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Un dîner entre amis

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 10/10/2022

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Bonjour Sarah, ma chérie...trente ans aujourd’hui, et toujours une beauté inégalé. Tu sais que nous avons Sylvain et Clara à dîner ce soir.
Tu me demandes si Sylvain a confirmé son invitation. Bien sur. C’est vrai que tu as un faible pour lui, et m’a toujours avoué que, dans tes fantasmes, si un jour, tu devais me tromper, ce serait avec lui.
Je t’embrasse tendrement sur les lèvres, te conseille de te lever, que tu avais une journée chargée. Massage, coiffeur, esthéticienne...je m’occupe des courses.
Comme chaque année pour ton anniversaire, nous les invitons, à plus forte raison l’année de tes trente ans. D’autant qu’en accord avec eux, on t’a réservé une surprise, dont tu te souviendras longtemps.
Nous discutons au salon, quand tu apparaît soudain, vêtue d’une robe longue fendue sur le côté. Tu es éblouissante de beauté.
A table, tu es placée aux côtés de Sylvain, face moi, et Clara est à mes côtés.
Nous avons préparé un bon repas, accompagné de bons vins. Pendant l’apéritif, et lorsque nous commençons à manger, ton regard ne laisse absolument pas la place à la moindre équivoque à l’égard de Sylvain. Je l’ai bien remarqué, et te trouve assez aventureuse, sachant que la soirée risque d’être longue.
Je te sens très amoureuse ce soir.
Preuve en est, que débarrassée de ta chaussure, tu promène d’abord un pied sur mon mollet, puis à plusieurs reprises, je sens ta main se poser sur ma cuisse, puis remonter vers mon entre jambe. Je devine que Sylvain, ton voisin de table, subit le même traitement avec ta main, mais à un autre endroit de son anatomie. Je le lis sur le rictus qui déforme son visage.
Même si tu le chauffes scandaleusement, Clara et moi, discutons, faisant mine de nous apercevoir de rien. A voir les yeux mi-clos de Sylvain, je pense que tu es allé plus loin dans ta caresse, et que sa queue coulisse entre tes doigts. Soudain, tu prends une serviette en papier, la glisse sous la table, pour très certainement, essuyer son sperme. Tu me souris comme si de rien n’était, et je réponds à ton sourire. Cela ne me dérange pas, et je me demande à cet instant, ce qu tu as en tête.
La discussion est bien discrète entre Clara et moi, ce qui laisse libre court à tes fantasmes. Je vois tes yeux se fermer, ta bouche s’entre ouvrir. Je devine que Sylvain a dû introduire une main sur le côté de ta robe fendue, et qu’elle doit caresser ta chatte, tandis qu’un doigt excite ton clitoris. C’est encore toi qui prend une serviette, pour effacer probablement les traces de ton orgasme.
Tu te lèves et te dirige vers les toilettes, en passant tendrement une main sur l’épaule de Sylvain. Un appel à te suivre peut-être. En tous cas, il ne bouge pas.
Tu réapparaît après quelques minutes, reprends ta place.
Sylvain, à tes petits soins, s’empresse pour t’aider à t’asseoir.
Tu as troqué ta robe fendue, pour une petite robe légère, qui arrive à mi-genoux. Une petite robe fluide à fine bretelles, qui te rends encore plus ravissante.
La température ambiante, et les deux verres de vin de l’apéritif aidant, te donnent un petit air coquin. Rien ou presque ne couvre le haut de ton corps, si ce n’est les
les bretelles, finement brodé, soutenant tes magnifiques seins.
Tu t’approches, t’assied sur les genoux de Sylvain. Vous faites du bouche à oreille, sans vous préoccuper de nôtre présence.
J’ai du mal à lire dans tes pensées. Es-tu prête pour ton anniversaire, à pousser ton fantasme jusque au bout ?
Après avoir laissé traîner sa main sous la table, il la pose sur ta jambe. Il doit sentir la douceur de ta peau sous ses doigts. Il remonte sa main le long de ta cuisse, et arrive au moment ou il sent la chaleur de ta peau. Sans plus s’attarder, il pose ses doigts entre tes jambes, juste sur ton sexe. Il sent l’humidité naissante au travers du fin tissu de ton string. Il pose sa main sur le haut de ta cuisse nue, juste au niveau du plissement de ta peau, puis passe doucement le bord de son index, entre tes cuisses, pour te faire sentir son doigt sur ta chatte. Il doit sentir la chaleur, la douceur, et la tiédeur de cet endroit intime.
Il ne fait aucun doute que ton désir est monté fortement, jusqu’à ressentir une onde électrique, qui te fait dresser sur tes jambes.
En un petit geste habile, il écarte le bout minuscule du tissu, pour laisser un doigt glisser sur ton sexe en partie exposé, et peut sentir la chaleur de ton envie, et la moiteur de ton désir.
Tout à coup, Clara m’interpelle, alors que Sylvain poursuit sa douce caresse. Ainsi, pendant que je parle avec elle, il continue à te caresser, et lorsque je jette un regard vers toi, je te vois en train de mordre tes lèvres, et tu es bien incapable de prononcer le moindre mot.
Il laisse glisser un doigt entre tes lèvres intimes, et en profite pour recueillir toute ta mouille, pour le laisser traîner plus facilement sur toute la longueur de ta fente. Sa queue a commencé à grossir depuis déjà longtemps, et il a beaucoup de mal à se contenir sur son siège. Heureusement, il arrive à se maîtriser, sinon il n’aurait pas pu continuer à te caresser plus longtemps.
Nous voyant pris, Carla et moi, dans une longue discussion, il peut s’occuper de toi, comme il le fait depuis tout à l’heure. N’étant pas obligé de suivre nôtre conversation, tu peux te concentrer sur ce qu’il peut te faire ressentir.
Tout en imaginant son doigt parcourir ta chatte humide, j’imagine ton clitoris rouler entre ses doigts. Je devine la chaleur qui se dégage de ton corps.
Je sens que tu as envie de lui, comme tu sais à quel point, il meurt d’envie de toi, de ton corps, de tes caresses, de tes baisers.
Lorsque il arrive à glisser un doigt plus précis, entre tes lèvres intimes, il le pose à l’entrée de ta chatte, et en seul geste, parvient a entrer sa première phalange, ce qui provoque chez toi, une réaction qu’il n’attendait pas. Tu sursautes sur ton siège tout en poussant un petit cri étouffé. Tu as pris soin de jouer avec une fourchette, pour occuper tes mains, et te donner une contenance digne de ton rang.
Il retire son doigt, et décide de le laisser traîner sur ta chatte. En poussant un peu, il arrive à le laisser descendre entre tes fesses. Il remonte vers ton clitoris, glisse doucement, et sans aucun mal, ouvre tes lèvres. Je vois sur ton visage, que tu luttes intensément pour ne pas soupirer, Soupirer, qui ne laisserait aucun doute, sur ce que tu ressens en ce moment. Il faut alors qu’il arrêtes assez rapidement de te provoquer, sinon, tu ne vas pouvoir résister. Il abandonne ton sexe, et lorsque il te regarde, il te fait comprendre que tu ne perds rien pour attendre.
Discrètement, il porte un doigt à sa bouche, et suce goulûment ton humidité ainsi recueillie. Il adore ce goût, il adore le goût de ta chatte, et profite un maximum de tout ce qu’il a pu te voler sous la nappe. Il voit dans tes yeux, et lit sur tes lèvres, que cet abandon te désole, mais tu comprends qu’il ne serait pas convenable de continuer à tenter le diable, devant nous.
Pendant ce temps, la bouteille de vin ouverte pour l’apéritif, est déjà terminée, et m’aperçois qu’il va falloir aller en chercher une à la cuisine.
Il décide alors de profiter de ce petit moment, pour ne plus avoir à se retenir de ses envies devant nous, en imaginant comment va se terminer la soirée.
En attendant, tu t’es levée et ramené le plat suivant. Je me lève à mon tour, et alors que je suis à la cuisine à choisir la bouteille qui ira le mieux avec le plat, tu invites Sylvain et Clara à se servir, et les prévenir que tu dois préparer la sauce.
Je t’entends revenir vers la cuisine alors que je suis près d’en sortir.
Il entend tes talons battre le sol, et vient vers toi. Ton regard est sans équivoque, tu meurs d’envie de lui. Tes yeux le fixent, et tu lui fait comprendre que c’est là, tout de suite, et que tu ne peux attendre plus longtemps.
Surpris par tant de hardiesse de ta part, il n’a pas le temps de réagir, que tu es déjà en train de l’embrasser avec fougue et envie. Ses mains se posent sur tes hanches, et les caressent doucement au travers de ta robe, si fine et si douce.
En posant ses mains sur tes cuisses, il te caresse doucement, cherche l’élastique des bas que tu portes. Il soulève un peu ta robe, et peut voir que tes bas noirs sont soutenus par un magnifique porte-jarretelles assortis. Sans lui laisser le temps de profiter de la vision qu’il découvre, tu lui prends la tête, pour l’embrasser fougueusement.
Sans plus attendre, tu prends les choses en main et ouvres sa braguette. Tu sors sa queue de son pantalon, en l’embrassant de plus en plus fort. Sans autres préliminaires, tu t’agenouilles devant lui, et prend son sexe entre tes lèvres. Tu les ouvres, et le suce doucement, puis l’avale profondément, ouvrant d’avantage tes lèvres, et le dépose sur ta langue, à l’intérieur de ta bouche.
Ainsi, te voilà accroupie devant lui, avec ta robe remontée sur tes hanches, lui laissant entrevoir le haut de tes cuisses. Tu es en train de le sucer goulûment, à quelques mètres de nous. Alors que Clara ou moi, pourrions nous lever à tout moment, pour venir voir ce que vous faisiez, ou si vous aviez besoin d’aide. Malgré ça, tu décide de lui tailler une pipe, comme toi seule sait les faire.
Avant de le laisser emporter par ce que tu sais si bien lui faire ressentir dans ce genre de situation, il commence à comprendre pourquoi tu étais si excité ce soir, pendant le débit du dîner.
Doucement mais fermement, tu fais faire des va-et-vient à son sexe à l’intérieur de ta bouche. Tu le branles doucement, au même rythme, et ce n’est qu’au pris d’un effort incroyable, qu’il arrive à retenir ses soupirs, qui seraient susceptibles de nous alerter. Mais cela vous importe peu. Tout ce qui compte, c’est ce que tu lui fais ressentir, et le plaisir que tu peux lui donner, tout en prenant toi même.
Tout en le suçant, tu relèves la tête, pour le regarder, et tu constates l’étonnement sur son visage. Tu es fière de toi, et cela ne fait que renforcer ton envie de le sucer encore plus loin, et plus fort. Tu as ce regard de femme qui prend du plaisir, et qui en prend encore plus à en donner.
Après quelques instants, et pour éviter que cela dure trop longtemps, tu te relèves, te rapproches de son visage et viens l’embrasser tendrement en lui soufflant à l’oreille que tu adores ça, que tu as énormément envie de lui, et pour lui demander si ta surprise lui fait plaisir. Il te répond dans un souffle que tu es complètement folle, qu’il adore ça, qu’il trouve ça absolument magnifique et que vraiment il n’attendait pas ça de toi, pas tout de suite, pas maintenant en tout cas.
Tu lui réponds que ce n’est que le début et que tu as bien envie d’aller plus loin malgré nôtre présence.
Tu continues en lui disant que tu fantasmais sur lui, depuis longtemps. Tu lui dis que tu veux qu’il te prenne, là, comme ça,debout à quelques mètres de nous.
Sans plus attendre, tu te retournes pour lui tourner le dos et tu en profites pour enlever ton string. Tu le glisses dans la poche de sa veste, puis tu relèves ta robe sur tes hanches. Tout doucement, tu lui ordonnes de te prendre là, tout de suite.
L’espace d’un instant, il contemple alors une pure vision de bonheur. Il vois les fesses devant lui, encadrées par les fines bretelles de tissu, qui tiennent tes bas, et il se retient de ne pas se baisser, pour te lécher par derrière. Mais vu la situation, et vu le ton que tu as employé pour lui dire que tu veux qu’il te prenne là, presque sauvagement, il ne cherche pas à discuter tes ordres. Il colle son bassin contre le tien, et fait glisser sa queue entre tes jambes...Tu es trempée.
Il laisse glisser son sexe entre tes jambes quelques instants, pose un doigt sur ton clitoris. Il te caresse doucement, tandis que son calibre passe et repasse, le long de tes lèvres. N’y tenant plus, tu te penches, la tête en arrière, pour s’approcher de la sienne. Tu lui demande alors de te prendre.
Il n’en faut pas plus. Tout en se baissant légèrement, il fait pointer sa bite entre tes lèvres. Il les écarte délicatement, et te pénètre sans à-coups. Il enfonce totalement son calibre dans ta chatte. Tu te retiens de ne pas crier, tellement sentir sa queue en toi, te donne du plaisir. Son gland, puis la l’ensemble de sa bite pénètre dans ton corps. Il te transperce, remplit ta chatte jusqu’à ce qu’il ne puisse aller plus loin. Ses couilles viennent butter contre tes fesses. Passé ce premier instant, tu reprends tes esprits, et commence bouger doucement.
Il plaque ses mains sur tes hanches, écarte un peu des fesses, et commence à te pousser, puis à te ramener pour glisser dans ton corps et te faire jouir. Il sait que tu adores ce qu’il est en train de te faire et que tu déploies des efforts monstrueux pour ne pas attirer nôtre attention. Alors qu’il est en train d’aller et venir, il fais en même temps glisser ton bassin sur son membre. Il sait qu’il ne va pas tenir longtemps, tellement il est excité par la situation, et par l’entrain que tu as mis à lui signifier que tu avais envie qu’il te prenne là, tout de suite, maintenant et fort.
Il va et vient au plus profond de toi, ses testicules tapent contre tes fesses. En plus, tu te caresses. Vous avez complètement perdu la tête. Pendant qu’il est en train de balancer son corps d’avant en arrière, tu t’es mise bien en avant, complètement penchée à angle droit, tes cheveux tombant sur le côté de ton visage. Chaque mouvement qu’il fait faire à ton bassin, entraîne immédiatement un mouvement de ton corps tout entier. Tu relèves la tête, tu la baisses, tu ne sais plus très bien comment contenir le plaisir que tu ressens, et tu lui fais comprendre que tu es en train de jouir intensément comme une folle.
Il sait qu’il ne va pas tarder à jouir lui aussi. Même si ce moment semble assez court, il est tellement intense qu’il a vraiment du mal à garder son sang-froid, qu’il va éjaculer rapidement. Dans un chuchotement un peu plus fort que le souffle qu’il expire difficilement, tu lui réponds aussi doucement que tu ne veux pas, qu’il vienne comme ça.
Tu veux qu’il vienne dans ta bouche. Tu veux son sperme, tu veux le sentir couler dans ta gorge. A peine as-tu fini ta phrase, que tu te redresses, expulses son sexe du tien, te retournes dans un geste et t’accroupis devant lui.
Tu l’enfonces dans ta bouche immédiatement et tu recommences à le sucer de manière indécente, à pleine bouche, goulûment. Sa queue bien enfoui dans ta bouche, ta main en prend la base et tu la branles rapidement, vite et fort pour qu’il vienne le plus vite possible. Tu passes ton autre main entre ses jambes et vient la poser sur ses fesses pour l’aider à aller d’avant en arrière, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Puis, tu la ramènes et poses ses couilles au creux de la paume de ta main, les caresses doucement pour le faire venir encore plus vite et que cela soit encore plus doux. Il ne tarde pas et éjacule rapidement en trois ou quatre secousses dans ta bouche. Tu avales calmement son sperme chaud et tu continues à le sucer, alors qu’il a jouis, pour recueillir sur ta langue les dernières gouttes de semence que son sexe peut te donner.
Il jouit terriblement, c’est atrocement bon et tu lui fais tourner la tête. Il a les jambes qui flageolent, et les petites caresses que tu fais sur ses bourses ne font qu’accentuer le plaisir extrême que tu es en train lui donner. Une fois que tu sens qu’il n’en peut plus et que son sexe devient moins dur, tu le relâches, mais c’est pour mieux le remettre doucement entre tes lèvres et continuer encore à donner quelques coups de langues qui le font définitivement monter au septième ciel…
Après avoir avalé les dernières gouttes de sperme qui pouvait rester le long de sa queue, tu te redresses devant lui et tu t’approches de son oreille.
Tu lui dis que c’était fabuleux, que tu avais adoré la façon brutale, violente et sauvage dont il t’a prise. Puis d’un regard coquin, tu lui dis avoir aimé le goût de son sperme.
Avec un petit sourire qui n’appartient qu’à toi, tu le regardes, et dépose un baiser sur ses lèvres. Tu lui dis qu’il est temps, qu’il faut que tu nous rejoignes, avant qu’on se pose trop de questions. Il te dis qu’il allait prendre une douche.
Tout en te rhabillant, sans être capable de réfléchir, tu essaies de reprendre tes esprits.
Je réalise alors que nôtre plan, à Clara et à moi, a fonctionné au-delà de nos espérances. Que tout s’est déroulé comme prévu.
Tu as l’air surprise en croisant mon sourire.
Tu passes par la table pour prendre un verre avec nous, puis t’excuse en trouvant le prétexte d’aller prendre une douche.
Clara se retourne, me prend le menton du bout des doigts, et me donne un tendre baiser sur les lèvres..
- Ben voilà, elle l’a eu son anniversaire. On les laisse tranquille, qu’ils finissent la nuit ensemble, tu me ramènes...tu coucheras chez moi…
- Tu m’ouvres ton lit ?
- Devines…bien sûr...nous aussi avons le droit de baiser.
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Commentaires du récit : Un dîner entre amis

Le 06/02/2023 - 20:20 par Balista
C'est bon de temps en temps de changer de monture. Agréablement surpris par le texte. il y a du suce panse.

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