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Un douloureux retour

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 4 - Histoire postée le 17/01/2024

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Je rentre une semaine avant d’une mission en mer, qui devait durée trois mois.
Je me souviens de la réception, organisé pour nôtre départ, à la base maritime. Ce soir là, Charlène éclaboussait la soirée, de part sa beauté, elle était rayonnante. De la nouvelles recrue, jusqu’au moindre gradé, tout le monde n’avait d’yeux que pour elle. Elle le savait, et s’amusait à les aguicher. Mais je n’avais aucune inquiétude quant à sa fidélité.
A la descente du bateau, les femmes et les compagnes attendent leurs maris. Ils se donnent rendez-vous au bar des marins. Je décline l’invitation, j’ai hâte de retrouver Charlène, ma ravissante épouse. Marie, la femme d’un pote, m’en dissuade, me dit d’attendre, qu’elle ne m’attend pas si tôt.
Je n’ai que faire des ses conseils.
Je prends l’allée des Pins, ou je réside. J’ai hâte de serrer ma femme dans mes bras, ne plus la lâcher, la couvrir de baisers, jusqu’à ce qu’elle comprenne que mon désir est fort, et que son jeune et joli corps ne pourra que céder sous mes avances.
Je rêve de ses yeux qui me narguent, de son sourire qui m’invite, de ses hanches qui ondulent, mon sexe qui s’anime. Je l’imagine sur le canapé, impatiente. Je songe à sa fine et douce toison brune, à ses seins de jeune femme mariée, fermes et généreux.
Je remonte le chemin des lauriers au pas de course, le portillon de la maison est resté ouvert, nôtre fille de quatre ans est encore à la crèche à cette heure-ci.
Je déverrouille la porte, pénètre dans l’entrée, prudemment, sans bruit.
Je vais la surprendre, mais un ronronnement m’interpelle à mes oreilles.
C’est un bruit familier, que je reconnais. C’est le « Babylone » qui nous permet de veiller sur nôtre petit ange, quand il dort dans la chambre du haut.
Une conversation s’en échappe.
Mais...c’est la douce voix de Charlène? Elle fredonne une air ? Non...elle ricane, puis semble se plaindre, s’opposer à quelque chose.
Elle n’est pas seule, un homme est avec elle la haut. Un pote que je connais ? Sa voix ne me dit rien.
Silence...puis ce qui me parvient à mes oreilles, me crucifie. La voix de mon épouse, dont je connais l’intonation, susurre en un souffle.
- Oh...mais tu es fou...non Boris...arrêtes ça…
Je ne connais pas ce Boris. Je reste pétrifié, immobile, à l’affût de ce que la voix du « Babylone » me rapporte, et qui se trouve face à moi.
Soudain, il se déclenche à nouveau.
- Si...c’est pas ça, mais quand même...oh...qu’est-ce que tu fais? Arrêtes, je dois me préparer pour aller chercher ma fille. Il est presque l’heure...hum…
L’inconnu ne dit pas un mot, semble occupé. Je comprends tout, ne bouge pas.
J’en suis sûr maintenant, dans la voix de Charlène, il y a du désir, et sais combien à ces moments là, elle peut être désirable.
J’entends glousser dans les escaliers, ils descendent.
J’ai le temps de me cacher dans la buanderie, pour ne pas fuir, et réfléchir.
Charlène passe devant moi, le chemisier ouvert. L’émotion est perceptible, elle reste digne, le corps cambré sur des escarpins. L’homme lui emboîte le pas, et je pense à ce moment là, qu’elle le fuit..
Il semble que la nature la façonnée, dans le seul but de séduire les femmes, et je sais que Charlène peut y être sensible. Il a des gestes élégants, du bagout.
Je suis captivé par la scène, la séduction semble opérer, même si Charlène est sur la défensive, et semble hésiter. Elle résiste et minaude en même temps et ceci la rend plus désirable encore
Elle saisit les clefs de la voiture, s’apprête à gagner la sortie, il lui barre la route. Charlène recule mais arbore un sourire qui me fait mal.
La situation l’amuse, elle se faire courtiser par ce beau gosse qui doit la flatter, je suis bien persuadé qu’elle ne doit plus contrôler grand-chose du coté de son entre jambe, mais elle joue l’ingénue, elle sait lire dans le regard des hommes.
Elle a compris que celui là ne la lâchera plus, il a trop envie d’elle, elle s’en trouve émue.
Il s’avance, elle recule mais se laisse piéger, enfermée entre les plans de travail de la cuisine et la table. C’est évident, elle ne souhaite plus vraiment fuir. Elle aimerait boire à la queue de ce bel homme. Celui ci a changé d’expression, son sourire enjôleur a laissé place à un regard pénétrant.
Deux mains puissantes s’invitent sur la poitrine de ma belle. Surprise, elle pose ses mains sur les siennes. Je voudrais qu’elle le repousse, mais déjà il inspecte ses beaux seins fermes, et je la vois se pâmer, sa bouche légèrement ouverte, je la sais conquise. L’homme l’enlace, et les bouches se soudent.
Je comprends qu’elle a accepté la langue de cet inconnu et qu elle prend plaisir à la déguster. L’érotisme de la scène est bouleversant.
Il n’a pas lâché ses seins, il les pelote amoureusement, Charlène l’encourage en lui caressant la nuque, lui prend la tête afin de mieux l’embrasser encore.
La porte de la buanderie grince, je fais un pas de côté, je ne les vois plus et je reste immobile. Ils se parlent à nouveau, chuchotent, je ne veux rien manquer et me replace dans l’entrebâillement de la porte.
Ils ne s’embrassent plus, les yeux dans les yeux, ils se respirent fort, elle cherche à défaire son pantalon. Les mains sont impatientes, maladroites ratent les boutons, tirent sur les tissus et parviennent à leur fin. J’aperçois la culotte de dentelle tomber sur les chevilles de Charlène et les fesses musclées de l’homme s’animer.
Je ne perçois pas le sexe du monsieur, mais seulement le visage de Charlène qui s’est illuminé puis teinté d’inquiétude.
Elle a maintenant les deux mains occupées, le regard fixe, je comprends que sa surprise est de taille ! Il y a de l’admiration dans les yeux, j’entends lui dire.
- Je...je crois que je ne pourrai pas..
L’homme a senti son embarras, s’est agenouillé, et afin qu’elle ne puisse plus se refuser, il s’active entre ses cuisses. L’effet est immédiat.
- Hou...hou...oh oui ! Oui...oui...houa…
Après quelques minutes de doux léchages, il comprend qu’il a gagné la partie, s’interrompt, et avec le sourire, demande à ma belle la permission de continuer.
- Es-tus satisfaite de mes services, souhaites-tu que je poursuive?
- Ah... tes bien sûr de toi...et si je te dis non ?
L’homme joue le jeu et se retient, les deux amants se fixent. Charlène craque.
- Oh...s’il te plaît, retourne t’occuper de ma chatte, tu es trop doué, allez vas !
Elle est radieuse, son sourire est éclatant, des étincelles plein les yeux.
Il l’entreprend de nouveau, et sur sa jolie petite frimousse on peut lire aisément le plaisir qu’il lui procure. La tête à la renverse, puis se redressant pour contempler l’amant qui la fouille, lui lèche la chatte, taquine son clitoris, jusqu’à ce qu’enfin, elle accepte de crier son plaisir :
- Hum ! oh là...mais que c’est bon...oh oui...encore...t’arrêtes pas putain...
Il se relève, satisfait de ses prouesses. Charlène est dans un état second, je l’ai rarement vu aussi réceptive aussi soumise. Dans quel état il vient de la mettre ! Je n’en crois ni mes oreilles ni mes yeux !
J’aperçois la fine toison de ma femme, autour de ses lèvres gonflées, Le duvet gardent l’humidité de la langue qui s’est permis de les violer.
L’homme la regarde la prend par la taille. Charlène, déstabilisée, se cramponne des deux mains au plan de travail, faisant valser les couverts qui s’y trouvaient. Ses seins n’ont ainsi plus de défense et l’homme arrache son chemisier.
Une paire de seins surgissent, effrontés, fiers, les bourgeons durcis par l’envie. De superbes seins qu’il ne peut s’empêcher d’empoigner, de jeunes seins naïfs et inconscients, ne mesurant pas l’explosion de désir qu’ils déclenchent ainsi, dans le cerveau d’un homme qui les découvre.
Du creux de la main, il se met à les effleurer, tendrement, les bouts plient sous la caresse. Charlène frémit, Charlène est aux anges, râle d’un plaisir non dissimulé, et offre, reconnaissante, sa poitrine comblée à ces mains expertes qui la régalent.
Puis il se décide enfin, saisit sa queue tendue de la main droite, et comme une offrande, le présente à Charlène.
- Tu n’as qu’un mot à dire, je suis disposé à t’honorer !
Elle se cabre, se croit encore capable de résister.
Ses joues sont écarlates, comme au temps où l’on s’était connu, une marque de fabrique chez Charlène, elle rougit rapidement, à la moindre émotion. Je constate qu’elle se calme, qu’elle se ravise enfin.
- Range moi ça, tu as suffisamment abusé de moi ! Et puis je dois aller chercher ma fille ! Dis donc, tu as l’air bien encombré avec ce truc là entre les jambes. Je suis désolée, tu m’as donné du plaisir mais il faut que je file !
- C’est toi qui décide...un dernier baiser d’adieu ?
Il l’enlace, l’embrasse avec fougue, la couvre de baisers, parcours son cou.
Les yeux clos, elle s’abandonne encore, c’est trop bon, elle se laisse butiner.
Il retrouve ses seins, elle les lui donne, il s’acharne sur ses bourgeons, Charlène chavire, elle n’est plus qu’une petite chose dans ses bras. L’homme mime l’accouplement et la comprime contre le meuble. Elle ouvre subitement les yeux, quand le membre majestueux de son amant, applique une pression sur son clitoris. Le plaisir est étourdissant, elle se colle alors à sa bouche, lui offre toute sa langue, espérant s’en satisfaire, une dernière fois.
Elle doit contenir cette excitation qui la mène sur une pente où le plaisir est devenu incontrôlable, et ne permet plus de renoncer.
Charlène va se faire prendre par un autre, devant mes yeux. Je sais qu’il va la saillir, elle abdique.
- Viens...oh oui, viens...j’en peux plus, c’est trop fort, tant pis...prends moi.
Sa chatte luisante l’engloutit d’un coup.
- Oh mon Dieu...Oh...mon salaud !!! mon salaud !!!! Oh comme tu es membré, hum tu es vraiment bien monté... doucement...s’il te plaît...doucement...
Charlène n’est plus qu’une poupée soumise. Elle suffoque, s’accroche à ce qu’elle peut, ne le quittant plus des yeux, possédée, conquise, semblant parfois s’évanouir puis revenir à la vie. Il la baise devant moi, je n’existe plus ...
Une montre abandonnée dans un coin, sonne quinze heures Charlène jette un œil sur la pendule
- Je vais être en retard. Oh...mais vas-y...finis moi.. Finis-moi...oui...oui... !
- Je ne cesserai, coquine, que si j’obtiens ton orgasme ! es-tu heureuse ?
- Hum ! tu en doutes ? je te sens bien, tu m’éventres, tu m’empales...hum...
- Suis-je aussi habile que ton mari ?
- Oh, que oui...c’est bon tu es jeune, beau garçon, tu sens bon, tu me baises comme un dieu, tu m’excites.
- Tu regrettes pas mes avances? Pourtant, tu n’as pas été simple à séduire!
- Ah...et pourtant, tu m’as eu, et bien eu...hein...oh oui...tu m’as bien baisée...
- Tu me veux plus fort ?
- Oh non, c’est juste comme il faut...vas-y...oui baise moi. Encore...
- Comme ça ?
- Hou...tu vas me faire jouir...
Pour mieux contrôler ses coups, il la soulève et la dépose sur la table, elle continue de gigoter sur sa queue, incapable de se calmer même un instant.
J’aperçois l’épaisseur et la grosseur de cette queue qui dilate sa chatte, je comprends beaucoup mieux à présent, son extase.
Les chairs sont repoussées à chaque poussée puis une partie des lèvres semble être emportée avec le membre qui se retire au gré des va-et-vient. Charlène se tortille, se mords la main, puis saisit les fesses de son amant pour en profiter davantage, ravagée par un plaisir intense.
- Dis-moi. Il faudrait pas que ton mari débarque à l’improviste, n’est ce pas ?
- Oh...que dis-tu ? Il est en mer...ne pensons pas à lui...enfonces toi profond, encore et encore ! C’est bien, c’est bon...baises moi...ou baise moi, sale mec.
Il sait lui parler, ces quelques remarques qu’il lui fait en la baisant, ne font qu’aiguiser son appétit.
L’homme est un expert, il se contrôle avec une maestria stupéfiante !
- Veux tu qu’on en reste là ?
- Ah ! Je t’interdis ! Couine-t-elle, les narines dilatées, les joues en feu.
- Alors prends ! goûte ! sois belle, et jouis.
- Ton sexe ! ton sexe ! Oh ton sexe...oh je viens ! je viens...
Charlène jouit, électrocutée par un terrible orgasme qui l’étreint.. plus aucun son ne sortent de sa bouche. Le silence se fait, comme pour respecter son plaisir, son corps, pris de spasmes, tressaute encore quand elle reprend sa respiration, bruyamment, par saccade.
L’homme se vide en elle. Charlène se cabre une dernière fois sous les coups de boutoir de son amant, bouche grande ouverte, craignant un instant de ne pourvoir contenir ce monstre de chair qui se déchaîne.
Un quart d’heure plus tard, ils sortent de la salle de bains. Il la prends dans ses bras et lui donne un sulfureux baiser.
Je me retire, traverse la buanderie, gagne le jardin, m’abrite sous le auvent du garage. La voiture passe devant moi...elle sera en retard à la crèche.
Je comprends pourquoi Marie insistait pour que j’aille au bar, elle était au courant de l’infidélité de ma femme. Elle savait que Charlène recevait son amant.
Elle rentra une demi-heure plus tard, après avoir déposé nôtre fille chez ses parents. J’entendis les gravillons crisser sous les pneus de la voiture.
Il est seize heures.
Quelle ne fut pas sa surprise quand elle me vit installé sur le canapé.
- Mais mon chéri...t’es déjà rentré ?
- Oui...la mission a été écourtée.
- Et ça pas été trop dur ? Trois mois sans ta chérie.
- Non ça va merci, un peu fatigué...pour toi non plus, ça n’a pas été trop dur?
Elle ne relève pas l’allusion, se croyant sans doute insoupçonnable. Mais comment pourrait-elle savoir que je l’avais épier tout eu long de ses ébats.
Le délice de sa torride relation l’a transformée... Malgré ça, je l’aime, ne veux pas la perdre
Les semaines passent, son humeur change, les échanges se tarissent, je sens qu’il faut que j’intervienne ! Je décide de tout lui révéler.
Ce soir là, devant la télé, on avait débouché un bon cru, nôtre fille était chez ses parents. Nous avons discutés, et j’ai pris mon courage à deux mains,.
- Je dois te dire Charlène, je sais tout, j’étais là !
J’ai lu la terreur dans son regard, la honte, une longue période de mutisme. Elle ne s’est que répondre pour expliquer sa faute. Je vois des larmes perler sur ses joues.
- Je te demande pardon...je ne voulais pas ça.
- Pourquoi as-tu fait ça?
- Je sais pas...j’étais seule...je me suis laissé séduire.
Je la sentais mal à l’aise. Je poursuivais malgré tout mon interrogatoire.
- As-tu l’intention de le revoir ? En éprouves-tu le besoin ? Auquel cas, vaut mieux se séparer. Qu’en penses-tu?
Elle me regarde, l’air hébété, abasourdie par ce qu’elle vient d’entendre
- Oh non, pas ça, c’était juste un coup...une envie comme ça, une occasion. Je me suis laisser séduire...j’étais attirée physiquement par lui... j’ai flanché c’est tout ! Rien à faire de ce mec que je ne connais même pas.
Elle bredouille, elle se trouble, ses pommettes rougissent, elle s’en rend compte, s’éclipse à la cuisine. Je la laisse se reprendre puis la rejoins.
Je lui propose de faire un break, j’irais quelques temps chez mes parents.
Elle me regarde avec tristesse, se pend à mon cou, puis se retire en larmes dans la chambre. Elle mesure toute les conséquences de son erreur.
Je me dirige vers la buanderie, prends mon sac, et vais rejoindre les autres au bar des marins. Je suis accueillis par Marie, qui me prend dans ses bras. Les verres de bière fusent sur le zinc, tout comme les tournées.
Par chance, le commandant de vaisseaux est encore accoudée au comptoir. Je lui offre un verre, et lui demande si je peux participer à la prochaine mission.
Pas de problème « me dit-il » il y a toujours de le place pour les bons marins. Nous appareillons demain à l’aube.
Je suis accoudé sur la rampe, regarde s’éloigner le port dans la brume du matin.
Je réfléchis, et me dis qu’à partir de ce mois-ci, c’est sur le livret me ma fille que sera virée ma solde.
















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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Un douloureux retour

Le 19/01/2024 - 01:46 par Jacques du Canada
Jamais je n’aurais pensé
Le 19/01/2024 - 01:45 par Jacques du Canada
J’en reviens pas! Par où êtes-vous passée? J’aimais je n’aurais pensé que vous aviez de l’intérêt pour les vrais histoires. J’ai aimé la fin . Le bateau quitte le port mais c’est certain qu’il reviendra.
Le 17/01/2024 - 22:06 par OlgaT
Belle histoire!
Le 17/01/2024 - 17:33 par Paul1453
Bonjour, Très belle histoire bien écrite, qui mérite une suite. J'ai hâte de la lire. Paul

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