionnant sur les raisons de leur voyage vers le bled paumé où bossait mon copain. Ils m’ont répondu sans enthousiasme qu’ils partaient en vacances. Assise derrière eux, j’ai finalement pris le parti de les observer en arrêtant de parler. Ils étaient tous les deux très beaux, un couple de sportifs probablement, en tout cas qui s’entretenait bien. Elle avait de beaux cheveux blonds bouclés qui tombaient sur ses épaules bronzées. On devinait une poitrine ferme sous le débardeur. Lui portait un marcel qui dévoilait sa carrure athlétique et sa peau dorée.
A défaut d’être de bonne humeur, ils étaient agréables à regarder.
Et leur mauvaise humeur ne s’est pas arrangée quand ça a commencé à bouchonner sur l’autoroute. Ils ont juré entre leurs dents, elle s’est excusée du fait qu’on arriverait probablement tard, j’ai répondu que c’était pas grave et j’ai fini par m’assoupir.
J’ai su en me réveillant que j’avais dormi un bon moment. Mon corps était ankylosé. J’ai ouvert un œil en regardant par la fenêtre et j’ai constaté qu’on était toujours dans les embouteillages. J’ai tourné la tête vers eux pour engager la conversation, pour dire qu’on dormait bien dans leur voiture ou pour m’excuser de m’être endormie, quand j’ai remarqué un mouvement étrange.
- Arrêtes Fred…
- Chut Clotilde...conduit….
La conductrice, Clotilde donc, était agrippée au volant tandis que son copain Fred avait la main sous sa jupe et la remuait doucement.
Elle avait les yeux fermés et respirait bruyamment. Il était en train de la doigter.
Curieuse, je m’avançais entre les deux sièges. Je vis la jupe enroulée à la taille, et la culotte enroulée à une cheville. Je vis nettement le majeur de Fred tournoyer sur le clitoris décalotté de la jeune femme.
Je n’en revenais pas. Ils avaient une passagère à bord et ils s’en moquaient. Ma colère ne dura pas longtemps. La gêne était plus forte et je fermais les yeux en espérant qu’ils n’avaient pas remarqué que j’étais réveillée.
« Oh oui...vas-y…oui…c’est trop bon…»
Apparemment, elle ne m’avait pas vue… J’étais pétrifiée. En même temps, j’avais les yeux fermés pour ne pas regarder. Je sentais monter en moi un doux frisson, une excitation grandissante. J’ai risqué un œil et il avait maintenant la tête plongée entre ses jambes. Elle tenait le volant d’une main tandis que de l’autre elle caressait les cheveux de son pote. Par moment, j’apercevais la langue laper le petit bouton. Il se contorsionnait pour parvenir à lui dévorer la chatte.
Son ronronnement de plaisir me faisait frissonner d’envie. Je voulais être à sa place, profiter moi aussi d’un cunnilingus de son mec. Mon copain n’était pas le genre à se risquer à ce type d’aventure et jusqu’à cet instant, j’avais cru que ça m’allait très bien.
Il a levé la tête et elle a aussitôt attrapé son visage pour l’embrasser. Leurs lèvres soudées l’une contre l’autre, ils s’embrassaient avec désir, ils étaient superbes.
Un couple enflammé capable de passer de la colère au sexe en quelques secondes et en se fichant, littéralement, du monde qui les entoure.
Après plusieurs minutes à faire tourner leurs langues avec une fougue incroyable, elle lui a murmuré dans un sourire « on échange ? » et ils ont détaché leurs ceintures. Ils se sont croisés tant bien que mal dans l’habitacle, effleurant sa chatte sur le levier de vitesse, et il a pris le volant. C’était désormais lui que je voyais dans mon champ de vision restreint par mon désir de me faire discrète.
Il a roulé quelques mètres dans les bouchons tandis qu’elle défaisait la ceinture et les boutons du pantalon un à un. Puis elle a dégagé le passage pour sortir sa queue. Elle était énorme, s’est dressé d’un coup et j’ai sursauté. Dure, belle, majestueuse. Elle l’a prise en main et l’a branlé doucement. Il a fermé les yeux et s’est relaxé sur son siège. J’avais tellement envie de prendre cette belle queue en main moi aussi.
Ma main grattait sous ma courte jupe au niveau de mon clitoris et mon excitation ne faisait qu’augmenter. Je remerciais dieu de m’avoir donné l’idée de mettre une jupe, moi qui suis toujours en jean’. De ce fait, je pouvais accéder à ma chatte, la caresser, la branler, doigter mon petit bouton, comme il le lui avait fait…
Et maintenant, je sentais ma chatte trempé, réclamer de grimper sur ce calibre qui se dressait brillamment.
Je me suis mordu les lèvres pour éviter d’exprimer mes désirs à haute voix. J’ai retenu ma respiration quand elle s’est penchée vers lui et qu’elle a commencé à lécher doucement le mandrin en érection. Il a émis un cri de plaisir étouffé, s’est concentré pour garder les mains sur le volant. Et dans ma bouche, ma langue reproduisait les mouvements de celle de la jeune femme se promenant sur le gland décalotté. Puis elle a avalé la queue tout entière.
Elle l’a sucé d’abord doucement, puis plus vite, ralentissant parfois, tenant la base dans sa main qu’elle agitait quelques fois. La circulation a repris, la voiture s’est remise à avancer, et juste avant que nous reprenions une allure normale, il a joui.
Elle a retiré sa tête et j’ai vu le liquide blanc jaillir du gland et retomber sur la main de la jeune femme. Et nos regards se sont croisés.
Je n’ai fermé les yeux, n’ai pas évité son regard. Elle devinait mon excitation.Tout en me regardant, elle a posé sa tête sur l’épaule de son homme et nous avons roulé sans rien dire, jusqu’au prochain arrêt.
- Mets toi à l’aise, me dit-elle.
Je me suis précipité à ôter ma jupe, entraînant
mon string dans sa chute. Je me mis à genoux entre les deux sièges, le bout de mes seins tendus dans l’habitacle, m’offrant aux mains perverse de mes voituriers. C’est elle qui entama le jeu.
- Oh putain...comme sa chatte est mouillée.
- C’est vôtre faute, dis-je en gémissant...j’ai envie...prenez-moi.
J’atteignis un orgasme terrible sur les doigts de Clotilde. Elle se pencha à mon oreille, me demanda si je voulais que Fred passe derrière.
- Oui...oui...qu’il me baise...qu’il m’encule...qui me fasse goûter son jus...»
C’est la première fois que de tel propos sortaient de ma bouche.
L’étreinte avec Fred fut intense. Il m’a offert tout ce que j’avais réclamé.
Jusqu’à ce jour, je m’étais contenté d’orgasmes insignifiant. Avec Fred, j’eus droit à un chapelet d’intenses et torrides jouissances.
Quand nous sommes arrivés sur la petite aire de covoiturage où m’attendait mon copain, je finissais d’avaler la dernière charge de Fred.
Je voyais mon copain pour la première fois comme il était vraiment, c’est-à-dire loin de la façon dont j’envisageais ma vie désormais..
- Je peux rester avec vous ?
Ils se sont à peine concertés. Fred a redémarré la voiture sans prononcer une parole.












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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Un chaud covoiturage.

Le 02/10/2023 - 19:39 par Levoyeurde23ans
Mmmh donc tu as laisser ton copain en plan devant ses yeux, pour te faire envoyer en l'air par le couple ? 😏
Le 18/08/2023 - 23:30 par OlgaT
Excellent!

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