Un lointain souvenir

Dernièrement il m’est arrivé de me rappeler d’une personne qui hanté ma vie pendant une période. Elle était jeune, 18 ans, 1m60, 50kilos, une poitrine agréable mais pas trop abondante, des jolies fesses de cavalière, une chevelure châtaigne virant sur le roux sous le soleil, des yeux marrons malicieux, un sourire diaboliquement charmeur. C’était le genre de fille qui vous fait craquer, mais qui fait également craquer les autres…

Outre son fort caractère et ses propos un peu rustre à la longue, on aimait passer nos journées avec elle. On pouvait la regarder dans ses slims et ses tuniques, ou encore ses chemises. Le beau temps arrivant au galop, les slims étaient remplacés par des shorts ou des jupes, et les hauts par des débardeurs.

Mais ce qui nous intéresse, c’est cette journée de printemps. C’était une de ces journées ou on crève de chaud rien qu’en marchand et ou chaque coin d’ombres ressemble à un paradis. Cette journée devait être mémorable dans mon coin d’ombre avec mon ange à côté de moi. Je savais que plusieurs des personnes, qui étaient passées devant nous, étaient jalouses. C’est quelque chose qui se voyait dans leur regard.

Elle se penchait régulièrement pour me faire quelques bisous discrets sur la joue et s’amusait à essayer d’accrocher mes lèvres avec les siennes en me fixant avec son regard charmeur. Elle aimait jouer, et aujourd’hui j’avais moi aussi envie de jouer.

Je lui glissais quelques mots à l’oreille et la pris par la main sans attendre sa réponse. Nous retournions chez elle en se baladant et ma main passait de sa main, sur son bras, sur son coup, dans son décoté. Elle ne protestait pas et souriait quand je la faisais frissonner. Son corps semblait avoir fortement envie. Et elle aussi lorsque je la plaquais contre le mur pour l’embrasser et me coller à elle.

Nous nous retrouvions rapidement chez elle, et refermions encore plus vite la porte avant de se lancer dans un baiser langoureux et passionné. Nous étions tellement collés qu’elle devait sentir que j’étais excité à jouer avec elle. Et elle se plaisait à se serrer encore plus contre moi, de façons à ce que je sente bien sa poitrine mais aussi son parfum et encore plus ses lèvres sur les miennes.

Mes mains s’impatientaient déjà de parcourir ce corps, et de le faire trembler sous quelques petits tours. Pour accélérer les choses, je décidais de glisser une main entre ses jambes. Elle recula légèrement sous la surprise avant de se re-coller plus encore contre moi, emprisonnant ma main contre elle. Je pouvais toutefois jouer avec mes doigts à ma guise ce qui semblait lui faire un bien fous. Elle était assez émoustillée pour que je change les rôles. Je la repoussai délicatement avant de lui faire comprendre que je voulais sentir ses mains sur moi.

Elle me faisait un léger sourire avant de s’enfuir en courant dans ses escaliers. Je la rejoignai au deuxième étage dans sa chambre. Je la ceinturais par le dos. J’étais serré contre elle. Elle se retournait face à moi et commençait lentement à descendre sa main tout en me glissant quelques bisous pétillant dans le cou. Mais à peine commençait-elle à faire de léger va et vient au niveau de ma verge que cette garce en profita pour me faire un suçon.

En me débattant elle en profitait pour se reculer un peu plus. Ce jeu se poursuivait tant que nous étions debout. Mais lorsqu’elle se retrouvait sur le lit un tout autre jeu démarrait. Je me positionnais sur elle, de façons à pouvoir l’immobiliser à tout instant, mais toujours en la gardant face à moi. Je glissais ma main sur les boutons de sa chemise. Je défaisais un bouton sur deux seulement. Elle voulait jouer ? Elle allait être servie.
Je glissais mes mains sur ses joues et lui caressais les cheveux. Beaucoup de femmes craquent sous des pratiquent sensuelles. Chacune de mes caresses lui faisaient fermer les yeux et la plonger un peu plus dans ses rêves érotiques éveillés.

Je décidais de recommencer les jeux. Mes mains glissèrent sur ses seins, et plongèrent beaucoup plus rapidement vers ses cuisses. Bien sûr caresser l’intérieur de ses cuisses, et frôler son espace intime était plus amusant que sauvagement la doigter. Elle commençait alors à jouer elle aussi. Elle glissait ses mains sous mon pantalon et branlait ma verge à travers le caleçon.
Je décidais que ce jeu avait alors assez duré. Je finis de la déshabiller et me déshabiller. Elle en profitait pour se retourner sur le ventre, et me laisser me débrouiller alors qu’elle voulait prendre son pied. Je m’amuser à me frotter contre elle glissant mes mains sur les côtés pour lui malaxer les seins. Elle m’aida en se surélevant un peu. Apparemment le traitement que je lui faisais subir lui plaisait. Ses tétons roulaient sous mes doigts, puis mes mains glissaient jusque ses hanches avant de lui lancer quelques frissons dans le bas du dos.

Son excitation et la mienne étaient aux combles avec ce petit jeu qui durait depuis un bout de temps maintenant. La preuve en fut lorsqu’elle se remit sur le dos et descendit rapidement pour jouer à son tour avec mon sexe. Ses mains me branlaient. Puis elle alternait avec sa langue en lançant quelques coups délicatement. Elle me donnait du fil à retorde.

Sachant qu’à ce rythme-là, je craquerais. Je prenais l’initiative de la remonter un peu et de glisser 2 doigts dans son intimité. Je commençais à la doigter légèrement. Elle mouillait depuis longtemps. Le jeu fut encore plus vicieux lorsqu’elle se jeta sur moi pour me plaquer sur le dos.

Elle prenait à son tour l’initiative. Elle fit pénétrer ma verge en elle, et commençait à remuer ses hanches. L’effet fut prodigieux quand elle accéléra. Puis je l’allongeai à son tour sur le dos et la pénétrait en missionnaire pour finir dans sa position favorite. L’allure accélérait. Je sentais ses seins sous moi quand je me serais contre elle. Mes mains malaxaient par moment ses seins.

Nous nous perdîmes dans notre respirations et nos rauques. Pas un seul autre bruit ne nous gênait. Il n’y avait que nous deux faisant l’amour et jouissant dans une parfaite harmonie.
Nous étions tellement épuisés que nous restions allongé l’un contre l’autre, blotti comme deux amants.
Mais tout ceci n’est qu’un souvenir lointain.