Un diplôme, cela se fête 3

Mauricette, en sueur, s'agite sur la bite de son oncle qui lui fore le cul à grands coups de pilon. Elle s'accroche comme elle peut, car les coups que le tonton donne sont dévastateurs. Une nouvelle jouissance la fait cabrer. Paul grince des dents, il est au bord de l'explosion. Il accélère le rythme, soudain, il se bloque et remplit de sa semence le cul de sa nièce qui ne cesse de gémir.

Lucas fait placer Lucie à quatre pattes, elle prend la pose sans se poser de question, elle appuie sa tête sur ses avant-bras, et se cambre fortement. Avant de la sodomiser, il lui travaille profondément le cul avec deux doigts. Mauricette descend de sa monture, son anus béant, laisse échapper un liquide blanchâtre. Elle regarde Lucas et lui dit :

-Laisse-moi la préparer !

Lucas retire ses doigts du rectum, et cède la place à Mauricette. La coquine s'agenouille derrière sa tante et lui écarte fortement les fesses avec ses mains. Brusquement, elle plaque sa bouche sur la rondelle fortement ridée, voire boursoufflée. Il tente de pénétrer le sanctuaire avec sa langue, bien qu'il vient d'être fouillé digitalement, le coquin refuse l'accès. Mais Mauricette n'est pas du genre à baisser les bras. Elle insiste, et finit par introduire la pointe de l'engin fouineur dans l'anus. Cet attouchement lingual, fait cabrer la tante, qui trouve cela bestial, mais ce qu'elle ressent, est si agréable, qu'elle ne le refuse pas. Elle ondule doucement de la croupe en gémissant faiblement.

Les deux hommes se regardent, Lucas dit au creux de l'oreille de Paul :

-Je te propose de la prendre en double une fois qu'elle aura subi sa première sodomie, pour elle çà sera divin une bonne double !

Paul jubile, et fait un clin d'œil complice à Lucas. La nièce fouille l'anneau du mieux qu'elle peut, pendant de nombreuses minutes avec sa langue. La tante geint de plaisir, jamais, elle n'a subi un tel touché rectal, c'est si bon, qu'elle en pâme de bonheur.

Mauricette, retire sa langue et enfonce deux doigts dans le conduit anal. Minutieusement, elle le prépare longuement, car la pénétration qui va être surement phénoménale. Lucie geint comme une bête blessée, le plaisir qu'elle ressent est incommensurable. Elle bafouille :

-Oh ma chérie, c'est trop bon ce que tu me fais, vas-y encore, n'arrête pas, oui encore !

Paul n'en revient pas, sa femme accepte cette pratique qu'elle trouvait dégradante, il y à encore peu de temps. Il se dit qu'elle va subir un dépucelage du cul, qu'elle n'oubliera pas de si tôt. Les deux spectateurs bandent comme des poneys. La nièce, pour bien dilater le cul de sa tante, lui enfonce un troisième doigt. Lucie couine :

-Oh mon Dieu, ma chérie, tu me tues, je sens que ça vient, oh, oui, oui, vas à fond, vas à fond !

Mauricette accélère, elle ramone le cul comme une sauvage, elle sait que pour sa tante cela va être sa première jouissance anale. Soudain, ce qui devait arriver, arriva. Lucie se tend comme un arc, elle pousse un hurlement presque inhumain et jouit. Mauricette, retire ses doigts et invite son oncle, à rapidement pénétrer sa femme pendant qu'elle est encore sous le choc de la jouissance. Paul ne se le fait pas dire deux fois. Il présente à l'anus parcourut de spasmes violents, son mandrin gorgé de sang.

Il saisit les hanches de sa femme et pousse fortement. Lucie pousse un très long gémissement, la bite puissante de son mari s'enfonce dans son rectum sans faire une pause. Elle serre les dents en grimaçant, car la douleur est bien présente. Ses yeux s'emplissent de larmes, une moue affreuse déforme son visage. Paul ne cesse de pousser que lorsque ses couilles frappent les fesses de sa femme. Il attend un instant avant de commencer un va-et-vient, très, très lent.

Lucie souffle comme un taureau, sa nièce vient à son secours. Elle lui saisit le clito et le branle de plus en plus énergiquement. Paul ne brusque pas, il sait se maitriser, sa bite coulisse très lentement dans la gaine distendue. Peu à peu, le corps de Lucie s'adapte, la douleur devient moins vive. Elle ose agiter doucement sa croupe. Paul accélère, ses coups de reins deviennent plus violents. Sa femme geint de plus en plus fortement, le plaisir prend enfin le dessus.

Lucas en bon spectateur dit :

-Bourre-la plus fort, défonce-là bien à fond Paul, maintenant, il ne faut plus la ménager, démonte-la, elle t'en sera reconnaissante !

Paul dévaste le cul de sa femme qui gémit de plaisir. Elle ose enfin demander :

-Plus fort Paul, plus fort, casse-moi le cul, oh putain comme c'est bon !

Mauricette branle le clito comme une forcenée, elle dit sans cesse :

-Jouit tante jouit, donne tout ce que tu as !

Lucie geint comme une agonisante, sa respiration est rapide. La bite de Paul entre et ressort de l'antre de l'enfer sans faiblir. Bien que dilatée, Lucie crie :

-Oh mon chéri, je vais jouir, oui, oui ça vient !

Paul ne retient pas ses coups, à chaque enfoncement ses couilles frappent le cul de sa femme, qui délire :

-Paul, Paul, fais-moi mal, oui, fais-moi mal, oh je jouiiiiiiiiiis !

Une giclée puissante jaillit de la chatte de Lucie, qui croit mourir de plaisir. Mauricette en profite pour lui écraser le clito, l'effet est immédiat, une seconde jouissance fait hurler La tante. Paul dans la foulée lui remplit le cul de semence. C'est si violent qu'il se laisse tomber sur le sol en entrainant sa femme dans sa chute. Toujours empalée, elle se retrouve couchée sur lui. Paul lui tient encore les hanches. Lucie halète, elle à beaucoup de mal à retrouver sa respiration. Lucas s'approche et prend place entre ses cuisses.

Il enfonce aisément sa bite dans le brûlant brasier, Lucie pousse un long gémissement. C'est sa première double pénétration. Elle à l'impression que les deux verges sont dans le même orifice tellement la paroi qui les sépare et fine. Les deux hommes cherchent la synchronisation avant de lancer les chevaux.

Lucie défaille, elle est au bord de la syncope, elle marmonne :

-Oh mes chéris, mes chéris, vous méfaites mourir, mon Dieu, c'est extraordinaire la double, oui, oui défoncez-moi, c'est trop bon. Les deux bites coulissent dans ses entrailles, le plus profondément possible. La chatte, fortement lubrifiée par la cyprine qu'elle sécrète, rend l'accouplement plus aisé. Le trio est infernal. Les trois gémissent comme des bêtes malades. Les verges infatigables, voyage dans les gaines en faisant gémir de plaisir Lucie.

Pendant de longues minutes, les deux soudards lui labourent les entrailles, jusqu'à ce qu'elle jouisse. C'est phénoménal, jamais Lucie n'a joui aussi fort. Elle semble agoniser sous les coups de boutoir des deux hommes en ruts. Chacun leur tour, ils déversent leur semence soit dans le ventre ou dans le cul de la jouisseuse.

Après l'avoir échangé leur place et l'avoir fait jouir plusieurs fois, Lucie est libérée. Elle halète férocement, en regardant ses amants. Elle remercie ses trois complices de lui avoir fait connaitre la jouissance anale. Après un instant de récupération. Mauricette reçoit, elle aussi, les deux verges en même temps dans son corps, ses jouissances sont très bruyantes. Pour remercier les deux hommes, les deux femmes pratiquent sur eux une fellation terrible. Les glands sont tétés, les couilles sucées, pour enfin vider les hampes de leur nectar. Les deux voraces se gavent de sperme, avant de libérer leur proie vidée de leur substance.















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