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Une belle pompiste
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Il y a plusieurs années, dans le haut Var, il y avait une station service avec un petit atelier de mécanique tenu par un couple d'une quarantaine d'années.
Quand on se servait en essence il fallait ensuite aller payer dans la pièce où se trouvait l'épouse du patron. C'était elle qui encaissait l'argent. C'était une jolie blonde plutôt sympathique qui portait invariablement de superbes décolleté particulièrement affolants.
Comme elle se tenait derrière une sorte de comptoir, on avait une vue plongeante imprenable sur ses gros seins quand on venait payer ce qu'on lui devait. Et je vous assure que le spectacle valait le coup d'oeil ! Deux bons gros seins bien offerts dans leur prison de tissu. Un régal. Je n'aurais changé de station service pour rien au monde.
Un jour une idée folle à commencé à germer dans mon esprit : me branler en matant ses gros seins ! Chaque fois que je retournais prendre de l'essence j'y pensais un peu plus. Et puis un jour j'ai décidé de tenter l'expérience.
Un vieux pantalon dont j'avais décousu le fond de ma poche droite fit l'affaire. Puis je pris rendez-vous pour une vidange de mon véhicule. Le jour voulu arriva et après avoir confié ma voiture à son mari j'allais retrouver son épouse toujours installée derrière son comptoir. Le dieu des pervers devait être de mon coté car elle portait ce jour-là une robe particulièrement décolletée, dévoilant largement ses deux globes rebondis.
Je filais aux toilettes pour enfiler un préservatif sur mon sexe, dressé par ce que je venais de voir et je retournais devant le petit comptoir pour discuter avec elle. Au fond de ma poche mes doigts commencèrent à caresser mon sexe tout en lorgnant les deux globes de chair que la blonde offrait à mes regards. D'où elle était, assise en contrebas, elle ne devait voir que ma tête et mes épaules.
je sentais peu à peu mon désir se faire plus pressant. L'idée que son mari était en train de s'occuper de ma voiture tandis que je me branlais à un mètre de sa femme me rendait fou. Dans ma poche j'avais carrément empoigné mon sexe que je masturbais de plus en plus vite. Une sorte de plaisir malsain me submergeait.
Et puis finalement je me laissais aller, éjaculant dans le préservatif, mes yeux rivés sur les gros nichons de la blonde. Je n'ai plus jamais ressenti un tel plaisir lors d'autres séances de masturbation. J'ai recommencé par deux fois ce petit jeu avec chaque fois autant de plaisir.
Je me demande aujourd'hui si elle s'était rendu compte de mon manège. Je n'en sais rien et je ne le saurais certainement jamais.
Quand on se servait en essence il fallait ensuite aller payer dans la pièce où se trouvait l'épouse du patron. C'était elle qui encaissait l'argent. C'était une jolie blonde plutôt sympathique qui portait invariablement de superbes décolleté particulièrement affolants.
Comme elle se tenait derrière une sorte de comptoir, on avait une vue plongeante imprenable sur ses gros seins quand on venait payer ce qu'on lui devait. Et je vous assure que le spectacle valait le coup d'oeil ! Deux bons gros seins bien offerts dans leur prison de tissu. Un régal. Je n'aurais changé de station service pour rien au monde.
Un jour une idée folle à commencé à germer dans mon esprit : me branler en matant ses gros seins ! Chaque fois que je retournais prendre de l'essence j'y pensais un peu plus. Et puis un jour j'ai décidé de tenter l'expérience.
Un vieux pantalon dont j'avais décousu le fond de ma poche droite fit l'affaire. Puis je pris rendez-vous pour une vidange de mon véhicule. Le jour voulu arriva et après avoir confié ma voiture à son mari j'allais retrouver son épouse toujours installée derrière son comptoir. Le dieu des pervers devait être de mon coté car elle portait ce jour-là une robe particulièrement décolletée, dévoilant largement ses deux globes rebondis.
Je filais aux toilettes pour enfiler un préservatif sur mon sexe, dressé par ce que je venais de voir et je retournais devant le petit comptoir pour discuter avec elle. Au fond de ma poche mes doigts commencèrent à caresser mon sexe tout en lorgnant les deux globes de chair que la blonde offrait à mes regards. D'où elle était, assise en contrebas, elle ne devait voir que ma tête et mes épaules.
je sentais peu à peu mon désir se faire plus pressant. L'idée que son mari était en train de s'occuper de ma voiture tandis que je me branlais à un mètre de sa femme me rendait fou. Dans ma poche j'avais carrément empoigné mon sexe que je masturbais de plus en plus vite. Une sorte de plaisir malsain me submergeait.
Et puis finalement je me laissais aller, éjaculant dans le préservatif, mes yeux rivés sur les gros nichons de la blonde. Je n'ai plus jamais ressenti un tel plaisir lors d'autres séances de masturbation. J'ai recommencé par deux fois ce petit jeu avec chaque fois autant de plaisir.
Je me demande aujourd'hui si elle s'était rendu compte de mon manège. Je n'en sais rien et je ne le saurais certainement jamais.
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