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Une Famille en Or (6)

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Lue : 1104 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 01/10/2019

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Mercredi 26 décembre 1990

Nous sommes descendu pour fêter Noël avec nos parents, et aujourd’hui nous remontons avec Valy, qui vient passer le réveillon de nouvel an avec nous.

Elle n’est pas seule. Depuis peu, elle sort avec Nicolas, un gars qui était animateur dans la même colo qu’elle cet été.
Ils avaient sympathisé, gardé le contact, s’étaient revus car il habite Aix, et puis ils ont fini par passer à l’acte.
Comme il paraît qu’il est plutôt classique côté sexe, elle ne lui a rien dit sur nos relations. Il va être surpris!

Notre appartement n’ayant qu’une chambre, il est convenu qu’ils dormiront sur le convertible du salon.

Après un rapide repas, tout de même un peu arrosé, nous allons tous nous préparer pour la nuit.

Nicolas est le premier à aller se doucher.
J’attends juste que l’eau se soit arrêtée de couler pour entrer dans la salle de bains.
Il a à peine le temps de se cacher l’essentiel derrière une serviette.
Je ne m’excuse pas et même minimise l’incident:
- Excuse-moi, mais j’ai entendu que tu avais terminé. Et tu sais, chez nous on est plutôt naturistes, et ça gagne du temps. Tu permets?

En lui tournant le dos, j’enlève ma robe.
Il est bien surpris de constater que je ne porte rien dessous.
Toujours dos à lui, j’enjambe la baignoire et il sort prestement pendant que je passe sous le jet.

Valy vient me rejoindre et se douche avec moi.

Je ressors vêtue d’une chemisette mal boutonnée en bas.

Nico tique un peu lorsque Ber entre dans la salle de bains alors que Valy n’est pas encore sortie. Elle-même ne revient qu’avec un T-shirt assez court.
Il lui suffit de hausser les épaules pour qu’on voit qu’elle n’a rien dessous.

Je l’aide à ouvrir le convertible, faisant bénéficier Nico d’un beau panorama sur nos deux culs nus. Puis je leur souhaite bonne nuit, et je rejoins ma chambre.

Avec Ber, nous décidons que c’est l’occasion de développer nos récents talents d’échangistes. Je me lève et vais à la cuisine, à poil cette fois, pour boire un grand verre d’eau. En revenant, je m’arrête près d’eux:
- Alors, les tourtereaux, tout va bien?

Voyant le regard de Nico scotché sur mon sexe épilé, j’ajoute:
- Dis, Valy, c’est nouveau ça! Tu dors habillée, maintenant?
- Non, c’est vrai, tu as raison. Je l’enlève!
Elle repousse la couette, et vire le T-shirt. J’envoie mes doigts caresser son petit filet de poils:
- Dis donc, tu es épilée de frais, c’est pour Nico? On en mangerait!
- Chiche, mange-moi!

Elle ouvre largement ses cuisses. Je me penche et lui lèche un peu le clito, puis je me redresse vers Nico:
- Deux nanas ensemble, ça doit t’exciter, non? Tu peux te branler en nous regardant, ça ne nous gêne pas!

Il ôte son caleçon et s’exécute sous mon nez. Je le récompense en lui léchant le gland, pendant que Valy s’occupe de ma fente.
Il me surprend totalement en éjaculant déjà. Je prends tout sur le visage:
- Dis donc, Nico, tu pars vite!

Valy vient me nettoyer avec sa langue.

C’est à ce moment que Ber débarque, la bite à l’équerre, le gland bien décalotté:
- Qu’est-ce que ça veut dire? On baise sans moi?

Valy nous quitte pour aller le pomper.

La scène en cours, et mes manœuvres expertes ont redonné toute sa vigueur à Nico. Du coup, j’en profite pour le chevaucher.
Après un petit trot de mise en forme, j’appelle Ber pour réaliser un bon sandwich.
Il se dégage avec regret de sa pompeuse, et vient sans attendre me dilater le cul.
Je suis tellement excitée que ça rentre tout seul jusqu’au fond.

Ber me pistonne en douceur, et ce mouvement dans mon cul me fait coulisser en retour sur la bite de Nico. C’est divin!

Cette fois, Nico tient un peu plus longtemps, mais il craque le premier, et Ber se retire pour s’occuper un peu du cul de Valy, que nous avions presque oubliée.
Il termine comme il avait commencé, dans sa bouche.

Nous leur souhaitons bonne nuit et retournons dans notre chambre.
Nico n’ose pas faire de commentaires.


Jeudi 27 décembre 1990

Avec Valy et Nico, nous passons la journée à skier.

Avant ça, nous avons consacré le petit-déjeuner à exciter Nico en nous caressant toutes les deux, mais il a eu l’interdiction de se branler.
Nos petits attouchements lesbiens l’ont tellement excité qu’au bout d’un moment il a fini par éjaculer sans se toucher.

Quand Ber rentre du boulot, c’est Valy qui a enfin droit à son sandwich.
Pour elle, les rôles sont inversés.
C’est Nico qui investit son cul, pratiquant sa première sodomie.
Pour m’occuper, je lui investis l’anus avec un doigt bien lubrifié.
Il proteste un peu, mais finalement il se laisse faire.
Quand je sens qu’il est détendu, je remplace mon doigt par un gode.
Il proteste encore un peu, mais s’abandonne finalement.


Vendredi 28 décembre 1990

Ce soir, Valy et moi avons décidé de commencer par une séance lesbienne pour exciter les garçons.

Ils doivent rester assis sagement dans leur fauteuil et n’ont même pas le droit de se branler pour l’instant.
Leurs glands gonflés et les soubresauts de leurs queues prouvent qu’ils approuvent le spectacle.

Quand leur tension est extrême, je leur annonce notre idée:
- OK, maintenant on aimerait vous voir faire comme nous. Branlez-vous l’un l’autre!

Ber ne se dégonfle pas et cramponne la queue de Nico.
Ce dernier est un peu interloqué de se faire masturber par un mec, mais il se laisse faire sans oser faire pareil.
Avec nos encouragement, il finit par empoigner Ber.

Avec Valy, nous nous asseyons sur le canapé face à eux pour profiter de ce show tout en nous branlant réciproquement. Ils terminent par une belle double gerbe.

Pour les récompenser, nous leurs permettons enfin de s’occuper de nous.


Mardi 1er janvier 1991

Ber a travaillé toute la nuit, car il avait le réveillon à assurer à l’Auberge.
Donc nous nous levons en fin de matinée, et comme le car ne part que vers 16 heures, nous avons le temps de nous amuser une dernière fois.

Les garçons ont bien pris l’habitude de se tripoter mutuellement à chaque séance, aussi je demande à Ber de tenir la promesse qu’il m’a faite hier soir.
Il ne se démonte pas et embouche le gland de Nico, qui se laisse faire finalement assez volontiers, contrairement à ce que j’aurais pu penser.
Ber évite de le faire jouir, pour nous le garder en forme pour la suite.
Il essaie de se faire rendre la pareille, mais Nico hésite encore.
Pour ne pas le brusquer, nous n’insistons pas et continuons nos ébats à quatre.

Un peu plus tard, il est en train de me prendre en levrette pendant que Valy lui doigte le cul tout en se faisant prendre par Ber.
Ber se dégage et vient lui enfourner sa bite dans la bouche autoritairement.
Cette fois, Nico le pompe enfin et lorsque Ber lui lâche tout dans la gorge, il s’étouffe un peu mais avale tout. Ça l’a tout de même excité car il décharge immédiatement dans ma chatte.


Samedi 16 février 1991

J’ai trouvé enfin du travail à Barcelo, chez un expert-comptable.

C’est un vieux un peu strict, et j’ai une collègue de bureau très sympa, Florence, la trentaine. Nous faisons la journée continue, de 11H30 à 19H30. Comme ça, je peux faire la grasse matinée et faire un gros déjeuner avant d’aller travailler.

Pour ce travail, je dois un peu étoffer ma garde-robe, et surtout des soutifs, car je ne pense pas que mon patron approuve le fait qu’on aperçoive mes seins nus à travers mes chemisiers. Comme je n’en ai pas, c’est l’occasion de descendre à Marseille.
J’y vais seule, car Ber est retenu par un groupe à l’Auberge.

Je commence donc mes courses par la boutique de lingerie près du boulevard Garibaldi. Elle est petite, mais bien fournie en dessous sexy. La gérante, une femme dans la cinquantaine, me connaît déjà bien depuis quelque temps.

En ce milieu de matinée, le magasin est désert. Comme l’essentiel c’est que mon patron aperçoive le relief et la couleur des bretelles du soutif sous le tissu des chemisiers, je choisis une demi-douzaine de balconnets sans bonnets, et des strings assortis.

Je vais à la cabine d’essayage et j’enlève tranquillement mon manteau, puis ma robe, et c’est tout, puisque je suis nue dessous.Heureusement que la boutique est bien chauffée.

J’enfile le premier ensemble puis j’ouvre et je fais face à la commerçante:
- Il était temps que j’en achète, je n’avais plus rien à me mettre!

Elle en reste baba de me voir sortir dans cette tenue. Je continue à la jouer nature:
- Et vous allez me donner votre avis. Pas la peine que je ferme à chaque fois.

Je retourne dans la cabine mais je laisse le rideau ouvert. Je suis peut-être la première cliente à oser le faire ici.
J’enfile successivement les ensembles, prenant des poses devant la glace.
Je garde le plus beau pour la fin, un modèle où le peu qui reste des bonnets est une fine bande de résille autour de l’armature, et un string très mini devant, dans la même matière. Je prends les autres dans la main et vais au comptoir:
- J’adore cet ensemble! qu’en pensez-vous?

Comme je la joue toujours nature, elle le prend enfin avec amusement:
- Si c’est le plus sexy que vous recherchez, vous l’avez trouvé!

A cet instant, une cliente entre dans le magasin et tombe sur mes fesses. Je me retourne et ne lui laisse pas le temps de réaliser:
- Tiens, vous arrivez à pic, j’aimerais votre avis! Que pensez-vous de cet ensemble?

Elle louche sur mes tétons qui pointent vers elle:
- Euh… C’est peut-être un peu osé, euh… Mais sinon c’est mignon, euh… Enfin, vous le portez bien! En tout cas, moi je n’oserais pas.
- Bon, c’est décidé, je prends ces deux-là, et celui que je porte. Je vais l’enlever pour que vous me les emballiez. Pas la peine de faire un paquet-cadeau.

Je fais sauter l’attache du soutif, puis glisser le cache-sexe, et les tends à la vendeuse. La cliente reste bouche bée devant mon culot et en s’apercevant que j’ai aussi laissé mes poils au vestiaire. Je vais à la cabine enfiler ma robe, et reviens au comptoir pour payer. Je relance la cliente:
- Vous devriez quand même en essayer, je suis sûre que ça plairait à votre mari.

La vendeuse lui demande:
- C’est vrai, au fait, qu’est-ce que je peux pour vous?

La cliente se fait servir une paire de bas, règle son achat, et ressort rapidement.

Dès qu’elle est sortie, la commerçante rigole:
- Dites donc, vous êtes culottée, vous!
- Non, justement, je suis plutôt sans-culotte!

A suivre…
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Histoire de Hannapurna

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