Une divorcée bien baisée

‌‌Il y a des divorces qui se passent bien et d'autres qui se passent mal. Celui de Françoise et Serge relevait de la deuxième catégorie. Il faut dire qu'ils vivaient ensemble depuis une trentaine d'années lorsque Françoise lui annonça qu'elle le quittait pour un homme de presque moitié moins son âge. Scandal in the family. Ses deux filles ne comprenaient pas et le mari ne décolérait pas. C'est au point qu'il fit courir des bruits déplaisants sur le jeune amant prénommé Dylan, accusé de toutes les perversités, comme si faire l'amour avec une femme plus âgée relevait d'un délit sexuel. Il est vrai qu'il était plutôt beau mec avec sa peau ambrée, ses muscles apparents, son crâne lisse et ses yeux malicieux. Il avait travaillé sous les ordres de Françoise dans l'entreprise qu'elle dirigeait. Elle l'avait pris sous son aile et de fil en aiguille, ils en étaient arrivés à baiser dans son bureau après la fermeture.

Ce fut pour l'un et l'autre une révélation. Lui s'était régalé de la chair abondante mais ferme de sa patronne, de son vice de femme mûre expérimentée des choses du sexe. Elle s'était gavée de sa bite aussi rigide qu'infatigable dont l'épaisseur la remplissait merveilleusement. Elle se faisait baiser et il la baisait, cela n'allait pas plus loin au début. Mais l'harmonie de leurs accouplements était telle, la fantaisie de leurs ébats si épanouissante, qu'il arriva un moment où il n'était plus question de se cacher et même de se séparer. Ils s'étaient liés par le cul et ils s'unissaient par le coeur. D'où le divorce et la décision de vivre ensemble.

Mais Françoise n'avait pas apprécié les attaques contre son nouveau compagnon et donc son nouveau couple. En particulier celle de son ex qui ironisait sur les rapports sexuels d'une "grosse dondon" avec un "étalon tarifé". Il alla même jusqu'à prétendre que Françoise n'était plus qu'une "chair inerte", "trop sèche pour jouir", se référant à sa propre expérience. Il était vrai que le vieux couple ne s'accordait plus guère au lit. Mais en découvrant ces allégations, le sang de Françoise ne fit qu'un tour.
- Ah je ne sais plus jouir ? Eh bien, il va voir, dit-elle à Dylan.
Et c'est ainsi qu'ils décidèrent de filmer leurs ébats via une go pro avant de l'envoyer sur l'email non seulement de l'ex mari mais des deux filles qui avaient pris son parti.
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La préparation les mit dans une effervescence érotique qui les rendit chauds bouillants. Ils commencèrent par acheter une go pro avec un pied pour enregistrer la vidéo avant de procéder à quelques essais de cadrages, essentiels pour rendre les ébats bien visibles. Ils débattirent ensuite sur la tenue de Françoise. Devrait-elle la jouer sexy avec un bustier, des porte-jarretelles avec bas ou des dim up, des escarpins, des bottes ou carrément nue ? Devaient-ils baiser dans la cuisine, la salle de bains, sur le canapé du salon ou dans la chambre ? Quelles positions devraient-ils adopter face à la caméra ? De face ou de profil ?

Finalement, Françoise choisit d'être entièrement nue, "au naturel et tant pis pour mes défauts". Ils commenceraient dans la cuisine selon un petit scénario avant de poursuivre sur le canapé et enfin dans la chambre. Il fut convenu que Dylan aurait droit à une pipe deux ou trois heures avant hors caméra afin qu'il éjacule une première fois et se rende ainsi moins excité et plus endurant pour la grande scène de cul. En même temps, Françoise s'enduirait toujours en off de gel intime, dans le vagin comme dans l'anus car bien entendu, elle se ferait sodomiser, pratique négligée par Serge, au contraire de Dylan, très inspiré par le cul joufflu de Françoise. Et enfin, le moment tant attendu arriva.
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Dylan installa la go pro de manière à embrasser l'ensemble de la cuisine, en enfilade. Il la déclencha quand Françoise arriva vêtue simplement d'un tablier qui lui découvrait les fesses et le dos et couvrait ses seins, son bas-ventre et le haut de ses cuisses. Elle était censée faire une petite vaisselle au bord de l'évier. Dylan arriva alors, nu, et l'enlaça par derrière en l'embrassant dans le cou, glissant ses mains sous le tablier pour empaumer ses seins. Françoise roucoulait sans cesser son ouvrage mais le pénis de Dylan collé sur ses fesses la fit onduler. Ils prolongèrent ces préliminaires jusqu'au moment où Françoise se retourna, se débarrassa de son tablier, s'accroupit et emboucha le pénis déjà bien érigé de Dylan. La position de la go pro permettait une vision de profil de cette fellation et le visionneur ne pouvait pas manquer la palpation des couilles, la bouche vorace, le regard alternatif de Françoise, tantôt vers le récipiendaire de sa succion, tantôt vers l'objectif.

Puis elle se releva, s'assit sur la table de la cuisine et se fit déguster par son jeune amant assis sur une chaise, comme pour un déjeuner, sauf que le plat était une chatte juteuse et poilue. Françoise laissa échapper ses premiers soupirs d'extase, bien sonores pour les rendre auditifs par l'enregistrement. Dylan compléta le cunni par l'introduction de son doigt dans le déduit de sa partenaire, dont les mouvements de bassin traduisaient l'arrivée imminente d'un premier orgasme. Elle jouit bruyamment et saisit le visage de son jeune amant pour l'embrasser avec passion avant de s'adresser à l'objectif :
- Il va me baiser maintenant. Je suis en feu.

Dylan, la queue à l'horizontale, s'approcha de la go pro et l'image devint perturbée jusqu'au moment où elle se figea dans le salon, juste devant le canapé. Françoise l'attendait assise en se caressant, seins étalés sur son torse, cuisses ouvertes, langue entre les lèvres. Son corps disparut de l'image quand le jeune homme se positionna entre ses cuisses et le focus se fit dès lors sur un cul masculin glabre, nerveux, agité, encadré par deux pieds féminins aux orteils rétractés, tout aussi agités que les fesses, sur lesquels venaient se coller des mains aux ongles peints. Françoise n'était pas mécontente de montrer l'ardeur copulatrice de son jeune amant, comme un hommage à son corps de mature. Si son visage n'était plus visible, ses cris de plaisir demeuraient parfaitement audibles ainsi que le "flotch flotch" du choc des peaux et des deux sexes joints.

Sans rompre son union, le couple adopta ensuite une position allongée sur le canapé, de sorte qu'il était désormais possible de voir Françoise dans son intégralité corporelle, un pied sur le dossier, l'autre autour des reins de son fouailleur, si ardent qu'il faisait trembler ses seins sur son torse. Françoise prononça alors ses premiers mots crus, célébrant la bite de son baiseur et l'adjurant de durer. Après une nouvelle ruée qui fit bramer la sexagénaire, le couple s'interrompit, haletant, suant et Françoise courut à la cuisine boire un verre d'eau, révélant au passage son corps pulpeux, épanoui, les pointes de ses seins dressées ballottant au rythme de ses pas. Juste le temps de dire à l'objectif :
- Je baise et j'adore ça.
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Puis la caméra se transporta vers la chambre et fixa un lit où ne subsistait plus qu'un drap. Dylan la fixa sur son pied vers le bord latéral. Le couple nu commença à se papouiller, à se masturber mutuellement, à se peloter, à s'exciter verbalement.
- Tu vas me la mettre bien profond, hein ?
- Tu vas bien remuer ton gros cul, hein ?
Puis Dylan bascula sur le dos et laissa Françoise s'empaler sur lui, de profil devant la caméra, afin qu'on voie bien le pénis entrer et sortir de son antre. Françoise fit l'effort de se mettre sur ses pieds, position fatigante qu'elle ne tint pas longtemps mais suffisamment pour que le visionneur puisse constater la rigidité et la longueur de la tige qui honorait son ex. Puis elle fit aller et venir son fessier dans d'amples mouvements, face à son amant puis de dos, le visage tourné vers l'objectif, un rictus de plaisir barrant son visage.

Restait le mouvement final que le couple avait préparé avec soin. Françoise devait être prise en levrette, de face puis de profil. Le visage tourné vers la caméra, les seins pendants et agités sous les assauts, elle offrait le visage du plaisir féminin dans le coït, tantôt crispé, tantôt rayonnant, le verbe laudatif et exclamatoire tandis qu'à l'arrière plan, le baiseur lui tenait les hanches, vigoureux et concentré.
Puis ce fut à nouveau la position de profil pour le bouquet final, la sodomie.
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Françoise savait que cette phase serait celle qui déplairait le plus à son ex. Qu'un autre homme que lui puisse entrer dans son cul, il ne le supporterait pas. C'est pourquoi elle voulait faire durer le plaisir.
- Lèche-moi d'abord, ordonna-t-elle à Dylan.
Celui-ci écarta ses fesses et plongea son groin dans la raie longue et profonde avec une volupté évidente. Seins pendants entre ses bras, croupe levée, Françoise présenta à la go pro le visage de la luxure, en attente du concret. Dylan mit un puis deux doigts dans l'anneau afin de bien préparer à une intromission plus massive. Françoise mit fin à ces préliminaires en assénant avec crudité, le visage tourné vers son amant :
- Encule-moi maintenant.

Il s'introduisit lentement, laissant son gland trouver sa place mais elle alla vite le chercher à coups de fesses et les peaux se mirent à claquer, accompagnées des râles de la récipiendaire.
- Ah c'est bon, ah c'est bon, gémissait-elle, les seins bougeant au rythme des coups de boutoir.
La go pro ne pouvait pas manquer les entrées et sorties du pénis dans les profondeurs fessières, confirmant la réalité de la sodomie. Au bord de l'éjaculation, Dylan se retira vivement en se comprimant la tige, emballé par le tempérament de sa partenaire, sa totale absence de tabous, et c'est pour ça qu'il aimait tant la baiser malgré la différence d'âge.
Elle le remercia pour s'être retenu en l'embrassant, et lui dit :
- Laisse-toi aller maintenant, jouis dans mon cul.

Elle se mit cette fois face à la caméra. Puisque la réalité de son enculage était opérée, elle voulait offrir au visionneur le visage de son plaisir. Une fois qu'elle fut à nouveau pénétrée et bien secouée, elle présenta l'image d'une femelle heureuse d'être baisée par un jeune mâle au sommet de sa virilité. Elle s'exclamait, riait, soupirait, grimaçait, laissait transparaitre la montée de son orgasme anal en agitant frénétiquement sa croupe plantureuse et faisant battre les grosses couilles de son amant sur sa chatte. Ce plaisir subtil de la femme enculée, elle le vérifia en plongeant son regard entre ses bras, vit le ballottement des bourses et cette vision la fit définitivement jouir. Alerté par ces couinements de joie sexuelle, Dylan lâcha tout. Il expulsa une grosse quantité de sperme dans le rectum de Françoise et laissa gicler le reste sur son sacrum, bien en vue de l'objectif. Françoise s'affala sur le lit, vidée de toute énergie. Mais heureuse. Elle se retourna, embrassa son amant, lequel se tourna vers la go pro et l'éteignit.
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Quelques jours plus tard, Françoise et Dylan eurent vent que leurs ébats avaient été diffusés sur un site porno. D'abord scandalisés par le comportement de l'ex (car ce ne pouvait être que lui le coupable), ils finirent par s'en accommoder quand Françoise reçut divers hommages, tant masculins que féminins, pour sa bonne santé sexuelle. Et Dylan pour sa virilité. Ils découvrirent en même temps que certaines personnes inattendues fréquentaient ces sites, notamment les deux filles de Françoise. Le couple obtint (non sans mal) que la vidéo soit retirée. Mais la rupture était définitivement consommée avec l'ex mari, même si son initiative fut soigneusement évitée dans les attendus du divorce. Néanmoins, les deux amants conservèrent par devers eux ces images torrides, comme un précieux témoignage de leur union. Et ils la regardaient parfois avant de passer à l'action. Mais sans refaire un enregistrement. Quant aux deux filles, elles revinrent vers leur mère après lui avoir avoué qu'elle les avait épatées. Et peut-être même auraient-elles volontiers pris sa place. Mais c'est une autre histoire.