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Un sauna très chaud

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 3 - Histoire postée le 27/09/2023

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Je pousse la porte de mon sauna en bois de cèdre et suis étonnée d’y trouver, tranquillement assis sur un des bancs, Julien, le meilleur copain de son fils Luc.
C’est lui qui l’avais invité à passé deux semaines de vacances à la maison.
- Oh ! je ne savais pas que tu étais, lui dis-je.
Julien se lève tel un ressort.
- Je suis désolé Madame, c’est vrai que j’aurais dû vous demander l’autorisation d’utiliser votre sauna… répond-il, embarrassé.
Je l’arrête d’un geste de la main.
- Tu es ici chez toi, Julien, et le sauna fait parti de la maison...et puis arrête avec tes « Madame », appelle moi Lucie, tout simplement.
Je commence à esquisser un geste pour sortir.
- Si tu préfères, je reviendrai quand tu auras terminé.
- Oh, pas du tout Mada...Lucie, je vous en prie, restez.
- Bien, c’est toujours agréable d’avoir quelqu’un à qui parler pendant une bonne suée, dis-je. Mais certains préfèrent leur intimité.
- Pas moi, répond un peu trop nerveusement Julien.
Julien n’avait pas dû prévoir que la maman de son copain le rejoindrait et qu’il porterait devant elle un petit short de gymnastique.
- Un gentil garçon mignon comme toi, n’a rien à cacher, lui dis-je avec un clin d’œil.
Julien se sent rougir et doit lutter pour recouvrer son calme.
J’étale une serviette de bain très colorée sur le banc à côté du garçon. Je fais un pas au centre de la petite pièce me tenant presque directement au-dessus du jeune garçon assis. J’ai distraitement délié la ceinture de mon long peignoir en éponge.
- En outre, je ne porte pas beaucoup plus de tissu que toi ! dis-je en écartant les pans du peignoir.
En regardant le garçon en face, je l’ouvre, exposant alors mon sublime corps moulé dans un petit bikini.
Involontairement, les yeux du garçon s’élargissent en regardant la mère de son pote. Sa bouche s’est ouverte imperceptiblement. Je lui fait une moue rieuse pendant quelques secondes, puis retire le vêtement le laissant tomber sur le plancher.
Mon bikini jaune vif met mon corps en valeur, la couleur de ma peau étant légèrement ambrée. Bien que j’approche de la quarantaine, je fais beaucoup plus jeune. Les traits de mon visage sont doux, avec des lèvres sensuelles, et des yeux verts émeraude qui pétillent. Mes cheveux sont noir-de-jais. Ils sont mi-longs, coupés avec art, me rajeunissant de quelques années supplémentaires. Avec mon un mètre soixante douze, je suis un peu plus grande que la moyenne.
Admirablement proportionnée avec mes cinquante huit kilos, je suis restée sexy, avec une taille mince et des courbes qui ont pour effet, de faire détourner le regard de n’importe quel homme.
- Tu me sembles bien calme d’un seul coup ! Tu n’aimes pas mon bikini ? Tu trouves qu’il est trop petit ?
Je lui fait une grimace, passe mes doigts dans mes cheveux, dans l’attente d’une réponse. Julien croise timidement mon regard.
- Euh...il est plutôt petit, réussit-il à sortir. Mais il vous va très bien.
- Je suis heureuse qu’il te plaise, mon mari aussi aime ce bikini. De toute façon, il aime tout ce qui met mon corps en valeur, dis-je, jouant avec les bretelles du haut.
Julien se demande s’il a bien entendu.
- C’est vrai, qu’il est l’archétype de l’homme obsédé par la fermeté de mon corps.
Je fait une pause.
- Et si j’en crois ton regards, je te suspecte de lui ressembler beaucoup !
- Mais...mad...Lucie... !
Je ricane gentiment, prend ma serviette et commence à essuyer la sueur sur mon visage. J’étends à nouveau la serviette au côté de Julien, et m’assied, me penchant vers lui. Je croise mes longues jambes fuselées, tapote doucement son genou.
-  C’est normal tu sais. La plupart des types aiment les femmes avec de jolis seins. Mon fils aussi. Il me l’a même avoué un jour.
Je me suis penchée plus étroitement pour chuchoter dans son oreille.
- Ce sera notre secret.
J’avais raison. Il jette un coup d’œil sournoisement sur ma poitrine, mais quel mec aurait pu s’en empêcher. Je suis incroyablement bien faite. Mais il n’y a pas que la seule taille. Depuis l’adolescence, j’ai les seins bien formés, et ils font travailler l’imagination des hommes pendant deux décennies.
En raison de la taille minuscule de mon haut de bikini, ils ont certainement pris Julien au piège. Et ça n’est pas que le reste de mon corps soit moins exquis, ma taille mince, mes hanches doucement évasées, mes bras et jambes musclés mais si féminins sont un hommage rendu au programme rigoureux d’exercices commencé depuis de nombreuses années.
Je tire sur les bretelles de mon haut, pour les positionner confortablement.
Je suis généralement très satisfaite de ma silhouette, j’adore ma poitrine. Mes soutiens-gorge sont invariablement trop petits, particulièrement celui-ci.
Je grimace de nouveau en tirant sur les bretelles. Je le regarde.
- Il me fait un peu mal celui là. Ça-t-ennuie si je le retire ?
- Oh ! vous ne pouvez pas faire ça Lucie, bégaie Julien, .
- Oh si, je peux… mais… avec ta permission.
Je le taquine.
- Cette bretelle est vraiment douloureuse.
- Comme vous voulez, dit-il, incrédule.
-  Merci...Alors, allons-y !
Lentement, délibérément, tout en continuant à le regarder, je passe les mains dans mon dos et dégrafe mon soutien-gorge. Mes superbes seins jaillissent presque sauvagement en avant.
- À la bonne heure ! Maintenant c’est mieux, dis-je avec un long soupir.
Je fait glisser les bretelles le long de mes bras. Souriante, avec une main, je l’écarte puis le laissant tomber sur sa cuisse.
- Allez, maintenant, en avant et regarde, mais ne te brûle pas la rétine.
Les yeux de Julien se posent sans hésitation sur mes charmes étourdissants, exposés sans scrupule devant lui.
-  Mon Dieu ! murmure-t-il involontairement.
Les seins pointent fièrement en avant comme deux obus. Ils sont couronnés par mes bourgeons érigés, entourés par leurs aréoles brunes. Julien ne peut détourner les yeux de ce sublime corps.
Notant le centre d’intérêt, presque hypnotisé de son regard fixe, j’étire mes épaules vers l’arrière, bombant le torse, propulsant mes seins en avant. Je pose mes mains doucement sur mes hanches.
- Je pense que tu apprécie, dis-je gaiement.
Le jeune garçon n’a rien dit mais me regarde avec embarras. Je ris gentiment. Puis, me penche légèrement vers lui. Son visage est soudainement devenu sérieux. Je regarde vers le bas mes attributs parfaitement galbés. Un film de transpiration s’est formé au-dessus d’eux. Je les effleure du bout des doigts.
- Ils ont bon goût, ils sont naturels tu sais…
Je redresse la tête pour le regarder et me lève. Je recule un peu.
-  Il ne faut pas avoir honte de la nudité, Julien. C’est une chose très normale.
En disant ça, je glisse mes doigts sous l’élastique de ma culotte, de chaque côté, et la fait glisser sur mes cuisses, avant de l’enjamber, découvrant un fin triangle brun. Je fait un pas pour m’en débarrasser.
- Comme tu peux le voir, je ne suis pas timide ! Faut faire profiter de sa beauté...
Je fais un demi-tour permettant au garçon d’avoir un aperçu de la cambrure de mes fesses. Il est très attentif à ce geste.
Je suis une femme mure, mais je m’entretiens et suis fière de mon corps.
Je termine ma pirouette lui faisant face à nouveau, passant de façon sensuelle, mes doigts dans mes cheveux.
- J’ai raison, non ? demandais-je ingénument.
Julien gigote. Personne ne lui a jamais posé une telle question. Il ne peut pas croire que je soit nue, offerte, à seulement quelques centimètres de lui. Mortifié, il doit sentir le début d’une érection puissante dans son short, et doit prier pour que je ne m’en aperçoive pas.
- Lucie...vous êtes la femme la plus belle que j’ai jamais vue. Vous êtes rayonnante.
- Je suis heureuse que tu penses ainsi. Ça me fait du bien d’entendre ça.
Je lui fait un clin d’œil entendu, étire mes bras dessus de sa tête.
- J’aime être nue. Ça donne la sensation d’être si libre, vivante. Tu sais Julien, je ne ressens aucune gêne, nue devant toi. Tu peux te sentir libre de me regarder. Ne sois pas embarrassé, puisque je ne le suis pas.
-  Admettez qu’il faut que je m’habitue un peu.
Je souris.
-  Je crois que je peux comprendre ça. Tu es un jeune homme et je parie que ça doit t’agacer un peu.
Je m’agenouille devant lui, plaçant mes paumes légèrement sur chacune de ses cuisses.
- Je parie que voir mon corps nu te fait un effet… dressant !
Je frotte doucement les cuisses de Julien, mes mains dérivant lentement vers les plis de l’aine. Je regarde vers le bas la bosse sous son short. Mes yeux s’élargissent et je soupire.
- Vraiment dressant. Julien, je te fais bander dur.
J’approche mes mains de l’élastique du short.
- À toi de me montrer maintenant…
Julien est tout simplement paralysé. Je le domine. Il me laisse la responsabilité de ce que je m’apprête à faire.
Lentement, je commence à tirer le short vers le bas. Soudain, incapable de retenir ma curiosité, je le descend d’un coup à ses genoux. Le membre palpitant jaillit glorieusement, se dirigeant vers le ciel. Mes yeux se sont grand ouvert pendant que je regarde vers le bas, découvrant la grosse queue. Je souris et le fixe des yeux.
- Ouah ! quel gros membre ! dis-je presque révérencieuse.
Je murmure en regardant son bas-ventre.
- Julien, les femmes vont devoir faire attention avec un tel objet.
Je glisse son short en bas de ses chevilles. Me mettant à genoux toujours devant lui, je regarde ce spécimen étonnant qui réveille mes sens.
« C’est irréel », je murmure.
Je recherche ses yeux, et chuchote admirative.
-  J’ai toujours pensé que mon mari avait une grosse queue, mais c’est juste la bite d’un petit enfant comparé à toi !
L’organe turgescent qui palpite me captive. Je le regarde à nouveau dans les yeux. Je baisse lentement mon visage, approche mes lèvres de l’extrémité de sa virilité, et y dépose un léger baiser.
Je me recule et regarde le mandrin de Julien. Je regarde le filet brillant de ma salive qui est resté sur l’extrémité du gland. Le contact de mes lèvres sur le garçon est chargé d’électricité, un choc qui fait palpiter mon corps chaud et nu.
- Délicieux...
Je me lève lentement devant lui, plaçant mes mains sur ses épaules, faisant des gestes silencieux pour qu’il se lève. Julien coopère et se dresse devant moi.
- Viens, lui dis-je dans un chuchotement.
J’ouvre la porte du sauna et prend sa main en sueur dans la sienne, l’encourageant à me suivre. Au départ, je voulais l’emmener en le tirant par la queue, et même si je trouvais ça excitant, je le trouvais aussi, vulgaire.
Sure de moi, voluptueuse, plus âgée, je guide le pote de mon fils, à l’érection sauvage, dans la chambre conjugale. Je le mène à la salle de bains contiguë.
Ce faisant, on passe devant un grand miroir intégral de déco d’art. Je fais un arrêt devant le miroir et prend des poses. Je m’agenouille, prends le calibre du jeune garçon en bouche. Du coin de l’œil, je regarde la reflet de nos deux corps. L’éclat de la sueur qui les recouvre, brille à la pleine lumière du soleil qui a jailli des fenêtres qui bordent la pièce.
- Nous faisons un beau couple, tu ne trouves pas ? dis-je en lui tenant la main.
Julien reste sans voix, jetant un coup d’œil sur la reflet de son énorme queue palpitante et douloureuse, preuve de l’intense excitation qu’il éprouve.
- Tu n’as jamais eu de femme Julien ?
- Hein ?
- Tu m’as entendu, dis-le en souriant, tu n’as encore jamais fait l’amour, non ?
Julien ne répond rien. Il n’y a rien à répondre. Mentir serait inutile. 
- Euh…non, jamais Lucie.
Je ris alors que je l’entraîne sous la douche, et fait couler l’eau.
- Ne t’inquiètes pas. Mon mari est à trois mille kilomètres. Ce qu’il ne sait pas ne le blessera pas !
De la vapeur s’échappe de la douche.
- Après toi mon jeune étalon bien monté !
Julien fait un pas dans la douche sous le jet d’eau suivi ardemment par mon regard coquin. On se fait face, nous regardons dans les yeux.
Julien est à peu près de ma taille. C’est un beau garçon, mince, montrant à l’évidence des lignes musculaires qui se développeront bientôt. Ses cheveux sont bruns, ses yeux verts. Sa peau est pratiquement exempte de défauts. Et sa bite embarrassante, qui continue de palpiter pendant que je le pousse en avant de mes cuisses, n’a clairement besoin d’aucun développement ultérieur !
À dire vrai, mon corps magnifique le fait souffrir. Le fait que je sois la mère de son meilleur pote, que je sois mariée n’a plus d’importance en ce moment.
Il a envie de quelque chose de plus qu’il n’a jamais connu de toute sa vie.
Il regarde ce corps exquis, qui le fait frémir avec ses superbes seins aux bouts dressés, et qu’il a envie de sucer.
Il est fasciné par l’eau de la douche qui glisse sur mon corps et se rassemble au niveau du triangle de ma chatte.
Je le regarde et saisis ses deux coudes très doucement. Je me penche sur lui et l’embrasse délicatement sur les lèvres. Il répond chaudement. Il sent mes mains se déplacer sur ses bras. Ses lèvres sont en feu tandis qu’il sent sa langue lentement, inexorablement aspirée par ma bouche. Il me sent venir plus près de son corps, et inévitablement, mes seins frottent légèrement contre son torse nu, alors que mes bras l’entourent complètement, collant mon corps au sien.
Julien sent son gros membre qui se glisse entre ses cuisses.
Situation embarrassante, mais tellement merveilleuse ! On s’embrasse plus fort, plus passionnément. Je masse le calibre du garçon entre mes cuisses, enchantée de l’extase que je sens monter chez lui. Je saisis ses mains, et les pose sur mes seins ferme et dressés. Ils me font mal.
- Caresse-les Julien. Caresse mes seins ! Ils sont pour toi !
Je l’implore…
Ses mains commencent à masser mes globes charnus. Il est stupéfait de leur fermeté. Il n’a jamais vraiment touché une fille dans sa vie et la sensation de peloter une femme mûre le rend fou. Mes bouts durs et pointus vivent sous ses doigts. Il entend un léger gémissement. Doucement, j’éloigne mon visage du sien et lui glisse à l’oreille.
-  Il faut que je te suce, j’ai envie de goûter à ton énorme queue.
Je m’éloigne du jeune garçon et me met à genoux devant lui.
Je saisis le pieu de chair avec les deux mains et avec l’eau de la douche coulant au-dessus de nous, le plonge dans ma bouche. Je le lèche et joue avec lui. Je l’embrasse, le mordille. Mes mains sont passées sur ses fesses, attirant son bassin vers moi. J’adore sa grosse bite comme aucune autre.
Je sens les cuisses de Julien commencer à vaciller et à trembler. Un gémissement fort émane involontairement du garçon.
- Lucie...Lucie...Ah, madame… Je suis…je vais…
Ses jambes commencent à fléchir. Il se tient à mes épaules. Je ne m’arrête pas, continue de sucer, mordre et lécher son beau mandrin. Puis, il jouit puissamment dans ma bouche . Il gicle à plusieurs reprises. J’avale le torrent de semence voracement. Julien tremble de plaisir, le plus intense qu’il n’ait jamais certainement expérimenté. Je retire sa queue hors de ma bouche, la caresse, la nettoie doucement avec ma langue, et mes lèvres. Je me masse la joue avec sa bite encore chaude. Julien gémit, tient à peine debout. Je le soutiens…
- Maintenant tu sais ce qu’est une pipe… ça te plaît ?
- C’était incroyable, Lucie. C’est tellement bon !
- Bien. Maintenant tu as un certain travail à faire !
Disant cela je lui tend un savon.
- Je crois que tu devrais m’aider à me laver un peu.
Je souris avec une timidité feinte, place mes mains derrière moi, l’empêchant de refuser ma demande.
Julien, dévoué, fait mousser ses mains avec le savon. Puis, il les applique sur mon corps bouillant. Il passe ses paumes sur mes épaules, mon dos, mes seins durcit par le désir. Il frotte mon ventre ferme, descend vers mes cuisses. La sensation lui coupe le souffle. Jamais dans sa vie il n’a imaginé l’occasion de toucher un être aussi voluptueux et sensuel que moi. Il peut sentir ma peau splendide vivre sous ses doigts. Dans quelques secondes, sa bite va devenir délicieusement raide à nouveau, un fait certainement évident pour moi.
Par la suite, je prends moi-même le savon et commence à masser mon jeune amoureux. Tous les deux prenons un grand plaisir en se massant.
On commencent à s’étreindre, s’embrasser et se caresser sans aucun scrupule. J’arrête l’eau et tire Julien hors de la douche.
J’essuie le jeune corps du garçon avec une grande serviette, m’émerveille en admirant sa grosse queue déjà entièrement dressée.
- Il est temps Julien, murmure- ai-je, il est temps que tu me montres ce que cette queue incroyable peut vraiment faire .
J’amène habilement le garçon à s’étendre sur le dos au milieu du lit conjugal.
Attirée par son membre énorme, dressé de façon obscène vers le plafond, je monte avec élégance sur le lit et me positionne au-dessus de mon jeune amant, lui écartant les jambes avec les miennes.
Julien regarde cette femme magnifique, ses seins majestueux au-dessus de son visage. J’en prend un dans chaque main et me penche en avant enfouissant sa tête dans mon sillon caverneux.
- Suce-les chéri. Suce mes seins...
Je pousse un bourgeon dans sa bouche et il le tète voracement.
- Vas-y mon chéri... lèche ce bourgeon ! Montre-moi ce que tu peux faire !
Puis je le ressort de sa bouche, regarde entre ses cuisses.
- Oh, tu es prêt mon chéri? Es-tu prêt à remplir ma petite chatte bien chaude avec ton gros calibre ?
Julien ne peut que gémir…
Je place ma chatte humide et incroyablement excitée au-dessus de sa bite énorme. Je baisse mon bassin au-dessus de l’organe épais et viril. Que le premier contact du gros gland avec ma chatte est divin. Lentement, patiemment et avec grande attention, je m’empale lentement sur l’organe turgescent. Je suis émerveillée de sa taille, son épaisseur, et à quel point il me remplit.
Je peux maintenant l’engloutir entièrement. Je commence à onduler du bassin sur lui. Un pur plaisir. Je perds la raison, ne suis plus digne d’une femme mariée.
Je sens sa bite grossir encore dans ma chatte… Elle est de plus en plus mouillée.
Je peux sentir la grosse barre s’enfoncer plus profondément, m’écartant toujours davantage, allant et venant de plus en plus rapidement. Pour Julien, la sensation est hallucinante. Il n’a jamais connu autant de plaisir. Ma chatte est trempée et bien glissante. Il est sur un chemin de douceur et de plaisir. Son gros membre est comme un piston huilé dans ma chatte. Il doit sentir une vague d’électricité émaner de son échine et s’emparer lentement de tout son corps.
Je prends sa main, guide son pouce sur mon clitoris.
- Vas-y, caresse le...les femmes adore se faire doigter le petit bouton...oh oui...c’est tellement bon...hum...
Julien apprend vite, mais se sent sans ressources, prisonnier entre mes jambes, mais intensément puissant et viril en même temps.
Mon visage reflète la montée de mon plaisir.
Ses coups de rein, jusque là des modèles de maîtrise et de modération, sont devenus maintenant sauvages et incontrôlables. Son visage est déformé par le plaisir et une sorte d’agonie. Mes seins durs et fermes rebondissent d’une manière extravagante, presque menaçant.
Nos corps commencent à trembler et à frissonner. Je gémis de plus en plus fort.
- Salaud...tu as déjà entendu une femme crier quand elle jouit…écou...enfoiré...je jouis…tu fais jouir la maman de ton copain...
j’atteins un terrible orgasme, sous le regard innocent du jeune garçon. Puis...
Je sens l’énorme bite gicler des quantités énormes de sperme dans ma chatte, à plusieurs reprises, tandis que mes spasmes de plaisir s’estompent.
Je crie au plaisir que ce jeune garçon me donne. Nous avons jouit ensemble, dans un terrible orgasme, gémissant, se griffant. Je m’effondre sur lui, épuisé.
Nous reprenons nos esprit, et nous enlaçons, prêt à remettre ça…
il ne le sais pas encore, mais je tiens à lui faire connaître les sensations intenses de la sodomie, et puis, ça fait trop longtemps que mon petit trou est totalement ignoré par mon mari…
C’est au moment de conclure, que j’entends crisser des pneus sur le gravier.
J’embrasse vite mon jeune amant, lui indique la porte de service.

















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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Un sauna très chaud

Le 28/09/2023 - 14:04 par Jeff1978
Fantasme très excitant, merci de ce beau recit
Le 27/09/2023 - 18:48 par OlgaT
Je me suis caressée en lisant!
Le 27/09/2023 - 15:44 par valeriane
Bien écrite cette histoire, je l'adore, une suite si possible. Honnêtement, je suis trempée

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